Un jeu meneur de horde de Tatooine, Domo Jones, décide d'aider la Rébellion en sabotant une transaction impériale de torpilles à protons. Il reçoit l'aide d'une Twi'lek nommée JillJoo Lab, d'un droïde de protocole et d'un musicien Bith pour parvenir à ses fins.
L’histoire se déroule 11 ans avant la bataille de Yavin.
Un récit agréable, que l’on peut qualifier de déclinaison « moderne » de l’histoire de Luke en tant que jeune fermier coincer sur Tatooine. Le même fermier coincé, les mêmes aspirations à « s’échapper », et le même goût pour l’aventure. On s’attache assez facilement à ces personnages aux problèmes et aux comportements assez proches, que ce soit la jolie fille qui semble inaccessible, le copain faussement cool et pas très courageux, ou le droïde de compagnie un peu dans la lune.
Comme pour le ton, les dessins sont résolument très « jeunes et branchés », à l’image de pas mal de comics lorgnant vers le manga. Sauf que, là où Carlos Meglia (Tales #5) faisait preuve d’un style très personnel, ici on reste dans un trait très commun. La mise en couleur est réussie.