- Titre original The Princess Leia Diaries
- Genre Comic-Book
- Série Tales
- Univers Legends
- Année et période -9 à -1 (Empire)
- Scénariste(s) Jason Hall
- Lettrage Steve Dutro
- Dessins Chris Brunner
- Couleurs Dave Nestelle
- Note du staff SWU
- Note des internautes
La jeune Leia Organa grandit dans la haute société d'Aldérande, et tient un journal intime entre le début de sa pré-adolescence et son accession au poste de Sénatrice.
- Avis du staff
- Avis des internautes
- Résumé
- Editions
- Encyclopédie
- Galerie
-
Hall nous conte la jeunesse de Leia avec brio, tant sur le fond que sur la forme. Tous les sentiments y sont : de la joie à la tristesse, des moments d’insouciance aux périodes plus dramatiques. Il n’a pas non plus négligé le background qui vient d’autant plus renforcer la force de l’histoire. Ainsi le renvoi de Leia à Luke, chacun se cherchant à leur manière, est le moment le plus touchant selon moi. La présence de Winter ou des fameuses tantes sont d’autres références appréciées.
Brunner revient après son histoire de Tales #3. Son style colle bien au style du récit. Il est suffisamment enfantin pour rendre correctement toutes les scènes de la jeunesse de Leia sans avoir à tomber dans la caricature typique des récits pour enfants. -
La jeunesse de la Princesse Leia ainsi que ses quelques rencontres avec l'homme qui finira un jour par détruire sa planète, le Grand Moff Tarkin.
Un Tales qui semble voir pour but de justifier une réplique de Tarkin dans Un nouvel espoir alors qu'il croise la route de la Princesse Leia : « charmante, comme toujours ». Le voilà donc qui va la considérer comme « charmante » alors qu'elle s'en prend aussi ouvertement qu'elle le peut à lui. Je suis tout de même mitigé sur ce choix et ces caractérisations, tant de Leia que de Tarkin : la Princesse passe pour une gamine rebelle à la limite de la « pourrie gâtée » (même si elle a droit à une belle évolution en une poignée de pages), et le Moff pour un revanchard prêt à détruire une planète à cause des enfantillages d'une adolescente...
Aux dessins, Chris Brunner livre des visages, des postures et des expressions le plus souvent exagérés. Le trait manque de finesse, l'ensemble est un peu grossier.
Sitôt lu, sitôt oublié. Dans le même genre, préférez Premières Impressions !
Note : 60 %
