The Old Republic
Fiche et test (PC) | Bandes-annonces
The Old Republic
- Genre Jeu de rôle
- Série The Old Republic
- Année de sortie 2011
- Année et période -3643 à -3641 (Ancienne République)
- Plate-forme(s)
-
Note du staff SWU
-
Note des internautes
Star Wars : The Old Republic est le deuxième MMORPG situé dans l'univers Star Wars après Star Wars : Galaxies. Il est développé par BioWare et prend place trois siècles après le célèbre Star Wars : Knights of the Old Republic.
Le joueur pourra incarner l'une des huit classes proposées et prendre part à la guerre qui voit s'affronte la République Galactique et l'Empire Sith.
- Test SWU
- Avis du staff
- Avis des internautes
- Résumé
- Encyclopédie
- Galerie
Préambule
Pas facile d'écrire un test qui soit représentatif d'un jeu en constante évolution. Tel aspect n'est pas très développé ? Certes mais la version 2.7 l'a considérablement modifié. On s'ennuie un peu ? Peut-être, mais n'oublions pas les différents évènements ponctuels qui viennent égayer le quotidien...
Pas facile non plus d'écrire un test sur un genre aussi particulier qu'est le mmorpg. Un jeu de course est un jeu de course, celui-ci est mieux parce que blablabla, celui moins bien parce que bliblibli... Les mmorpg sont tellement divers qu'il est difficile de les comparer, et ne parlons pas des attentes et intérêts des joueurs, qui sont certainement aussi variés sinon plus.
Bref, nous essayerons ici d'analyser le jeu de manière objective, sans trop tenir comptes des choix de design ou de gameplay, ni des aspects qui ont pu être décevants, mais amélioré depuis. De plus, étant donné qu'il s'agit d'un jeu Star Wars, et que nous sommes sur un site de fans de Star Wars, nous citereons les éléments qui plairons (ou pas) aux spécialistes.
L'histoire
En lançant le jeu la première fois, on est directement plongé dans une scène cinématique de toute beauté (à voir dans la section bande-annonces), et rebelote juste après avoir créé son personnage, avec l'une des deux autres cinématiques, suivant la faction. Voilà de quoi bien nous plonger dans l'ambiance équipe.
Mais on ne s'arrête pas là, dès l'introduction de la première quête, vous sentez que vous quelqu'un. Recrue des troupes d'élites, Jedi ou Sith prometteur, chasseur de prime candidat à une prestigieuse compétition... on est loin de bon nombre d'autres mmorpg qui nous font commencer tout tout tout en bas de l'échelle, à chasser des lapins dans la forêt... A l'instar des films de la saga, l'action commence directement. In Media Res, comme disent les latinistes. Et pour ajouter à l'immersion, toutes les quêtes sont acquises via des cinématiques entièrement doublées et lors desquelles des choix de dialogues vous seront proposés (comme dans Mass Effect).
Tout au long de votre progression, vous traverserez la galaxie en long et en large, participerez à des conflits sur de nombreuses planètes, rencontrerez des personnages divers et variés. Chacune des 8 classes du jeu propose une aventure scénarisée unique, lesquelles s'entrecoupent à l'intrigue propre de chaque planète, pour vous raconter la guerre entre la République Galactique et l'Empire Sith sous différents angles.
Différentes missions, différents objectifs, différents style, mais tout ces scénarios de classe ont en commun leur aspect héroïque, jubilatoire (quel plaisir d'être nommé à un poste très important en récompense de notre bravoure, ou d'enfin liquider ce vil félon qui nous cause tant de torts depuis le début de l'aventure), le tout ponctué de rebondissement et de révélations innatendues.
De plus, les compagnons qui vous accompagnerons dispoent également de leur personnalité propre et de leur histoire, qu'ils vous dévoileront au fur et à mesure que vous apprendrez à les connaître.
En tant que fans, vous ne manquerez pas de jubiler en visitant des lieux fameux tels que l'Académie Sith de Korriban, le Sénat Galactique de Coruscant, les plaines gacées de Hoth ou désertiques de Tatooine (il y a même le Sarlaac). Si vous connaissez l'Univers Étendu de l'Ancienne République, notamment le jeu Knights of the Old Republic, vous ne manquerez pas de constater que les scénarios s'intègrent parfaitement à la grande histoire de la galaxie et la complètent, sans oublier bien sûr les références, dont le planète Taris, l'héritage Rakata, et bien d'autres choses...
Bref, l'histoire est le gros point fort du jeu. Les développeurs n'ont cessés de répéter que le but était de faire une suite épique à Kotor, de retrouver la dimension scénaristique d'un RPG, force est de constater que c'est réussi.
Mais on ne s'arrête pas là, dès l'introduction de la première quête, vous sentez que vous quelqu'un. Recrue des troupes d'élites, Jedi ou Sith prometteur, chasseur de prime candidat à une prestigieuse compétition... on est loin de bon nombre d'autres mmorpg qui nous font commencer tout tout tout en bas de l'échelle, à chasser des lapins dans la forêt... A l'instar des films de la saga, l'action commence directement. In Media Res, comme disent les latinistes. Et pour ajouter à l'immersion, toutes les quêtes sont acquises via des cinématiques entièrement doublées et lors desquelles des choix de dialogues vous seront proposés (comme dans Mass Effect).
Tout au long de votre progression, vous traverserez la galaxie en long et en large, participerez à des conflits sur de nombreuses planètes, rencontrerez des personnages divers et variés. Chacune des 8 classes du jeu propose une aventure scénarisée unique, lesquelles s'entrecoupent à l'intrigue propre de chaque planète, pour vous raconter la guerre entre la République Galactique et l'Empire Sith sous différents angles.
Différentes missions, différents objectifs, différents style, mais tout ces scénarios de classe ont en commun leur aspect héroïque, jubilatoire (quel plaisir d'être nommé à un poste très important en récompense de notre bravoure, ou d'enfin liquider ce vil félon qui nous cause tant de torts depuis le début de l'aventure), le tout ponctué de rebondissement et de révélations innatendues.
De plus, les compagnons qui vous accompagnerons dispoent également de leur personnalité propre et de leur histoire, qu'ils vous dévoileront au fur et à mesure que vous apprendrez à les connaître.
En tant que fans, vous ne manquerez pas de jubiler en visitant des lieux fameux tels que l'Académie Sith de Korriban, le Sénat Galactique de Coruscant, les plaines gacées de Hoth ou désertiques de Tatooine (il y a même le Sarlaac). Si vous connaissez l'Univers Étendu de l'Ancienne République, notamment le jeu Knights of the Old Republic, vous ne manquerez pas de constater que les scénarios s'intègrent parfaitement à la grande histoire de la galaxie et la complètent, sans oublier bien sûr les références, dont le planète Taris, l'héritage Rakata, et bien d'autres choses...
Bref, l'histoire est le gros point fort du jeu. Les développeurs n'ont cessés de répéter que le but était de faire une suite épique à Kotor, de retrouver la dimension scénaristique d'un RPG, force est de constater que c'est réussi.
L'environnement
Au cours de la progression, ce ne sont pas moins de 17 planètes que vous allez visiter (plus une avec la première extension, et encore une (petite) supplémentaire lors d'une mise à jour). Qu'elles soient directement issues de la saga (Tatooine, Hoth, Coruscant...), de l'univers étendu (Korriban, Nar Shaddaa, Ord Mantel, Taris...), ou carrément inédites ou presque (Tython, Beslavis, Voss...), elles possèdent chacune leur caractère et ambiance propre.
Comme dans les films, la plupart sont archétypales. On retrouve ainsi des planètes recouvertes de déserts, de glaces ou de jungles, insulaires, surpolluées et bien sûr des planètes-cités (en activité ou en ruines). Elles n'en sont pas pour autant répétitives, les déserts peuvent être de sable ou de cailloux (regs ou ergs pour les spécialistes), la glace s'élever en pointes ou s'allonger en vastes plaines.
L'ambiance particulière de chaque planète doit aussi beaucoup au choix de la lumière. En effet, plutôt qu'instaurer des cycles jour/nuit, les développeurs on fixé l'ambiance lumineuse. Ainsi, le crépuscule rougit en permanence les tours de Coruscant, tandis que les étoiles brillent toujours au-dessus d'Illum.
Au niveau purement graphique, les pointilleux dénigreront l'aspect quelque peu simpliste du design, mais n'oublions pas qu'un mmorpg possède une contrainte importante : il doit durer dans le temps, d'où un graphisme stylisé qui vieillit moins vite qu'un réalisme extrème qui serait rapidement dépassé. Et bon, il serait malhonnète de dire que le jeu est moche. S'il n'est "que" correct avec des options graphiques faibles, il devient sublime en les poussant au maximum.
Au niveau du contenu, on remarquera un certain soin apporté aux détails. Si les bâtiments par exemple se déclinent sous une série de formats prédéfinis, leur agencement sont très variés et on ne remarque que peu ces répétitions. Les fans repèreront également de subtiles références ça et là, notamment des mise en scènes qui ne sont pas sans rappeller des passages des films...
On regrettera par contre que les pnj soient relativement peu nombreux, en particulier dans les villes qui devraient grouiller de monde. Autre défaut, les zones réservées à certaines classes pour certaines quêtes particulière de leur scénario sont marquées par des portails rouges ou verts, ce qui casse un peu l'immersion. Ils auraient pu faire un effort pour trouver un autre système plus discret. Des portes avec des boutons rouges ou verts dans les villes par exemple.
Comme dans les films, la plupart sont archétypales. On retrouve ainsi des planètes recouvertes de déserts, de glaces ou de jungles, insulaires, surpolluées et bien sûr des planètes-cités (en activité ou en ruines). Elles n'en sont pas pour autant répétitives, les déserts peuvent être de sable ou de cailloux (regs ou ergs pour les spécialistes), la glace s'élever en pointes ou s'allonger en vastes plaines.
L'ambiance particulière de chaque planète doit aussi beaucoup au choix de la lumière. En effet, plutôt qu'instaurer des cycles jour/nuit, les développeurs on fixé l'ambiance lumineuse. Ainsi, le crépuscule rougit en permanence les tours de Coruscant, tandis que les étoiles brillent toujours au-dessus d'Illum.
Au niveau purement graphique, les pointilleux dénigreront l'aspect quelque peu simpliste du design, mais n'oublions pas qu'un mmorpg possède une contrainte importante : il doit durer dans le temps, d'où un graphisme stylisé qui vieillit moins vite qu'un réalisme extrème qui serait rapidement dépassé. Et bon, il serait malhonnète de dire que le jeu est moche. S'il n'est "que" correct avec des options graphiques faibles, il devient sublime en les poussant au maximum.
Au niveau du contenu, on remarquera un certain soin apporté aux détails. Si les bâtiments par exemple se déclinent sous une série de formats prédéfinis, leur agencement sont très variés et on ne remarque que peu ces répétitions. Les fans repèreront également de subtiles références ça et là, notamment des mise en scènes qui ne sont pas sans rappeller des passages des films...
On regrettera par contre que les pnj soient relativement peu nombreux, en particulier dans les villes qui devraient grouiller de monde. Autre défaut, les zones réservées à certaines classes pour certaines quêtes particulière de leur scénario sont marquées par des portails rouges ou verts, ce qui casse un peu l'immersion. Ils auraient pu faire un effort pour trouver un autre système plus discret. Des portes avec des boutons rouges ou verts dans les villes par exemple.
Le son et la musique
En ce qui concerne le son, on ne pouvait pas ne pas relever le doublage intégral des dialogues (chose exceptionnelle dans ce genre de jeu), qui ajoute beaucoup à l'immersion. Les voix sont de qualité, quelle que soit la langue (anglais, français ou allemand) et assez variées. Les plus attentifs repèreront sans doutes quelques pnj avec la même voix, mais tous les personnages importants sont distincts.
Niveau musique, outre la reprise des thèmes de la saga composés par John Williams, et ceux de Kotor, de nouvelles compositions sont de la partie, et sont de bonne qualité. Chaque faction, chaque classe et chaque planète possède un leitmotiv qui lui est propre et lui correspond bien. Une partie de la bande originale inédite est d'ailleurs contenu sur un CD offert avec l'édition collector.
Niveau musique, outre la reprise des thèmes de la saga composés par John Williams, et ceux de Kotor, de nouvelles compositions sont de la partie, et sont de bonne qualité. Chaque faction, chaque classe et chaque planète possède un leitmotiv qui lui est propre et lui correspond bien. Une partie de la bande originale inédite est d'ailleurs contenu sur un CD offert avec l'édition collector.
Le gameplay
Après tout ce qui concerne l'ambiance, les décors, l'histoire, intéressons-nous au gameplay, parce qu'il faut tout de même que ce soit jouable.
Mais rassurez-vous, pas de soucis de ce côté-là. Le système est très classique pour un mmorpg. Des barres de compétences, des raccourcis clavier et on clique, et on clique... Même un débutant ne devrait pas avoir trop de mal à maîtriser le principe. Et si vous avez de la peine, il y a un tutorial qui explique tout les aspects du jeu pas à pas.
Les compétences sont déblocables au fur et à mesure de la montée en niveau et sont très variées. Si les classes sont miroirs d'une faction à l'autre, les animations sont différentes. Là où le Jedi Consulaire lancera des rochers sur son adversaire, l'Inquisiteur préférera les éclairs de Force.
Evidemment, savoir se servir de ses compétences pour affronter les ennemi de base est une chose, les maîtriser réellement pour se défaire des boss requiert un petit peu d'expérience. Et si vous voulez vous lancer dans les gros défis ou affrontez les autres joueurs, il vous faudra vous entraîner un peu, voir beaucoup. Mais quoi de plus normal, vous ne voudriez tout de même pas tout détruire sur votre passage les yeux bandés avec une main dans le dos et une cuillère pour seule arme, on est pas dans Force Unleashed...
Tout n'est pas classique cependant. Quelques points sont plutôt innovants par rapports à d'autres jeux du genre. D'abord les compagnons qui ne sont pas de simples animaux de compagnie, mais bien des personnages à part entière entière ou presque. Pour ceux qui ont joué à Kotor, c'est à peu près le même principe. Ils portent de l'équipement, disposent de leurs propres compétences et leur comportement peut-être ajusté selon vos besoins ("tape tout ce qui bouge" ou "soigne-moi en priorité" par exemple). De plus ils servent à l'artisanat. Au lieu de passer de longues heures à rechercher des matériaux, vous pouvez simplement envoyer vos compagnons en mission. De toute façon, un seul vous accompagnera à la fois, alors autant que les autres travaillent au lieu de roupiller dans le vaisseau.
Un autre point intéressant est le système d'Héritage. On l'a dit, les 8 classes possèdent chacune un scénario unique. Du coup, pour encourager et faciliter le jeu avec plusieurs personnages, le système héritage permet de transférer du matériel ou de débloquer des bonus qui s'applique à tous vos personnages (par exemple pouvoir obtenir un speeder au niveau 10 au lieu de 25).
Au niveau du combat spatial, le gameplay est moins instinctif, même en ayant l'habitude des jeux de shoot spatial, mais on s'y fait.
Mais rassurez-vous, pas de soucis de ce côté-là. Le système est très classique pour un mmorpg. Des barres de compétences, des raccourcis clavier et on clique, et on clique... Même un débutant ne devrait pas avoir trop de mal à maîtriser le principe. Et si vous avez de la peine, il y a un tutorial qui explique tout les aspects du jeu pas à pas.
Les compétences sont déblocables au fur et à mesure de la montée en niveau et sont très variées. Si les classes sont miroirs d'une faction à l'autre, les animations sont différentes. Là où le Jedi Consulaire lancera des rochers sur son adversaire, l'Inquisiteur préférera les éclairs de Force.
Evidemment, savoir se servir de ses compétences pour affronter les ennemi de base est une chose, les maîtriser réellement pour se défaire des boss requiert un petit peu d'expérience. Et si vous voulez vous lancer dans les gros défis ou affrontez les autres joueurs, il vous faudra vous entraîner un peu, voir beaucoup. Mais quoi de plus normal, vous ne voudriez tout de même pas tout détruire sur votre passage les yeux bandés avec une main dans le dos et une cuillère pour seule arme, on est pas dans Force Unleashed...
Tout n'est pas classique cependant. Quelques points sont plutôt innovants par rapports à d'autres jeux du genre. D'abord les compagnons qui ne sont pas de simples animaux de compagnie, mais bien des personnages à part entière entière ou presque. Pour ceux qui ont joué à Kotor, c'est à peu près le même principe. Ils portent de l'équipement, disposent de leurs propres compétences et leur comportement peut-être ajusté selon vos besoins ("tape tout ce qui bouge" ou "soigne-moi en priorité" par exemple). De plus ils servent à l'artisanat. Au lieu de passer de longues heures à rechercher des matériaux, vous pouvez simplement envoyer vos compagnons en mission. De toute façon, un seul vous accompagnera à la fois, alors autant que les autres travaillent au lieu de roupiller dans le vaisseau.
Un autre point intéressant est le système d'Héritage. On l'a dit, les 8 classes possèdent chacune un scénario unique. Du coup, pour encourager et faciliter le jeu avec plusieurs personnages, le système héritage permet de transférer du matériel ou de débloquer des bonus qui s'applique à tous vos personnages (par exemple pouvoir obtenir un speeder au niveau 10 au lieu de 25).
Au niveau du combat spatial, le gameplay est moins instinctif, même en ayant l'habitude des jeux de shoot spatial, mais on s'y fait.
Joueurs contre environment
Comme tout mmorpg qui se respecte, SWTOR apporte son lot de défis en mode joueur contre environment. Ceux-ci sont principalement de deux types.
Tout d'abord les zones litigieuses, prévues pour quatre joueurs. Elles sont réparties au fil des niveaux, apportant de petits à-côté à l'histoire principale. Leurs scénarios sont généralement intéressants et variés, de même que les environments (tombeaux, stations spatiales, usines...) et les ennemis (jedi, sith, droïds révoltés, mercenaires...). Certaines sont communes aux deux factions, d'autres sont distinctes mais se ressemblent un peu (dans chaque camp, la première inclut l'abordage d'un vaisseau par exemple), et quelques unes complètement différentes. Fréquemment elles se regroupent par deux pour former une histoire, voir même par quatre (deux de chaque côté) pour un bel arc racontant le destin d'un grand personnage....
Niveau gameplay, elles sont relativement faciles (pour peu que l'on ne fasse pas n'importe quoi), mais la plupart disposent d'un mode difficile, accessible uniquement à haut niveau, qui donnera un peu plus de challenge.
L'autre type de défis jce concerne les opérations. Cette fois-ci ce sont 8 ou 16 joueurs qui collaborent, avec des combats bien plus complexes et plus épiques que les précédents. Les opérations sont au nombre de sept (au moment où j'écrit ce test), et contribuent également à l'histoire du jeu. Si la première (la Chambre de l'Eternité) est un peu anecdotique, les autres s'intègrent dans un scénario global qui voit un nouvel ennemi (ou plutôt un groupe d'ennemis avec une grande armée) s'opposer à la fois à la République et à l'Empire. Au fil des opérations, vous affronterez des armées, rpousserez des monstruosités, infiltrerez des forteresses, jusqu'à mettre fin à cette menace. Les environments sont aussi bien variés, entre tombeaux ancestraux, palais fortifiés, mines, repaires de mercenaires et forteresses effroyables.
La difficulté est supérieure à celle des zones litigieuses et se décline en trois niveaux : histoire (destiné à tous les joueurs, pour découvrir l'histoire et s'habituer aux mécanismes des affrontements), difficile (pour ceux qui veulent tout de même un peu de challenge) et cauchemar (pas besoin d'explications). Les combats contre les "boss" sont variés et foncer dans le tas ne marchera que très rarement (au moins d'avoir un niveau d'équipement largement supérieur à ce qui est prévu). A noter que chacune des opérations intègre un affrontement de type "puzzle", où il faudra un peu réfléchir, ce qui ne fera de mal à personne...
A noter également que certaines quêtes sont plus difficiles que la moyenne et sont prévues pour 2 ou quatre joueurs. Elles apportent généralement un petit supplément à la planète et de bonnes récompenses.
Et d'autre part, des missions spatiales en solo existent. Peu développées (le vaisseau suivant un trajectoire définie et il suffit de tirer sur les ennemis qui passent), ce mode était plus destiné à être un mini-jeu, en attendant l'arrivée des vrais combats spatiaux (voir chapitre Joueurs contre Joueurs).
Tout d'abord les zones litigieuses, prévues pour quatre joueurs. Elles sont réparties au fil des niveaux, apportant de petits à-côté à l'histoire principale. Leurs scénarios sont généralement intéressants et variés, de même que les environments (tombeaux, stations spatiales, usines...) et les ennemis (jedi, sith, droïds révoltés, mercenaires...). Certaines sont communes aux deux factions, d'autres sont distinctes mais se ressemblent un peu (dans chaque camp, la première inclut l'abordage d'un vaisseau par exemple), et quelques unes complètement différentes. Fréquemment elles se regroupent par deux pour former une histoire, voir même par quatre (deux de chaque côté) pour un bel arc racontant le destin d'un grand personnage....
Niveau gameplay, elles sont relativement faciles (pour peu que l'on ne fasse pas n'importe quoi), mais la plupart disposent d'un mode difficile, accessible uniquement à haut niveau, qui donnera un peu plus de challenge.
L'autre type de défis jce concerne les opérations. Cette fois-ci ce sont 8 ou 16 joueurs qui collaborent, avec des combats bien plus complexes et plus épiques que les précédents. Les opérations sont au nombre de sept (au moment où j'écrit ce test), et contribuent également à l'histoire du jeu. Si la première (la Chambre de l'Eternité) est un peu anecdotique, les autres s'intègrent dans un scénario global qui voit un nouvel ennemi (ou plutôt un groupe d'ennemis avec une grande armée) s'opposer à la fois à la République et à l'Empire. Au fil des opérations, vous affronterez des armées, rpousserez des monstruosités, infiltrerez des forteresses, jusqu'à mettre fin à cette menace. Les environments sont aussi bien variés, entre tombeaux ancestraux, palais fortifiés, mines, repaires de mercenaires et forteresses effroyables.
La difficulté est supérieure à celle des zones litigieuses et se décline en trois niveaux : histoire (destiné à tous les joueurs, pour découvrir l'histoire et s'habituer aux mécanismes des affrontements), difficile (pour ceux qui veulent tout de même un peu de challenge) et cauchemar (pas besoin d'explications). Les combats contre les "boss" sont variés et foncer dans le tas ne marchera que très rarement (au moins d'avoir un niveau d'équipement largement supérieur à ce qui est prévu). A noter que chacune des opérations intègre un affrontement de type "puzzle", où il faudra un peu réfléchir, ce qui ne fera de mal à personne...
A noter également que certaines quêtes sont plus difficiles que la moyenne et sont prévues pour 2 ou quatre joueurs. Elles apportent généralement un petit supplément à la planète et de bonnes récompenses.
Et d'autre part, des missions spatiales en solo existent. Peu développées (le vaisseau suivant un trajectoire définie et il suffit de tirer sur les ennemis qui passent), ce mode était plus destiné à être un mini-jeu, en attendant l'arrivée des vrais combats spatiaux (voir chapitre Joueurs contre Joueurs).
Joueurs contre joueurs
Dans un jeu multijoueur, on s'attend à pouvoir se taper dessus, et SWTOR ne déroge pas à la règle. L'activité joueurs contre joueurs se déclinent en trois catégories principales. Tout d'abord les zones de guerre, au nombre de six, qui voient s'affronter deux équipes de 8 joueurs qui, pour gagner, doivent accomplir des objectifs (contrôler des points stratégique, se frayer un chemin dans un vaisseau (ou le défendre) etc...). A noter un mode particulièrement amusant : le huttball. La règle du jeu est simple, porter la balle dans le but adverse, en se faisant des passes, en neutralisant les adversaires et en esquivant les pièges de feu et d'acide qui jonchent le parcours.
Deuxième option : les arènes. Ici pas de chichis, quatre contre quatre, la première équipe qui tue tous ses adversaires gagne. Quatre environments sont à disposition. On aime ou on aime pas, mais il est néanmoins intéressant de disposer de plusieurs modes pour satisfaire tout le monde, les tacticiens comme les bourrins.
Dans ces deux cas, les joueurs peuvent gagner des points en fonction de leurs victoires, ce qui établit un classement visible sur le site officiel. Quand on se tape dessus, on aime bien savoir qui est le plus fort... Dommage que cette option ne soit apparue que tardivement.
La troisième possiblité de s'exploser entre nous est distincte des deux autres puisqu'elle concerne les combats spatiaux. Introduit en février 2014, ils permettent à chaque joueur d'acquérir un ou des vaisseaux (chasseur, éclaireur, bombardier etc...), de l'améliorer et de partir combattre. Là aussi, il faudra soit contrôler des objectifs, soit dégommer tout ce qui passe, pour l'emporter. Si la prise en main n'est pas forcément évidente au début, on se prend vite au jeu.
A noter que tout ces combats ne mettent pas forcément en scène des combattants de camps opposés. Les équipes ne sont bien sûr pas mixtes, mais il est possible qu'une équipe impériale en affronte une autre. Dans ce cas, le combat est présenté comme une simulation, un entraînement. La cohérence est sauve.
Un point important que les amateurs de jcj soulèvent en général : l'équilibrage des différentes classes. Globalement, elles sont ici plutôt équilibrées. Aucune n'est invincible ni extrèmement faible. Evidemment, un joueur bien équipé et expérimenté s'en sortira mieux, mais le choix de la classes n'a guère d'influence. Par contre, au niveau des vaisseaux, c'est un peu moins bien équilibré, certains pouvant tirer grand profit de leurs capacités et ne laisse pas beaucoup de chance aux autres.
Deuxième option : les arènes. Ici pas de chichis, quatre contre quatre, la première équipe qui tue tous ses adversaires gagne. Quatre environments sont à disposition. On aime ou on aime pas, mais il est néanmoins intéressant de disposer de plusieurs modes pour satisfaire tout le monde, les tacticiens comme les bourrins.
Dans ces deux cas, les joueurs peuvent gagner des points en fonction de leurs victoires, ce qui établit un classement visible sur le site officiel. Quand on se tape dessus, on aime bien savoir qui est le plus fort... Dommage que cette option ne soit apparue que tardivement.
La troisième possiblité de s'exploser entre nous est distincte des deux autres puisqu'elle concerne les combats spatiaux. Introduit en février 2014, ils permettent à chaque joueur d'acquérir un ou des vaisseaux (chasseur, éclaireur, bombardier etc...), de l'améliorer et de partir combattre. Là aussi, il faudra soit contrôler des objectifs, soit dégommer tout ce qui passe, pour l'emporter. Si la prise en main n'est pas forcément évidente au début, on se prend vite au jeu.
A noter que tout ces combats ne mettent pas forcément en scène des combattants de camps opposés. Les équipes ne sont bien sûr pas mixtes, mais il est possible qu'une équipe impériale en affronte une autre. Dans ce cas, le combat est présenté comme une simulation, un entraînement. La cohérence est sauve.
Un point important que les amateurs de jcj soulèvent en général : l'équilibrage des différentes classes. Globalement, elles sont ici plutôt équilibrées. Aucune n'est invincible ni extrèmement faible. Evidemment, un joueur bien équipé et expérimenté s'en sortira mieux, mais le choix de la classes n'a guère d'influence. Par contre, au niveau des vaisseaux, c'est un peu moins bien équilibré, certains pouvant tirer grand profit de leurs capacités et ne laisse pas beaucoup de chance aux autres.
L'aspect social et les divers
Interagir avec les autres joueurs pour leur taper dessus ou collaborer c'est bien, mais quelles sont les structures qui permettent de se réunir. Réponse : comme dans quasi tous les jeux du genre, les guildes. Quatre joueurs suffisent pour en former une, regroupant des personens de même sensibilité pour jouer ensemble. Un canal de discussion dédié permet d'échanger avec ses camarades, on peut acheter une soute commune pour partager des objets etc... Bref, du classique.
Ce n'est que récemment que SWTOR s'est distingué de la masse, en inaugurant les croiseurs de guilde et le mode conquête. Chaque semaine, les guildes peuvent choisir d'envahir une planète à choix. En accomplissant des objectifs, les membres marquent des points, établissant un classement. Au terme de la semaine, la guilde avec le plus de points conquiert la planète, ce qui lui octroie certains bonus. Voilà une bonne raison de rejoindre une guilde et de travailler tous ensemble à un objectif.
Autre aspect social : les forteresses. Chaque joueur peut acheter une "maison", la décorer, y inviter des avis, y organiser une fête etc... les amateurs de roleplay apprécieront, même si cette possiblité n'est apparue que tardivement. Au niveau de l'équipement aussi, chaque joueur peut se distinguer. En effet il est possible d'utiliser de nombreux vêtements au combat (un système de module permet de transférer les caractéristiques pour rester efficace), et la plupart peuvent changer de couleurs au moyen de teintures.
Les différents évènements récurrents (actuellement au nombre de 4), offrent un peu de variété au jeu. Chasses à prime, Invasions Rackgoules ou autres, ils sont également l'occasion de partir à la chasse aux succès. En parlant de succès, il existe moult objectifs à accomplir, couvrant tous les aspects du jeu, y compris l'exploration. Si la plupart sont faisable en solo, ils sont souvent propices à de folles soirées en guilde, passées à parcourir en long et en large une planète. Même si ce n'était pas forcément le but premier de ces succès, ils rassemblent.
Ce n'est que récemment que SWTOR s'est distingué de la masse, en inaugurant les croiseurs de guilde et le mode conquête. Chaque semaine, les guildes peuvent choisir d'envahir une planète à choix. En accomplissant des objectifs, les membres marquent des points, établissant un classement. Au terme de la semaine, la guilde avec le plus de points conquiert la planète, ce qui lui octroie certains bonus. Voilà une bonne raison de rejoindre une guilde et de travailler tous ensemble à un objectif.
Autre aspect social : les forteresses. Chaque joueur peut acheter une "maison", la décorer, y inviter des avis, y organiser une fête etc... les amateurs de roleplay apprécieront, même si cette possiblité n'est apparue que tardivement. Au niveau de l'équipement aussi, chaque joueur peut se distinguer. En effet il est possible d'utiliser de nombreux vêtements au combat (un système de module permet de transférer les caractéristiques pour rester efficace), et la plupart peuvent changer de couleurs au moyen de teintures.
Les différents évènements récurrents (actuellement au nombre de 4), offrent un peu de variété au jeu. Chasses à prime, Invasions Rackgoules ou autres, ils sont également l'occasion de partir à la chasse aux succès. En parlant de succès, il existe moult objectifs à accomplir, couvrant tous les aspects du jeu, y compris l'exploration. Si la plupart sont faisable en solo, ils sont souvent propices à de folles soirées en guilde, passées à parcourir en long et en large une planète. Même si ce n'était pas forcément le but premier de ces succès, ils rassemblent.
Durée de vie
Parler de la durée de vie d'un jeu multijoueur peut sembler incongru, mais signalons-le tout de même : elle est énorme. Jouer une classe du niveau 1 au niveau maximal, en découvrant tranquillement le jeu, suivant les quêtes, écoutant les dialogues etc... prendra environ 150 heures. Multipliez ceci par 8 si vous voulez découvrir tous les scénarios et vous obtiendrez pas loin de 1000 heures (un peu moins si, au fur et à mesure que vous connaissez bien le jeu, vous contourner certaines quêtes pour aller plus vite). 1000 heures, et ce n'est que la partie "solo". Ajoutez-y de longue heures à découvrir et expérimenter les zones litigieuses et les opérations jusqu'à les réussir (au moins jusqu'au mode difficile on dira), le jcj qui potentiellement n'a pas de limites, et tout l'espect exploration, succès, collection de véhicules etc... vous aurez de quoi de vous amuser un bon moment.
Conclusion
Globalement, ce jeu est très bon. Le point principal est évidemment l'histoire qui fascinera les fans, dans de superbes environments variés et peuplés de multiples références et accroches au reste de l'univers. Les scénarios distincts des 8 classes du jeu offrent de longues heures d'aventures et les autres activités (jcj, jce...) ne manquent pas d'arguments non plus, même si elles se trouvent un peu en-dessous (surtout par rapport à d'autres jeux du genre, plus spécialisés dans ces aspects). Néanmoins, SWTOR est diversifié et varié, s'adresse à tout le monde et surtout aux fans de Star Wars. Un incontournable.
Ashlack, 2014
The Old Republic | |
---|---|
Plate-forme : PC - Date : 01/09/2014 | |
Points positifs
|
Points négatifs
|
Note :
|
Aucun commentaire disponible pour le moment...
Votre commentaire
Vous devez vous connecter ou vous inscrire pour pouvoir poster un commentaire.
Merci de votre compréhension.
Merci de votre compréhension.
Les commentaires des internautes
-
Je ne vais pas re-décrire le jeu.
Mais c'est un jeu complet.
Que la force soit avec vous. -
-
-
Les archétypes de personnages sont très bien trouvés.
L'effort de doublage est vraiment à noter et très immersif, dommage que l'option vostfr ne soit pas présente.
Les graphismes rendent très mal sur certains environnements.
Du coup le jeu est à mi-chemin entre le MMO et le jeu solo et ne brille dans aucune des catégories.
Pour un MMO il ne donne pas suffisamment de liberté mais pour un jeu solo le gameplay et le farme d'xp et les quêtes annexes donne une lourdeur gênante.
La personnalisation des personnages n'est pas assez poussée.
Une fois le niveau maximum atteint les objectifs sont beaucoup moins intéressants, et ressemblent beaucoup trop à WOW.
Un jeu que j’attendais avec impatience mais au final très décevant ... -
Le graphisme est très beau, et jouer avec la bande originale de Star Wars dans les oreilles est un régal. Et vous pouvez choisir de vous concentrer sur l'histoire principale, ajouter des quêtes supplémentaires, faire du combat spatial ou affronter d'autres joueurs.
Je déplore les moyens restreints de paiement qui sont un frein à l'abonnement, et ne permettent donc pas d'accéder à l'histoire au delà du niveau 50 pour ceux qui ne peuvent pas utiliser les seules options disponibles. -
-
Preuve que tu peux faire une histoire super, si personne joue a ton jeu c'est peine perdu. -