Mais n'oubliez pas la contrainte que vous impose Dark Stannis : « Au-dedans / En-dehors »
Vous avez jusqu'au dimanche 02/08 inclus pour poster votre plus beau texte de 150 mots (avec une tolérance de 25 mots en-dessous ou au-dessus de ce seuil), sous balise spoiler.
A vos claviers !

Edit : Les challengers !
Jenos Idanian
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Un petit garçon, quelque part sur une petite planète perdue aux confins d'une galaxie bien lointaine, est étendu sur le dos, les bras croisés derrière sa tête, en train d'observer le ciel nocturne. Serein, calme, les yeux mis-clos, pris à la fois par sa douce rêverie éveillée devant tant de merveilles scintillantes ainsi que par sa propre contemplation intérieure, tour d'ivoire introspective au-delà de l'espace et du temps.
Le garçon se dit alors qu'il est presque aussi petit que le ciel est grand. La voûte céleste, qui surplombe nos têtes et nous fascine depuis des temps immémoriaux, compte des milliards et des milliards d'étoiles, nébuleuses, et galaxies. Mais dans le cœur des gens, songea-t-il, les astres ne sont pas tous égaux. De par leur nature-même, leur beauté, leur éclat, certains, pourtant, particulièrement remarquables, y occupent néanmoins une certaine place.
« Un jour, je m'en irai loin d'ici, au travers des étoiles, et je serai le premier à toutes les visiter... »
(174)
Le garçon se dit alors qu'il est presque aussi petit que le ciel est grand. La voûte céleste, qui surplombe nos têtes et nous fascine depuis des temps immémoriaux, compte des milliards et des milliards d'étoiles, nébuleuses, et galaxies. Mais dans le cœur des gens, songea-t-il, les astres ne sont pas tous égaux. De par leur nature-même, leur beauté, leur éclat, certains, pourtant, particulièrement remarquables, y occupent néanmoins une certaine place.
« Un jour, je m'en irai loin d'ici, au travers des étoiles, et je serai le premier à toutes les visiter... »
(174)
Loïc Solaris
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La Tour de la Citadelle
Au-dedans, le trio de rebelle progressait rapidement et furtivement. Au-dehors, les combats faisaient rage pour faire diversion.
L'empire avait été pris par surprise, mais c'était bientôt au tour de la rébellion de se faire attraper.
Par la mort.
Les impériaux se relevaient et tour à tour, les rebelles tombaient..
Seuls les héros restèrent encore debout afin de terminer la mission suicide.
En bas de la tour, Chirrut savait qu'ils gagneraient la bataille, malgré son sacrifice.
Bodhi se laissa partir, acceptant la mort à son tour.
L'âme de Baze n'était plus que paix lorsqu'il se laissa souffler par une détonation.
Au-dedans, K2SO tombait lourdement, tandis que son programme bouclait sur un au-revoir.
En haut, Orson se demandait encore comment la situation avait pu lui échapper à ce point quand il pointa enfin son arme sur la dernière rebelle encore debout.
Plus haut encore, au delà des cieux, une base sidérale se préparait à faire feu.
(170)
Au-dedans, le trio de rebelle progressait rapidement et furtivement. Au-dehors, les combats faisaient rage pour faire diversion.
L'empire avait été pris par surprise, mais c'était bientôt au tour de la rébellion de se faire attraper.
Par la mort.
Les impériaux se relevaient et tour à tour, les rebelles tombaient..
Seuls les héros restèrent encore debout afin de terminer la mission suicide.
En bas de la tour, Chirrut savait qu'ils gagneraient la bataille, malgré son sacrifice.
Bodhi se laissa partir, acceptant la mort à son tour.
L'âme de Baze n'était plus que paix lorsqu'il se laissa souffler par une détonation.
Au-dedans, K2SO tombait lourdement, tandis que son programme bouclait sur un au-revoir.
En haut, Orson se demandait encore comment la situation avait pu lui échapper à ce point quand il pointa enfin son arme sur la dernière rebelle encore debout.
Plus haut encore, au delà des cieux, une base sidérale se préparait à faire feu.
(170)
Posman
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Mustafar. Le Seigneur Vador contemplait les rivières de lave qui morcelaient les montagnes défoncées de la surface de la planète, derrière la vitre du dernier étage de son château.
Il était entouré de divers holocrons, d'une collection de sabres, et d'autres objets. Tous rangés au millimètre près.
Mais sa vision s'attardait au dehors. Sur une rivière noueuse. Noueuse comme tout ce que cette planète lui rappelait comme souvenir.
La perte de Padmé à cause de sa propre colère, son combat contre Obi-Wan et l'avantage tactique de ce dernier qui lui valu sa défaite, le massacre des dirigeants Séparatistes...
Dans sa tour, il était seul. Comme lors de son premier voyage ici. A présent, la solitude était tout ce qui lui restait.
Sa concentration fut soudain interrompue par un signal sonore. L'empereur avait une nouvelle mission à lui donner. Il repris ses esprits et alluma l’émetteur holographique.
(154)
Il était entouré de divers holocrons, d'une collection de sabres, et d'autres objets. Tous rangés au millimètre près.
Mais sa vision s'attardait au dehors. Sur une rivière noueuse. Noueuse comme tout ce que cette planète lui rappelait comme souvenir.
La perte de Padmé à cause de sa propre colère, son combat contre Obi-Wan et l'avantage tactique de ce dernier qui lui valu sa défaite, le massacre des dirigeants Séparatistes...
Dans sa tour, il était seul. Comme lors de son premier voyage ici. A présent, la solitude était tout ce qui lui restait.
Sa concentration fut soudain interrompue par un signal sonore. L'empereur avait une nouvelle mission à lui donner. Il repris ses esprits et alluma l’émetteur holographique.
(154)
Shamb Hall'o
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L’homme en noir fuyait à travers le désert, et le Jedi le poursuivait.
Desro Vegi courrait aussi rapidement qu’il pouvait, sautant par-dessus les puits de sable sans fond, contournant les rochers abrupts, les pieds souffrant d’une longue course de plusieurs heures. Il sentait la distance à sa cible se réduire, mais allait-il être en mesure de la rattraper avant que le seigneur Sith atteigne sa tour sombre ?
Le soleil couchant continuait d’embraser un paysage monotone, brûlant la moindre végétation. Les conditions extérieures contrastaient avec le calme intérieur du Jedi, qui ne laissait paraître aucun signe de lassitude. Il pouvait mettre fin à des années de purge.
La tour de terreur se dressait de plus en plus haut qu’il s’avançait vers elle, illusion accrue par l’ombre dessinée par le soleil touchant l’horizon.
Enfin, une silhouette imperceptible, drapée d’une cape noire. Le Jedi usa de la Force pour accélérer une dernière fois, et prit de sa main droite amputée de 2 doigts le sabre qu’il abattrait, sans nul doute, sur Dark Crimson.
(170)
Desro Vegi courrait aussi rapidement qu’il pouvait, sautant par-dessus les puits de sable sans fond, contournant les rochers abrupts, les pieds souffrant d’une longue course de plusieurs heures. Il sentait la distance à sa cible se réduire, mais allait-il être en mesure de la rattraper avant que le seigneur Sith atteigne sa tour sombre ?
Le soleil couchant continuait d’embraser un paysage monotone, brûlant la moindre végétation. Les conditions extérieures contrastaient avec le calme intérieur du Jedi, qui ne laissait paraître aucun signe de lassitude. Il pouvait mettre fin à des années de purge.
La tour de terreur se dressait de plus en plus haut qu’il s’avançait vers elle, illusion accrue par l’ombre dessinée par le soleil touchant l’horizon.
Enfin, une silhouette imperceptible, drapée d’une cape noire. Le Jedi usa de la Force pour accélérer une dernière fois, et prit de sa main droite amputée de 2 doigts le sabre qu’il abattrait, sans nul doute, sur Dark Crimson.
(170)
Dark Stannis
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« Une erreur dans le Temple, il y a eu. Bien au-dessus du monde, résidence, le conseil tenait. Éloignée du vacarme et de l’agitation, plus profonde la méditation est. »
« Mais quelque chose, dans notre isolement, échappé nous a. Avancé dans les ombres du Temple, le Sith revenus sont. Coupés de la vie que nous étions, par nos murs et notre aveuglement, aux frémissements ignorants nous avons été, alors que de l’affaiblissement de nos perceptions, conscients sont étions. Quand de notre tour enfin sortis nous sommes, dans le piège tendu chuté nous avons »
« La même erreur, tu ne dois pas refaire. L’île solitaire, de la plaine ne reçoit pas de la pluie les échos, et l’arrivée de l’orage, ignore. Une place pour les Jedi, il y a encore, mais la Force, en tous et partout s’exprime. Partout être il faut donc, pour son mystère percevoir. Tous écouter, pour son message comprendre. »
« Pour les Jedi, plus de centre il n’y a »
(166)
« Mais quelque chose, dans notre isolement, échappé nous a. Avancé dans les ombres du Temple, le Sith revenus sont. Coupés de la vie que nous étions, par nos murs et notre aveuglement, aux frémissements ignorants nous avons été, alors que de l’affaiblissement de nos perceptions, conscients sont étions. Quand de notre tour enfin sortis nous sommes, dans le piège tendu chuté nous avons »
« La même erreur, tu ne dois pas refaire. L’île solitaire, de la plaine ne reçoit pas de la pluie les échos, et l’arrivée de l’orage, ignore. Une place pour les Jedi, il y a encore, mais la Force, en tous et partout s’exprime. Partout être il faut donc, pour son mystère percevoir. Tous écouter, pour son message comprendre. »
« Pour les Jedi, plus de centre il n’y a »
(166)
Angedabe
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La Chute de l'édifice.
(175)
La neige s’insinuait de plus en plus, soutenue par une tempête infernale. Les secousses n’arrangeaient rien à cet enfer.
La lame rouge flamboyante faillit le toucher à travers cette ouverture servant de fenêtre. Mais le choc avec un énième pic de glace fit repartir le projectile dans l’autre sens. Le grognement s’éloignant lui indiqua la chute d’un de ses assaillants.
Mais les autres tenaient toujours.
Dans cette tour vétuste tombée de haut et chutant dans un vide sans fin, le jeune Tarca démarra un sprint en plein déséquilibre contre une paroi changeant continuellement de sens.
Dégainant son sabre laser bleu, il s’aida d’une corde virevoltant là pour se projeter à l’extérieur par une lucarne. Sans crier gare, il découpa ce noghri bien trop maladroit.
Lorsque sa lame rouge se coupa, une autre tenta de décapiter le Padawan. Le pau’an, cramponné à un rebord encaissa alors une poussée de Force qui le fit passer à l’intérieur de ce tube continuant sa descente.
Épuisé, face à la mort, Tarca bondit à l’intérieur et acheva le dernier ennemi.
La lame rouge flamboyante faillit le toucher à travers cette ouverture servant de fenêtre. Mais le choc avec un énième pic de glace fit repartir le projectile dans l’autre sens. Le grognement s’éloignant lui indiqua la chute d’un de ses assaillants.
Mais les autres tenaient toujours.
Dans cette tour vétuste tombée de haut et chutant dans un vide sans fin, le jeune Tarca démarra un sprint en plein déséquilibre contre une paroi changeant continuellement de sens.
Dégainant son sabre laser bleu, il s’aida d’une corde virevoltant là pour se projeter à l’extérieur par une lucarne. Sans crier gare, il découpa ce noghri bien trop maladroit.
Lorsque sa lame rouge se coupa, une autre tenta de décapiter le Padawan. Le pau’an, cramponné à un rebord encaissa alors une poussée de Force qui le fit passer à l’intérieur de ce tube continuant sa descente.
Épuisé, face à la mort, Tarca bondit à l’intérieur et acheva le dernier ennemi.
(175)
L2-D2
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Les guerriers Yuuzhan Vong avaient lancé leur assaut des heures plus tôt, progressant sans que les forces militaires locales ne puissent les ralentir. Les civils s'étaient regroupés dans un ancien fortin blotti contre une montagne, une aubaine pour les envahisseurs qui allaient pouvoir tous les cueillir en même temps.
Et pourtant, voilà qu'ils buttaient face à l'avant-poste de la citadelle. Une simple tour de pierre en apparence, défendue par un seul homme, mais pas n'importe lequel : un chevalier jee'daï. Pas moyen de la contourner... et aucun des guerriers qui avait franchi son seuil n'était ressorti.
Que se passait-il à l'intérieur ? Lorsque l'averse se calmait, lorsque le tonnerre se taisait, certains des guerriers en première ligne entendaient les cris de leurs congénères, d'autres apercevaient fugacement des rais de lumière verte...
Cela aurait dû être une victoire facile. Mais désormais, tous se répétaient les mots de l'homme qui les avait accueillis sur le seuil avant de se replier à l'intérieur...
Vous ne passerez pas !
(175)
Et pourtant, voilà qu'ils buttaient face à l'avant-poste de la citadelle. Une simple tour de pierre en apparence, défendue par un seul homme, mais pas n'importe lequel : un chevalier jee'daï. Pas moyen de la contourner... et aucun des guerriers qui avait franchi son seuil n'était ressorti.
Que se passait-il à l'intérieur ? Lorsque l'averse se calmait, lorsque le tonnerre se taisait, certains des guerriers en première ligne entendaient les cris de leurs congénères, d'autres apercevaient fugacement des rais de lumière verte...
Cela aurait dû être une victoire facile. Mais désormais, tous se répétaient les mots de l'homme qui les avait accueillis sur le seuil avant de se replier à l'intérieur...
Vous ne passerez pas !
(175)
Mandoad
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La Tour
Dedans, dehors, dehors, au-dedans, en-dehors, dehors encore. Un flux continu. Des allées et des venues. Cela ne s’arrête jamais. Il y a toujours une nouvelle personne pour apparaître dans cette suite infinie de mouvements. Cela dure depuis maintenant des heures. Cela fait des heures qu’ils sont en contrebas sans avoir la moindre idée des regards qui peuvent être braqués sur eux. Dedans, dehors, dehors. Le flux se réduit. C’est la fin de la journée. Il aura suffi d’une poussée de jet-pack et de se placer sur ce bâtiment dominant stratégiquement le quartier. Dehors, dehors et une énième sortie. La lumière décroît. Le soleil sera bientôt couché. Au-dehors, encore. Plus personne ne rentre. Une toge écarlate, le doigt sur la détente du EE-3, une simple pression. Il s’effondre. Personne ne regarde le sommet de la tour. Tous cherchent à s’éloigner de lui. Il est en-dehors et au-dedans il n’ira plus jamais.
(150)
Dedans, dehors, dehors, au-dedans, en-dehors, dehors encore. Un flux continu. Des allées et des venues. Cela ne s’arrête jamais. Il y a toujours une nouvelle personne pour apparaître dans cette suite infinie de mouvements. Cela dure depuis maintenant des heures. Cela fait des heures qu’ils sont en contrebas sans avoir la moindre idée des regards qui peuvent être braqués sur eux. Dedans, dehors, dehors. Le flux se réduit. C’est la fin de la journée. Il aura suffi d’une poussée de jet-pack et de se placer sur ce bâtiment dominant stratégiquement le quartier. Dehors, dehors et une énième sortie. La lumière décroît. Le soleil sera bientôt couché. Au-dehors, encore. Plus personne ne rentre. Une toge écarlate, le doigt sur la détente du EE-3, une simple pression. Il s’effondre. Personne ne regarde le sommet de la tour. Tous cherchent à s’éloigner de lui. Il est en-dehors et au-dedans il n’ira plus jamais.
(150)
Ve'ssshhh
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C’était une tour massive, trapue, surmontée d’une large coupole blindée.
De loin, on eut pu penser à un champignon posé au milieu de l’astroport.
Un champignon mortel, se dit le colonel Torre, satisfait du travail de ses artilleurs : dehors, véhicules calcinés, corps fumants jonchaient les pistes ; dedans régnaient l’ordre et la discipline impériales. Et des renforts arrivaient :
- Navettes en approche. Ils demandent l’ouverture du bouclier !
- Les stormtroopers, enfin ! À notre tour d’attaquer !
Dehors, le sous-commandant Turm contemplait l’objet de tous ses tourments :
- Nous avons tout essayé, même les égouts, et je vous le dis sans détour : ce truc est imprenable !
Les rebelles de Ko-ro-ba étaient nombreux, déterminés, mais très mal équipés.
Ils avaient reçu de l’aide : Wieza, sergent des specforces sourit en montrant les navettes :
- Avez-vous vraiment fait le tour de la question ? Voyez-vous, pour rentrer quelque part, le mieux c’est que le taulier vous ouvre la porte.
Comprenant soudain, Turm sourit à son tour.
(171)
De loin, on eut pu penser à un champignon posé au milieu de l’astroport.
Un champignon mortel, se dit le colonel Torre, satisfait du travail de ses artilleurs : dehors, véhicules calcinés, corps fumants jonchaient les pistes ; dedans régnaient l’ordre et la discipline impériales. Et des renforts arrivaient :
- Navettes en approche. Ils demandent l’ouverture du bouclier !
- Les stormtroopers, enfin ! À notre tour d’attaquer !
Dehors, le sous-commandant Turm contemplait l’objet de tous ses tourments :
- Nous avons tout essayé, même les égouts, et je vous le dis sans détour : ce truc est imprenable !
Les rebelles de Ko-ro-ba étaient nombreux, déterminés, mais très mal équipés.
Ils avaient reçu de l’aide : Wieza, sergent des specforces sourit en montrant les navettes :
- Avez-vous vraiment fait le tour de la question ? Voyez-vous, pour rentrer quelque part, le mieux c’est que le taulier vous ouvre la porte.
Comprenant soudain, Turm sourit à son tour.
(171)
Alionouchka
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Il y a d'abord tout ce en quoi elle croit : l'Empire, la violence et sa puissance, la nécessité de la mort de Skywalker. Ce sont des fondations qu'elle pensait inébranlables. Elle ne sait plus trop à présent.
Il y a ensuite sa vie d'après, autant de mauvais souvenirs qui confèrent à l'édifice un aspect branlant et ridicule.
Puis il y a Karrde, et l'étrange loyauté qu'elle ressent vis-à-vis de lui donne à cet étage l'apparence d'une tour de verre réfléchissant la lumière de soleils lointains.
Enfin, au dernier étage, il y a Skywalker. Elle déteste qu'il soit si haut mais parfois, peut-être à cause de son nom, elle a l'impression qu'il pourrait lui faire toucher les étoiles.
A l'extérieur, Mara est pétrie de certitudes. A l'intérieur, elle se dit que cette construction de son esprit pourrait s'effondrer brusquement, de façon imminente. Si elle est totalement sincère avec elle-même, c'est même tout ce qu'elle désire.
(175)
Il y a ensuite sa vie d'après, autant de mauvais souvenirs qui confèrent à l'édifice un aspect branlant et ridicule.
Puis il y a Karrde, et l'étrange loyauté qu'elle ressent vis-à-vis de lui donne à cet étage l'apparence d'une tour de verre réfléchissant la lumière de soleils lointains.
Enfin, au dernier étage, il y a Skywalker. Elle déteste qu'il soit si haut mais parfois, peut-être à cause de son nom, elle a l'impression qu'il pourrait lui faire toucher les étoiles.
A l'extérieur, Mara est pétrie de certitudes. A l'intérieur, elle se dit que cette construction de son esprit pourrait s'effondrer brusquement, de façon imminente. Si elle est totalement sincère avec elle-même, c'est même tout ce qu'elle désire.
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