
- Titre original Sweetheart Contract - Marvel Star Wars #83
- Genre Comic-Book
- Série Classic Star Wars - Marvel US (Vol. 38)
- Univers Legends
- Scénariste(s) Linda Grant
- Dessins Bob McLeod
- Encrage Bob McLeod
- Couleurs Glynis Wein
- Couverture Bob McLeod
- Note du staff SWU
- Note des internautes
Alors qu’il rend visite à une ancienne connaissance, la Reine Sarna, Lando tombe au beau milieu d’un attentat visant la soeur de la Reine, la Princesse Danu. Soucieux de venir en aide à ses amies, Lando commence à enquêter sur les révolutionnaires qui menacent la Reine. Rapidement, les péripéties se multiplient tandis que Lando, pris dans une machination, découvre que les anciens amis réservent bien des surprises.
- Avis du staff
- Avis des internautes
- Résumé
- Editions
- Encyclopédie
- Galerie
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Titre original Français : "Marché d’amour"
Linda Grant débarque pour un seul numéro et casse immédiatement la baraque. Lando renoue contact avec de vieilles connaissances, tombe au milieu d’une tentative de révolution et va être obligé de s’en mêler. En soit rien de bien original, mais Grant exploite la solution au mieux et nous offre un numéro qui est un modèle du genre. Les différentes scènes d’actions épousent parfaitement le thriller qui sert de toile de fond. Lando mène l’enquête pour essayer de mettre à jour les manigances dans les cercles du pouvoir et on se retrouve face à une bonne vieille machination à tiroir qui assure le suspense de bout en bout. Ajoutez à cela des personnages dont la vie est en danger dès la première page, une grosse touche de glamour, la pointe d’humour de Calrissian, et tous les ingrédients sont réunis.
Bob McLeod devient le dessinateur régulier pour quelques numéros. Il débute en s’encrant lui-même, ce qui permet au lecteur d’apprécier au maximum le changement de style. Son style est moins nerveux que celui de Frenz, plus moelleux pourrait-on dire. Cependant, il est tout aussi habile dans la représentation des scènes d’actions. D’autre part, ses personnages sont plus individualisés et expressifs. La colorisation de Wein joue sur une gamme de couleurs très chatoyantes, ce qui semble toujours un peu excessif mais reste finalement très soigné. Pour conclure, dommage que la couverture soit un peu fade. L’idée est bonne mais la mise en scène un peu statique.
On est en pleine période de stand alone dans la série, ce qui n’empêche en rien de produire des numéros de qualité. De même, on a souvent stigmatisé les numéros se passant dans des environnements clos sans répercussions à l’échelle de la galaxie. Ici, c’est tout à fait le cas, et pourtant c’est un des numéros les plus plaisants à lire de la série. A la limite manque-t-il une touche de science-fiction plus prononcée. -