L’Étoile Noire, ou première Étoile de la Mort, est une station spatiale mobile d’un diamètre de 160 km équipée d’un superlaser dévastateur capable de détruire une planète.

Le superlaser

C’est l’arme principale de l’Étoile Noire ; huit faisceaux alimentés par des réacteurs à hypermatière, capables de converger pour créer un rayon dévastateur capable de détruire une planète d’une seule salve. Cette prouesse technique est le résultat des recherches de l’Initiative Tarkin et du scientifique Galen Erso, spécialiste des cristaux Kyber, essentiels pour le fonctionnement de l’arme. Ils permettent en effet de concentrer et de balancer les flux énergétiques des huit lasers secondaires, évitant ainsi un déséquilibre au potentiel dévastateur. Les cristaux en question sont issus du pillage des temples de la Force sur Jedha.
Huit postes de tir, disposant chacun de sa propre équipe d’artilleurs, assurent l’alimentation et le ciblage du superlaser au moyen d’un processus technique des plus complexes.  

La station

Les voyageurs stellaires apercevant l’Étoile Noire découvrent d’abord une immense sphère, semblable à une petite lune. Ce n’est qu’ensuite, en voyant l’immense cratère du superlaser qui occupe une grande partie de l’hémisphère nord, ou la teinte métallique de sa surface, qu’ils comprennent que la structure n’a rien de naturel.
L’architecture de l’Étoile Noire s’inspire néanmoins des planètes habitables parsemant la galaxie. La surface est couverte de bâtiments immenses, divisés en secteurs fonctionnels et qui abritent casernes, postes de tir turbolasers et autres entrepôts. De nombreuses tranchées de plus ou moins grande taille donnent à la station son aspect particulier, mélange de niveaux de gris. La plus importante d’entre elles se situe au niveau de l’équateur ; elle accueille de nombreux hangars accueillant les vaisseaux de petite taille qui accostent – volontairement ou non – sur la station spatiale, ainsi que les moteurs subluminiques à ions qui lui permettent d’ajuster sa position. Au-dessous de cette fine couche habitable lourdement blindée, de nombreuses installations techniques se succèdent jusqu’au cœur de la station :  le réacteur central, qui comprend la centrale énergétique et les systèmes de propulsion.
Car malgré sa taille immense, l’Étoile Noire dispose d’hyperpropulseurs qui lui permettent de se déplacer d’une cible à l’autre. Il lui faut effectivement se placer en orbite de sa cible pour faire usage de son superlaser.
Une faille existe néanmoins dans la structure de la station de combat. Résigné à combattre l’Empire coûte que coûte, le chef scientifique Galen Erso a intégré dans les plans de la station de combat une faiblesse indétectable sur la connexion entre le réacteur et le superlaser, déclenchant au moindre déséquilibre – provoqué par exemple par une torpille à protons – une réaction en chaîne aboutissant à la désintégration de la station. Cette malfaçon volontaire rend cruciaux les conduits d’aération qui parsèment la superstructure de l’Étoile de la Mort.

Les origines de l’Étoile de la Mort remontent à la crise séparatiste. Au cours des mois de tension qui devaient conduire à la Guerre des Clones, le comte Dooku commanda à la ruche géonosienne Stalgasin l’élaboration d’un projet de station spatiale de combat disposant d’un superlaser équipé en cristaux Kyber. La première ébauche des plans était prête au moment de la bataille de Géonosis ; pour éviter que la République ne les découvre, l’archiduc Poggle le Bref les confia à Dooku. Le Seigneur Sith les amena directement sur Coruscant, où il les remit à son maître Dark Sidious. La République devait pourtant avoir vent de l’existence du projet quelques mois plus tard ; capturé par Anakin Skywalker, Poggle révéla l’existence des plans.

Alarmée, la République décide de mettre au point un contre-projet de superarme, originellement destiné à rivaliser avec celle des Séparatistes. Deux hommes sont à la pointe de l’initiative : Wilhuff Tarkin et Orson Krennic. La construction débute alors près de Géonosis ; d’immenses dômes de construction récupèrent dans les anneaux de la planète les matériaux nécessaires à l’édification de la superstructure. Peu après l’instauration de l’Empire Galactique, l’empereur Palpatine et Dark Vador visitent le chantier et constatent son avancée. La construction dut cependant faire face à quelques ralentissements, notamment en l'an -14, lorsqu'un groupe de pirates attaqua une base proche, qui obligea Tarkin à abandonner le chantier le temps de résoudre l'affaire.

Bien que le projet Étoile de la Mort soit un secret lourdement gardé par l’Empire, certains opposants commencent à comprendre que le nouveau régime dictatorial mène d’ambitieux projets d’armement. L’ondéronien Saw Gerrera parvient presque à découvrir la station spatiale, ce qui force l’Empire à la déplacer ; pour faire bonne mesure, l’état-major fait stériliser Géonosis afin d’éliminer tous les témoins potentiels, avant d’abandonner le chantier.

Les dernières mises au point se font au niveau du superlaser. Un temps paralysées par la fuite de Galen Erso et de sa famille, les recherches reprennent lorsqu’Orson Krennic parvient à le capturer et l’oblige à collaborer. Les installations d’Eadu accueillent jusqu’au début de la Guerre Civile Galactique une équipe de scientifiques voués à l’achèvement de l’arme ; celle-ci est finalement opérationnelle dix-neuf ans après la proclamation de l’Empire.

À la même époque, la rumeur de l’existence de l’Étoile de la Mort parvient jusqu’aux oreilles de la Rébellion. La défection d’un pilote impérial du nom de Bodhi Rook sur Jedha inquiétant l’Empire, Tarkin et Krennic décidèrent de mener un essai partiel devant régler ce problème. Le premier tir à basse puissance du superlaser dévasta Jedha City et provoqua un cataclysme ravageant la surface de la lune. Mais le déserteur parvint à y réchapper, et l’Empire décide de nier l’attaque en prétextant un cataclysme naturel. Face à cette semi-réussite, Tarkin évince Krennic du commandement et devient le véritable chef opérationnel de la station.

Suite à cette démonstration de force, la Rébellion est divisée sur la conduite à adopter. Informé de l’existence du sabotage de Galen Erso, un groupe de combattants menés par la fille du scientifique, Jyn, et Cassian Andor, décide finalement de mener un raid contre la Citadelle de Scarif pour s’emparer des plans de l’Étoile Noire. L’opération est finalement soutenue par une partie de la Rébellion, et une bataille spatiale se déclenche au-dessus des installations. Pour parer au danger, le Grand Moff Tarkin décide alors de détruire totalement le complexe de Scarif d’un tir de superlaser. Les Rebelles parviennent néanmoins à récupérer les plans, qui transitent par le Profundity de l’amiral Raddus avant de rejoindre le Tantive IV du capitaine Antilles et de sa passagère, Leia Organa.

Dark Vador et son Devastator sont alors lancés à la poursuite des schémas techniques volés. Suite aux tirs de Jedha et Scarif, quelques ajustements sont réalisés sur la station qui est finalement achevée quelques temps après la capture de la princesse Organa ; Tarkin choisit alors de faire tirer le laser à pleine puissance sur le monde d’origine de la chef rebelle, Alderaan.

La capture d’un cargo YT-1300 se rendant dans le système Alderaan, quelques heures plus tard, provoqua une intense activité dans la station spatiale. Ses passagers dissimulés (le Jedi Obi-Wan Kenobi, les contrebandiers Han Solo et Chewbacca ainsi que le natif de Tatooine Luke Skywalker et ses deux droïdes) parvinrent en effet à libérer la princesse captive et à s’enfuir avec elle. Peu avant leur fuite, l’astromech R2-D2 (dépositaire des plans volés) se connecta au système interne de la station de combat et récupéra de nombreuses informations issues des archives impériales. Les Rebelles emportèrent avec eux un traceur, qui permit aux Impériaux de découvrir l’emplacement des forces de la Rébellion.

Les plans qu’il contenait permirent aux ingénieurs rebelles de la base de Yavin IV de repérer la faille insérée par Galen Erso. Informé, le général Dodonna décida de lancer une attaque sur la station de combat qui approchait alors du système Yavin. Les pilotes survivants de la bataille de Scarif, rassemblés au sein des escadrons Rouge et Or, lancèrent un assaut très risqué au cours duquel périrent Garven Dreis, Jon Vander, Biggs Darklighter ou Jek Porkins. Finalement, ce fut Luke Skywalker qui, aidé par Ben Kenobi et la Force, parvint à lancer une torpille dans une conduite d’aération, provoquant une réaction en chaîne qui anéantit la station et tout son équipage.

L'Etoile Noire était une gigantesque station spatiale de combat utilisée par l'Empire lors de la Guerre Civile Galactique. Capable de détruire des mondes entiers, cette « Super Arme » était devenue l'outil ultime pour démontrer à la Galaxie la toute puissance de l'Empereur Palpatine.
De la taille d'une petite lune, cette station spatiale de forme sphérique avait une puissance de feu et une capacité de défense supérieure à la moitié de la Flotte Impériale réunie.

Les origines du développement de l'Etoile Noire sont contestées parmi la communauté des historiens mais il est admis que sa construction résulte d'une succession de projets et d'ajouts technologiques par une pléthore de scientifiques brillants et de militaires de génie.
On peut ainsi retrouver les prémices de cette Super Arme dans les travaux du brillant ingénieur Raith Siennar, qui imagina un vaisseau expéditionnaire sphérique connu sous le nom de « Planétoïde Expéditionnaire de Combat ». L'idée fut ensuite réutilisée par les ingénieurs Géonosiens sous la direction du Comte Dooku lors du conflit Séparatiste. Le but était de construire une station de combat capable d'annihiler des mondes républicains entiers. Bien que les séparatistes ne purent jamais réaliser leur projet titanesque, les plans concepts de la station furent récupérés par l'Empire à la fin du conflit et c'est le Grand Moff Tarkin, alors gouverneur, qui prit les commandes du projet Etoile Noire.
Tarkin, ami de jeunesse du talentueux Raith Siennar et lui même militaire de génie dut attendre 20 ans pour voir son projet top secret devenir réalité. Au sein de l'Installation de Maw, centre de recherche secret créée par Tarkin non loin de Kessel, Tol Sivron, le directeur du centre, et Bevel Lemelisk, l'ingénieur et concepteur en chef, réussirent avec le génie de la scientifique Qwi Xux ce que des centaines d'ingénieurs et de scientifiques n'avaient pu espérer pendant des années : rendre l'Etoile Noire opérationnelle.

La station de combat, d'un diamètre de 120 kilomètres, abritait le meilleur des technologies de pointe et était surarmée.
Le cœur de l'Etoile Noire abritait un gigantesque réacteur à hypermatière générant une fusion d'une puissance phénoménale.
Ce réacteur était la partie invisible de la raison d'être de l'Etoile Noire, le superlaser.
L'arme la plus puissante de la Galaxie pouvait annihiler en un seul tir un monde tout entier.
Puisant son extraordinaire puissance de l'énergie dégagée par le réacteur, le superlaser se composait d'un énorme puits à concentration où circulait, lors de la mise à feu, l'énergie dégagée par le réacteur central. Pour éviter tout risque d'instabilité dûe à la formidable concentration d'énergie dégagée lors de la mise à feu, ce ne sont pas moins de 8 faisceaux lasers différents qui étaient créées à l'intérieur de 8 chambres à faisceaux distinctes. La partie critique de la mise à feu s'effectuait alors ensuite lorsque ces 8 faisceaux convergeaient ensemble vers le cristal amplificateur situé au milieu du cratère artificiel paraboloïde de la station qui redistribuait alors tout le flux énergétique en un seul faisceau ultra destructeur. L'Etoile Noire pouvait aussi bien s'attaquer à des vaisseaux capitaux qu'à des planètes entières, le flux d'énergie étant réglable en fonction de la cible. 10% de puissance de feu suffisait à détruire un vaisseau capital, 30% de puissance de feu craquelait la croute terrestre d'un planétoïde en profondeur alors que le maximum de puissance de feu annihilait complètement une planète. Après un tir à pleine puissance, l'énergie dégagée était telle que de grandes singularités gravitationnelles apparaissaient au point d'impact. Il fallait ensuite un délai de 24 heures standards pour recharger le superlaser.

L'agencement de l'espace intérieur de l'Etoile Noire avait donc en priorité été construit pour utiliser le réacteur central (la pièce maitresse du superlaser), de manière optimale. En effet, le réacteur ainsi que tout ses sous-systèmes indispensables occupaient la majeure partie de la structure interne de la station. Des millions de kilomètres de câbles électriques, de tuyauterie, de poutres, de gaines d'aération et de ventilation couraient le long de l'ensemble de la structure.
La masse gigantesque de l'Etoile Noire pouvait se déplacer en vitesse subliminique grâce à tout un réseau de milliers de propulseurs à ions géants. La station pouvait également, chose inimaginable, se déplacer dans l'hyperespace grâce à 123 hyperpropulseurs de classe 1 eux aussi reliés en réseau. L'énergie nécessaire à cette propulsion était alimentée par le réacteur central, dont la puissance était tellement colossale qu'elle suffisait à fournir en énergie l'ensemble des systèmes de navigation, de maintenance mais aussi d'attaque et de défense de la station sans discontinuer.
La station était divisée en 2 zones bien distinctes, la première, une fine bande de gigantesques ponts concentriques située juste en dessous de la surface extérieure abritait les quartiers de vie pour l'ensemble des personnels. La seconde zone, plus en profondeur, était en majorité dédiée au réacteur central et au superlaser, mais certaines parties de cette zone abritaient les immenses hangars et cales sèches à vaisseaux et véhicules, les batteries de senseurs et les systèmes de navigation. Ces zones spécialisées étaient pour la plupart concentrées au niveau de la gigantesque tranchée équatoriale. D'un longueur de 376 kilomètres, cette tranchée séparait la station en 2 immenses hémisphères, possédant chacun une plus petite tranchée située à égale distance entre l'équateur et les pôles Nord et Sud.

Pour contrôler ces deux immenses niveaux de manière ordonnée, l'Étoile Noire était divisée alors en 24 districts ou quartiers, 12 par hémisphères, contrôlé chacun par un pont de commandement. Sur cette base, chaque district avait une assignation particulière, afin d'organiser l'immense quantité d'activité qui régnait dans la station de manière la plus optimale possible. C'est ainsi qu'il existait un district dédié au Commandement, un autre dédié aux Forces Armées, un autre pour le Service Technique, un pour la Sécurité, un pour les Services aux personnels, etc...
La station abritait ainsi un nombre impressionnant de personnel, technique, civil et militaire. Comme il était impossible d'obtenir une permission et que le temps passé à bord de l'Étoile Noire se comptait en mois, il existait tout un ensemble d'installations civiles destinées au bien-être des personnels aux heures de permission. Une véritable ville artificielle avec services administratifs, équipements de loisirs, tavernes ou espaces verts avait été aménagée au sein de la zone habitable de la station.

En effet, il fallait bien pouvoir faire décompresser les 265.675 membres d'équipage ainsi que les 52.276 canonniers , sans compter les 607.370 soldats et les 25.984 Stormtroopers stationnés au sein de la station. À cela s'ajoutaient plus de 42.000 personnels techniques non naviguant, et plus de 167.000 personnels naviguant (pilotes, copilotes, navigateurs). C'est donc plus d'un million de personnes qui s'activaient au cœur de la station.
Enfin, la quantité d'équipements militaires de l'Etoile Noire pouvait faire tourner la tête : un total de plus de 10.000 batteries de turbolasers, 5.000 canons lasers et 5.000 canons à ions, et plus de 760 projecteur à rayon tracteur était disposés le long de la surface extérieure de la station. La flotte stationnée au sein des baies à hangars était elle aussi incroyablement importante : plus de 7.200 chasseurs et bombardiers TIE, 4 Croiseurs d'Intervention, 3 600 Navettes d'assaut, plus de 1.400 TS-TT, 1 400 TB-TT et plus de 1 600 Barges de débarquement Y-85 constituaient le gros de la flotte. Autre précision importante, la station disposait d'immenses cales-sèches destinées à la maintenance et la réparation de nombreux Destroyers Stellaires impériaux et autres vaisseaux capitaux de l'Empire.
La station servait aussi d'immense centre pénitencier de haute sécurité et avait eu depuis le début de sa construction, des milliers de prisonniers à l'intérieur de ses geôles.

Le commandement de cette incroyable station était assuré par un triumvirat de généraux, à commencer par le Grand Moff Tarkin lui-même, mais aussi l'Amiral Motti qui prônait la force pure et l'action de sa station et croyait peu aux croyances en la Force pour servir l'Empire. Enfin, le Général Tagge, lui, était plus circonspect et voyait en l'Etoile Noire un formidable outil de dissuasion. Même s'il ne faisait pas partie du commandement, Dark Vador était présent sur la station en tant qu'émissaire personnel de l'Empereur. L'Amiral Motti et lui même eurent tout loisir de s'affronter sur leur conception de la puissance de l'Empire.

L'Alliance Rebelle, grâce à l'action des espions Bothans, avait eu vent depuis des années d'un développement d'une arme top-secrète de l'Empire. Mais les premières preuves tangibles de l'existence d'une telle arme, en l'occurrence une station spatiale de combat de cette importance, n'arrivèrent aux oreilles des rebelles que grâce à l'action du mercenaire Kyle Katarn qui déroba une partie des plans de l'Etoile Noire dans un coffre de la base impériale de Danuta.
Par la suite, une autre partie des plans furent dérobés par Bria Tharen et son équipe commando lors d'une mission suicide sur Toprawa. Transmis à la sénatrice Leia Organa, ces plans furent malheureusement perdus quand Dark Vador, parti à sa poursuite, captura le vaisseau d 'Organa, le Tantive IV.
La princesse, retenue captive dans les cellules pénitentiaires de l'Etoile Noire, assista impuissante à la toute première démonstration publique de la puissance de la station.
Son propre monde, Alderaan, ainsi que tout ses habitants furent pulvérisés en une fraction de seconde.
Dans le même temps, confiés aux droïdes R2-D2 et C-3PO, les plans se retrouvèrent sur Tatooine entre les mains de Luke Skywalker qui, avec l'aide d'Obi-Wan Kenobi, Han Solo et Chewbacca, partit en direction d'Alderaan afin de transmettre les informations capitale à Bail Organa. Arrivés dans le secteur à l'agonie, ils furent attirés par l'énorme champ gravitationnel de la station. En réussissant à libérer Leia Organa et à s'enfuir de la station, ils purent remettre aux généraux rebelles sur Yavin IV les plans qu'ils avaient toujours en leur possession.
Les ingénieurs rebelles regroupèrent les plans incomplet fournis par Keyan Farlander, Kyle Katarn et Bria Tharen, et découvrirent alors une incroyable faiblesse dans la conception de l'Etoile Noire : un conduit d'aération situé dans la petite tranché de l'hémisphère Nord, menait directement au coeur du réacteur central. Des torpilles bien placées pouvaient ainsi détruire la gigantesque station réputée indestructible.
Lors de ce qu'on appela plus tard « La bataille de Yavin », les rebelles en ne lançant que des chasseurs et aucun vaisseau capital, utilisèrent la trop grande confiance de Tarkin et des impériaux en leur station surarmée. C'est pour cela que la majeure partie de la chasse impériale ne fut lancée que très tard, lorsque les rebelles atteignirent la tranchée Nord.
C'est donc Luke Skywalker, qui, au plus fort de la bataille, réussit avec l'aide d'Obi-Wan Kenobi et de Han Solo à détruire pour toujours la fantastique arme de guerre de l'Empereur, emportant dans sa destruction plus d'un million de personnes ainsi que son géniteur, le Grand Moff Tarkin.