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Je suis d'accord avec toi, mais pour moi Kilgore, c'est juste Robert Duvall alias THX 1138.Débat lancé par MRHA:
[b](alors que Kilgore est un personnage éminemment symbolique en plus, mais ça faut le chercher.)
Aaaaaah, un petit coup de béton, et hop par dessus la rambarde du pont.Ben, se plonger dans les romans, c'est-à-dire dans l'oeuvre elle-même et chercher à la prolonger via la littérature, c'est déjà faire une lecture référentielle.
Le référentiel ne raconte pas de conneries, il se contente de divaguer. Il va trop loin "dans son monde". Le critique peut aller trop loin, naturellement, s'il analyse mal. D'ailleurs à part Lucas lui-même (et encore) j'imagine que personne ne peut réussir à 100% une critique des starwars. On met forcément notre part de subjectivité dans une critique, mais c'est pas pour autant une subjectivité référentielle. Moi je suis Yann, j'aime les effets spéciaux, dans mon appréciation critique des films starwars, j'aurai toujours tendance à mettre en avant les effets spéciaux et la façon révolutionnaire que Lucas a eu de les créer et les utiliser.Donc le référentiel peut aller trop loin et raconter des conneries, mais pas le critique?
MRHA parlait de "la vocation du cinéma depuis la base de son existence". Ce n'est pas parce que la majorité des films qui font entrer des gens dans les salles sont dits "divertissants" que le cinéma n'a pas d'autre vocation. Un film peut avoir une vocation éducative, révolutionnaire, réformiste, une vocation d'expression... Je dirais même qu'un scénariste digne de ce nom *sait* qu'un film n'est pas que du divertissement.MRHA : " le cinéma à une vocation immersive et peut-etre de divertissement (encore que là, j'ai des doutes)".Booster : Tu pourrais développer un peu, parce que je concois mal le cinéma sans son aspect divertissement. Je parle du cinéma dans son ensemble, je parle pas de cas particuliers comme les documentaires etc.
Si tu as bien compris le reste je ne devrais pas avoir à argumenter, mais allons-y un peu tout de même.Là j'aimerais vraiment que les auteurs de fanfic viennent donner leur avis. Je n'en fais pas parti mais je juge leur travail beaucoup plus créatif que la mise en relation "bataille de Yavin - bataille d'Angleterre".
Moi, voilà, je fais dans le référentiel (à outrance même si vous voulez, je lis l'UE, j'écris des FF, je connais par coeur la biographie du GA Thrawn...) et j'aime TPM, voir même O sacrilège la prélo. Et je ne suis pas le seul. Alors tu crois que c'est grave où que tu généralises déjà sur les quelques avis que tu as pu lire ?Débat lancé par mr yann:
[QB]
Quelqu'un qui ne fait qu'une lecture référentielle, il reste dans l'oeuvre, et ensuite il dit que TPM est nul, raté, chiant, à côté de la plaque, qu'il lui manque plein de trucs, parce que ce spectateur aurait aimé que TPM soit un prolongement "référentiel" de starwars. Il l'est dans l'histoire mais pas dans le second degré du scénario, cad l'aspect introspection, les métaphores, etc. [QB]
Est-ce qu'exprimer un sentiment (justifié ou non) nous oblige forcément à être référentiel. Je veux dire, jusqu'à preuve du contraire, on est spectateur du film, on exprime une opinion donc. Quand tu vas voir un film n'importe lequel, style SDA, et que tu dis qu'il est mauvais, et donc pas à ton goût, si tu fais une analyse critique, tu comprendras pourquoi tu ne l'aime pas, mais ca n'ira pas plus loin.Pour TPM il suffit qu'on ressorte un ou deux sujets pour juger de la quantité de personnes qui ont dit des scènes "sans action" qu'elles sont ennuyeuses à mourir. (le dîner) (oui c'est peu mais on peut pas leur demander d'être intelligents en plus ).
Idem pour la romance d'AOTC. Idem pour les blagues de Jar Jar qui "rallongent le film inutilement" (ajouter du temps inutil, c'est bien être chiant, non?).
Déjà, tu te trompes: il suffit de voir les groupes se créant autour de l'UE ou les JV. Le référentiel, dans SW comme pour d'autres univers, nécessite plus que jamais l'apport extérieur. Les avis sont tranchés, de fait, tu organises une réflexion sur l'univers que tu gères, son traitement et ses lignes directrices. D'où l'intérêt des forums de discussion (ou des rencontres de fans) à ce sujet: il peut y avoir aussi reflexion, argumentation....ce qui entraîne de fait un regard critique. De fait, ca mobilise nos connaissances, on apprend de nouvelles choses etc...et pas seulement dans notre "monde à nous". Discute Jeux Vidéos SW avec qq'un, le thême finira par déborder sur le reste des jeux. Idem pour la Litté, ou les films.Le référentiel continue dans l'histoire, se faisant un monde. Lui ne nécessite pas forcément d'apport extérieur.
Euh, t'a déjà lu des FF ? Non paske les auteurs de FF ne reproduisent pas tous leur idéal de vie ou la métaphore de leur vie dans leurs textes. Enfin, j'espère, car sinon, il faut bien avouer que les psychopathes fans de SW courent les rues. :debile:Le cas classique du référentiel classique est l'auteur de fanfic qui raconte sa vie de façon métaphorique. Même sans le savoir ("je me suis inspiré de tel livre" -> oui, tu as choisi ce livre). Et raconter sa vie de façon métaphorique en la transposant dans le référentiel, et en l'édulcorant de quelques trucs à la mode pour que tout ça fasse un livre acceptable ou génial, il n'y a pas besoin d'être extrêmement créatif pour faire ça.
L'auteur de fanfic accomplit essentiellement un travail d'introspection. Admettons qu'il écrit parce qu'il a des idées et qu'il desire en faire part au monde. (rappelons qu'il existe aussi des auteurs qui ont une ou deux idées et pour qui le reste est un remplissage pénible et fastidieux) Cet auteur nous raconte sa vie. Effectivement il nous apporte son histoire, mais qu'est-ce qu'il a créé? Une nouvelle planète? Une nouvelle identité cachée pour Boba Fett? Un nouveau héros qui domine le côté obscur et est capable de s'en sortir? La créativité ne se mesure pas au nombre de pages mais plutôt à la quantité de concepts produits, non?
Les auteurs de fanfics qui arriveront à trouver le concept "fort" qui sortira leur fanfic de l'anonymat, ce sont les auteurs qui font une lecture critique à un moment donné. (ou alors, "pouf" ça germe comme ça dans l'esprit, en fonction de leur subjectivité, leur histoire, bref, ils racontent leur vie).
Ben non, car écrire une Fanfic nécessite forcément une analyse critique préalable. Si tu as aimé quelque chose que tu veux reproduire (puisque que ca semble être un peu l'argument du post, nous sommes des techniciens qui reproduisent l'univers SW), pour le reproduire, il faut d'abord le critiquer, afin de comprendre pourquoi tu l'a aimé. A partir de là se réalise un travail (pas tjs conscient d'ailleurs) d'analyse de l'élément que l'on aime.Alors scuz-moi mais rien que par rapport au nombre de domaines abordés, la lecture critique d'un film apporte à elle toute seule plus de portes que la lecture référentielle et la possible écriture de fanfic qui suivra.
Oui, mais le résultat n'est pas de chercher du public (un texte SW ne sera pas forcément lu, ou il aura un public de toute façon réduit), c'est d'essayer de partager une passion commune. Quand toi, tu essayes de partager ta passion des FX en réalisant des FX même amateur et en les montrant aux autres, c la même chose.Tu as le choix de "rester dans le référentiel", et "limiter ta création" à l'invention de concepts forts pour un livre. Tant qu'on parle de fanfic (c'est toi qui as commencé lol) je pense qu'on reste dans le référentiel "starwars" et donc on touche un public particulièrement ciblé, cad les gens qui aiment starwars, et des gens aimant les écrits amateurs.
Ben, oui, le gars qui écrit du SW ne vise pas les autres, il vise les fans de SW. Il en est même conscient (j'enfonce des portes ouvertes) et c'est ce qu'il veut. Si tu me parles de photographie (puisque tu as choisi cet exemple) et que les photos, ca ne m'intéresse pas, y aura le même constat. En parlant photo, tu te limite aux seuls fans de photo ou de technique à 99%. etc... et ca, lecture critique ou référentiel, peu importe.La différence principale que je vois est qu'un auteur de fanfic se limite à un public que j'estime à 99% starwarsien, alors que quelqu'un qui créé dans un domaine non référentiel (puisqu'on parle bien de l'analyste à la base) sort de starwars pour le plaisir.
Rêver, ca finit tjs par donner des idées, surtout involontairement.Analyser, ça finit toujours par donner des idées, même involontairement.
non. Si tu parles de ressentir quelquechose devant le film, alors là je pense que généralement la plupart des gens sont "dans" le film, en emphase avec le héros, etc. Là ils ressentent les émotions des personnages du film. C'est du référentiel. Mais le spectateur peut avoir des sentiments et des impressions sans être référentiel... Y'a des gens qui regardent "Dark Angel" pour voir l'actrice, d'autres personnes aiment voir des belles voitures. D'autres encore aiment les dialogues pointus ou l'humour second degré d'un film (pas du personnage d'un film). D'autres peuvent s'émouvoir d'une composition d'image... Enfin c'est une question bizarre.Est-ce qu'exprimer un sentiment (justifié ou non) nous oblige forcément à être référentiel.
Bah qu'est-ce que tu en sais? D'ailleurs tu te trompes. Non seulement j'ai vécu des moments soit fort drôles qui m'ont laissé de bons souvenirs, soit très intéressants qui m'ont permis d'affiner mes goûts ainsi que mes efforts de recherche pour produire ce que je veux produire. Je n'ai que 23 ans et mon observation analytique de la trilogie de Peter Jackson ne s'est pas arrêtée au moment du générique de fin, elle ne fait que commencer. Qu'est-ce qui te dit que chez moi c'est pas rempli de productions diverses plus ou moins liées à l'appréciation que j'ai eu du SDA et d'autres films?Quand tu vas voir un film n'importe lequel, style SDA, et que tu dis qu'il est mauvais, et donc pas à ton goût, si tu fais une analyse critique, tu comprendras pourquoi tu ne l'aime pas, mais ca n'ira pas plus loin.
Moi je disais ça en bien, que les auteurs racontent leur vie. Mais (de la part de quelqu'un qui semble attaché à la littérature ça m'étonne ce que tu fais là) c'est pas parce que je dis "ils racontent leur vie" que les auteurs tentent point par point de tout se remémorer pour le raconter une bonne fois pour toutes... Evidemment une histoire est une transposition métaphorique d'événements qui touchent l'auteur sinon il n'aurait pas grand intérêt à écrire. Et si ça touche l'auteur c'est que c'est lié à sa vie.Euh, t'a déjà lu des FF ? Non paske les auteurs de FF ne reproduisent pas tous leur idéal de vie ou la métaphore de leur vie dans leurs textes. Enfin, j'espère, car sinon, il faut bien avouer que les psychopathes fans de SW courent les rues.
*accent polonais* non c'est pas moi! j'ai pas volé l'orange!En parlant photo, tu te limite aux seuls fans de photo ou de technique à 99%. etc... et ca, lecture critique ou référentiel, peu importe.
lolRêver, ca finit tjs par donner des idées, surtout involontairement.
Rah, flute, me semblait que le smileyDébat lancé par mr yann:
[b] Moi je disais ça en bien, que les auteurs racontent leur vie. Mais (de la part de quelqu'un qui semble attaché à la littérature ça m'étonne ce que tu fais là) c'est pas parce que je dis "ils racontent leur vie" que les auteurs tentent point par point de tout se remémorer pour le raconter une bonne fois pour toutes... Evidemment une histoire est une transposition métaphorique d'événements qui touchent l'auteur sinon il n'aurait pas grand intérêt à écrire. Et si ça touche l'auteur c'est que c'est lié à sa vie.
Maintenant je me doute bien que l'auteur de Conan n'était pas un type super musclé qui trucidait des serpents à coups de hache toute la journée. Seulement si cette histoire touche l'auteur au point qu'il cherche à la raconter, c'est qu'elle trouve suffisemment de liens avec sa vie.
On dit bien que l'empire était une image de Hollywood dans ANH. Lucas se voyait entraîn de détruire Hollywood, et dans sa vie il aurait aussi voulu le faire. Lucas considère l'idée d'un mentor comme très puissante parce que tel a été son cas dans sa vie, etc.
Tout à fait :jap:Ils peuvent décrire des fantasmes qui eux aussi sont liés à leur vie.
Ben oui, mais non. Parce que la plupart d'entre nous ne travaillent pas seul. Soit il y a vrai travail d'équipe (le GK en est un bel exemple...j'en ai fait moi-même l'expérience sinon), soit on fait lire nos bouts de textes etc...à des correcteurs (fans ou non d'ailleurs, car là il s'agit autant de juger le texte sur le fond que sur des principes bassement grammaticaux) qui nous apportent des visions différentes, une approche plus détachée, bref, un point de vue à confronter au notre, qui est sortit d'un contexte référentiel.Si on part du principe qu'ils font ça dans une approche référentielle, alors c'est logique qu'ils ne se tournent que vers des choses existantes ou du passé. Des souvenirs, des rêves, des fantasmes, et une façon plutôt intuitive d'écrire. Evidemment il y a une part de création là dedans, mais une création passive, et individuelle.
Dès qu'un créateur se met à communiquer avec d'autres, à analyser ce qu'il fait, ou à le faire analyser par d'autres, alors il n'est plus dans une approche référentielle.
Euh, non, pas du tout. Car souvent les référentiels se mélangent. Pour parler de mon cas (et je sais que c le cas pour pas mal d'autres), je ne suis pas "fan" que de Star Wars. J'aime par exemple beaucoup les films de John Woo. J'aime beaucoup également tout ce qui fait référence au policier. Et je partage aussi ses passions ci sur des forums, avec des amis.Un "fan" de photo à 99% oui, mais son "référentiel" à lui peut-être complètement différent du mien. Il peut être publicitaire, photographe de mode, portaitiste. Un auteur de fanfic qui a la volonté d'être référentiel se prive de dialoguer avec des auteurs ayant des référentiels différents (des auteurs ayant d'autres univers, des auteurs faisant du documentaire...)
Bah, c'est ce qui se passe. L'analyse et la mise en relation est déjà nécessaire pour lier nos idées à notre univers favori. Mais parce que l'on a choisi ce public de fan de SW, on essayera de trouver plus d'impact pour une FF SW. Alors, tu vas me dire, c'est se limiter. Oui, peut-être. Mais, moi, je n'ai ni formation d'écrivain, ni la vocation de le devenir. J'ai commencé à écrire des FF parce que j'étais fan de SW. Sinon, cette idée ne m'aurait peut-être pas effleuré. J'écris très peu hors SW quand même, et donc je ne considère pas que je me bride en restant dans ce cocon de fan. Car justement, je n'écris pas sans SW. Comme tu le souligne, c plus "un jeu", une façon de prolonger son plaisir avec sa passion. Et l'expression du but est là. Au niveau de SW, certes, mais elle est là. Comme la volonté de communiquer. Et, si toi tu juges que c faire cela à moitié, chacun son monde comme tu le soulignes si bien. Car je me contente très bien de celalol
bah oui mais c'est passif et lié à ta vie.
Rien ne t'empêche d'analyser un minimum ces idées (cad devenir créateur actif) pour les mettre en relation avec d'autres et essayer d'en faire quelquechose qui aura plus d'impact, qui sera mieux ciblé, qui sera mieux compris, etc?
Petite précision. L’auteur de Conan, Robert E. Howard, était VRAIMENT une armoire à glace : près de 2m et 100kg presque tout en muscles. C’était également un fanatique de sport et de culture physique. Il était même un boxeur et un cavalier accomplis… lolDébat lancé par mr yann:
[b]Maintenant je me doute bien que l'auteur de Conan n'était pas un type super musclé qui trucidait des serpents à coups de hache toute la journée. Seulement si cette histoire touche l'auteur au point qu'il cherche à la raconter, c'est qu'elle trouve suffisemment de liens avec sa vie.
Je suis totalement d'accord avec toi hein, et j'avais très bien cerné le sens de référentielle. Vous aviez démarré sur ce lien référentiel/FF, et je n'ai fais que tenter de généraliser l'approche de certains des auteurs (du moins, ceux que je connais de près ou de loin) pour montrer que le mélange entre le référentiel et la FF ne masquaient pas le travail critique, et que ce n'était pas non plus une création uniquement "passive" comme tu as pu le dire.Débat lancé par mr yann:
[b] Le quiproquo d'origine se trouve dans le message d'Alcatel, je crois.
Avoir une approche référentielle de starwars c'est se considérer comme vivant dans ce monde, du moins c'est ce que je pense. On ne vit pas dans le référentiel "monde réel" mais dans le référentiel "monde starwars".
On peut évidemment "vivre comme ça" en écrivant sa fanfic, qui serait une transcription de fantasmes, rêves, divagations... Alors on raconte aux autres comment on vit {dans starwars}.
Si tel est le cas alors on ne peut pas demander à quelqu'un d'autre de raconter à notre place, puisqu'il n'est pas dans notre tête.
Quand on travaille à plusieurs, ça devient dur de le faire en référentiel, puisqu'il faudrait toujours être en phase avec les autres. Et les communications entre auteurs seraient du genre :
-as tu retrouvé ton sabre laser? il faudrait que tu viennes m'aider je n'arrive pas à me débarrasser de ces #*!+/@} de Yuuzahn Vong!
-Non! je dois immédiatement contacter maître Naboko qui est resté en orbite pour surveiller les approches d'éventuels Mandaloriens! Il n'y a que lui qui puisse venir nous aider!!
En gros c'est du jeu de rôles.
C'est sûrement très dûr de faire ça, et puis évidemment le regard critique sur ce qu'on écrit n'est pas évoqué alors il reste lié à l'approche individuelle plus ou moins automatisée.
Cela dit je pense que c'est possible. Avec un ami, un jour en cours de maths on a inventé une histoire de complot interplanétaire d'extra-terrestres contre la Terre... Même si chacun y voyait probablement des significations diverses, ça ressemblait plutôt à un délire surréaliste, un peu informe. On se prenait pour des gens "au courant" qui venaient de se rencontrer, chacun apportant sa part de connaissances. Je crois que j'me suis jamais autant amusé à la fac.
Y'a le cas des fanfilms aussi. Les réals de fanfilms ayant une approche référentielle peuvent éprouver des choses très fortes sans qu'un seul spectateur comprenne ce qui se passe. Les acteurs font tout "dans leur tête" et pas avec leur corps. La moitié du film est incompréhensible parce que le réalisateur a "oublié" de montrer ou d'exprimer des choses, qui lui semblent évidentes mais que le spectateur ne peut pas deviner...
Idem pour la bande dessinée amateur "de fan référentiel". J'ai pu voir quelques extraits, ben c'est à la limite du compréhensible quelquefois. Les dessins sont pas du grand art, d'abord. Ensuite le scénar et l'agencement des bulles font des ellipses si énormes qu'elles en cachent une partie de l'histoire...
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