Et hop! dernier épisode! Happy end!
Vingtième épisode :
Ka-boom. La DeLorean apparut en un éclair dans les rues encombrés de Coruscant. Certains passant purent échapper aux terribles roues inexistantes de la machine à voyager dans le temps, d’autres n’eurent pas cette chance et furent violemment écrasés, le sang gicla et les tripes volèrent. Je dis que les morts n’eurent pas la chance de vivre mais peut être sont-ce eux les plus chanceux au final… Le futur qui était en fait le présent de la plupart des occupants de l’engin n’avait pas tellement changé. A part quelques panneaux « Thrawn est mort, l’Empire l’a dans le fion », rien ne differait du présent qu’ils avaient connu et c’était tant mieux. Qui était ce Thrawn, Kitsch n’en savait rien et d’ailleurs il s’en fichait comme de ses dernière chaussettes. Comme il n’es portait pas ça règlais l’histoire. Le paysage urbain, les montagnes de béton et de transpacier, la pollution ambiante et le vacarme épouvantable emerveillait toujours notre chtit newok. Un type tout de fringues vétu était posté sur un hôpital et bombardait un hélicoptère avec un magnum chocolat/vanille et des grenadines. Il était en train de chanter un chant de guerre pour se donner du courages dans sa terrible entrprise (Commandant Picard au rapport !) : « En espadrilles, on a l’air d’un con, ça pue des pieds, on rachète une paire, au bout de trois semaines… ». Deux zigotos rigolo et gigolo étaient en train de manifester pour la création d’une petite secte, comme ça, pour le fun de la déconne : « Devenez un Woileu et combattez les terribles Pfffeux, et surtout, que la Woil soit avec vous! Tenue correcte exigé, venez à woil. » Les forces du désordre en uniforme arrivèrent mais fort (comme un boeuf) heuresement pour les deux manifestants qui n’étaient pourtant pas étudiants, Kitsch arriva à la rescousse :
-Eyh, les bisounours en cullottes courtes, vous vous souvenez de moi? J’ai reglé votre histoire de Gungan-killer, alors faut me payer maintenant!
-Ah, ouais, c’est vrai. Bon alors voilà 1000 crédits, toute façon ça reviendra dans notre poche vu que, c’est bien connu, les Ewoks payent pas le loyer. Résultat, vous aurez une amende et on ira gratter chez le juge qui est, comme tout les juges, corrompu, vénal et assoifé de fric.
-Chef, chef, fit un des Bisounours, on a une urgence, il paraît que Coruscant va bientôt être attaqué par de nouvelles forces impériales!
-On s’en fout! Il va être 21 heure et Sofia la rodienne va peut être gagner la Yub’ac, alors ‘ranchement, ton histoire d’attaque de planète, de milliers de morte et de destructions irrémédiable, ça peut attendre!
Et toute la clique de poulets Bisounours partit en discutant des possibles résultats de la Yub Yub Academy. Pour les cinq amis, si un tel mot peut convenir à cette situation aussi polyvalente qu’originalement étrange, l’heure était venu de se partager l’argent arraché aux griffes du mal et de rentrer gentiment à la maison. Des fois quand même j’ecris des trucs beaux…mais hors sujet! Ben oui, « parce que arraché des griffes du mal » il faudrait plutôt mettre « piqué à un Vong au préalable horriblement tué » et « gentiment à la maison » devrait devenir « comme des bourré dans la piaule pour continuer à foutre la dawa chez eux quand ils se seront fait virer de partout! ». Menfin, on se comprend, après dix-neuf épisodes vous devez avoir l’habitude de ses guedins de personnages. Le partage aurait dû se terminer par un meutre, comme tout bon partage, mais là non. Ils eurent tous une bonne part de maille et tout ce que Ghosty trouva à dire quand il prit dans se mains les 37 grosses liasses c’était :
-La pataphysique irrespectueuse est temporellement abjecte face à l’immensité paradoxal d’une tangente juxtaposé à la zymotechnie fructifié.
-Ghosty faisant de la philosophie, qui l’eut cru ?
-Poil au nez !
-Ta gueule Boba. Bon, les gars, on se fait une bouffe demain soir? Vous venez chez moi, on s’avale un grec suivi d’un esquimau le tout accompagné d’un petit blanc et on finira par se fumer une blonde. Repas cannibale, quoi! On se regardera un bon vieil holofilm, genre les Gundarks à St-Tropez.
-Nom de Zeus, Junior, mais c’est une très bonne idée! Alors à demain alors! dit Doky.
-Et toi tu vas faire quoi? Demanda Boba à Kitsch.
-Je vais rentrer chez moi pioncer un bon coup, mais avant, j’ai un truc à régler.
Ils se saluèrent et se quittèrent tout en pensant à leur futur soiré qui s’annonçait très bonne.
Kitsch se dirigeait vers le YubYub Café, un bouge qu’il avait toujours voulu posseder. Maintenant qu’il était rempli de pognon, il allait enfin pouvoir réalisé son rêve, super cool, quand même! D’ailleurs il était en train de kiffer. Il arriva enfin au bar et entra. Il y trouva ses potes Raoul, Hobbes et Garfield, trois zigotos qui trainait toujours dans ce pub et y faisaient régulièrement des soirés pour mettre un peu d’ambiance et se faire du pognon. Ils avaient en fait monté un groupe de bon vieux metal bien de chez nous, Metallichat. Comment vous décrire ça, c’était tout simplement magnifique et en plus ils était en tête de fin de liste du top 456! Ils étaient super connu dans le monde du Yub Yub Café. En gros ça veut dire qu’ils étaient super connu sur 100m². C’est déjà pas mal quand on y pense ou pas, c’est selon, et d’ailleurs on vous le dira ou pas et vous vous en rendrez compte ou pas et inversement c’est toujours mieux d’être connu là ou personne ne vous voit qu’être inconnu là ou tout le monde vous vois et inversement disproportionnés.Le groupe Metallichat entammé justement une chanson de leur cru cuit :
It starts with
One thing, I don’t know why
It doesn’t even mather how hard you try
Keep that in mind
I designed this rhyme
To explain due time
All I know
Time is a valuable thing
Watch it fly by as the pendulum swings
Watch it count down ’till the end of the day
Clock ticks life away
It’s so unreal
You didn’t look out below,
Watch the time go right out the window
Tryn’ to hold on
Didn’t even know, I wasted it all
Just to watch you go
I kept everything inside
And even though I tried
It all fell apart
What it’s meant to be
Will, eventually be,
A memory of a time,
When I tried so hard and got so far
But in the end, it doesn’t even matter...
I had to fall, to loose it all...
But in the end, it doesn’t even matter...
One thing, I don’t know why
It doesn’t even mather how hard you try
Keep that in mind
I designed this rhyme
To remind myself
How I tried so hard...
Dispite the way you were mocking me
Acting like I was part of your property
Remembering all the times you fought with me
I’m surprised it got so far
Things aren’t the way they were before
You wouldn’t even recognize me anymore
Not that you knew me back then
But it all comes back to me
In the end...
You kept everything inside
And even though I tried it all fell apart
What it meant to be, will
Eventually, be a memory of a time
When I tried so hard,
And got so far,
But in the end, it doesn’t even matter
I had to fall, to loose it all
But in the end, it doesn’t even matter
I’ve put my trust in you
Pushed as far, as I can go
For all this
There’s only one thing you should know
I’ve put my trust, in you
Pushed as far as I can go
For all this
There’s only one thing you should know...
I tried so hard,
And got so far,
But in the end, it doesn’t even matter
I had to fall, to loose it all,
But in the end, it doesn’t even matter
A la fin de la chanson, Kitsch alla vers le barman et lui dit comme ça, d’un coup :
-Je veux acheter ce bar.
-Il est pas à vendre.
-Alors je te le volerai après t’avoir tué.
Kitsch attrapa le barman Quarren par le col de ses tentacules et le roua de coup, la routine, quoi. Il allait le tuer quand il arrêta son geste. Etait-il juste de mettre à mort cet extraterrestre qui l’avait un brin embêté ? Devait-il enlever la vie à quelqu’un qui, lui aussi respirait, buvait, mangait, fuamis, se droguait… Que lui avait réellement fait cette créature? Méritait-elle vraiment la mort? L’Ewok mit fin à ses stupides reflexions manichéenes en décidant de torturer le Quarren puis de le virer ensuite. Il lui labourra d’abord le dos avec une rape à fromage. Une fois que le rouge fut devenu la couleur dominante du dos, il pratiqua de petites plaies sur tout le corps et y versa de l’huile bouillante. Kitsch se régalait à entendre les cris de douleurs du Quarren et décida de lui fourrer une grenade dans la bouche pour le faire sauter. L’effet pyrotechnique fut saisissant. Le crâne éclata en de multiples petits morceaux d’os et de chaires qui s’éparpillèrent partout dans la salle. Le cuir chevelu sauta jusqu’au plafond même la carcasse n’était plus. En fait, il ne restait plus rien de l’ex-barman. Kitsch s’était bien amusé et possédait enfin un bar! Ca exuserait peut être son retard auprès de Wickette, qui sait. Oui, je vous ait peut être pas dit mais ce que Kitsch redoutais le plus au monde était la colère de sa copine. A côté, un Palpy, un Kun, un Ragnos ou même un Vader fait office (du tourisme) de Jaques Martin. Il se dépêcha donc de rentrer dans son bon vieux deux pièces. Il ouvrit la porte de chez lui et se fit littéralement attaqué par deux miniscule Ewoks piaillants.
-Iiiiiiik ikkkkk, yib yib!
-Fuck & yub! C’est quoi ces trucs chérie?
-Des bébé Ewoks. Comme je m’ennuyait quand t’était pas là, je suis passé par la maternité et j’en ai ramené deux chtites boules de poils. Je te présente Ketchup et Kitchenette!
-Yub yub, moi ze serai un niwok surentrainé plus tard! fit le petit Ketchup.
-My dad’s gone crazy! s’écria Kitchenette d’un ton joyeux.
-Eh ben on n’est pas sortit de l’auberge et pourtant, on n’y est jamais entré! En tout cas, déclara-t-il en prenant son fils et sa fille dans ses bras, je suis de retour. Et comme dit le proverbe, tout à une fin sauf la banane qui en a deux.
FIN
Fin, certes, mais de la première saison seulement! J'ai prévu de faire aussi deux nouvelles puis j'attaquerais la saison 2. Et après...
Le bonheur est dans le pré et la moquette chez Conforama.
Et comme disait Nixon en sortant de son bain, "Noël au balcon, Pâques au rabane, alors on auras pas un Pâques beau!"