K2-B4 fut l’un de ces nombreux droïdes tactiques de série T utilisés pour seconder les commandants et officiers de l’armée de la Confédération des Systèmes Indépendants. Cette unité était spécifiquement attribuée à Osi Sobeck, responsable de la terrible prison connue sous le nom de la Citadelle. De son poste, le droïde, à programmation féminine, gérait toutes les affaires courantes inhérentes à la vie de la prison.

Ainsi, peu après la capture du maître Jedi Even Piell, ce fut K2-B4 qui accueillit par radio un cargo de ravitaillement, leur demandant comme précisé dans son protocole tous les renseignements usuels. S’ensuivit un scan complet de l’appareil à la recherche de formes de vie, interdites sur la planète Lola Sayu, un excellent moyen de détecter très vite les tentatives d’infiltration.

Hélas, par ce biais, K2-B4 manqua le commando de la République encastré dans de la carbonite, diminuant leurs signes vitaux au minimum. Ces derniers purent alors pénétrer la prison et libérer Piell, au grand dam de Sobeck qui tenta tout ce qu’il put pour les arrêter. K2-B4 continua d'effectuer son travail, transmettant notamment à Sobeck une communication particulièrement menaçante de la part du Comte Dooku sur les échecs répétés de Sobeck. Ce dernier s’en prit ensuite à K2-B4, furieux d’avoir ainsi été « surpris » par la communication du Comte, ce qui montre une nouvelle fois le manque de subtilité des droïdes de série T. Un peu plus tard, le série T se fit même rouler dans la farine par R2-D2 et ses comparses droïdes de combat reprogrammés.

Et pour en finir avec les échecs de K2-B4, cette dernière fut placée un peu plus tard à la tête de la flotte orbitale séparatiste avec ordre de faire blocus à l’arrivée des vaisseaux républicains venus secourir le commando. Hélas, là aussi K2-B4 ne sut pas remplir sa mission, vite dépassé par la vitesse et la puissance des forces républicaines. Le commando put ainsi s’échapper de la Citadelle, une première dans l’histoire de la terrible prison.