Bonsoir à tous, c'est l'heure de la suite!
Et dans cet extrait, y aura du monde et du beau

! Comme Précédemment, nous retrouvons deux jedi, monsieur et madame Contispex rejoints par leur adorable fiston ( si, il est adorable

) et sa toute aussi adorable amie ( adorable je vous dis

!) et..... un ambassadeur Hutt

!
que du beau monde!
Deux autres humains les rejoignirent et se rangèrent à droite du couple Contispex. Les deux jeunes nouveaux venus semblaient nourrir des liens affectifs, à la manière dont ils se tenaient par la main. La Force se teinta d’une essence encore plus glaciale.
Gagné par un certain malaise, Bekan glissa sa main droite sous sa bure, là où se trouvait la poignée de son sabre laser.
- Ah, permettez-moi de vous présenter mon fils, Ethan.
Le jeune humain blond ne possédait pas le physique de quelqu’un d’athlétique. Une bedaine naissante alourdissait son abdomen et son visage bouffi ne trompait pas un Jedi expérimenté et âgé de quarante ans.
Tout comme l’apparence séduisante de sa compagne aux cheveux roux, qui le regardait avec insolence.
- Et sa charmante amie, Leli.
Les deux jeunes gens restèrent muets jusqu’à ce que Ethan Contispex lâcha d’un ton narquois :
- Vous ressemblez à un ermite miteux.
- On pourrait croire que vous vivez dans les bois plutôt que dans un Temple, gloussa l’humaine rousse.
Bekan n‘en fut pas perturbé, il avait connu pire comme insultes. Mais il ne voulait pas rater l’occasion de remettre à leur place ces impertinents, surtout que les parents ne semblaient pas vouloir les inhiber.
- Servir la Force exige des sacrifices et un dévouement qui dépassent votre compréhension. Mais comme nous ne recevons pas beaucoup de visiteurs, votre ignorance est tout à fait pardonnable dans votre cas.
La colère déforma les traits de Leli et de Ethan, avant que Julius Contispex ne s’éclaircit la gorge.
- Hum, Ethan, tu devrais montrer plus de respect si tu désires prendre en main les affaires importantes plus tard.
- Oui, papa.
- Et cela vaut aussi pour vous.
Il s’adressait à Leli, qui s’inclina.
- Oui, monsieur.
Sur ces remises au point, l’ambassadeur Hutt pénétra dans le salon. Bekan surprit Linza Contispex se pincer le nez, agressée par les effluves putrides qui se dégageaient des pores de la peau écailleuse du représentant des kadijics de Nal Hutta.
Le droide qui l’escortait, annonça solennellement :
- Son Énormité, l’ambassadeur Gaarba Hestilic Uruth, représentant des honorables kadijics de Nal Hutta auprès du Sénat, adresse ses hommages les plus respectueux à son Excellence, le Chancelier Suprême de la République.
Ethan Contispex se permit un commentaire médisant à voix basse.
- Représentant des marais fétides, ce serait plus exact.
Ce qui ne fut pas du goût de son père, qui le foudroya du regard.
- Nous saluons chaleureusement l’ambassadeur des kadijics de Nal Hutta, commença le patriarche, et espérons que l’accueil au sein de ma propre famille lui sied beaucoup. J’aimerais vous présenter ma femme Linza…
Le Hutt l’interrompit de sa voix profonde et gutturale, qui traduisait son impatience.
- Son Énormité vous prie d’excuser son empressement, prononça l’interprète, mais il souhaiterait aborder sans tarder l’objet de sa visite qui l’a amené au sein de votre honorable famille.
- Bien entendu, fit Linza Contispex. nous louons le professionnalisme de l’ambassadeur Gaarba et la sagesse des kadijics qui l’ont choisi pour les représenter parmi nous.
Gaarba, rasséréné par ces compliments, fit part de son approbation.
- Son Énormité transmettra les louanges de madame Contispex aux kadijics sans faute. D’inestimables cadeaux de valeur lui seront envoyés pour la remercier de sa bonté exemplaire.
- Parfait, coupa le Chef d’État. Maintenant discutons du sujet qui vous amène, ambassadeur.
Les yeux reptiliens démesurés du Hutt se plissèrent avant qu’il ne tonna de nouveau de sa voix caverneuse.
- Son Énormité demande au nom des kadijics de Nal Hutta des explications quant aux récentes incursions de la Flotte Républicaine à proximité de la Nébuleuse d’Oktos et le long de l’Ootmian Pabol.
Gaarba faisait allusion au stationnement de la Cinquième Flotte dont les éléments les plus proches de l’Espace Hutt étaient positionnés dans le système d’Ubrikkia, qui constituait un emplacement stratégique sur l’Ootmian Pabol, une route commerciale ouverte des siècles auparavant pour rallier les territoires Hutts aux mondes de la République.
Les Hutt avaient commencé à réagir lorsque l’amirale Amicia Amukos avaient déployé des unités pour mener des patrouilles, proches des frontières. Des escadrons de chasseurs et des frégates avaient mené des manœuvres intimidantes contre des vaisseaux de contrebande appartenant à des seigneurs Hutt, suscitant leur colère. En riposte, les kadijics avaient envoyé leur flotte pour surveiller les secteurs frontaliers.
- Je n’ai pas lu les derniers rapports de l’amirale Amukos, peut-être auriez-vous l’obligeance de m’éclairer sur ce point.
Julius Contispex avait lu les derniers rapports mais son mensonge éhonté avait pour objectif d’user la patience de l’ambassadeur par simple plaisir mesquin.
- Son Énormité vous fera l’honneur de vous résumer les derniers incidents fâcheux pour suppléer à votre défaillance.
- Défaillance ? Est-ce que cette grosse limace répugnante sait à qui elle parle, au moins ? Réagit Ethan Contispex avec virulence.
Gaarba le dévisagea avec sévérité et émit un grondement.
- Son Énormité pardonnera volontiers l’insolence de votre progéniture, à condition qu’elle se taise à jamais.
- Cela n’arrivera plus, lui promit Julius. Revenons à notre affaire.
Bekan observa que le fils évitait le regard furieux de son père. Cette fois, l’ambassadeur chargea son interprète de relater les faits.
- Il y a environ quatre jours standard, deux escadrons de chasseurs stellaires républicains de classe Typhon ont fait irruption dans le système de Tol Amn, tentant d’arraisonner illégalement un vaisseau de commerce du kadijic Besadii. Ils ont ouvert le feu et tenté de détruire le cargo sans sommations. Une de nos patrouilles a intercepté le signal de détresse et est intervenue à temps. Les pilotes refusant de se retirer, le combat a été engagé. Une de nos corvettes a été endommagée et doit subir des réparations, deux appareils ennemis ont été détruits et leurs pilotes capturés. Ceux-ci ont prétendu qu’ils avaient été attaqués par ce vaisseau, une version qui nous paraît bancale.
- Ah oui, cet incident-là, fit le Chancelier dont la mémoire semblait revenir. L’amirale Amukos m’a remis son rapport à ce sujet. Mais je vous en prie, je serais curieux de connaître la position des kadijics.
Gaarba s’éclaircit la gorge, un bruit qui évoquait le raclement d’une canalisation encrassée. De nouveau, il répondit en des termes peu amènes, traduits dans les instant suivants.
- Son Énormité déclare que les kadijics considèrent que cette intrusion dans un système frontalier est une agression délibérée contre leurs intérêts. Ils ne libéreront les deux pilotes que si la République retire ses forces du système d’Ubrikkia et garantit que le libre échange commercial ne sera plus menacé.
- De quelles garanties parlons nous, au juste ?
- Les kadijics demandent le versement d’une forte indemnité en compensation du préjudice moral subi suite à cette intrusion illicite, ainsi que des dommages et intérêts en rapport avec les troubles causés par cette dispersion de la main d’œuvre causée par ladite intrusion. L’ambassadeur Gaarba a l’intention de déposer cette requête devant le Sénat lui-même.
Le Hutt parut satisfait du petit effet que produisirent ses exigences. L’impassibilité du clan Contispex masquait une rage froide.
- Je vois, fit le patriarche.
Bekan ne pouvait s’empêcher de penser que les exigences des Clans Hutt étaient à la limite de l’outrance. La main d’œuvre qu’ils auraient perdu lors de l’incident de Tol Amn ne désignait rien de moins que les esclaves chargés de récolter la terre sur ce monde brumeux et orageux.
Aux lisières de l’Espace Hutt, la République avait concentré des forces militaires importantes le long du Tube de Trax, une voie hyperspatiale qui courait de Daalang jusqu’à Randon. Des rapports sur l’état des défenses des kadijics envoyés au Haut Conseil, montraient clairement qu’ils n’auraient pas les moyens de résister à une offensive d’envergure coordonnée, à moins de faire appel à des alliés.
Étant donné leur réputation sulfureuse de seigneurs du crime, l’alsakani doutait que quiconque prenne le risque de les soutenir directement. Il se demandait si les Hutt avaient conscience de leur infériorité.
Leurs exigences ressemblaient à du bluff, pour faire croire qu’ils bénéficiaient d’une puissance de feu importante. À moins qu’il ne s’agisse d’une tragique inconscience… dans ce cas ils sous estimaient gravement la détermination du Chancelier Suprême. Car il ne faisait aucun doute pour le Chevalier Jedi, que le maître de la République se savait en position de force et qu’il ne se laisserait guère impressionner par les rodomontades de son invité.
- L’amirale Amukos nous a fait part d’une toute autre version, qui sera évidemment relayée au Sénat si vous persistez dans votre démarche peu constructive pour les relations entre vos Clans et mon gouvernement.
Sûr de son fait, Julius Contispex se laissa aller dans le divan, toisant son antagoniste avec une certaine morgue.
- Le vaisseau pourchassé par nos pilotes appartenait à des esclavagistes se livrant à du trafic d’être humains des Mondes du Noyau jusqu’aux mondes périphériques de la République, et possédant des liens étroits avec le clan Besadii, l’un des clans les plus importants de Nal Hutta si ma mémoire ne me trompe pas.
Il se pencha en avant, les yeux luisant d’une intensité particulière.
- Des esclavagistes qui n’hésitent pas à briser des vies, à déchirer des familles entières… tout cela dans le but d’alimenter un commerce ignoble, dont les clans Hutt tirent un bénéfice substantiel.
Le droide traduisit l’indignation de Gaarba.
- Son Énormité aimerait savoir sur quelles preuves reposent vos accusations iniques.
- Je les exposerai si l’ambassadeur persiste à vouloir se plaindre devant le Sénat.
Les yeux reptiliens du Hutt s’agrandirent sous le coup de la fureur.
- Son Énormité met en garde le Chancelier Suprême de subir le même sort que Xim le despote, si la République persiste dans ses dangereuses provocations.
- L’ambassadeur Gaarba se permettrait-il de menacer le Chef d’État de la République en personne ? Rétorqua l’intéressé.
Bekan jugea bon d’intervenir.
- Vos Excellences, il serait opportun de ne pas succomber à la tentation de l’escalade. Cela ne serait dans l’intérêt de personne.
Tous les regards convergèrent vers lui.
- Il va de soi que les activités de l’Espace Hutt ne regardent en rien la République tout comme il est évident que leurs activités doivent être réglementées dans les systèmes régis par les lois de notre gouvernement.
- Que proposez-vous, Maître Jedi ? Fit Linza Contispex.
- Le Haut Conseil a pris position sur le sujet et ne souhaite pas de guerre, avant que toutes les options n’aient été usées. Les Jedi se portent volontaires pour aider les deux parties à régler les différents.
- Attendez un peu, l’ermite ! s’écria Ethan Contispex. Vous n’êtes pas censés servir la République, c’est-à-dire, mon père ?
Bekan lui répondit comme s’il avait en face de lui, un enfant.
- Les Jedi sont avant tout au service de la paix et c’est pourquoi je propose en leur nom un compromis temporaire visant à désamorcer un peu la crise.
Gaarba signifia son approbation.
- Son Énormité vous écoute, Maître Jedi.
- Je propose que les Hutt rendent à la République les deux pilotes capturés et coopèrent activement aux enquêtes lancées par le Sénat sur les trafics divers qui essaiment dans les systèmes de la République, afin de déterminer l’identité des responsables véritables. En échange, la Cinquième Flotte doit être rappelée et des indemnités doivent être versées en compensations des dommages subis par la planète Tol Amn.
Le mutisme éloquent général indiquait que chaque partie pesait scrupuleusement les avantages et les inconvénients que pouvait leur offrir un tel accord.
- Son Énormité considérera plus acceptable que la Cinquième Flotte se retire du système d’Ubrikkia avant de relâcher les deux pilotes, fut-il annoncé par le robot interprète.
- Pardonnez-nous ambassadeur Gaarba, fit remarquer le Chancelier Suprême, mais quelles garanties nous offrez-vous ? Vous vous doutez bien que le Sénat ne se fiera pas qu’à votre seule parole.
Avec un nouveau grondement de la part du Hutt :
- Son Énormité offre d’aider immédiatement à la stabilité durable des frontières de l’Espace Bothan en détruisant les bases de pirates qui troublent la tranquillité des systèmes avoisinants. Les kadijics sont prêts à accorder à la République une coopération sans condition sur ce thème.
- C’est un bon début, concéda Julius Contispex. Qu’en pensez-vous, Jedi ?
Bekan passa la main dans sa barbe, l’air pensif. La roublardise était une seconde nature chez les Hutt, tout comme chez le Chef d’État actuel de la République. Il tenta de se projeter dans les flux de la Force pour discerner leurs réelles intentions et l’avenir proche. Mais un flou obstruait ses perceptions.
Il était donc forcé de supposer que les deux parties feraient preuve de bonne volonté, sans en avoir la totale certitude.
- Je ne doute pas que le Haut Conseil approuve cette démarche, quand je leur rendrai mon rapport, répondit-il finalement.
- Alors, c’est entendu. Quand les Hutt enverront des éléments militaires aider la Quatrième Flotte de l’amiral Hisku à pacifier les frontières de l’Espace Bothan, nous envisagerons avec beaucoup d’intérêt, le retrait de la Cinquième Flotte.
Gaarba renchérit, par l’intermédiaire de son droide :
- Son Énormité souhaite au nom de tous les kadijics une prospérité nouvelle des relations entre nos gouvernements.
L’entretien était ainsi conclu et tous ceux qui demeuraient assis, se levèrent pour saluer l’ambassadeur Hutt qui fit volte face. Bekan Kalad et son padawan lui emboîtèrent le pas, laissant le clan Contispex au complet seuls dans le salon.
Ethan renifla lorsqu’il remarqua sur le sol marbré la traînée malodorante, vestige du passage de l’ambassadeur.
- Pouah ! Il faudra penser à nettoyer par ici !
Leli appuya son dégoût d’un pincement de nez.
- C’est bien la dernière fois que nous acceptons ce genre d’impurs dans notre maison.
Julius se tourna pour la fixer avec sévérité.
- Notre maison ? s’exclama-t-il. Vous n’appartenez pas encore à notre famille, Leli. Vous n’avez pas à me dire ce que je dois faire chez moi.
- Pardon, monsieur. J’ai parlé trop vite.
- C’est bien cela votre problème, martela Linza. Vous parlez trop et vous ne réfléchissez pas assez, tous les deux.
Les jeunes gens dansèrent nerveusement sur leurs pieds.
- Maintenant, laissez-nous. Ma femme et moi devons discuter de la façon dont vous devrez apprendre à servir la famille et la Grande Déesse.
Ethan et sa dulcinée ne protestèrent pas davantage devant l’intransigeance du patriarche. Celui-ci s’assit de nouveau sur le divan, sa femme à ses cotés. Elle l’enlaça avec vigueur avant de lui demander :
- Tu vas vraiment retirer la Cinquième Flotte du système d’Ubrikkia ?
Il lui accorda un sourire sournois.
- Bien sûr que non. Qu’importe les concessions que les Hutt nous feront.
- Nous allons maintenir la pression, approuva-t-elle. Mais tu devrais suggérer à l’amirale Amukos de suspendre toute opération aux frontières de leur Espace. Si les Hutt capturent encore des pilotes et décident de les exécuter pour l’exemple, l’Honorable Fraternité pourrait s’en servir contre toi pour dénoncer ton bellicisme et leurs conséquences. N’oublie pas que tu dois être vu comme le garant de la paix.
- Mais je dois aussi montrer ma détermination…
-...et c’est pour cela que tu feras voter au Sénat un embargo total qui les soumettra et les affaiblira durablement.
- Je pense que l’ambassadeur Gaarba aura une mauvaise surprise quand il déposera ses doléances devant le Sénat.
Une satisfaction cruelle éclaira leurs traits avant qu’ils ne se laissèrent aller à une fervente effusion.
Bekan Kalad jeta un dernier regard en direction de l’ambassadeur Hutt qui s’éloignait pour prendre un turbo ascenseur plus adapté à sa corpulence. Son padawan avait de nouveau allumé la sphère qu’il avait réparé et la machine flottait devant lui en émettant un bourdonnement bas. Le Jedi alsakani repoussa d’un geste de la main le dévouement de l’adepte qui les avait escortés.
- Inutile de nous raccompagner, madame, nous connaissons le chemin.
- Comme vous voudrez, Maître Jedi. Que la Déesse vous absout de vos péchés et vous guide sur le chemin de la Vertu.
Elle le salua en joignant les paumes devant la poitrine, un salut auquel il ne répondit pas. Il attendit ensuite que les battants du turbo ascenseur se refermèrent derrière lui pour interroger le jeune draethos.
- Qu’as-tu ressenti, Oriko ?
L’élève non humain se détourna un instant de la sphère pour croiser le regard de son maître. Ce dernier surprit ses petites mains griffues en train de trembler alors que son malaise troublait la sérénité de la Force.
- Je… hésita-t-il.
- Ne crains rien, tu es avec moi, le rassura son instructeur en posant une réconfortante main paternelle.
L’alsakani lui transmit des ondes de calme par le biais de la Force, qui apaisa peu à peu l’enfant. À seulement dix ans, Oriko démontrait une exceptionnelle faculté télépathique à déceler les pensées les plus enfouies et les onces d’émotion les mieux dissimulées avec un rare talent. Le revers de la médaille était une hypersensibilité d’autant plus accrue.
Ses sens étaient démultipliés ce qui pouvait le déséquilibrer. Il devait donc rester auprès de lui, anticiper les moindres fluctuations d’émotions pour que sa formation continue de se dérouler de manière optimale.
- J’ai perçu de la colère, de la peur et aussi beaucoup… beaucoup de malheur, de tristesse.
Des larmes coulaient sur ses joues lisses comme du cuir poli avant que Bekan ne le prit dans ses bras.
- Ça ira, Oriko. Concentre-toi sur mes pensées, tu es en sécurité. Nul mal ne peut t’atteindre, laisse-toi baigner au coeur de la Force.
- Oui, maître.
Le petit non humain sécha ses larmes avant qu’il ne le relâcha. Il redevint un enfant espiègle lorsqu’il tenta d’attraper les petites pattes du robot qui esquiva ses tentatives. Oriko laissa cependant l’ombre du doute ternir son humeur.
- Maître. Si des gens souffrent ici, on pourra les aider ?
Les yeux bruns du natif d’Alsakan errèrent dans le vide. Il devinait que des secrets sordides hantaient la demeure des Contispex.
- Si la Force le veut, Oriko. Pour le moment nous rentrons au Temple, tu as besoin de parfaire ta maîtrise dans l’art du sabre.
Voilà, j'espère que cela vous a plu! N'hésitez pas à me dire ce que vous en avez pensé

!
Et on se retrouve à la prochaine! ciao

!