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Vaisseau pompier
 
La lutte contre le feu évolue.
31/05/2019

Chères lectrices, chers lecteurs,

Voici un nouvel article inspiré par l'actualité récente : le vaisseau pompier !

Le croiseur Main Invisible de Grievous © Lucasfilm

Le croiseur Main Invisible de Grievous © Lucasfilm

Un vaisseau de la taille d’un immeuble, en proie aux flammes suite à une rentrée atmosphérique mouvementée. Pour éviter que la situation ne se dégrade avant l’atterrissage, il est aussitôt pris en charge par une escadrille de pompiers du ciel pour calmer les flammes.

Ça, c’est dans Star Wars.

Ce genre de scène est-elle réaliste dans notre monde ?
Que ce soit un avion ou un gratte-ciel, cela paraît impossible. Et en effet, les pompiers sont bien en peine s’il faut éteindre le feu d’un réacteur en plein vol comme celui du Concorde, ou bien s’il faut aller arroser le Word Trade Center à près de 400 mètres de hauteur…
Et qu’en est-il vraiment lorsqu’il s’agit d’une cathédrale ou d’un autre bâtiment d'une taille similaire ?
Sommes-nous condamnés à regarder brûler en se contentant de limiter la casse ? Ou bien sommes-nous passés à côté de quelque chose ?

 

Un Canadair à tout faire ?

Cette mentalité du réflexe Canadair est liée à un traumatisme réel, mais n’est pas forcément pertinente. Pour prendre un exemple extrême, lors d’incendies en Californie, un Boeing 747 transformé en « SuperTanker » pouvait larguer 50 000 litres d'eau. On en trouve parfois d’autres capables de transporter jusqu’à 120 000 litres ! Ce sont bien souvent des avions de ligne à la retraite qui finissent leurs jours au service de la Sécurité Civile. Pour augmenter la précision de tels mastodontes, il faut les guider visuellement. C'est le travail de petits bimoteurs (Lead Planes) ou bien d'hélicoptères qui passent devant et servent de repère visuel. D’ailleurs il n’est pas toujours question de larguer de l’eau. Le liquide retardataire peut être un agent moussant (les flammes sont isolées de l’oxygène qui est lui-même prisonnier des bulles). Quant au retardataire rouge, c’est un mélange de polyphosphate d'aluminium et d’oxyde de fer (d'où la couleur).

  • RJ-85 Tanker © Country Fire Authority
  • Le résultat du retardataire sur l'un des sommets du Gibraltar © Cal Fire
  • Le Tracker, un canadair en pleine action © escadrilles.org

    Le Tracker, un canadair en pleine action © escadrilles.org
  • Schéma du développement de l'incendie sur la Cathédrale Notre Dame de Paris le 15 avril 2019
  • Le Canadair Pelican 34 en plein largage (un retardataire d'incendie) © Sécurité Civile
  • Exemple d'avion guide lors d'une entraînement © Tanker 10

En France, utiliser un Canadair en zone urbaine, c’est d’abord ne pas respecter des mesures de sécurité. Le Canadair est réservé aux zones non peuplées. Rappelons également qu'un Canadair n'est pas conçu pour intervenir sur des feux de structures. Dans l'exemple de Notre Dame, les projections de pierres engendrées par le largage de l’eau auraient pu faire des dégâts considérables. De plus, il aurait fallu faire évacuer les 400 pompiers de toute la zone et donc arrêter l’arrosage des lances à incendies classiques.
Ajoutons à cela que les Canadairs embarquent environ 3000 litres par réservoir. En larguant 2 réservoirs de 3 tonnes d’eau à 250 km/h sur la structure, les dégâts auraient été catastrophiques. C’est en effet tout le principe du Canadair : chasser les flammes par la combinaison d’un effet mécanique et d'un effet d’arrosage. Dans la garrigue ou au cœur de la forêt, des dégâts existent, bien sûr, mais n’ont absolument rien à voir avec une zone urbaine. De plus, pour que l’effet de souffle soit maximal, il faut voler à des altitudes particulières, ce qui serait trop dangereux en agglomération.
Pour résumer la situation, un Canadair, comme tout autre appareil, a une hauteur et une vitesse de largage qui sont optimales. Plusieurs paramètres rentrent en compte, notamment la trace qu'il va laisser au sol et la sécurité. Ces paramètres peuvent varier d'un jour à l'autre (voire d'heure en heure) en fonction des conditions météorologiques.
Une question récurrente demeure et s'est répandue sur Internet et les réseaux sociaux sans avoir de réponse : Pourquoi les Canadairs ne sont pas intervenus avec une hauteur plus importante pour bénéficier de l'effet de dispersion ?
Cet effet de dispersion lié à un largage avec une altitude plus importante existe bel et bien, mais il faut tenir compte du contexte.
Tout d'abord augmenter l'altitude fait perdre l'impact mécanique de l'eau : même si c'est ce qui est recherché dans ce cas, perdre cet impact, c'est perdre l'un des deux effets extincteurs. Ensuite, il faut une altitude importante pour que l'eau profite de cette dispersion. Cela augmente les risques de déplacer la masse d'eau par le vent. Une tâche quasi impossible à anticiper. Enfin, si la pluie ainsi créée finit par atteindre la cible, elle va arriver sur un brasier. La température de l'incendie avoisinait les 800 °C. L'eau se transforme en vapeur à 100°C. L'eau aurait été vaporisée avant même de toucher les flammes... aucun intérêt.

 

Les hélicoptères bombardiers

Le problème de ces hélicoptères, c’est qu’ils ont le même principe que les Canadairs. C’est de faire un largage de 1500 litres d’eau, soit 1 tonne et demie… Même à cette échelle, le bâtiment aurait subi de graves dommages.

  • Quelques hélicoptères bombardiers
  • Hélicoptère bombardier larguant un retardataire © Erickson Aircrane
  • Hélicoptère bombardier puisant son eau dans la piscine d'une bas américaine à Naples © Stephen Woolverton/ US Navy

Au sujet de la cathédrale : "C'est la nef qui s'effondrerait, il n'y aurait plus d'arcboutants" affirme le lieutenant-colonel Michaël Bernier, gradé des sapeurs-pompiers, porte-parole de la Sécurité civile.

 

Les hélicoptères agricoles

Ces hélicoptères si décriés, au même titre que les traitements phytosanitaires par avions, pourraient trouver une autre utilisation lors d'incendies.Hélicoptère de type agricole © Simplex Aerospace

Il sont parfois détournés pour remplacer les produits phytosanitaires par de l'eau, ce type d'hélicoptères peut intervenir pour lutter localement contre les incendies. Mais une fois de plus, il aurait été inutile contre un brasier de 800°C.

On vient de le voir, les hélicoptères ne sont donc pas une solution non plus !

Si les dégâts sont réduits par rapport à un Canadair, ils restent tout de même considérables. Sans compter les problèmes engendrés par les passages incessants dans un espace urbanisé.


Sauf que...

 

Les hélicoptères à lance

La société Simplex Aerospace propose des hélicoptères capables de dégivrer des lignes à haute tension (pour optimiser le transport du courant). Ce principe est donc né d'un besoin d'appliquer un dégivrant à une hauteur importante en combinant rapidité et souplesse d'intervention. Les lignes à haute tension traversent également les agglomérations mais elles sont avant tout au milieu de la nature là où aucun camion de pompier ne peut se rendre.

Simplex Aerospace ayant réussi sur ce point, la société fait désormais des démonstrations de leur lance SkyCannon sur des incendies factices. Un bon moyen d'intervenir localement et rapidement : SkyCannon, un système de pulvérisation anti-incendie destiné aux immeubles de grande hauteur, est conçu pour lutter contre les incendies dans les immeubles urbains. En tant que premiers intervenants sur les lieux, les pompiers aériens ont la capacité de contrôler l'incendie en l'empêchant de se propager dans tout le bâtiment, ce qui permet aux pompiers au sol d'évacuer leurs occupants et de combattre l'incendie à l'intérieur.

Le SkyCannon (canon du ciel) © Simplex AerospaceLe SkyCannon (canon du ciel) © Simplex AerospaceLe rechargement se fait en 40 secondes ; avec un fleuve comme la Seine juste à côté, c'est simple.
Ce type d'appareil aurait-il pu être utilisé sur la flèche de la cathédrale par exemple ?
Cela reste très théorique. Sur un feu de forêt, un pilote peut faire 4 ou 5 passages successifs et être dans l'incapacité d'intervenir une sixième fois, car bloqué par la température de l'incendie ou le vent. Quelle aurait été la réaction de la turbine dans de telles conditions ? Avec des contraintes de ce type, il est possible que le pilote refuse un passage qui endommagerait l'hélicoptère.

Evidemment, si un hélicoptère de ce type était intervenu dès le début de l'incendie, il aurait pu apporter une aide précieuse. Mais on peut aussi se demander quel aurait été l'impact du déplacement d'air généré par les hélices sur le brasier... Aurait-il attisé les flammes ? C'est également sans compter le principe de faire la part du feu, c'est à dire, ne pas s'attaquer directement aux flammes visibles, laisser brûler ce qui ne peut pas être sauvé, et se concentrer sur le blocage de la propagation. De plus, même si l'hélicoptère avait effectivement toute l'eau nécessaire à portée de pompe, avec ses allées et venues il est loin d'égaler les pompes utilisées par les camions. Une flotte d'hélicoptères à lance ? Même s'ils ne s'étaient pas gênés, il leur aurait fallu arrêter leurs interventions à la nuit tombée. Une dernière chose : il faut compenser la puissance du jet dans les airs. En admettant qu'un pilote chevronné n'y voit pas de problème, cela engendre une consommation plus importante de carburant (dont la réserve n'est pas dans la Seine cette fois !).


Des drones en renfort ?

DJI (Da Jiang Innovation) est une entreprise chinoise, leader mondial dans la fabrication de drones. Ce sont certains de leurs drones qui ont été utilisés lors de l'incendie de la cathédrale pour analyser l'évolution du sinistre et organiser une partie de l'intervention.
« C’est grâce à ces drones, à cette technique nouvelle absolument incontournable aujourd’hui, que l’on a pu faire des choix tactiques pour arrêter ce feu à un moment où il allait potentiellement occuper les deux beffrois. Les drones ont permis d’engager correctement les moyens dont on disposait » a déclaré le porte-parole des pompiers de Paris, Gabriel PLUS.

Présentation de l'aide des
drones aux pompiers (à partir de la première minute)

Le rôle crucial de cette technologie n'est donc plus à démontrer. Les drones ont été largement utilisés pour leurs capacités à localiser l'étendue des incendies en Californie grâce à leurs caméras à imagerie thermique.

Mais DJI veut aller encore plus loin. Le directeur de la Recherche et du Développement U.S. de DJI, Arnaud THIERCELIN, s'est penché sur une question il y a un an : comment acheminer l'eau différemment pour lutter contre les incendies en Californie ? Il a pensé aux drones évidemment. Et cette fois, juste après le brasier de Notre Dame, c'est à la convention robotique TechCrunch (à Berkeley), que THIERCELIN est venu apporter une nouvelle idée : l'aqueduc aérien... Un camion de pompier rempli de drones prêts à en découdre !

Le principe est simple : utiliser une flotte de drones-pompiers (au moins un millier d'entres eux faisant une chaîne constante de lutte contre le feu), en collaboration avec des satellites en orbite basse, ainsi qu'avec d'autres drones qui collectent des informations stratégiques. Cela permettra de prendre en compte divers éléments importants comme la position de la ligne de feu, celle des pompiers, et bien sûr les conditions météorologiques. Le but est d'augmenter la coopération entre les drones pour fournir un maximum de données allant des indicateurs de santé des pompiers à l'évolution du sinistre. Cela permettrait d'en déduire des prédictions en temps réel.

Comme il le dit lui-même, THIERCELIN a déjà ses détracteurs sur Internet, mais il n'y prête pas attention et reste convaincu de la faisabilité du projet. Il estime que toutes les pièces du puzzle sont prêtes dans l'industrie et qu'il ne reste plus qu'à les assembler. DJI vend déjà des flottes de drones à certaines entreprises. De plus, leurs drones et leur logiciel de gestion de flotte sont en amélioration constante. Arnaud THIERCELIN estime qu'il faudrait bénéficier d'une couverture 5G pour une meilleure efficacité et que la réalisation d'une telle flotte d'intervention serait possible d'ici 3 à 5 ans.

Toujours dans l'esprit de renforcer les forces des pompiers, la société espagnole Drone Hopper propose elle aussi de larguer de l'eau depuis un drone. Le drone DH_002 de Drone Hopper © Drone HopperLe drone avec sa cuve d'eau au centre des rotors © Drone HopperEn développement depuis 2016, le prototype repose sur un principe simple : une cuve de 80 litres est soulevée par le drone pour se positionner au-dessus des flammes ; l'eau relâchée est dispersée en tombant sur les hélices. Les 36 rotors pulvérisent donc l'eau en une pluie fine. L'entreprise annonce qu'elle pourrait transporter jusqu'à 600 litres d'eau sur un drone stabilisé, capable de résister aux vents violents grâce à un système breveté (le poids du drone n'est pas étranger à sa grande stabilité). Un escadron de drones de ce type pourrait être un renfort précieux pour la Sécurité Civile. Afin d'alléger son poids et son efficacité, les rotors ont désormais été remplacé par 8 hélices. Le DH_004 est d'ailleurs en cours de certification auprès de l'Agence Nationale espagnole de la Sécurité Aérienne.

Drone Hopper explique être en mesure de créer des lignes de défense pour protéger les habitations, les pompiers, identifier les besoins et anticiper les problèmes. La startup proposerait plusieurs modèles dans le futur (dont un modèle agricole).

Toute la question réside dans la dispersion de l'eau. En effet, ce drone est parfois qualifié de drone "bombardier" et ce n'est pas sans rappeler les hélicoptères bombardier dont nous parlions plus haut. Dans les mois qui viennent, Drone Hopper devrait communiquer sur leurs nouveaux prototypes, ce sera peut-être l'occasion de découvrir comment ils fonctionnent vraiment.

 

Des drones... tout court ?

L'idée est déjà présente chez DJI : un jour, la population n'acceptera plus de perdre des pompiers dans les incendies d'immeubles en flammes. Le travail des pompiers dans ce cas serait de piloter des drones. Là encore, la Chine a une compagnie prête à en découdre : Walkera.

200 drones auraient déjà été livrés à l'armée chinoise selon un porte-parole de la société. Ils sont équipés de caméras nocturnes, de radars, Drone de chez Walkera à l'entraînement © WalkeraDrone de chez Walkera (vue d'artiste) © Walkerade lidars, et Walkera explique que le drone peut lancer un projectile de 2,8 kg à une distance maximale de 40 mètres (grâce à un zoom x 30). La petite "roquette" est assez puissante pour casser une baie vitrée. L'explosif libère ainsi sa poudre-extincteur qui peut remplir 9 m3. Le drone peut ensuite s'approcher pour procéder à un arrosage grâce à sa portée de 4,8 mètres et ses 15 kg de charge utile. Il offrirait une grande résistance au vent et une précision élevée. Aucun détail technique supplémentaire n'est communiqué pour l'heure.

On sait seulement que le drone fonctionne à l'essence avec une autonomie de 35 minutes. Il était récemment en essai à Las Vegas et Walkera participera au 9 ème salon international de lutte contre le feu à Guangzhou (Chine) au mois de juillet. Peut-être que plus d'informations seront communiquées à ce moment.

 

Chez la concurrence, on trouve Aerones.

C'est également une société de drones, basée en Lettonie. Elle est spécialisée dans la maintenance des éoliennes. Nous l'avons déjà vu avec Simplex Aerospace, la solution viendra sans doute de ce type de sociétés qui sont déjà actives. L'entreprise estime être en mesure d'atteindre le 70 ème étage d'un immeuble en une minute seulement. Bien sûr, la question importante est l'autonomie.

  • Premier saut d'un drone de l'Histoire (voir vidéo) © Aerones
  • Test du drone © Aerones
  • Schéma comparatif (cliquez pour la légende) © Aerones

Le drone d'Aerones n'est pas un jouet : il pèse 55 kg et il est directement câblé au sol pour l'alimentation en eau et en électricité, le tout pour une utilisation illimitée. Il existe sans doute des contraintes de surchauffe sur la durée, mais il n'en est pas fait mention. Le drone serait également assez résistant à la chaleur pour s'approcher de près des incendies. De plus, il pourrait sauver des vies directement car il est capable de soulever un homme. En effet, Aerones peut se vanter d'avoir réussi le premier saut en parachute depuis un autre modèle de drone à une hauteur de 330 mètres le 12 mai 2017. Ce sont des arguments de poids pour des pompiers (cliquez sur le schéma ci-dessus). En test depuis 2017, il est probable que les premières interventions réelles se réalisent dans les années qui viennent. Les feux de turbines d'éoliennes seront sans doute les premiers concernés, mais il serait intéressant de voir comment se comportent les drones en présence d'un feu d'usine ou d'immeuble.

 

Le futur entre parenthèses

Il est toujours plus facile de revenir sur une intervention après coup. Concernant l'exemple de Notre Dame, cette fois c'était pire, car les réseaux sociaux ont permis de remettre en cause les procédures en temps réel. En allant jusqu'à dire des âneries...
Il est impossible de dire si des services de secours comme ceux de Star Wars existeront un jour, mais on peut déjà affirmer que les pompiers ont fait tout ce qu'il était possible de faire avec leurs moyens (drones, renforts de plusieurs départements). Ils sont parvenus à éviter la propagation de l'incendie dans le reste de l'édifice pour le sauver. Reste qu'il y a manifestement des solutions peu coûteuses et moins contraignantes que les hélicoptères avec des résultats qui paraissent enfin dignes du 21 ème siècle. Les drones, souvent décriés, prouvent à quel point ils peuvent être utiles dans un contexte adapté. L'avenir est-il dans les drones ? Le mélange d'une partie de ces solutions est sans aucun doute le véritable futur de la lutte contre les incendies.

 

 

Comme toujours, je vous invite à consulter les sources dans l'onglet "sources" de l'article. Vous y trouverez les sites internet des sociétés évoquées ainsi que plusieurs vidéos complémentaires.

Vous pouvez toujours retrouver en un clic l'intégralité du dossier Quand la science rattrape Star Wars.

A bientôt dans notre galaxie !

 

Parution : 31/05/2019
Validé par : Xendor
On en parle sur nos forums
 
Les 10 premières réactions (voir toutes les réponses) :
  • 31/05/2019 - 22:02
    Nouvelle actualité, nouvel article.

    Cette fois-ci on parle du vaisseau pompier. On peut les voir au début de l'épisode 3. Souvenirs, souvenirs :cute:
  • 31/05/2019 - 22:22
    Cet article me rappelle des souvenirs, car j'ai eu la chance de faire un stage à la Sécurité Civile et de visiter l'intérieur d'un Canadair. :)
    Bien joué :jap:
  • 31/05/2019 - 23:34
    T'as pas honte de profiter d'un évènement tragique pour booster ton dossier ? :o

    Blague à part, bon article. :oui:
  • 01/06/2019 - 9:01
    Il a eu raison, faut montrer qu'il faut toujours se renseigner avant de croire ce qu'on nous dit :transpire:
  • 02/06/2019 - 8:39
    Content que ça vous ait plu ! J'avais moi-même certains préjugés sur lesquels je suis revenu. J'ai contacté des professionnels et j'ai croisé les sources (comme d'hab). Le résultat est entre vos mains :cute:
  • 05/08/2019 - 0:04
    Image
  • 05/08/2019 - 0:25
    Il a retenu la leçon de ne pas sauter du flyboard comme l'a fait Anakin :transpire:
  • 05/08/2019 - 8:32
    Sauf qu'Anakin ne consommait pas 2L d'essence au km... [/pollueur] :pfff:
  • 05/08/2019 - 8:43
    Ah ouais je savais pas dutout ce détail :transpire:
    Je savais pas que c'était si polluant
  • 05/08/2019 - 10:21
    ça me fait largement plus penser au bouffon vert du premier film de spider man qu'à Anakin sur Mustafar.
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