Mais n'oubliez pas la contrainte qui vous est imposée par Mandoad : il pleut !
Et c'est parti ! Vous avez jusqu'au dimanche 25/06 inclus pour poster votre plus beau texte de 150 mots (avec une tolérance de 25 mots en-dessous ou au-dessus de ce seuil), sous balise spoiler.
A vos claviers !
Edit : Les challengers !
Jies
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Ploc… Ploc… Ploc…
C’est ce tintement en apparence insignifiant qui réveilla Anakin Skywalker, alors que celui-ci somnolait paisiblement au sein de la majestueuse Contrée des Lacs, profitant des quelques instants précieux qu’il était parvenu à soustraire à son noble engagement pour se retirer auprès de sa bien-aimée, la Sénatrice Padmé Amidala. Intrigué, le héros sans peur entrouvrit péniblement les yeux et se décida non sans regret à s’aventurer hors de ce lit si douillet. Mais tandis que ses orteils touchaient le sol impeccablement marbré, quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’il s’aperçut, stupéfait, qu’il mettait le pied dans une flaque d’eau ! Kamino n’avait qu’à bien se tenir…
Le regard du Jedi se perdit alors sur ce mur jadis blanc comme le pelage d’un Wampa, et qui était subitement si décrépit qu’on l’aurait cru tout droit sorti d’un squat des bas-fonds de Nal Hutta. Une seule nuit avait donc suffi à ces quelques malheureuses gouttes pour mettre à mal la structure de ce bel édifice. Inconcevable pour le jeune Tatooinien qu’il était. Et pourtant…
(175)
C’est ce tintement en apparence insignifiant qui réveilla Anakin Skywalker, alors que celui-ci somnolait paisiblement au sein de la majestueuse Contrée des Lacs, profitant des quelques instants précieux qu’il était parvenu à soustraire à son noble engagement pour se retirer auprès de sa bien-aimée, la Sénatrice Padmé Amidala. Intrigué, le héros sans peur entrouvrit péniblement les yeux et se décida non sans regret à s’aventurer hors de ce lit si douillet. Mais tandis que ses orteils touchaient le sol impeccablement marbré, quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’il s’aperçut, stupéfait, qu’il mettait le pied dans une flaque d’eau ! Kamino n’avait qu’à bien se tenir…
Le regard du Jedi se perdit alors sur ce mur jadis blanc comme le pelage d’un Wampa, et qui était subitement si décrépit qu’on l’aurait cru tout droit sorti d’un squat des bas-fonds de Nal Hutta. Une seule nuit avait donc suffi à ces quelques malheureuses gouttes pour mettre à mal la structure de ce bel édifice. Inconcevable pour le jeune Tatooinien qu’il était. Et pourtant…
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Hillys
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Kriff ! Elle savait que c’était une mission dangereuse. Mais après quatre années passées au sein des rangs ennemis, elle avait fini par croire que, finalement, les choses pourraient bien se passer. C’était sans compter cet abruti de Samun. Comment aurait-elle pu deviner qu’il connaissait bien la petite colonie dont elle prétendait venir ? Demain matin, sa couverture serait sûrement grillée. Elle devait se tirer d’ici, et vite.
Lorsqu’elle déboucha enfin dans le hangar, vide à cette heure de la nuit, elle fut accueillie par une pluie fine. Il serait difficile de voler dans ces conditions, mais elle n’avait pas le choix. Relevant les mèches trempées qui pendaient devant ses yeux, elle chercha rapidement du regard le vaisseau qui les sauveraient, elle et les plans qu’elle emportait.
Le bruit d’une respiration rauque la figea sur place. Lui. C’était lui. Elle se retourna lentement pour lui faire face. Des volutes de vapeur dansaient autour de sa lame rouge qui vibrait dans la pénombre.
« Vous nous quittez déjà, officier ? »
(175)
Lorsqu’elle déboucha enfin dans le hangar, vide à cette heure de la nuit, elle fut accueillie par une pluie fine. Il serait difficile de voler dans ces conditions, mais elle n’avait pas le choix. Relevant les mèches trempées qui pendaient devant ses yeux, elle chercha rapidement du regard le vaisseau qui les sauveraient, elle et les plans qu’elle emportait.
Le bruit d’une respiration rauque la figea sur place. Lui. C’était lui. Elle se retourna lentement pour lui faire face. Des volutes de vapeur dansaient autour de sa lame rouge qui vibrait dans la pénombre.
« Vous nous quittez déjà, officier ? »
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Alionouchka
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L’enfant était recroquevillé. Chaque éclair tailladant le ciel lui déchirait aussi le ventre. Luke lui avait dit, pourtant, que la nature ne devait jamais l’effrayer car même dangereuse, elle n’était qu’un écho de la Force.
Il aurait souhaité que ce fût un écho moins assourdissant. Il aurait souhaité avoir simplement les bras de sa mère pour le bercer, la possibilité de ne pas avoir à tout affronter seul, dans le vide vertigineux de sa sensibilité acérée au monde.
Un murmure entêtant lui permit d’oublier le fracas du tonnerre et les hurlements du vent.
- Les meilleurs utilisateurs de la Force sont capables de maîtriser les éclairs. Ce sera une formalité pour toi qui es destiné à être le maître du ciel.
Il écouta encore un temps cette rumeur rassurante. Bientôt, il ne resta plus que la douceur du chant régulier de la pluie sur le toit de sa hutte et la certitude qu’il n’était plus seul face à ses doutes.
Ben n’eut plus jamais peur de l’orage.
Il aurait souhaité que ce fût un écho moins assourdissant. Il aurait souhaité avoir simplement les bras de sa mère pour le bercer, la possibilité de ne pas avoir à tout affronter seul, dans le vide vertigineux de sa sensibilité acérée au monde.
Un murmure entêtant lui permit d’oublier le fracas du tonnerre et les hurlements du vent.
- Les meilleurs utilisateurs de la Force sont capables de maîtriser les éclairs. Ce sera une formalité pour toi qui es destiné à être le maître du ciel.
Il écouta encore un temps cette rumeur rassurante. Bientôt, il ne resta plus que la douceur du chant régulier de la pluie sur le toit de sa hutte et la certitude qu’il n’était plus seul face à ses doutes.
Ben n’eut plus jamais peur de l’orage.
(175)
Rikuiame
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Lorsque le cercueil fut mis en terre, le Commandant salua ; imité par les autres soldats. Si les huiles qualifiaient l'opération de réussite, Jax n'éprouvait qu'amertume. Mal préparés et mal renseignés, un seul clone gravement blessé était revenu de son infiltration chez l'ennemi. Il n'avait même pas eu droit à un traitement bacta. "Réduction budgétaire" avait justifié l'officier impérial.
Hotshot s'était pourtant porté volontaire et Jax n'avait pu qu'accepter malgré ses réticences. Il était son supérieur. Pas son frère. Un bon soldat...
Quand l'escadron Sept passa au-dessus de leur tête pour un dernier hommage, Jax sentit une goutte s'écraser contre sa joue.
- Tiens, il pleut, commenta-t-il pour lui-même.
Un pas en arrière, le Capitaine Whiplash lui décocha un regard circonspect.
- Commandant ? Le ciel, il...
- Si, coupa Jax. (Une nouvelle goutte glissa sur son visage.) Il pleut.
(150)
Hotshot s'était pourtant porté volontaire et Jax n'avait pu qu'accepter malgré ses réticences. Il était son supérieur. Pas son frère. Un bon soldat...
Quand l'escadron Sept passa au-dessus de leur tête pour un dernier hommage, Jax sentit une goutte s'écraser contre sa joue.
- Tiens, il pleut, commenta-t-il pour lui-même.
Un pas en arrière, le Capitaine Whiplash lui décocha un regard circonspect.
- Commandant ? Le ciel, il...
- Si, coupa Jax. (Une nouvelle goutte glissa sur son visage.) Il pleut.
(150)
Vulctyl
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Le tonnerre retentit violemment à travers tout Aldera.
Au moins, songea Uvur, l’orage de ce monde avait plus de caractère que ses habitants. Il était fort, impétueux. Le martèlement implacable de la pluie battant sur le sol de la capitale formait un curieux contraste avec les Alderaanis, tous plus mous, plus incapables les uns que les autres.
Voilà plusieurs mois qu’il vivait parmi eux, portait leurs habits, parlait leur langage, et pas un seul jour il n’avait regretté sa Mandalore natale. Même les Jedi, sur Alderaan, étaient d’une naïveté exaspérante. Seule permettait à Uvur de patienter la certitude que le Sabre était sur cette planète.
D’un grognement, Uvur chassa ses regrets. Dans peu de temps, tout serait fini. Le Temple des Jedi était tout proche, et derrière ses murs étincelants, le Sabre Noir attendait.
Attendait qu’un guerrier digne de ce nom s’en empare.
(150)
Au moins, songea Uvur, l’orage de ce monde avait plus de caractère que ses habitants. Il était fort, impétueux. Le martèlement implacable de la pluie battant sur le sol de la capitale formait un curieux contraste avec les Alderaanis, tous plus mous, plus incapables les uns que les autres.
Voilà plusieurs mois qu’il vivait parmi eux, portait leurs habits, parlait leur langage, et pas un seul jour il n’avait regretté sa Mandalore natale. Même les Jedi, sur Alderaan, étaient d’une naïveté exaspérante. Seule permettait à Uvur de patienter la certitude que le Sabre était sur cette planète.
D’un grognement, Uvur chassa ses regrets. Dans peu de temps, tout serait fini. Le Temple des Jedi était tout proche, et derrière ses murs étincelants, le Sabre Noir attendait.
Attendait qu’un guerrier digne de ce nom s’en empare.
(150)
Mandoad
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Infiltration
Elles lézardaient son visage, rivières mouvantes et scintillantes sur la vitre de transpacier qui le coupait du monde extérieur. À chaque impact qui résonnait, une nouvelle trainée venait s’ajouter pour s’écouler dans un fascinant et imprévisible parcours. Il la voyait, elle aussi, pâle silhouette à peine définie qui dormait encore derrière lui, inconsciente de son trouble et de ses pensées. Des pensées qu’il avait crû pouvoir repousser. Pourtant, au fond de lui, ses convictions se morcelaient elles-aussi. Tout aurait dû être bien plus simple. Après tout, il s’agissait d’une Séparatiste. Il s’agissait de l’ennemi, non ? Derrière lui, il y eut un bâillement et il jeta un dernier regard à son propre reflet dont le masque n’était plus fendu que par la pluie. Pour la première fois en près de dix ans, il se demanda s’il était dans le bon camp ?
(150)
Elles lézardaient son visage, rivières mouvantes et scintillantes sur la vitre de transpacier qui le coupait du monde extérieur. À chaque impact qui résonnait, une nouvelle trainée venait s’ajouter pour s’écouler dans un fascinant et imprévisible parcours. Il la voyait, elle aussi, pâle silhouette à peine définie qui dormait encore derrière lui, inconsciente de son trouble et de ses pensées. Des pensées qu’il avait crû pouvoir repousser. Pourtant, au fond de lui, ses convictions se morcelaient elles-aussi. Tout aurait dû être bien plus simple. Après tout, il s’agissait d’une Séparatiste. Il s’agissait de l’ennemi, non ? Derrière lui, il y eut un bâillement et il jeta un dernier regard à son propre reflet dont le masque n’était plus fendu que par la pluie. Pour la première fois en près de dix ans, il se demanda s’il était dans le bon camp ?
(150)
mat-vador
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Le Sith togorien Dark Sakar observait par la vitre de transparacier, la pluie abondante qui arrosait les bâtiments de Tipoca City et les océans de Kamino. Le ciel terne, zébré d'éclairs, devenait un tableau idyllique tandis la mélodieuse symphonie des orages qui grondaient à l'horizon, accompagnait ses pensées. Le félinoide vêtu d'un kimono sombre, sentait que ce monde retiré de la Bordure Extérieure, recelait un potentiel important.
En tant que chef de sécurité de la corporation Ororo Transports, il était chargé d'établir un comptoir commercial avec des autochtones discrets. En tant que Seigneur Noir des Sith, il lui fallait déterminer à quel point Kamino était important pour la mise en œuvre du Grand Plan des Sith dont l'objectif ultime demeurait la destruction de la République et des Jedi. Il infiltrerait des agents dévoués aux Sith, qui répondraient à cette question cruciale.
Un éclair déchira les nuages sombres pour s'écraser au loin dans les océans, illuminant dans un flash ses pupilles, baignées dans la braise funeste du Côté Obscur.
(174)
En tant que chef de sécurité de la corporation Ororo Transports, il était chargé d'établir un comptoir commercial avec des autochtones discrets. En tant que Seigneur Noir des Sith, il lui fallait déterminer à quel point Kamino était important pour la mise en œuvre du Grand Plan des Sith dont l'objectif ultime demeurait la destruction de la République et des Jedi. Il infiltrerait des agents dévoués aux Sith, qui répondraient à cette question cruciale.
Un éclair déchira les nuages sombres pour s'écraser au loin dans les océans, illuminant dans un flash ses pupilles, baignées dans la braise funeste du Côté Obscur.
(174)
Adanedhel
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— Qui-Gon ! On ne devrait pas être ici !
Adi se parait de toute l'autorité dont elle était capable, mais il semblait évident que le jeune novice n'en ferait qu'à sa tête. Il la regarda avec, au fond des yeux, cette curiosité insatiable qu'elle admirait tant. Et se faufila à travers la lucarne.
Parmi tous les novices du Temple, Qui-Gon Jinn était son plus proche ami. Mais parfois, il pouvait se montrer des plus agaçants.
Elle le suivit, et les écailles iridescentes qui recouvraient son crâne se trouvèrent balayées par la pluie qui nimbait Coruscant d’un épais voile de brumes.
Elle protégea ses yeux et leva la tête, trouvant Qui-Gon qui escaladait la paroi glissante quelques mètres plus haut. C’était plus fort que lui. Il devait se faufiler dans les Archives dès qu’il en avait l’occasion…
Elle poussa un soupir en imaginant le sermon auquel ils auraient droit. Mais ce serait irresponsable de le laisser y aller seul. Et puis, les Archives regorgeaient de choses passionnantes à découvrir…
Adi se parait de toute l'autorité dont elle était capable, mais il semblait évident que le jeune novice n'en ferait qu'à sa tête. Il la regarda avec, au fond des yeux, cette curiosité insatiable qu'elle admirait tant. Et se faufila à travers la lucarne.
Parmi tous les novices du Temple, Qui-Gon Jinn était son plus proche ami. Mais parfois, il pouvait se montrer des plus agaçants.
Elle le suivit, et les écailles iridescentes qui recouvraient son crâne se trouvèrent balayées par la pluie qui nimbait Coruscant d’un épais voile de brumes.
Elle protégea ses yeux et leva la tête, trouvant Qui-Gon qui escaladait la paroi glissante quelques mètres plus haut. C’était plus fort que lui. Il devait se faufiler dans les Archives dès qu’il en avait l’occasion…
Elle poussa un soupir en imaginant le sermon auquel ils auraient droit. Mais ce serait irresponsable de le laisser y aller seul. Et puis, les Archives regorgeaient de choses passionnantes à découvrir…
(173)
Loïc Solaris
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Le padawan avait senti le problème. C'était comme un bruit horripilant qui lui cassait les oreilles.
Il laissa son maître bavarder avec leur hôte, un vieux roi d'une nation peu avancée sur une planète reculée.
La diplomatie n'était pas son truc. Le combat non plus. Mais qu'importe. Là, il s'était trouvé une mission tout seul. Discrètement il s'était éloigné du trône pour atteindre ce mur qui provoquait tant de "bruit". L'air de rien, il y plaça une main et se concentra. Il trouva les premières fissures, les remonta mentalement, croisa des molécules d'eau, qu'il repoussa loin, puis qu'il bloqua a l'aide d'un agrégat de poussière.
-Mais que faîtes-vous jeune homme ? lui demanda au loin le Roi.
-Eh bien, à cause de la pluie incessante ici, j'ai perçu des infiltrations d'eau le long de ce mur. Mais le problème est réglé !
Abasourdi, le Roi demanda au Maître : les Jedi s'occupent de ça aussi ?
(168)
Il laissa son maître bavarder avec leur hôte, un vieux roi d'une nation peu avancée sur une planète reculée.
La diplomatie n'était pas son truc. Le combat non plus. Mais qu'importe. Là, il s'était trouvé une mission tout seul. Discrètement il s'était éloigné du trône pour atteindre ce mur qui provoquait tant de "bruit". L'air de rien, il y plaça une main et se concentra. Il trouva les premières fissures, les remonta mentalement, croisa des molécules d'eau, qu'il repoussa loin, puis qu'il bloqua a l'aide d'un agrégat de poussière.
-Mais que faîtes-vous jeune homme ? lui demanda au loin le Roi.
-Eh bien, à cause de la pluie incessante ici, j'ai perçu des infiltrations d'eau le long de ce mur. Mais le problème est réglé !
Abasourdi, le Roi demanda au Maître : les Jedi s'occupent de ça aussi ?
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Je pense que tu peux raccourcir facilement le texte d'au moins 15 mots en relisant une ou deux fois. Il ne faut pas hésiter à tailler. 
Ton texte n'en reste pas moins bon au demeurant. ^^
!
! Oui, je vois votre déception d'ici...
)
! Faudra que je commence ta fan fic un de ces jours, Ada 
