Vous avez jusqu'au dimanche 10/05 inclus pour poster votre contribution de 150 mots (tolérance de plus ou moins 25 mots) sur ce thème qui vous est proposé par darkCedric. Mais attention, n'oubliez pas la contrainte : Il doit y avoir une histoire de jawa !
A vos claviers !
Edit : Les challengers !!!
Jenos Idanian
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Une petite silhouette encapuchonnée s'avance tranquillement jusqu'à une porte isolée au bout d'un couloir du Temple.
{Veuillez s'il vous plaît présenter votre carte de membre pour obtention d'accès} s'affiche alors sur le pupitre de sécurité.
La mystérieuse créature s'exécute, en plaçant son badge sur le lecteur optique idoine.
{Autorisation d'accès à la salle des douches du Temple confirmée}
{Pensez à laisser votre sabre-laser bien à l'écart des buses de vapeur afin d'éviter tout dysfonctionnement}
L'individu légèrement vêtu entre alors dans le vestibule.
{Ouvrez maintenant bien grand votre peignoir}
La créature sordide ne se fait dès lors pas prier davantage, et en profite dans le même mouvement pour lâcher un pet des plus malodorants...
{Décontamination d'urgence en cours}
{Organismes non identifiés détectés. Veuillez confirmer oralement votre identité}
« Uttini ! »
{Confinement automatique du bâtiment}
« Ha bah nooon, j'étais seulement bien ! »
{Evacuation immédiate requise}
« C'est pourtant ce que je viens déjà de faire, non !?!... »
(165)
{Veuillez s'il vous plaît présenter votre carte de membre pour obtention d'accès} s'affiche alors sur le pupitre de sécurité.
La mystérieuse créature s'exécute, en plaçant son badge sur le lecteur optique idoine.
{Autorisation d'accès à la salle des douches du Temple confirmée}
{Pensez à laisser votre sabre-laser bien à l'écart des buses de vapeur afin d'éviter tout dysfonctionnement}
L'individu légèrement vêtu entre alors dans le vestibule.
{Ouvrez maintenant bien grand votre peignoir}
La créature sordide ne se fait dès lors pas prier davantage, et en profite dans le même mouvement pour lâcher un pet des plus malodorants...
{Décontamination d'urgence en cours}
{Organismes non identifiés détectés. Veuillez confirmer oralement votre identité}
« Uttini ! »
{Confinement automatique du bâtiment}
« Ha bah nooon, j'étais seulement bien ! »
{Evacuation immédiate requise}
« C'est pourtant ce que je viens déjà de faire, non !?!... »
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Joysstar
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Selon les rumeurs les plus improbables, les effets des bains des Jawas étaient renversants pour la gent féminine, et elles étaient encore plus véridiques pour les individus de sexe masculin. Aussi, on constatait un attroupement de gens autour de ces fameuses étuves remplies de vapeurs. On racontait aussi que leurs parfums étaient tellement entêtants qu’ils provoquaient un évanouissement des sens. On plongeait littéralement dans un autre monde quand vous vous en approchiez. On tentait l’expérience, et elle était apparemment tellement inoubliable que vous ne reveniez jamais dans les parages. Aussi, d’autres gens venaient à leur tour, afin de vérifier les dires de leurs amis. Effectivement, plus personne n’y remettait les pieds. Les épouses des hommes affirmaient qu’ils devaient conserver ces senteurs uniques sur eux, tandis que les maris éprouvaient des difficultés à toucher le sujet de leurs désirs après une séance : les effluves étaient succulentes.
(150)
(150)
xximus
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En fouissant de ses petits doigts gourds et gantés sous les décombres d’un cargo délabré, jamais le petit Jawa n’aurait cru découvrir pareille rareté.
À l’image de ses congénères babillants, il n’était pas doué pour les langues, mais l’inscription en Aurebesh rongée par la rouille était dans ses cordes :
À l’image de ses congénères babillants, il n’était pas doué pour les langues, mais l’inscription en Aurebesh rongée par la rouille était dans ses cordes :
« Vapo-Star Inc. »
Tandis que la tribu avait déjà regagné le char des sables – la cargaison étrange n’ayant pas grande valeur à leurs yeux luisants –, lui s’était acharné à remonter une vapodouche portative fonctionnelle à partir des pièces disparates vomies par le vaisseau éventré.
Il ne lui manquait désormais plus qu’une source d'eau pour alimenter le dispositif. Son regard balayait l’horizon monotone de Tatooine, que vinrent soudain rompre des verticalités familières : celles d’un ensemble d’évaporateurs d’humidité.
Cette nuit, le petit Jawa se glisserait dans l’exploitation des fermiers et deviendrait le premier de son espèce à savourer une bonne douche.
Il ne lui manquait désormais plus qu’une source d'eau pour alimenter le dispositif. Son regard balayait l’horizon monotone de Tatooine, que vinrent soudain rompre des verticalités familières : celles d’un ensemble d’évaporateurs d’humidité.
Cette nuit, le petit Jawa se glisserait dans l’exploitation des fermiers et deviendrait le premier de son espèce à savourer une bonne douche.
(150)
Notsil
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Vapodouche
–Allez, c’est l’heure !
–Non ! protesta l’enfant.
–Oh que si !
–Mais je me suis déjà lavé hier, contra Lias, boudeur.
–Tu empestes, pire qu’un jawa !
–Tu ne dineras pas tant que tu n’auras pas enlevé toute cette crasse de ta peau, ajouta son père.
La discussion était close. C’était injuste.
Mécontent, Lias marcha d’un pas lourd jusqu’à la salle de bain, se défit de ses vêtements qu’il jeta rageusement sur le sol avant de se glisser dans la vapodouche. Utiliser ainsi le chantage, pour l’obliger à se laver ! Alors que demain il serait tout aussi sale. Pourquoi les adultes attachaient-ils tant d’importance à l’hygiène corporelle ?
Ce n’était qu’une perte de temps, un gaspillage des ressources naturelles. Quand il serait grand, quand il n’y aurait plus personne pour l’obliger à prendre des vapodouches, quand il serait enfin seul à décider…
Il lui tardait tant d’être adulte.
(150)
–Allez, c’est l’heure !
–Non ! protesta l’enfant.
–Oh que si !
–Mais je me suis déjà lavé hier, contra Lias, boudeur.
–Tu empestes, pire qu’un jawa !
–Tu ne dineras pas tant que tu n’auras pas enlevé toute cette crasse de ta peau, ajouta son père.
La discussion était close. C’était injuste.
Mécontent, Lias marcha d’un pas lourd jusqu’à la salle de bain, se défit de ses vêtements qu’il jeta rageusement sur le sol avant de se glisser dans la vapodouche. Utiliser ainsi le chantage, pour l’obliger à se laver ! Alors que demain il serait tout aussi sale. Pourquoi les adultes attachaient-ils tant d’importance à l’hygiène corporelle ?
Ce n’était qu’une perte de temps, un gaspillage des ressources naturelles. Quand il serait grand, quand il n’y aurait plus personne pour l’obliger à prendre des vapodouches, quand il serait enfin seul à décider…
Il lui tardait tant d’être adulte.
(150)
Posman
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Les yeux brillants du petit jawa étaient rivés sur des circuits grillés et des tuyaux encrassés. Ses petites mains farfouillaient dans toutes ces pièces d'un autre age. Il soudait, découpait, assemblait.
La machine était devant lui comme un gardien de métal. Il savait que ce n'etait qu'une question de branchements et de soudures pour qu'elle soit enfin opérationnelle.
Il appliqua un peu d'huile ici et là, s'énerva à replacer quelques ressorts et autres babioles dont seul lui et ses congénères connaissaient la dénomination.
Lorsqu'il eu branché le dernier câble dans la machine, il émit un soupir de délivrance et de satisfaction. C'était le moment de verité.
Il appuya sur un bouton.
Un cri de stupeur vint résonner dans le sandcrawler. Le jawa était trempé et profondément déçu.De l'eau sortait de tout les cotés de la machine. La vapodouche nécessitait encore un peu de travail...
(153)
La machine était devant lui comme un gardien de métal. Il savait que ce n'etait qu'une question de branchements et de soudures pour qu'elle soit enfin opérationnelle.
Il appliqua un peu d'huile ici et là, s'énerva à replacer quelques ressorts et autres babioles dont seul lui et ses congénères connaissaient la dénomination.
Lorsqu'il eu branché le dernier câble dans la machine, il émit un soupir de délivrance et de satisfaction. C'était le moment de verité.
Il appuya sur un bouton.
Un cri de stupeur vint résonner dans le sandcrawler. Le jawa était trempé et profondément déçu.De l'eau sortait de tout les cotés de la machine. La vapodouche nécessitait encore un peu de travail...
(153)
mat-vador
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- Eh, papy Mat-Vador ! Tu nous racontes une histoire ?
- Mais fous-moi la paix, p’tit merdeux !
- Allez !
- Bon, OK. J’tai raconté la fois où j’ai pris une vapodouche…
- Mais tu nous l’as déjà raconté, celle-là ! C’est toujours la même avec ta Sith dominatrice !
- Ah mais attends, j’en ai plein d’histoires de vapodouches ! Je me souviens de la fois où on avait accueilli des nouveaux à l’académie du Sith Unique sur Korriban… y a eu un p’tit bizutage, hihihi !
- Il s’est passé quoi ?
- On s’est tous bourrés la gueule et on a fait une sacrée orgie ! Un moment, je me suis retrouvé avec un jawa sous la même vapodouche !
- Haaaaa ! Mais c’est dégoûtant !
- Eh oh, ça va ! On était tous bourrés, de toute façon ! J’me rappelle même plus de ce qu’on a fait après… il devait être consentant, je pense.
- Papy, t’es vraiment immonde !
(168)
- Mais fous-moi la paix, p’tit merdeux !
- Allez !
- Bon, OK. J’tai raconté la fois où j’ai pris une vapodouche…
- Mais tu nous l’as déjà raconté, celle-là ! C’est toujours la même avec ta Sith dominatrice !
- Ah mais attends, j’en ai plein d’histoires de vapodouches ! Je me souviens de la fois où on avait accueilli des nouveaux à l’académie du Sith Unique sur Korriban… y a eu un p’tit bizutage, hihihi !
- Il s’est passé quoi ?
- On s’est tous bourrés la gueule et on a fait une sacrée orgie ! Un moment, je me suis retrouvé avec un jawa sous la même vapodouche !
- Haaaaa ! Mais c’est dégoûtant !
- Eh oh, ça va ! On était tous bourrés, de toute façon ! J’me rappelle même plus de ce qu’on a fait après… il devait être consentant, je pense.
- Papy, t’es vraiment immonde !
(168)
Dark GaGa
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Elle balança ses gants souillés au sol et jeta un regard consterné sur ses vêtements. Tsss... ces déchets de la République pouvaient pas s’empêcher d’être sales. Ils pouvaient pas se contenter de souffrir et parler sans en mettre partout ?
– Débarrassez-moi de ça, ordonna-t-elle à ses aides.
Une robe de foutue. Et tout ça pour quoi ? Pour obtenir à demi-mot l’affectation de quelques Jedi sur le front, c’était à vous dégoûter du renseignement.
– Dois-je prévenir Dark Jadus?
– Non, cette information ne vaut rien. Et surtout pas une robe. Prends quelques acolytes, tu t’occuperas des Jedi.
– Bien maître.
Trop obséquieux, cet apprenti. Ça cachait quelque chose, il était temps de s’en débarrasser.
– Je vais me changer.
Une bonne vapodouche après un interrogatoire, il y avait que ça de vrai.
Une odeur immonde lui assaillit les narines. Un jawa! Dans sa douche! Trop, c’est trop!
Éclairs. Expulsion. Douche. Clic. Rien.
– Seigneur, fit la voix d’un servant, le réparateur de douche est là.
Rage quit.
(163)
– Débarrassez-moi de ça, ordonna-t-elle à ses aides.
Une robe de foutue. Et tout ça pour quoi ? Pour obtenir à demi-mot l’affectation de quelques Jedi sur le front, c’était à vous dégoûter du renseignement.
– Dois-je prévenir Dark Jadus?
– Non, cette information ne vaut rien. Et surtout pas une robe. Prends quelques acolytes, tu t’occuperas des Jedi.
– Bien maître.
Trop obséquieux, cet apprenti. Ça cachait quelque chose, il était temps de s’en débarrasser.
– Je vais me changer.
Une bonne vapodouche après un interrogatoire, il y avait que ça de vrai.
Une odeur immonde lui assaillit les narines. Un jawa! Dans sa douche! Trop, c’est trop!
Éclairs. Expulsion. Douche. Clic. Rien.
– Seigneur, fit la voix d’un servant, le réparateur de douche est là.
Rage quit.
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GTZL1
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Décidément, Nevarro ne réussissait pas à Enfys Nest. Déjà que cette planète était un repaire de chasseurs de primes et mercenaires, tout ce qu’elle détestait et combattait. Ensuite, la menace des Jawas la nuit avait forcé la jeune femme à laisser son gros speederbike dans un parc gardé – et à s’acquitter d’une bonne centaine de crédits. Et la chambre à l’arrière de cette cantina minable était étriquée et sale. Mais ce qui lui déplaisait le plus était la nature de son contact : il s’agissait d’une employée – ce que signifiait cet euphémisme la révulsait – aux bains, une Twi’lek. Elle devrait passer sa soirée à prendre une vapodouche avec cette femme et s’échanger des informations confidentielles en faisant semblant de profiter d’un tout autre type de plaisir… Mais tel était le prix à payer pour enfin s’attaquer à un soutien-clé impérial de Crimson Dawn.
(143)
(143)
Mandoad
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Vapodouche
Le Mandalorien leva les yeux et sourit à la vue du panneau lumineux : « Tam Rodav, vendeur douches et bains ». Il pénétra dans la boutique. Sa visière assombrit les intenses néons et il s’arrêta face à la silhouette assise derrière le comptoir.
— J’aurai besoin d’une vapodouche.
— Très bien. Avec une Twi’lek ? demanda le vendeur.
— Non.
— Togruta ?
Le guerrier fit de son mieux pour masquer son impatience.
— Non, juste une vapodouche. Celle de mon vaisseau a rendu l’âme.
— Quoi ?! s’étrangla Rodav. C’est horrible ! Et une vapodouche pour Monsieur !
— Et un martinet offert avec ! s’enthousiasma une femme sortie de nulle part.
Le mercenaire repoussa la nouvelle venue tatouée du doux nom de « Chouchou » au sein d’un cœur sur sa clavicule gauche.
— Pas de martinet !
— Tando ! s’exclama un Jawa en toge sombre en sortant de sous le comptoir.
— Pas de Jawa non plus, grogna l’acheteur.
— Pas de Jawa, très bien, répéta Tam.
Un prix s’afficha, le Mandalorien paya.
— Et vous ne voudriez pas acheter ma lessive par la même occasion ?
Des fous.
(169)
Le Mandalorien leva les yeux et sourit à la vue du panneau lumineux : « Tam Rodav, vendeur douches et bains ». Il pénétra dans la boutique. Sa visière assombrit les intenses néons et il s’arrêta face à la silhouette assise derrière le comptoir.
— J’aurai besoin d’une vapodouche.
— Très bien. Avec une Twi’lek ? demanda le vendeur.
— Non.
— Togruta ?
Le guerrier fit de son mieux pour masquer son impatience.
— Non, juste une vapodouche. Celle de mon vaisseau a rendu l’âme.
— Quoi ?! s’étrangla Rodav. C’est horrible ! Et une vapodouche pour Monsieur !
— Et un martinet offert avec ! s’enthousiasma une femme sortie de nulle part.
Le mercenaire repoussa la nouvelle venue tatouée du doux nom de « Chouchou » au sein d’un cœur sur sa clavicule gauche.
— Pas de martinet !
— Tando ! s’exclama un Jawa en toge sombre en sortant de sous le comptoir.
— Pas de Jawa non plus, grogna l’acheteur.
— Pas de Jawa, très bien, répéta Tam.
Un prix s’afficha, le Mandalorien paya.
— Et vous ne voudriez pas acheter ma lessive par la même occasion ?
Des fous.
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Dark Stannis
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LENNINI L’AFFIRME :
L’EMPIRE S’ACCAPARERAIT DE NOS LARMES
SI NOUS POUVIONS ENCORE PLEURER
DE LA SUEUR DE NOS FRONTS
SI NOUS POUVIONS ENCORE TRANSPIRER
LES LAISSERAIT RUISSELER TOUT JUSTE
POUR FAIRE NOUS SES ESCLAVES DESSICATÉS
CONTRÔLÉS PAR L'EAU
COMME UN DROGUÉ PAR L’OPIUM !
AIDÉ DANS SA SINISTRE OEUVRE
PAR LA LIE GLUANTE DES HUTTS
IL EST L’AVATAR DE LA BARBARIE LA PLUS SÈCHE !
J’AI DIT : ASSEZ !
IL EST VENU LE TEMPS DE LA LUTTE FINALE !
LE BRUN DE NOS TUNIQUES RAPIÉCÉES
SE FONDRA DANS LA TEMPÊTE DE SABLE
TANDIS QUE D’UN ÉCLAIR
NOUS FONDRONT SUR LES IMPÉRIAUX
ROUGES SERONT LEUR ARMURES DÉSARTICULÉES !
LA DICTATURE DU JAWATARIAT
EST LA SEULE VOIE POUR TATOOINE
ET LES JOURS MEILLEURS
LAVERONT LES SOUILLURES DE L’EMPIRE
DANS UN GRAND BAIN DE VAPEUR
L’EMPIRE S’ACCAPARERAIT DE NOS LARMES
SI NOUS POUVIONS ENCORE PLEURER
DE LA SUEUR DE NOS FRONTS
SI NOUS POUVIONS ENCORE TRANSPIRER
LES LAISSERAIT RUISSELER TOUT JUSTE
POUR FAIRE NOUS SES ESCLAVES DESSICATÉS
CONTRÔLÉS PAR L'EAU
COMME UN DROGUÉ PAR L’OPIUM !
AIDÉ DANS SA SINISTRE OEUVRE
PAR LA LIE GLUANTE DES HUTTS
IL EST L’AVATAR DE LA BARBARIE LA PLUS SÈCHE !
J’AI DIT : ASSEZ !
IL EST VENU LE TEMPS DE LA LUTTE FINALE !
LE BRUN DE NOS TUNIQUES RAPIÉCÉES
SE FONDRA DANS LA TEMPÊTE DE SABLE
TANDIS QUE D’UN ÉCLAIR
NOUS FONDRONT SUR LES IMPÉRIAUX
ROUGES SERONT LEUR ARMURES DÉSARTICULÉES !
LA DICTATURE DU JAWATARIAT
EST LA SEULE VOIE POUR TATOOINE
ET LES JOURS MEILLEURS
LAVERONT LES SOUILLURES DE L’EMPIRE
DANS UN GRAND BAIN DE VAPEUR
L’officier du BSI contempla un moment le texte. Depuis un moment, des incidents sporadiques agitaient la planète désertique, sans liens apparents entre eux. En voici finalement la cause : un spectre hante Tatooine.
Le spectre de la vapodouche.
(170)
darkCedric
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Palpatine, seigneur des sith, profitait d'un moment de calme sous sa vapo-douche. La vapeur d'eau collait avec délice sur son corps, sublimant sa nudité. C'est alors que son amante Sly Moore fit irruption d'un air véritablement paniqué, rompant le charme.
– Chéri ! Coruscant est envahi !
L'Empereur de la Galaxie surgit de la cabine en trombe et courut jusqu'à son balcon. Là, il leva des yeux remplis d'horreur vers le ciel. La terrible invasion qu'il avait pressenti voilà de nombreuses années, venue d'au delà des Régions Inconnus, avait lieu. Son regard parcourut les milliers de véhicules volants qui surplombaient la capitale. Chacun d'entre eux devait contenir près de deux millions de ces créatures. Alors l'Empereur se griffa le visage et hurla de désespoir.
Au même moment,comme en écho, un tonnerre de rugissement survint des vaisseaux envahisseurs. Un cri qui annonçait guerre, massacre, famine et mort.
– Uttini !
Avant la fin du jour, Palpatine finirait enchaîné au bas du trône de Kédrik, grand empereur des jawas, Souverain de l'Univers.
(171)
– Chéri ! Coruscant est envahi !
L'Empereur de la Galaxie surgit de la cabine en trombe et courut jusqu'à son balcon. Là, il leva des yeux remplis d'horreur vers le ciel. La terrible invasion qu'il avait pressenti voilà de nombreuses années, venue d'au delà des Régions Inconnus, avait lieu. Son regard parcourut les milliers de véhicules volants qui surplombaient la capitale. Chacun d'entre eux devait contenir près de deux millions de ces créatures. Alors l'Empereur se griffa le visage et hurla de désespoir.
Au même moment,comme en écho, un tonnerre de rugissement survint des vaisseaux envahisseurs. Un cri qui annonçait guerre, massacre, famine et mort.
– Uttini !
Avant la fin du jour, Palpatine finirait enchaîné au bas du trône de Kédrik, grand empereur des jawas, Souverain de l'Univers.
(171)
Ve'ssshhh
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Elle sortit de la cabine, d’où émanaient encore quelques vapeurs, avec un sourire nostalgique. Souvenirs d’une autre séance, torride celle-ci : les vapodouches étaient bien plus sensuelles quand on les partageait, fut-ce avec un quasi-ennemi, un Jedi.
Dans le miroir, une belle jeune femme à la chevelure flamboyante et aux yeux émeraude la scrutait attentivement. Trop plantureuse à son goût, la rouquine : les séquelles d’une grossesse, une nouvelle vie trop sédentaire avaient laissé leurs traces.
Il faut vraiment que je reprenne l’entraînement, se dit-elle en saisissant une brosse.
Pas le temps : un empire à gouverner, trop de réunions, trop d’ambitieux, trop d’incapables…
Un bébé.
- Un bon bain de vapeur t’arrangerait ça. T’es quand même plus jolie que Palpe-Tétines ! Et tu sens plus bon !
Elle sursauta : un jawa lui tenait compagnie dans le miroir.
Un jawa bleu ?
Non, un fantôme de Force !
- Mais…
- Shht ! C’est la Force qui m’envoie ! Elle a des trucs à te dire ! Tu viens, Dame Rouge des Sith ?
(175)
Dans le miroir, une belle jeune femme à la chevelure flamboyante et aux yeux émeraude la scrutait attentivement. Trop plantureuse à son goût, la rouquine : les séquelles d’une grossesse, une nouvelle vie trop sédentaire avaient laissé leurs traces.
Il faut vraiment que je reprenne l’entraînement, se dit-elle en saisissant une brosse.
Pas le temps : un empire à gouverner, trop de réunions, trop d’ambitieux, trop d’incapables…
Un bébé.
- Un bon bain de vapeur t’arrangerait ça. T’es quand même plus jolie que Palpe-Tétines ! Et tu sens plus bon !
Elle sursauta : un jawa lui tenait compagnie dans le miroir.
Un jawa bleu ?
Non, un fantôme de Force !
- Mais…
- Shht ! C’est la Force qui m’envoie ! Elle a des trucs à te dire ! Tu viens, Dame Rouge des Sith ?
(175)
JediLord
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La porte du palais de Jabba s'ouvrît dans un fracas mécanique. Boba Fett était de retour après une traque fastidieuse il avait enfin attrapé celui qui avait causé tant de tort au seigneur des Hutts.
Le Jawas que le chasseur de primes portait sous son bras n'avait pourtant rien d'impressionnant. C'était un natif de Tatooine comme tant d'autres. Fett pensait bien sur qu'il puait autant que les autres.
Le chasseur de primes conduisît sa proie devant Jabba trônant dans l'opulence entouré de ses gardes du corps gamoréens et de ses esclaves togrutas.
Fett posa le Jawa à terre.
Le hutt pris la parole dans un langage incompréhensible pour qui ne parlait pas le huttesse. Son droïdes traducteur traduisit les mots de son maître.
"Et maintenant pitoyable créature, toi qui m'a livré un produit de qualité aussi médiocre, tu vas réparer cette vapodouche! Sinon, je connais une certaine pa'lowick qui aimerait faire certaines choses avec toi!"
(155)
Le Jawas que le chasseur de primes portait sous son bras n'avait pourtant rien d'impressionnant. C'était un natif de Tatooine comme tant d'autres. Fett pensait bien sur qu'il puait autant que les autres.
Le chasseur de primes conduisît sa proie devant Jabba trônant dans l'opulence entouré de ses gardes du corps gamoréens et de ses esclaves togrutas.
Fett posa le Jawa à terre.
Le hutt pris la parole dans un langage incompréhensible pour qui ne parlait pas le huttesse. Son droïdes traducteur traduisit les mots de son maître.
"Et maintenant pitoyable créature, toi qui m'a livré un produit de qualité aussi médiocre, tu vas réparer cette vapodouche! Sinon, je connais une certaine pa'lowick qui aimerait faire certaines choses avec toi!"
(155)
Shamb Hall'o
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Le jeune apprenti avançait prudemment dans l’air saturé de vapeur. Il ne voyait plus ses mains, et ne savait pas trop s’il y avait du monde. Il puisait profondément dans la Force pour trouver son rendez-vous, et surtout pour oublier l’odeur bestiale qui affectait ses sens… Il se mit à siffloter un air militaire, signe de ralliement établi préalablement.
Une silhouette indéterminée se rapprocha et osa l’interpeler dans un langage jawa approximatif :
- Etes-vous ?
- Vous êtes ?
- Oui. Heureux.
- Ravi.
- Où est la grande capuche ?
- Je ne sais pas. Et si vous ne savez pas, je ne sais pas, non ?
- Je ne comprends pas.
- Vous venez avec moi récupérer Yoda.
- Ah non, c’est vous qui venez avec moi récupérer Uttini.
- Non, pas vous…
- Je vous demande pardon ?
- Et si vous ne venez pas, je… Oh merde alors, comment on dit ça... ?
- Comment ça « merde alors » ? Mais alors, vous êtes humain !
- Vous n’êtes pas Jawa ?
S’en suit alors une longue vadrouille entre 2 Padawans pour quitter sains et saufs Corruscant sous le joug de l’Empire.
(172)
Une silhouette indéterminée se rapprocha et osa l’interpeler dans un langage jawa approximatif :
- Etes-vous ?
- Vous êtes ?
- Oui. Heureux.
- Ravi.
- Où est la grande capuche ?
- Je ne sais pas. Et si vous ne savez pas, je ne sais pas, non ?
- Je ne comprends pas.
- Vous venez avec moi récupérer Yoda.
- Ah non, c’est vous qui venez avec moi récupérer Uttini.
- Non, pas vous…
- Je vous demande pardon ?
- Et si vous ne venez pas, je… Oh merde alors, comment on dit ça... ?
- Comment ça « merde alors » ? Mais alors, vous êtes humain !
- Vous n’êtes pas Jawa ?
S’en suit alors une longue vadrouille entre 2 Padawans pour quitter sains et saufs Corruscant sous le joug de l’Empire.
(172)
Alionouchka
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Quand Qi’ra pénétra dans la vapodouche, elle poussa un soupir de soulagement. Elle avait besoin d’ôter d’elle toute trace de cette immonde puanteur laissée par les jawas qu’elle avait tués. Amère, elle constata que Dryden avait raison : elle ne pleurait ni ne vomissait plus.
Elle songea qu’il était imprudent de le faire attendre. Il était très excité quand il savait qu’elle avait tué. Et sa perversion n’avait pas de limites.
De toute façon, il était inutile de frotter encore. La souillure avait désormais atteint le plus profond de son âme et ne s’en délogerait plus jamais.
Elle attendait simplement son heure : il serait un jour temps de se venger de toutes ces offenses.
Soudain, elle entendit grincer la porte de la vapodouche et sut qu’impatient, il l’avait déjà rejointe.
Alors qu’elle déglutissait en sentant son corps nu se coller au sien, elle se rassura. La vapeur et l’humidité étaient tellement denses qu’elle n’aurait pas à retenir ses larmes.
Elle songea qu’il était imprudent de le faire attendre. Il était très excité quand il savait qu’elle avait tué. Et sa perversion n’avait pas de limites.
De toute façon, il était inutile de frotter encore. La souillure avait désormais atteint le plus profond de son âme et ne s’en délogerait plus jamais.
Elle attendait simplement son heure : il serait un jour temps de se venger de toutes ces offenses.
Soudain, elle entendit grincer la porte de la vapodouche et sut qu’impatient, il l’avait déjà rejointe.
Alors qu’elle déglutissait en sentant son corps nu se coller au sien, elle se rassura. La vapeur et l’humidité étaient tellement denses qu’elle n’aurait pas à retenir ses larmes.
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Darth Erytram
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Précautions d'usages : lire avec la voix grave et posé d'un presentateur de reportage animalier, et laisser son imagination illustré le tout a chaque espace entre les lignes
En direct de SWU Discovery
...Durant la saison sèche, le Mat-vador aime chasser autour des différentes zones aquatiques de SWU.
Ce spécimen-ci semble avoir jeté son dévolu sur une grande vapo-douche où se retrouvent nombre de ses proies.
Le Mat-vador est chanceux.
Une Twi’lek tete verte et une Twi’lek zébrée se sont retrouvée dans la Vapo-douche afin de se frictionner les lekkus.
Arpentant le système d'aération avec ses jumelles, le Mat-vador se rapproche.
Seulement, il n'est pas le seul sur le coup.
Un petit Jawa sombre est aussi de la partie. Grâce à sa petite taille, ce prédateur aguerrit passe inaperçu dans la brume ambiante.
Le temps est compté.
Le Mat-vador doit vite en prendre plein les yeux avant que le Jawa n'alerte les deux farouches créatures.
Trop tard!
Hélas pour le Mat-vador, c'est la fin de la traque. Mais au moins il répare vivant.
Le Jawa, lui, n'aura pas été aussi chanceux....
(150)
En direct de SWU Discovery
...Durant la saison sèche, le Mat-vador aime chasser autour des différentes zones aquatiques de SWU.
Ce spécimen-ci semble avoir jeté son dévolu sur une grande vapo-douche où se retrouvent nombre de ses proies.
Le Mat-vador est chanceux.
Une Twi’lek tete verte et une Twi’lek zébrée se sont retrouvée dans la Vapo-douche afin de se frictionner les lekkus.
Arpentant le système d'aération avec ses jumelles, le Mat-vador se rapproche.
Seulement, il n'est pas le seul sur le coup.
Un petit Jawa sombre est aussi de la partie. Grâce à sa petite taille, ce prédateur aguerrit passe inaperçu dans la brume ambiante.
Le temps est compté.
Le Mat-vador doit vite en prendre plein les yeux avant que le Jawa n'alerte les deux farouches créatures.
Trop tard!
Hélas pour le Mat-vador, c'est la fin de la traque. Mais au moins il répare vivant.
Le Jawa, lui, n'aura pas été aussi chanceux....
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