Bien vu Sirius c'est exactement ce topic auquel je faisais allusion.
Et voici, la suite, 3ème partie du texte avec ici le chapitre 1 et la première partie du chapitre 2. Enjoy

... ou pas!
Chapitre 1er : Premiers souvenirs
Comme tout le monde, Jace n’a que peu de souvenirs de sa plus tendre enfance, juste quelques flashs, quelques bribes de souvenirs vagues. Il faut dire que cet enfant a vécu tant de choses depuis, il a grandi et tellement changé que c’est comme s’il était mort, ayant laissé sa place à une nouvelle entité. Son premier souvenir net et précis mais également le seul qu’il ait avec son père est une visite sur la glorieuse Coruscant…
Jace tenait la main à son père, très fermement de peur de se laisser emporter dans le flot de la foule et de se perdre. Le soleil brillait en cette fin d’après-midi sur la planète capitale de la République et ses derniers rayons ardents se reflétaient sur les armures des soldats prêts à partir au combat, de même que sur les croiseurs prêts à décoller une fois leurs troupes embarquées. Ce spectacle de lumière féerique avait attiré de nombreux badauds qui se pressaient pour apprécier la vision des renforts de l’Armée Républicaine partant pour le front.
Ici, parmi les privilégiés sur Coruscant, la guerre opposant les armées Sith à celles des Jedi, qui faisait rage depuis plusieurs siècles, n’était perçue que comme une attraction. Le statut social des habitants des hauteurs leur permettait d’échapper à une convocation les envoyant au front. Le fait d’être le point central de la République et donc la dernière planète à être touchée en cas de victoire des armées ennemies, rendait la menace moins palpable pour ces naïfs qui préféraient se voiler l’esprit plutôt que d’affronter la réalité de la guerre. Ce conflit destructeur durait depuis trop longtemps sans que Coruscant ait été atteinte pour que ses habitants craignent que cela arrive un jour. « La capitale n’est jamais tombée aux mains des Sith » répétaient toutes les affiches de propagandes destinées à exacerber le sentiment d’optimisme béat déjà présent. Quand bien même ils omettaient de préciser que les Sith y avaient déjà mis un pied durant la Grande Guerre - opposant la République à l’Empire Sith que Revan, redevenu faible sous le joug et le conditionnement des Jedi, était parti combattre après avoir détruit la Forge Stellaire - et l’offensive rapide qui eut lieu en l’an 0 sur la capitale.
Toujours est-il que l’Armée Républicaine enchaînait victoire sur victoire pour la première fois depuis bien des siècles et paraissait capable de mettre un terme à la guerre rapidement, d’ici quelques années.
Une armée composée principalement de Seigneurs Sith était en pleine déroute à Ambria et avait été abandonnée par ses leaders désireux de sauver leur vie laissant derrière eux le reste de leurs forces décimées. En apprenant cette nouvelle, le Chancelier Suprême N’Beto Del Gormo, un Maître Jedi Hysalrian, prit une décision peu en accord avec le Code de son Ordre et pourtant ô combien avisée. Il décida d’envoyer des renforts sur place afin d’éradiquer tout ce qu’il restait de Maraudeurs, Assassins et autres laquais des Sith.
A l’annonce de cette mesure, beaucoup de voisins de Coruscant en profitèrent pour voir leur fière armée partir remporter une nouvelle victoire et acclamer le départ de leurs soldats. C’est ainsi que le petit Jace se retrouva ici avec son père, les Anaxsi ayant organisé un voyage en masse pour venir soutenir leurs frères partants accomplir leur devoir dans la plus pure tradition militaire d’Anaxes. Le père de Jace profita donc de cette occasion pour faire visiter la majestueuse planète à son fils :
« Regarde Jace, ce gros vaisseau va bientôt décoller » dit-il à son fils qui avait la bouche grande ouverte d’admiration.
La journée avait été magnifique et le petit Jace, alors âgé de deux ans, était au paradis devant cette grandeur et cette lumière. Plus important que tout, il était avec son père, plus exactement sur ses épaules car trop jeune pour marcher si longtemps et apercevoir les vaisseaux à travers la foule. Il ne se souvenait plus de tous les détails de cette journée mais principalement de deux événements : le décollage du plus imposant croiseur de la flotte et l’autre événement qui resta gravé dans sa mémoire…
La foule se dispersait, presque tous les vaisseaux étaient partis, se regroupant en orbite autour de la planète avant que l’ensemble de la flotte passe en vitesse-lumière. Cependant un dernier des vaisseaux de commandement semblait attendre des retardataires. Jace descendit des épaules de son père et ils s’apprêtèrent à s’en aller quand soudain, un jeune homme d’une vingtaine d’années qui se dirigeait vers les docks en courant à une vitesse inhumaine, les renversa.
Le père de Jace se releva, furieux qu’un inconscient ait pu blesser son fils. Vérifiant que son garçon allait bien, il cria :
« Vous pourriez faire attention où vous allez ! Vous avez failli faire du mal à mon fils ! »
s’écria-t-il.
« Vous vous êtes retournés pile à l’instant où je suis passé » se défendit ce jeune homme aux longs cheveux châtains et aux yeux brillants d’excitation. Il ne semblait pas se rendre compte de la situation présente, l’esprit ailleurs, à l’autre bout de la Galaxie. « Je suis en mission cruciale pour la République et je suis en retard pour prendre mon transport. »
« Ne vous excusez pas surtout ! »
Jace était effrayé et pleurait à chaudes larmes ; il était choqué d’être tombé et de s’être écorché les mains sur le permabéton. Il avait toujours peur quand son père élevait la voix, mais à cet instant, il craignait également que son père ait des ennuis avec ce méchant homme brillant qui était encore plus grand que son père. Car il brillait, oui, il brillait de mille feux. Il portait une armure dorée avec un motif d’aigle qui effrayait Jace ainsi que des bottes de la même matière et une sorte de pagne rouge qui, accroché à sa ceinture, flottait au gré du vent. Et plus important que tous ces détails, un sabre laser pendait à sa ceinture.
Alors que le père de Jace allait s’emporter pour de bon, indigné par ce jeune insouciant, la foule s’écarta à nouveau pour laisser place à une figure imposante.
La créature qui se tenait désormais devant eux respirait la prestance, le charisme et le calme. Il s’agissait d’une espèce peu courante au sein de la Galaxie, qui était pourtant celle du Chancelier actuel : un Hysalrian. Comme les autres membres de sa race, il avait une apparence serpentine jusqu’au torse et disposait de quatre bras, quatre yeux et quatre pectoraux. De couleur verte, il culminait à près de deux mètres, taille qui aurait été bien plus importante si sa queue, qui trainait derrière lui sur plus d’un mètre, avait été prise en compte. Il s’appuyait sur un grand bâton de bois noueux au bout duquel culminait un cristal argenté et portait une sacoche de voyage à la ceinture ainsi qu’un sac à dos sanglé autour de sa poitrine.
Bien que son apparence, monstrueuse pour un enfant si jeune, finisse d’horrifier et tétaniser le petit Jace qui ne voyait que des humains sur Anaxes, son père sentit toute l’apparente bienfaisance qui émanait de cet être. Jace lui, avait tellement peur qu’il n’écoutait pas la petite voix intérieure qui lui disait qu’une certaine bonté se dégageait de la créature. Après le moment de silence provoqué par son arrivée, l’individu prit enfin la parole, s’exprimant en basic d’une voix sifflante :
« Je vous prie de bien vouloir exsssscuser le jeune Hoth, je me préssssente je ssssuis N’Kata Del Gormo Grand Maître de l’Ordre Jedi et voici le jeune Hoth qui vient tout jusssste d’être promu au rang de Chevalier par notre Conseil. »
« Grumph, vous feriez bien de choisir vos membres avec plus de clairvoyance, vous qui êtes censés nous protéger, celui-ci a failli blesser mon fils et ne s’est toujours pas excusé. »
« J’en suis bien consssscient mon cher Monsieur, sssscependant j’esssspère que vous comprendrez l’excsssitation de ce jeune homme après sa toute récente nomination qui a entrainé notre léger retard au départ de la flotte. Nous partons défendre la République contre l’Obsssscurité et ce jeune homme d’à peine dix-huit ans pensssse qu’il peut renverser l’Empire Ssssssith à lui seul. Ahhhhhhhhh la fougue de la jeunesssse… Cela n’excusssse cependant que modérément un comportement irressssponsable, déjà la tête au champ de bataille, qui ssssont tout ssssauf un amussssement et pas la tête au préssssent, aux actes qu’il commet », siffla le vieux sage avec un ton de reproche.
Ces remontrances venant de celui qui était il y a encore quelques heures à peine son Mentor, firent l’effet d’une douche froide au nouvellement adoubé Chevalier Hoth, le ramenant au présent. Il baissa les yeux en réalisant sa faute et se tourna vers les deux civils :
« Je vous prie d’accepter mes plus plates excuses, j’étais dans un moment d’euphorie qui m’a fait perdre de vue les valeurs qu’y m’ont été inculquées durant toutes ces années, j’espère que vous voudrez bien me pardonner et que votre enfant n’a pas souffert monsieur. »
Se tournant vers N’Kata il ajouta :
« Veuillez pardonner mon comportement mon Maître, ne vous inquiétez pas je ne vous donnerai plus que des raisons d’être fier de moi ! »
« Et je n’en doute pas jeune homme. Mais hâtons-nous, nous ssssommes déjà en retard. Veuillez encore une fois accsssepter mes excusssses monssssieur et… »
Il s’arrêta soudain, fixant intensément le père et son enfant. Il ferma les yeux, provoquant la curiosité des personnes l’entourant ainsi que l’impatience à peine voilée de son ancien apprenti. Jace se sentit encore plus mal. Terrifié, il avait en plus l’impression qu’un serpent se faufilait dans sa tête. Il fut pris d’un tel désarroi qu’il se mit à pleurer à chaudes larmes. Soudain, N’Kata fut comme projeté au sol par une force invisible. Il se releva rouvrant les yeux et s’exclama :
« Veuillez m’exsssscuser je ssssuis ssssouvent pris de malaisssses l’âge avançant… Il faudra que je pensssse à passsser à la Frégate médicale durant notre voyage. Oh j’oubliais ! » Fouillant dans sa sacoche le vieux Jedi en sortit un petit objet. « Votre fils m’a l’air de s’être égratigné les mains laissssez-moi le désssinfecter c’est la moindre des choses. »
Assez réticent mais n’ayant pas de médikit sur lui, le père de Jace accepta à contrecœur de laisser l’Hysalrian s’occuper de son fils. Prenant délicatement les poignets du petit Jace, N’Kata se concentra ce qui eut pour effet immédiat de faire cesser les pleurs de l’enfant. Cependant, après ce court moment de réconfort le petit Jace se remit à geindre de plus belle. Son père ne pouvant voir que le dos de l’être à l’apparence serpentine ne remarqua pas ce dernier ranger discrètement dans sa poche le petit objet lui ayant permis d’effectuer un prélèvement sanguin. Il put toutefois l’observer nettoyer avec soin les petites éraflures et traces de sang sur le poignet du petit, l’être serpentin s’étant étrangement décalé. Enfin il se leva et après un dernier adieu solennel à la manière étriquée des Jedi, il partit rapidement avec son ancien disciple en direction de leur transport.
C’est là tout ce dont Jace se souvient, souvenirs vivaces et précis pour un enfant de cet âge. Le fait que ce soit le seul souvenir clair qu’il ait de son père n’y est sans doute pas étranger. Pourquoi le dernier ? Parce que son père les abandonna, sa mère et lui, quelques temps plus tard. Sa mère lui raconta par la suite tous les détails de cette journée qui était à marquer d’une pierre blanche pour lui : sa première rencontre avec ces maudits Jedi et le seul souvenir distinct de son père. La rencontre avec ces esclaves de la Force s’était fortement imprimée dans son subconscient par le biais de la Force elle-même.
Chapitre 2ème : Enfance quelconque et adolescence contrastée
Jace ne vit plus jamais son père, ce qui ne l’empêcha pas de mener une enfance qu’il croyait heureuse. Heureuse… Que signifie donc ce mot… Il n’a finalement aucun sens, il n’est qu’une invention politique pour contrôler les esprits faibles et leur faire croire qu’une existence servile vaut la peine d’être vécue. Belle invention que ce mot capable de faire croire qu’il existe un autre but que la recherche de la puissance et du pouvoir. Le bonheur est un concept créé de toute pièce par ceux détenant le pouvoir afin que ceux ne vivant que pour servir trouvent une raison d’exister sans se rebeller. Qu’ils partent à la recherche du bonheur ces illuminés, ils ne mettront ainsi pas en danger le pouvoir des élus qui le possèdent et œuvrent pour en acquérir toujours plus.
Le petit Jace faisait donc partie de ces naïfs, il n’était après tout encore qu’un enfant, loin de se douter du destin impérial qui l’attendait. Du départ de son père il garda malgré tout une rancœur qui jamais ne s’éteint et dès son plus jeune âge il fut pris de violents accès de haine et de colère tard le soir, envers celui qui avait osé les abandonner sa mère et lui. Sa mère parvint tout de même à préserver en lui un sentiment d’innocence relatif quand bien même elle avait depuis longtemps perdu la sienne. Avoir passé sa jeunesse entourée uniquement par les amis de son père avait eu pour bénéfice de lui faire comprendre la différence entre bonheur et pouvoir : ceux qui n’ont rien cherchent le bonheur, ceux qui ont du pouvoir manigancent pour en obtenir davantage et distribuent du « bonheur » à leurs sous-fifres afin de consolider ce pouvoir.
Bien qu’elle n’ait finalement jamais connu les joies puériles d’une enfance innocente, elle s’efforça de permettre à son fils d’en faire l’expérience, essayant de combler tant bien que mal le malaise causé par l’absence d’un père.
Elle y parvint au-delà de ses espérances et Jace put profiter d’une enfance tranquille et sans histoires sur Anaxes. Jace n’eut aucun problème de violence à l’école, il était très sérieux et respectueux tant de ses professeurs que de ses camarades de classe. Il était loin d’être solitaire et avait le rire facile. En plus des nombreux camarades de classe qu’il rencontrait chaque année, Jace pouvait compter sur Abess, son meilleur ami. Agé d’un an de plus que lui, il était né sur Brentaal d’une amie d’enfance d’Ena, qu’elle avait côtoyée dans les cercles de la haute société républicaine. Abess avait cependant déménagé très tôt sur Anaxès, sa mère souhaitant les éloigner du front et lui garantir une éducation digne de son rang. Les deux enfants se rencontrèrent à l’âge de cinq ans et devinrent immédiatement amis comme les doigts de la main. Ils grandirent donc ensemble, complices, et Abess resta toujours le meilleur soutien de Jace.
L’enfance de Jace fut réellement un long fleuve tranquille ne causant pas à sa mère plus de soucis qu’elle n’en avait déjà. Peut-être était-ce pour la préserver…
Cependant lorsque venait la nuit, immanquablement il pensait à son père disparu avant de s’endormir et laissait alors sortir toute la noirceur de son âme née de son ressenti, de sa peine d’avoir été abandonné. Parfois les matins suivant de grosses colères nocturnes, sa mère semblait elle aussi avoir passé une mauvaise nuit.
Malgré ces cauchemars, Jace et Ena profitèrent de la chance d’habiter dans un monde du noyau, loin de l’agitation du front, de cette guerre millénaire que se livraient Jedi et Sith, sans se soucier de ce que les historiens appelaient déjà l’Age Sombre de la République.
Désireux de suivre l’exemple de sa famille maternelle en opposition au style de vie de son père, Jace décida de se livrer corps et âme dans ses études avec une maturité surprenante pour son âge. Ses études primaires se déroulèrent parfaitement bien, il fut toujours en tête de classe grâce entre autres à une capacité de mémorisation exceptionnelle. Il n’était pas premier n’importe où mais dans le meilleur institut éducatif de la planète, une école réservée uniquement à l’élite humaine. Ses résultats lui permirent de sauter plusieurs années d’HoloProgramme et le promirent à un brillant avenir au plus grand bonheur de sa mère.
L’enfant grandissant, cette dernière lui fit savoir combien elle était fière de lui et combien il était le digne descendant de la famille Pecivas, une famille de pouvoir selon elle. Ces révélations sur le passé de sa famille maternelle, leur façon d’être et le statut qui devait être le sien dans cette galaxie amplifièrent encore sa volonté de se montrer digne de ses ancêtres. Même si Ena Pecivas était une femme somme toute modeste, elle voulait le meilleur pour son fils afin que ce dernier puisse ensuite choisir sa voie librement. Il écoutait avec un intérêt marqué les histoires que sa mère lui racontait sur son grand-père, le sénateur Rimoce Pecivas, cet homme mort avant sa naissance qu’il aurait tant aimé connaitre. Il aurait pu combler le manque de figure paternelle dans sa vie, lui donner l’exemple à suivre. Jace aurait alors tout fait pour lire de l’approbation et de l’amour dans les yeux de son grand-père. Il buvait donc littéralement les paroles de sa mère et se servit de son aïeul comme source d’inspiration et d’exemple à suivre. Il ne deviendrait jamais un vulgaire marchand, un commerçant aigri, près de ses crédits et dénué de toute culture et de tout pouvoir comme l’avait été son père. Par chance ou par malchance, Ena ne se rappelait que des bons souvenirs lorsqu’elle évoquait son défunt père ce qui lui évita d’aborder le sujet de la corruption préservant ainsi l’image de héros que prit Rimoce dans le subconscient de Jace.
Dans la catégorie des héros, pas de place pour Irce Piejs, l’homme qui était censé être son père. Il haïssait tellement ce nom qu’il avait demandé à sa mère de changer son nom de famille. Il n’avait plus pour nom de famille Piejs mais Pecivas, Jace Pecivas le descendant d’une lignée de politiques. Il méprisait Irce Piejs, le classait dans la catégorie des sous-hommes, des aliens, et rêvait de tous les supplices qu’il méritait de subir. Par conséquent il ne voulait rien savoir sur lui, ne jamais entendre prononcer son nom. Sa mère ne souhaitant pas non plus en parler de peur d’amplifier la douleur ressentie par son fils, ils s’accordèrent parfaitement sur ce point.
Pour accentuer encore la soif d’apprendre, de découvrir et l’ouverture d’esprit de son fils, Ena le fit beaucoup voyager dès qu’il eut atteint ses dix ans. Chandrila et Coruscant dans un premier temps, puis Metellos, Corellia, Alderaan, Kuat, Tapani et bien d’autres encore au fil des périodes de vacances. Chacune des planètes visitées était un apport disparate pour Jace et chacune d’elles provoquèrent une réaction différente.
Ces visites restèrent évidemment limitées aux mondes du Noyau, Ena ne voulant pas s’aventurer vers le front et souhaitant préserver son fils de la guerre. De plus, la majorité des musées, et autres sources de richesses culturelles de la galaxie se trouvaient dans le Noyau. Du moins le croyait-elle.
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