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Racer
Fiche et test (PC) | Cheat Codes | Les raccourcis | Les records | Downloads
Racer
 
  • Genre Course
  • Série Episode 1
  • Année de sortie 1999
  • Année et période -32 (Emergence de l'Empire)
  • Plate-forme(s) PC  Macintosh  Nintendo 64  Dreamcast  Game Boy  Nintendo Switch  PlayStation 4  Xbox One
  • Star Wars : Episode 1 : Racer, sorti en 1999 en même temps que le film était un pari pour LucasArts qui n'avait jamais vraiment réussit à faire un bon jeu Star Wars depuis X-Wing Alliance... Si le jeu homonyme du film est décevant, là on est forcé de constater que c'est une réussite ! Il s'agit d'un jeu reprennant la célèbre course du film, vous pouvez donc incarner Anakin Skywalker ou un des 17 autres concurrents dans un tournoi de 25 courses délirantes !

  • Note du staff SWU
     (83 % - Test SWU et 4 commentaires)
  • Note des internautes
     (83 % - 28 commentaires)

Introduction

Il est dit que tout jeu tiré d’une licence cinématographique est automatiquement sujet à des appréhensions, qu’il s’agisse d’un FPS, d’un RPG ou tout simplement d’un jeu arcade. Ce dernier type étant celui de notre jeu mis sous les feux des projecteurs. Le jeu, comme son nom l’indique ne met pas en avant 24h dans la vie d’un Wampa sur Hoth mais plutôt l'adaptation des « courses de modules », le sport extrême spectaculaire (au sens figuré et littéral) intégré à l’Episode I en guise de pic de tension ou de suspens (ce n’est pas l’effet que ça m’a fait à moi, en tout cas.) Nous reviendrons, en tout cas, sur ces appréhensions quelques fois justifiées, mais d’autres fois non.

Configuration conseillée

  • PII 250MHz
  • 32MO de RAM
  • Carte 3D 8MO

Le Gameplay

Paf, gros coup marketing pour LucasArts (développeur exclusif avec à sa tête, tenez-vous bien : John Knoles) : « On pourra voler à plus de 800 km/h » (Je vous passe les trois points d’exclamation derrière). Mais encore ?

Finalement, je reste sceptique : c’est vrai que le gameplay s’éloigne peu de celui de tous ces jeux de courses etc. Et que seules quelques possibilités banales nous sont offertes : Tourner à droite, accélérer, freiner, pivoter... Ah, et j’allais oublier : tourner à gauche (si, si, c’est important !).

Bon sérieusement : mis à part une ou deux innovations (et encore, pas très poussées) qui sont : effectuer une sorte de turbo qui nous propulse à 800 km/h justement ainsi que la gestion des dégâts... Hop, j’appuie sur une touche et l’appareil se répare automatiquement si j’ai effleuré un mur ou si mon moteur a prit feu (avec mon impatience, ça m’est arrivé souvent... Car figurez-vous que si vous restez trop longtemps en mode Turbo, c’est ce qui arrive). 

PS : Ne perdez pas votre temps à jouer en facile ou moyen, la durée de vie se verrait coupée de moitié, car le jeu en lui-même a été créé (du moins je l’espère !!!) pour être joué en difficile. La compétition, la performance que vous offrent les adversaires dans ce cas sont dignes d’une course de Formule 1 (quand ça ne stagne pas) et le challenge est maximum. Inutile de vous dire qu’en facile, les meilleurs conducteurs d’entre vous prendront des tours aux CPUs.

La Pseudo-Gestion

Autre possibilité (supeeeer recherchée), gérer son appareil en achetant ou en réparant des pièces. Bon, les plus vicieux d’entre vous utilisent la vente aussi, mais ce n’est pas là mon point. On peut voir son appareil en 3D dans son hangar en train de se faire charcuter par des droïdes mécanos (Waaaah, décidément, ça me réconcilie définitivement avec le jeu) qui peuvent être eux aussi achetés (décidément, les développeurs aiment l’investissement !) pour une plus grande efficacité de réparation (en un mot : chose inutile).

Bref, ne rigolons pas trop car c’est le genre de chose à laisser un fan de 8 ans béa d’admiration pendant 8 heures.

Donc, la gestion de l’appareil : rapidité, freinage, sensibilité au tournant, accélération, réparation et j’en passe, tous plus inutiles les uns que les autres sachant que je n’ai pas senti la différence en replaçant un transpondeur par un hydro-transpondeur troisième génération (oui, oui, des noms à coucher dehors). En un mot : seule la rapidité (pour atteindre 800 km/h tiens...) compte.

« Et le favori de cette course est...

...Sebulbaaaaaa ».

Si on vous demande un jour ce que Sebulba a fait de bien dans sa vie, vous répondrez qu’il est le brillant inventeur de la phrase « Bantha Poodoo. ».

Inutile de vous présenter « l’intrigue » (qui n’en est même pas une, dans ce cas, puisque nous savons tous à quoi l’histoire aboutit, pour l’honneur de Qui-Gon Jinn en tout cas) et passons plutôt au contexte : En effet, si vous terminez votre parcours en pilotant la course de la Boonta (Tatooine), le tout se passe avant Episode I et l'on verra plusieurs planètes et tous les beaux circuits que cela nous apporte. De plus, nous ne sommes pas restreint à un seul pilote mais à tous ceux présents dans Episode I et dans la galaxie. (cf. Intérêt Star Wars, plus loin dans le test)

Art Baroque ou Abstrait ?

Au fur et à mesure que j’avance dans le test, je descends dans ma chaise en me tapant le front de plus en plus.

Place aux graphismes, modèles 3D et autres textures. Vous connaissez le sentiment quand vous commencez un dessin, que vous focalisez bien sur le premier plan et l’ayant fini, vous remarquez qu’il pue tellement que vous n’avez même plus envie de continuer le reste du dessin ? Alors vous comprendrez le travail des graphismes de Racer.

Les gars du développement ont dû commencer par modéliser les modules de courses (ou « Pods ») et ont dû oublier de réaliser les décors des niveaux en tant que tels. Sur une configuration dernière génération, les paysages étaient tellement flous et horribles que je me demandais combien de temps ils avaient dû passer dessus. Autant que moi sur ce sujet... Allez hop, circulez, il n’y a rien à voir !

Intérêt Star Wars

Là, je ne vais pas être ingrat. Les cinématiques brèves (15 secondes, faut pas pousser non plus !) qui entrecoupent une course de l’autre (qui introduisent le circuit et la planète en jeu) sont tout à fait honorable. Le contexte Univers Etendu est respecté a 100%, de plus, on a l’occasion de voir plusieurs planètes et des circuits inédits (facile puisqu’on ne voit que la Boonta dans l'Episode I) : Coruscant, Tatooine, Kessel, Malastare, Ando Prime, Ovoo IV, Mon Gazza, Aquilaris. Et on retrouve parallèlement les principaux coureurs de l'Episode I : Anakin (ah, tiens, le connaissait pas !), Sebulba (encore moins), Gascano (lui je le connais en Lego), Mars Guo (Il serait pas dans le staff de SWUG ?), Temto Pagalies et j’en passe (car on ne les connaît pas.)

Moult-Joueurs

- Un petit réseau ? Allez !!! C’est sympa... 
- Tout compte fait, jouons plutôt à JKII, au moins, on s’amusera vraiment ;) !

Bon, sérieusement, le jeu est plus gobable à deux (a trois, voir à quatre) mais lorsque vous aurez convaincu un (deux voire trois) autres joueurs à jouer à Racer, faites moi signe !!!

Bibs
Racer
Plate-forme :  PC

Points positifs

  • La vitesse !!
  • Les musiques du film
  • Pas besoin d'une grosse config
  • Les raccourcis

Points négatifs

  • Trop facile
  • Un peu répétitif
  • Pas grand chose en fait..
Note :
(81 %)