Mais n'oubliez pas la contrainte qui vous est imposée par GTZL1 : votre texte ne doit pas se contenter de reprendre une scène du film Solo !
Et c'est parti ! Vous avez jusqu'au dimanche 19/08 inclus pour poster votre plus beau texte de 150 mots (avec une tolérance de 25 mots en-dessous ou au-dessus de ce seuil), sous balise spoiler.
A vos claviers !

Edit : Les challengers !
Wilhem
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Mauvais joueur
Les tirs de blasters filaient de toute part dans la cantina, un fracas assourdissant ayant subitement remplacé la musique lancinante.
Dissimulé derrière une table renversée, Dox sourit. Ce qui était une partie de cartes tout à fait classique avait dégénéré. Mais dans cette galaxie troublée, cela faisait partie des risques. La quinzaine de clients présents s’étaient mit à tirer sur tout ce qui bougeait. Même les droids servant les consommations gisaient sur le sol. C’est dire !
Dox venait de gagner au sabacc les cinq mille crédits d’un malfrat local … ce dernier étant visiblement mauvais joueur.
Mais sur Corellia, l’Empire n’était jamais loin. D’ailleurs une patrouille venait d’entrer en trombe, faisant elle aussi feu de tout bois.
Dox rangea son arme et se recroquevilla derrière sa table, faisant mine d’être un client apeuré prit entre deux feux. Dans quelques minutes il serait tiré d’affaire… avec cinq mille crédits dans les poches.
Comme quoi, si les bons joueurs de sabacc ne faisaient pas long feu… ils tenaient toujours plus longtemps que les mauvais.
Les tirs de blasters filaient de toute part dans la cantina, un fracas assourdissant ayant subitement remplacé la musique lancinante.
Dissimulé derrière une table renversée, Dox sourit. Ce qui était une partie de cartes tout à fait classique avait dégénéré. Mais dans cette galaxie troublée, cela faisait partie des risques. La quinzaine de clients présents s’étaient mit à tirer sur tout ce qui bougeait. Même les droids servant les consommations gisaient sur le sol. C’est dire !
Dox venait de gagner au sabacc les cinq mille crédits d’un malfrat local … ce dernier étant visiblement mauvais joueur.
Mais sur Corellia, l’Empire n’était jamais loin. D’ailleurs une patrouille venait d’entrer en trombe, faisant elle aussi feu de tout bois.
Dox rangea son arme et se recroquevilla derrière sa table, faisant mine d’être un client apeuré prit entre deux feux. Dans quelques minutes il serait tiré d’affaire… avec cinq mille crédits dans les poches.
Comme quoi, si les bons joueurs de sabacc ne faisaient pas long feu… ils tenaient toujours plus longtemps que les mauvais.
(180)
Ve'ssshhh
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Sur l'astroport de ValVert, équipages de cargos pas toujours honnêtes et authentiques contrebandiers fréquentaient la cantina de Blight.
Près du comptoir, trois camarades jouaient gros.
- dix-huit, triompha un humain balafré.
- seize, pas mieux, pépia le rodien.
- Vingt-quatre, j’y étais presque, râla un humain barbu.
Le balafré rafla la mise, le barbu ajouta cinq cents au pot de sabacc.
Non loin, un jeune humain à la peau sombre vidait son verre, observant les joueurs. Son bel uniforme de la Startours paraissait incongru parmi les tenues négligées des habitués. Un rabatteur malhonnête lui avait probablement promis des danseuses Twi’lek.
- ce joli freluquet s’ennuie, susurra le barbu. On pourrait l’inviter ?
- Un Fyrren* prêt à plumer, approuva le balafré.
- Eh, jeune homme, ça vous dirait une partie de sabacc ?
Le freluquet approcha, intimidé mais ravi:
- Le sabacc ? C’est bien ce jeu où il faut faire vingt-trois ?
- c'est ça! Assieds-toi donc! C’est quoi ton nom, mon gars ?
- Lando !
Qui allait se faire plumer ? Le Fyrren ? J’en doute !
(175)
Près du comptoir, trois camarades jouaient gros.
- dix-huit, triompha un humain balafré.
- seize, pas mieux, pépia le rodien.
- Vingt-quatre, j’y étais presque, râla un humain barbu.
Le balafré rafla la mise, le barbu ajouta cinq cents au pot de sabacc.
Non loin, un jeune humain à la peau sombre vidait son verre, observant les joueurs. Son bel uniforme de la Startours paraissait incongru parmi les tenues négligées des habitués. Un rabatteur malhonnête lui avait probablement promis des danseuses Twi’lek.
- ce joli freluquet s’ennuie, susurra le barbu. On pourrait l’inviter ?
- Un Fyrren* prêt à plumer, approuva le balafré.
- Eh, jeune homme, ça vous dirait une partie de sabacc ?
Le freluquet approcha, intimidé mais ravi:
- Le sabacc ? C’est bien ce jeu où il faut faire vingt-trois ?
- c'est ça! Assieds-toi donc! C’est quoi ton nom, mon gars ?
- Lando !
Qui allait se faire plumer ? Le Fyrren ? J’en doute !
(175)
Baptman67
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Un dernier Sabacc
Par les fenêtres de transparcier, Jace vit Aldera se refléter dans le lac. Quelle journée parfaite. Cadet de la marine impériale, il profitait de sa permission pour rendre visite à sa famille et régler quelques affaires.
Avant de s’engager, il avait promis une parte de Sabacc à son amie, Kirstie. Elle lui faisait maintenant face, dos à la fenêtre.
« Te voilà enfin, souffla-t-elle. Et d’une main assurée, elle tira sa chaise, et s’assit à la table. Tu te souviens de l’enjeu ? ».
Bien sûr qu’il s’en souvenait. Il sortit de sa poche le jeu qu’elle lui avait offert à leur première rencontre. Les cartes étaient cornées par le temps, un temps précieux qu’il avait perdu…
Il distribua et regarda sa main : La Maitresse et l’idiot. Treize points. Kirstie sourit. Ayant truqué le jeu en sa propre défaveur, Jace savait qu’elle avait gagné.
Les règles ayant été définies il y a bien longtemps, Kirstie commença :
« Jace veux-tu… »
Une intense lumière verte les interrompit à jamais…
(167)
GTZL1
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Enfin. Après des heures de regards croisés, de tension et de renversements de situation, le Falleen jetait sur la pile de crédits son datapad orné de deux cercles imbriqués.
La jeune femme jubila, sans rien en laisser paraître. Rejoindre cette partie lui avait demandé plus d’une semaine. Plusieurs fois elle avait failli tout perdre. Mais elle pouvait à présent prendre ce qu’elle était venue chercher.
Sûr de lui, le lieutenant du Soleil Noir posa un Squadron sur la table. L’humaine attendit un instant avant de dévoiler ses deux sylops verts. Son adversaire soupira et se laissa retomber sur sa chaise.
— Mais dis-moi… qui t’a appris à jouer comme ça ?
— Le meilleur, répondit-elle en s’emparant du petit appareil.
Han Solo. Depuis les événements de Savareen, Enfys Nest avait une dette envers lui. Qu’elle comptait bien régler en l’arrachant aux griffes de Crimson Dawn.
(143)
La jeune femme jubila, sans rien en laisser paraître. Rejoindre cette partie lui avait demandé plus d’une semaine. Plusieurs fois elle avait failli tout perdre. Mais elle pouvait à présent prendre ce qu’elle était venue chercher.
Sûr de lui, le lieutenant du Soleil Noir posa un Squadron sur la table. L’humaine attendit un instant avant de dévoiler ses deux sylops verts. Son adversaire soupira et se laissa retomber sur sa chaise.
— Mais dis-moi… qui t’a appris à jouer comme ça ?
— Le meilleur, répondit-elle en s’emparant du petit appareil.
Han Solo. Depuis les événements de Savareen, Enfys Nest avait une dette envers lui. Qu’elle comptait bien régler en l’arrachant aux griffes de Crimson Dawn.
(143)
Dark Clone
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An -11, Vandor-1, Fort Ypso
Il ne restait plus que quatre joueurs dans cette partie de sabacc qui durait depuis déjà de longues minutes: le malchanceux Karjj, le colérique Therm, Glaucus, l’Octeroid ainsi que le talentueux, Argus Panox.
Le pot était énorme, la tension à son comble, aucun des joueurs ne voulaient abandonner comme les treize avant eux.
Dans l’œil unique de l’Octeroid se réverbérait ses cartes, vingt-deux au total. Une bonne main, pensa Panox, mais pas suffisante pour remporter la donne face à un aussi bon joueur que lui.
L’heure était venue, chacun dévoila ses cartes:
Karjj montra un quatorze, Therm ne fit guère mieux, Glaucus dévoila son vingt-deux mais c’était sans compter «le Malin» et «l’Endurance» de Argus, une superbe main de moins vingt-trois qui lui permit de remporter.
Après cette belle partie, un jeune homme à la peau noire du nom de Lando se présenta devant Argus et le défia, Panox rit et accepta, certain de vaincre.
Lando sourit, ce prétentieux rigolerait moins quand son «Étalage de l’Idiot» triompherait de la partie...
(175)
Il ne restait plus que quatre joueurs dans cette partie de sabacc qui durait depuis déjà de longues minutes: le malchanceux Karjj, le colérique Therm, Glaucus, l’Octeroid ainsi que le talentueux, Argus Panox.
Le pot était énorme, la tension à son comble, aucun des joueurs ne voulaient abandonner comme les treize avant eux.
Dans l’œil unique de l’Octeroid se réverbérait ses cartes, vingt-deux au total. Une bonne main, pensa Panox, mais pas suffisante pour remporter la donne face à un aussi bon joueur que lui.
L’heure était venue, chacun dévoila ses cartes:
Karjj montra un quatorze, Therm ne fit guère mieux, Glaucus dévoila son vingt-deux mais c’était sans compter «le Malin» et «l’Endurance» de Argus, une superbe main de moins vingt-trois qui lui permit de remporter.
Après cette belle partie, un jeune homme à la peau noire du nom de Lando se présenta devant Argus et le défia, Panox rit et accepta, certain de vaincre.
Lando sourit, ce prétentieux rigolerait moins quand son «Étalage de l’Idiot» triompherait de la partie...
(175)
Loïc Solaris
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L'enquête
L'agent Spacerunner avait vu juste, malgré les protestations de la togrutas qu'il faisait arrêter.
Il s'était planqué à l'appartement de la future victime présumée, un vieux rodien, résultat d'une enquête plus courte qu'il n'imaginait au départ.
Une série de meurtre visait des joueurs de sabaac. Une carte était laissée sur le corps des victimes. Il avait suffit de retrouver le moment où elles avaient joué dans la même partie.
Un collègue lui amena deux cartes trouvées sur la togrutas : la Maîtresse et le Sournois.
Ça faisait un beau souvenir, se disait-il en souriant.
Un autre agent, qui attendait Spacerunner aux speeders garés dans la rue, lui remit une enveloppe qu'il avait trouvé sur le pare-brise.
L'enquêteur l'ouvrit et y trouva une nouvelle carte : l'Idiot.
Il se retourna d'un bond et courut jusqu'à l'appartement qu'il trouva vide. Une carte était posée au sol : L'Echec.
C'eût été trop facile. La partie ne faisait que commencer.
(174)
L'agent Spacerunner avait vu juste, malgré les protestations de la togrutas qu'il faisait arrêter.
Il s'était planqué à l'appartement de la future victime présumée, un vieux rodien, résultat d'une enquête plus courte qu'il n'imaginait au départ.
Une série de meurtre visait des joueurs de sabaac. Une carte était laissée sur le corps des victimes. Il avait suffit de retrouver le moment où elles avaient joué dans la même partie.
Un collègue lui amena deux cartes trouvées sur la togrutas : la Maîtresse et le Sournois.
Ça faisait un beau souvenir, se disait-il en souriant.
Un autre agent, qui attendait Spacerunner aux speeders garés dans la rue, lui remit une enveloppe qu'il avait trouvé sur le pare-brise.
L'enquêteur l'ouvrit et y trouva une nouvelle carte : l'Idiot.
Il se retourna d'un bond et courut jusqu'à l'appartement qu'il trouva vide. Une carte était posée au sol : L'Echec.
C'eût été trop facile. La partie ne faisait que commencer.
(174)