L'opération Starlight débute tandis que les Pathfinders Rebelles entreprennent une mission désespérée au coeur de l'Empire.
- Au Musée Impérial de Coruscant, un ancien droide détient la clé du salut de l'Alliance Rebelle.
- L'équipe d'élite des opérations Rebelles, les Éclaireurs, doivent réussir un braquage osé juste sous le nez de l'Empereur lui-même, avec Lando et Lobot en leur compagnie.
On reprend les rebelles là où on les avait laissés, avec toujours le même problème : leurs codes de communications ont été craqués par l’Empire suite à la bataille de Hoth, il leur en faut des nouveaux s'ils espèrent pouvoir réunir la flotte.
Scénario : où est la passion ?
Comme vous le voyez ci-dessus, l’idée est intéressante : trouver un moyen de communiquer, sans que l’Empire ne puisse le découvrir et réunir la flotte. Dans les faits, ça manque de panache.
Et pourtant ça commence bien, ils décident de voler un vieux droide qui est le seul à posséder un très ancien langage dont ils veulent se servir comme nouveau code. Mais s’ensuivent des aventures pour rallonger cette histoire qui sont tout sauf passionnantes. Soule vient donc nous introduire un droide récalcitrant, un Lobot lobotomisé, un nouvel escadron (alors que les Rogue sont censés être dans le coin) qui ne sert qu’à tomber dans un piège inutile et la fin est couronnée par des scènes de flashbacks sans conclure réellement l’intrigue.
Maintenant que je sais que derrière, le mega crossover Star Wars commence, on comprend très bien : toute cette histoire a été rallongée d’au moins un numéro (avec les flashbacks) pour que toutes les séries s’emboitent parfaitement. C’est d’autant plus évident que le dessinateur de la dernière issue « faite en urgence » est Rosanas qui revient.
Au moins l’histoire avance : ils ont leur code et un nouvel élément qui pourrait mettre des bâtons dans les roues de l’Empire. A voir comment tout ça sera utilisé.
27/50
Dessins : la pâle copie
Heureusement que Rosanas revient à la fin (pour rappel, il avait déjà dessiné le mini arc précédent) car pour le reste Bazaldua, qui a été prise pour assurer une continuité, n’est clairement pas à la hauteur.
Grâce à la colorisation et aux corps des personnages, on aurait pu croire que c’était le même dessinateur, mais ses visages sont tous ratés. Les personnages, sans raison, se retrouvent avec des fronts gigantesques, ce qui leur donne un côté bouffi.
Enfin, ses vaisseaux sont « flous » pour ne pas perdre de temps sur les détails, et ses décors moins chargés que ceux de son camarade.
27/50
- plein de bonnes idées
- une fin prometteuse
- Rien de bien passionnant dans l’exécution
- Bazaldua