darkmicoud a écrit:MAIS je suis désolé, ça défonce tout notre cadrage... J'ai beaucoup travaillé durant le tournage pour avoir les cadrages spécifiques à la symbolique que je voulais donner aux différentes séquences du film. Donc ça faussera tout le boulot fait en amont (pré-prod et tournage).
Je vais faire quelques tests, en parler avec les participants au film et puis on verra tout ça
Ah mais c'était juste comme ça, hein
Si tu as finement travaillé ton cadrage en amont et que tout est calibré en 4/3, forcément...Mais une question me trotte dans la tête... Si tu veux transformer tu 4/3 en du 16/9, certes il faut couper le haut et le bas de ton image, mais à un moment donné, il faut "rapprocher" notre image en quelque sorte non ? Rapprocher notre image = zoom ? Zoom = perte de qualité ?
Si on raisonne sur du DV PAL, on part, en 4/3, avec une résolution de 720*576 et un pixel ratio de 1.067. En 16/9ème, 720*432. Avec des pixels carrés, ça donne respectivement 768*576 et 768*432. Il suffit d'amener l'image à une résolution 16/9ème, donc en couper une partie, même si c'est pas forcément pile au milieu du plan que tu tailles.
Exemple à partir de très très vieux rushes recompressés. Là, j'ai davantage coupé en haut qu'en bas. Ca permet de centrer le plan sur le personnage et la canette d'Orangina (mais si, en bas, en petit
).En 4/3 :
En 16/9 :
Maintenant, j'ai bien conscience que ça s'apparente clairement à du bricolage, et je me ferais peut-être virer d'une école de ciné, mais perso, je trouve cette possibilité de recadrage en post-prod hyper pratique, d'où l'intérêt de tourner en 4/3 et de recadrer en 16/9ème ensuite.
), et je n'ose imaginer le nombre d'heures passé sur la modélisation ( 
). 
