20 Minutes
Caroline Vié
J.J. Abrams a réuni tous les ingrédients pour satisfaire les fans de la première heure comme les néophytes.
Bande à part
Isabelle Danel
Fin de la saga mythique. Tout y est : le bien, le mal (et réciproquement), les droïdes drolatiques, les combats. Et même les fantômes tant aimés... Plaisir enfantin garanti !
CNews
La Rédaction
L’épopée intergalactique, à la fidélité assumée à la trilogie d’origine, n’en demeure pas moins une belle conclusion – certes convenue – faisant la part belle aux combats aériens, aux duels au sabre laser et au recours à la force.
GQ
Alexandre Lazerges
"Star Wars: L'Ascension de Skywalker" conclut brillamment la saga intergalactique et ravira les fans les plus exigeants.
La Voix du Nord
Christophe Caron
Narration fluide, savoureux bestiaire, séquence finale épique, quelques révélations (dont une qui concurrence le fameux « Je suis ton père »)… Bref, du grand spectacle.
Le Figaro
Olivier Delcroix
En digne héritier de George Lucas, J.J. Abrams apporte à la saga une rapidité qui colle à l’époque, une profondeur inhabituelle, qui donne envie de revoir une nouvelle fois cet ultime volet au final réussi.
Le Journal du Dimanche
Stéphanie Belpêche
Les personnages de Rey et de Kylo Ren, en quête d’identité et de rédemption, prennent une ampleur inégalée dans ce récit qui fait l'apologie de la solidarité.
Le Journal du Geek
Rémi Lou
En bref, un divertissement haut de gamme pour petits et grands, geek ou non, et surtout, la fin d’une saga qui aura marqué 42 ans d’histoire cinématographique.
Le Parisien
Renaud Baronian
Surtout, J.J. Abrams a eu des idées épatantes pour multiplier les surprises : « l'Ascension de Skywalker » est un film qui fait mourir les vivants et revivre les morts. Des résurrections qui ne concernent pas seulement certains personnages, mais aussi leurs droïdes, leurs sabres laser, leurs combats et alliances passées. Quelle émotion !
Les Fiches du Cinéma
Michaël Ghennam
Désormais sans Luke, Rey poursuit sa formation. J.J. Abrams revient aux commandes de ce neuvième volet de la saga Skywalker, pour livrer une conclusion sincèrement émouvante, mais un peu hâtive et qui revient maladroitement sur les idées des Derniers Jedi.
Ouest France
Sylvestre Picard
Un divertissement d'aventures spatiales extrêmement mouvementées, souvent très inspirées, rendant hommage aux dernières légendes Star Wars.
Paris Match
Fabrice Leclerc
L’ascension de Skywalker en devient un space opéra certes traditionnel mais forcément passionnant, doublé d’un mise en scène autrement ample et solide qui s’illustre dans quelques séquences échevelées et visuellement magnifiques.
Rolling Stone
Xavier Bonnet
N’y allons pas par quatre chemins, c’est un très beau feu d’artifice final. Sous le coup de l’enthousiasme, on se laisserait volontiers aller jusqu’à dire que ce Star Wars IX retrouve parfois et même souvent la fougue de la première trilogie.
Culturebox - France Télévisions
Jacky Bornet
Si "L’Ascension de Skywalker" se voit avec plaisir, le film manque toutefois de rythme au fil de ses 2h22. Son meilleur atout est d’en finir avec la saga Skywalker pour passer, on le souhaite, à d’autres explorations de l’univers Star Wars.
Ecran Large
Simon Riaux
Reboot inavoué et cynique d'une trilogie désormais fondamentalement incohérente, "L'Ascension de Skywalker" n'a pour lui que l'énergie déployée par J.J. Abrams et la fantastique direction artistique dont Lucasfilm a le secret, tant cet épisode d'une platitude extrême préfère se complaire en facilités et reprises confortables plutôt que de raconter quelque chose.
La Croix
Nathalie Lacube
Le neuvième épisode de « La guerre des étoiles » est à la hauteur des attentes. « L’Ascension de Skywalker » conclut la plus passionnante des sagas de cinéma, dans un déluge d’action et de grands sentiments.
Les Inrockuptibles
Théo Ribeton
J.J. Abrams certes donne le change : le programme n'a sans doute jamais été aussi copieux, varié en tons, en goûts, en émotions. Mais il loupe son rendez-vous avec la transcendance. Harangués par un tel titre ascensionnel et christique, on est en droit de s'en plaindre.
L'Expresse
Christophe Carrière
[...] on ne peut nier le talent de J.J. Abrams à la mise en scène de ce barnum. [...] Mais bon. On ne fonde pas un scénario sur des clins d'oeil, mais sur des surprises, des ressorts narratifs originaux. Ce qui est loin d'être le cas ici.
Première
Sylvestre Picard
Plutôt que de se brûler les ailes, Abrams calme clairement le jeu, et livre un Star Wars dans les clous, fournissant le fan service comme il faut, sans chercher à se frotter au mythe de face.
Télé 7 jours
Isabelle Magnier
Faute de nous faire rêver, J.J. Abrams boucle la boucle, mais ces adieux nous laissent sans nostalgie.
aVoir-aLire.com
Laurent Cambon
L’effusion d’effets spéciaux, de lumières et de sons ne parvient pas à rattraper un scénario mince, connu d’avance, dont on peine à percevoir la nouveauté.
Le Monde
Thomas Sotinel
Rien n’a changé, mais tout est plus coloré, plus rapide, plus bruyant, plus compliqué aussi (...) parfois sans autre raison d’être que de faire durer encore un peu plus le film. Celui-ci finit, pourtant, laissant une impression d’épuisement qui n’augure pas grand-chose de bon quant au futur de la saga.
Le Nouvel Observateur
Nicolas Schaller
La variété des décors, la générosité visuelle, l’ambition picaresque du film qui, dans un premier temps, tente de renouer avec le charme des serials dans lesquels George Lucas a puisés, tournent court.
Le Point
Philippe Guedj
De retour aux commandes, J. J. Abrams fait table rase de l'excès d'audace des « Derniers Jedi ». Mais la force de la saga, elle, sort affaiblie de ces atermoiements.
Libération
Didier Péron et Olivier Lamm
Presque malfaisant dans sa volonté de faire revenir tout le monde, vieilles carnes et morts compris, et de nous ramener sur les mêmes lieux - en ruines - de ces films «du bon vieux temps» qu’il est supposé conclure et ramasser dans un même mouvement, l’Ascension de Skywalker conclut moins la saga qu’il nous enjoint à retourner illico à son canon, dont il sait - il nous le raconterait presque - qu’il ne fera jamais partie, faute de la nécessaire étincelle d’une idée neuve.
Sud Ouest
Philippe Belhache
« L’Ascension de Skywalker » trouvera son public sans trop d’efforts. Mais reste une production au ton bien plus policé qu’il n’y paraît, à la morale en accord avec celle de la première trilogie, mais aussi et surtout à celle de son nouveau propriétaire, la maison Disney.
Télérama
Frédéric Strauss
Malgré des moments très réussis, l’inventivité n’est pas au rendez-vous de cet ultime opus qu’on voulait forcément exceptionnel, et qui lorgne du côté de "Game of Thrones".
Critikat.com
Josué Morel
L’Ascension de Skywalker aura donc au moins fait quelque part son travail de troisième volet, en cela qu’il compile et met en lumière les travers des deux précédents films, pour un résultat dont quasiment rien ne peut être sauvé.