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The Art of Star Wars Episode II - Attack of the Clones

- Genre Art of... Making of...
- Série The Art of
- Auteur(s) Mark Cotta Vaz
- Note du staff SWU
- Note des internautes
Synopsis : Depuis plus de 25 ans, le visuel des films Star Wars a su captiver un vaste public. Des mondes luxuriants aux paysages complexes en passant par de sublimes costumes et des créatures étonnantes, les artistes et designers de Star Wars ont été les pionniers de la révolution technologique, sans jamais abandonner l'éblouissante sensation de l'émerveillement.
Remplie avec de stupéfiants exemples de magnifiques artworks inédits, The art of Star Wars Episode II Attack of the Clones nous emmène à travers une incroyable galerie d'images époustouflantes.
Remplie avec de stupéfiants exemples de magnifiques artworks inédits, The art of Star Wars Episode II Attack of the Clones nous emmène à travers une incroyable galerie d'images époustouflantes.
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Cette profusion permet de voir le rôle que jouent ces dessins sur le long métrage. On découvre à travers leur présentation les relations de travail et de réflexion qui unissent George Lucas et ses artistes. Un échange qui va dans les deux sens, Lucas suggérant autant des idées en amont d’un concept que des demandes précises face aux dessins qu’on lui présente.
Très riche en anecdotes et détails, ce livre peut se lire linéairement ou au gré du hasard, et c’est avec plaisir que l’on découvre les annotations des artistes et de l’auteur. Il s’agit certes d’un livre qui met l’accent sur les images, mais elles sont présentées afin de nous permettre de voir l’évolution des concepts : ainsi, on découvre par exemple qu’au départ, le Sith du film n’était pas réellement défini et devait être très proche d’un Dark Maul ; Le concept a évolué jusqu’à Dooku en passant notamment par celui d’une femme sombre et chauve maniant deux sabres courbes. Design qui donnera naissance à la célèbre Assaj Ventress pour Clone Wars…
L’intérêt réside ainsi dans l’accès à de nombreux concepts inédits, et montre l’ampleur du travail des artistes, dont beaucoup de leurs productions servent de références directes à ILM pour l’intégration des effets numériques.
Le nombre de dessins laissés à l’abandon par rapport à ce que l’on voit dans le film paraît alors impressionnant, et l’on comprend à quel point il est nécessaire de faire beaucoup d’essais pour arriver à ce qu’on voit dans les longs-métrages. Ultime point positif, le script intégral est retranscrit dans les dernières pages, avec les artworks correspondant pour certaines scènes.
Conclusion
Un livre qui porte bien son nom d’art of, tous les dessins qui y sont présentés étant autant d’œuvres d’arts.
xximus