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Dollowin Branthor a écrit:Et encore tu n'as rien vu !
Est-ce que tu as lu "L'étoile perdue" ?
Flocon de Lune a écrit:Ce premier chapitre est très intriguant ! Je ne vais pas chômer pour trouver qui est le protagoniste de cette histoire.
sam sanglebuc a écrit:un monde où ses yeux ne risqueraient pas DE se poser sur un visage de femme.
qu’elle ait les mains plus fineS que les ailes d’une sitelline en vol
que ses lèvres soiENt plus roseS que lever du soleil aux plus beaux matins de Sareees
et qu’elle éveille en lui la douceur d’un souvenir enfoui(e)...
Elle brûlait, plus fort que les pierres heurtéES trop violemment par l’outil d’un mineur
devenant rougeS et incandescenteS avant d’exploser et d’emporter avec elleS la moitié du tunnel et des mineurs qui s’y trouvaient.
(là je ne suis pas sûr de ces accords, si quelqu'un de plus compétent peut vérifier)
Sareees City et la bordure extérieurE pour se réfugier dans les régions inconnues
qu’il ne voiE la plus la couleur du sourire qu’elle dessinait sur son ombre.
Si je me suis tapé une relecture attentive, ne serait ce pas que j'aime ce texte ?
sam sanglebuc a écrit:"qu’il ne voie la plus la couleur du sourire qu’elle dessinait sur son ombre."
je ne suis pas trop sûr de ce que tu veux dire par là, mais dessin sur ombre me renvoie aussitôt à Mary Poppins, quand Bart dessine sur le trottoir le contour de l'ombre portée de la nounou. Et ma foi fait le parallèle avec "le Saint Esprit te prendra sous son ombre", avec la Nuée de l'AT, les yeux pour voir l'invisible, l'artiste qui rend visible aux profanes l'invisible...
sam sanglebuc a écrit:" il ne se sentait capable de renoncer un seul instant à la courbe de ses joues"
j'ai cru que tu allais écrire la courbe de ses hanches (pour ne pas dire de son c...l). Joues, c'est quand même plus adapté à ce moment de l'histoire.
sam sanglebuc a écrit:"à la danse de ses pas"
j'ai le visuel d'Edith, dansant au milieu des ciguës pour son bien aimé JRRT, ou de Lúthien. Wahouuuuuuu !
sam sanglebuc a écrit:"Et qu’elle le regardait, lui, et seulement lui."
ça peut paraître exclusif, égoïste, anti-universaliste, mais par la grâce de l'art, cette phrase s'applique à chaque lecteur.
Punaise, j'ai l'impression de revivre un peu de ma conversion.
sam sanglebuc a écrit:Bon après tous ces compliments, va lire "le Jedi et la sorcière". Si tu as été déçu par une certaine série, tu auras de quoi te remonter le moral.
Dollowin Branthor a écrit:Tout l'honneur est pour moi chevalier blanc.
Si une belle (très belle) fanfiction concernant votre avatar vous intéresse, j'ai aussi écrit "l'étoile perdue" qui pourrait aussi vous faire renouer avec le petit monde des fanfictions star wars...
sam sanglebuc a écrit:Bon après tous ces compliments, va lire "le Jedi et la sorcière". Si tu as été déçu par une certaine série, tu auras de quoi te remonter le moral.
sam sanglebuc a écrit:Après trop d'émotions au premier chapitre, la tension redescend, mais l'intrigue se poursuit. Très bien !
Coquille:
"Rien qu'elle ne découvrir par elle même"
mareva_mae a écrit:
Je me posais une question, est-ce que tu as construit cette narration autours du personnage mystère, ou plutôt choisi cet exercice de style puis trouvé un personnage qui collerait avec cette idée d'un récit où on ne découvre qu'à la fin l'identité du protagoniste ?
Dollowin Branthor a écrit:Vu que c'est les vacances, que toute ma fanfic est déjà écrite et que les chapitres sont plutôt courts, j'ai décidé d'accélérer le rythme de publication. Deux par semaines, un lundi et un jeudi, au lieu de juste un le lundi.
Cela devrai me permettre de finir de la publier entièrement avant les vacances.
En plus c'est plutôt un truc qui se lit vite, donc c'est mieux si les chapitres sont publié plus rapidement.
J'espère que ça ne dérangera personne.
Loucass824 a écrit:Quelqu'un qui semble s'y connaître en écriture... Disons s'y connaître en art narratif, en propos et ce qu'un récit raconte et transmet, oui. Pour le reste, ma "plume" n'est pas vraiment une plume, donc j'ai un fossé de choses à apprendre pour un jour m'approcher de quelque chose comme ton style.
Alors que tu sois école très lyrique, c'est une évidence. Mais de là à négliger la narration et le propos ?! Attention, cela s'apparente à du blasphème chez moi... Je dois avouer que je n'arrive pas à concevoir comment on peut avoir envie d'écrire sans la volonté de transmettre des propos, des thèmes forts, des visions du monde complexes, nuancées, qui se confrontent et s'affrontent... On a vraiment une vision de l'art bien opposée en définitive ! Mais ça n'empêche rien pour autant.
Il n'en demeure pas moins que c'est intéressant, voire surtout enrichissant de comprendre comment les autres fonctionnent. C'est toujours ce que je tente de faire avec les différents artistes présents ici. Certains écrivent chapitres après chapitres, ce qui est impossible pour moi ! Jamais je ne pourrais publier quelque chose qui n'est pas terminé. Rien que les descriptions de persos, l'image que je me fais d'eux, elle change en court d'écriture, alors je modifie en relecture finale...
Loucass824 a écrit:Ben Solo ? Eh bien disons que je ne suis pas un ardent défenseur de la postlogie, pour dire les choses ainsi... À tel point que je l'ai décanonisé dans mon esprit ! Ce n'est pas pour rien que j'ai écrit mes propres épisodes 7-8-9... Je ferai bien un forcing de fou pour te convaincre de me lire, mais si tu as écrit sur Ben Solo, c'est que tu as aimé la postlogie donc... Et vu ton niveau de lyrisme, et de ne pas être friand de récit focalisé narration comme je l'ai décrit...
Loucass824 a écrit:Comment ça ? Qu'est-ce donc que cet auteur qui interdit la spéculation ?! Quelqu'un comme moi, qui rédige des pavés parce qu'il écrit tout ce qui lui passe par la tête, va devoir se maîtriser ? Que la tâche va être colossale...
Loucass824 a écrit:Sinon, chapitre lu !
Loucass824 a écrit:Monsieur "très peu de contextualisation", on a tout de même été bien servis ici ! Mais avant que l'on ne se plonge sur le flashback, c'est tout d'abord un petit paragraphe que j'ai particulièrement apprécié ! Le moment où il mentionne les envies d'en finir qu'il a eut. C'est un court paragraphe qui m'a particulièrement touché à titre personnel. Avec un certain écho, à un certain vécu, pour dire ainsi... Cela le caractérise, car un homme qui a toutes les raisons du monde d'en finir, mais qui s'accroche le fait pour une certaine raison. Il demeure tout de même quelque chose qui l'anime. Le fait qu'il ait comblé le trou abyssal d'une solitude si profonde au point qu'elle meurtrit salement un individu, seul moyen pour lui de ne pas défaillir. Alors peut-être que j'extrapole un peu facilement, en comblant avec ma propre projection. Il n'en demeure pas moins qu'il s'agit ici de narration, de propos, même s'il est abordé en surface ! La solitude, sous toutes ses formes, ce qu'elle provoque et inflige, est un thème qui me tient souvent à cœur dans un récit. Rien qu'avec ce court paragraphe, je suis certain que je vais accrocher jusqu'au terme du récit.
Loucass824 a écrit:Le fait qu'il soit esclave brouille encore davantage les pistes sur son identité ! Mais je ne veux pas spéculer, sinon le prof va m'envoyer au coin... À la manière dont Reddeck observe les trois femmes, on comprend de suite que sa belle en fait parti, et la confirmation vient de suite. Cela est très intéressant... J'ai vraiment beaucoup aimé la manière dont tu mets en scène l'arrivée de Shana face à Reddeck dans la nuit. Il a été profondément marqué par cette apparition salvatrice, la percevant comme un ange, une valkyrie. Une figure transcendant la simple condition humaine, tout en percevant le fait qu'elle n'est que mortelle après tout. Dans sa vie de solitude, où il ne peut attendre grand chose de son existence, elle a été ce qui l'a poussé à conserver une occurrence en mémoire, dans un amas de réminiscences peu réjouissantes en définitive. On savait qu'elle lui avait fait forte impression précédemment. Désormais, on comprend très bien pourquoi !
L'avait-elle reconnu lorsqu'elle l'avait abordé ? Mais comment aurait elle pu ? De ce que l'on sait, seul Reddeck a été marqué, et Shana a simplement agit avec bonté. Mais comme nous vivons le récit sous le prisme de Reddeck, tout est permis pour l'instant. Une telle rencontre, des retrouvailles, des années après, dans un tel endroit et de manière à priori fortuite, cela ne peut être si innocent, et que seul l'homme ne se souvienne d'elle.
Loucass824 a écrit:Bon, j'ai été sage, je n'ai pas trop ouvertement spéculé cette fois ! (J'espère avoir une image ou une étoile) On en apprend beaucoup tout en ayant très peu de choses et d'autres interrogations, donc le mystère demeure présent ! Ton style fonctionne toujours autant, rien à redire sur ce point. J'aime toujours autant !
Flocon de Lune a écrit:J'ai lu tes deux derniers chapitres. Je serai bien moins prolixe que mon collègue ci-dessus, mais sache simplement que je les ai beaucoup appréciés, et que l'identité de ton protagoniste me paraît très claire désormais. Nous verrons à la fin si j'ai eu raison.
L2-D2 a écrit:Chapitre 4 lu !
Alors là ! C'est toujours aussi bien écrit... mais je suis toujours aussi peu avancé sur l'identité de notre mystérieux personnage principal pour être honnête ! Plus on en apprend, moins tout cela me parait clair à vrai dire. Ma première idée n'est, je le crains, plus vraiment d'actualité !
Du coup, je vais me laisser porter par cette belle histoire que tu nous proposes, cette histoire d'amour quasi-impossible et qu'on espère pourtant voir se terminer de la meilleure des façons possible pour Reddeck.
Vivement la suite !
mareva_mae a écrit:C'est lu ! Oooh mais voilà un chapitre qui nous apprend plus que je n'espérais en apprendre aussi tôt, tout en gardant le mystère... Très satisfaisant
Tu vois j'étais convaincue que Reddeck et Shana avaient dû se connaître enfants ou très jeunes, comme quoi... loupé ! Mais ce que tu nous proposes est très intéressant, on comprend l'impact que cette rencontre a eu sur notre protagoniste et l'impossibilité tacite de cette union. Et la révélation sur le statut d'esclave de notre héros, hummm
Chapeau aussi pour l'explication du titre de ton récit au sein de ce chapitre
Pourquoi s’attachait-il à la vie ? Il avait toujours fait partie des oubliés des étoiles, de ceux que la lumière n’atteint pas, des maudits...
Elle le questionnait inlassablement sur la vie des ouvriers, le fonctionnement de la mine, des usines, des machines, des transports, et lui l’abreuvait de toutes les informations possibles, prêt à tout pour qu’elle évite de s’intéresser à lui, déployant des trésors d’ingéniosité pour détourner la conversation loin de lui. Ils parlaient. Inlassablement, durant des heures, attablés dans la vieille cantina, ou déambulant dans les rues, jusqu’aux limites de la ville, là où les carrières désaffectées se recouvraient de végétation. Ils parlaient parfois jusqu’au matin. Et à son grand effroi, Reddeck se surprenait à être heureux.
mareva_mae a écrit:Ah petite remarque, la répétition du même adverbe dans le même paragraphe c'est peut-être un peu lourd ?
mareva_mae a écrit:On est toujours sur un texte aussi poétique et onirique, mais j'avoue que ce retour aux tourments de Reddeck me fait réaliser que j'ai du mal, en général, avec l'idée du coup de foudre. Tu nous fais très bien ressentir les affres de l'amour et la torture que c'est pour ton personnage principal, mais une partie de moi a envie de dire "Bon mec, tu la connais pas hein, passe à autre chose" (et oui, j'ai beau écrire de la romance et adorer ce genre, je crois que je suis plus pragmatique que romantique )
Bon il y sans doute beaucoup de choses qu'on ignore encore sur Reddeck et son passé, donc je patiente pour trouver du sens à cette souffrance
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