La survie de Shu-torun

- Titre original Shu-torun Lives
- Genre Comic-Book
- Série Star Wars (2015) (Vol. 11.5)
- Univers Officiel
- Année et période +1 (Empire)
- Scénariste(s) Kieron Gillen
- Dessins Giuseppe Camuncoli
- Note du staff SWU
- Note des internautes
Synopsis :
Alors que la Rébellion gagne en efficacité, Dark Vador a une idée pour les briser, mais il aura besoin de l'aide précieuse d'une ancienne connaissance.
- Avis du staff
- Avis des internautes
- Résumé
- Editions
- Encyclopédie
- Galerie
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A numéro anniversaire, pagination exceptionnelle : pour son cinquantième numéro, le titre Star Wars voit sa pagination être doublée, ce qui permet d'inclure un récit bonus de 10 pages permettant d'expliquer le pourquoi du comment des récents actes de Trios. J'apprécie beaucoup le personnage de Trios, d'ailleurs, je trouve qu'elle est intéressante, que c'est une version alternative de Leia plutôt bien fichue, et dans la précédente série Dark Vador (déjà scénarisée par Kieron Gillen, comme c'est bizarre...), sa présence aux côtés du Seigneur Noir était plutôt bien justifiée. Du coup, on peut se demander si ce récit bonus, aussi agréable soit-il, était forcément indispensable... d'autant plus que je ne doute pas que, tôt ou tard, nous aurons droit à une nouvelle scène entre Leia et la Reine.
Reste que ce court récit est dynamique, que la première partie sur Mustafar est extrêmement réussie (et Gillen d'enchaîner les références à Rogue One, après Jedha et un arc faisant suite aux conséquences de la bataille de Scarif) et que la deuxième sur Shu-Torun est plutôt bien fichue (je ne m'attendais pas à la dernière page, par exemple).
Aux dessins, on retrouve Giuseppe Camuncoli, le dessinateur de la nouvelle série Dark Vador (ouch, il faut suivre !). Comme d'habitude, je suis totalement convaincu par ce dessinateur, sur l'ensemble des pages, par l'ensemble des éléments (que ce soient les reflets rougeoyants sur l'armure de Vador sur Mustafar, les expressions faciales d'Ozzel, Veers et surtout de Trios, ou encore le regard qu'elle a dans la dernière case).
Un récit indispensable ? Sans doute pas, non. Mais il n'en est pas moins très réussi pour autant !
Note : 80%