Voila je permet de le mettre a part egalement pour avoir qql reaction
Bon on me demande de developpe je vais le faire mais vous pleignez pas et vous avez interet a lire jusqu au bout
![Sourire :)](https://www.starwars-universe.com/forum/images/smilies/icon_smile.gif)
Je reconnais que la serie classic de ST ou les premieres saisons (juste la 1 et 2) ont mal veillie mais a mon avis on les regardera plus que ST car d abord ST est comme je le disais une fable utopique sur l homme car meme si la Federation(merde il y a pas une dans la prelogie de SW) et un ensemble de planète ou la guerre,maladie , fanime , argent n existe plus et l univers utopiste de ST a de quoi seduire (je vais faire un texte sur ST un de ces 4 pour bien presenter l univers) une monde riche car plusieurs séries , films , guide-book , et autres un staff de scenariste jusqu a présent parmi les meilleurs du métier , bcp d acteurs provenant du theatre et meme certains de la Royal S. Compagny.De plus les acteurs sont implique dans la construction de la serie (ce qui manque a Lucas mais j y arrive ) les fans sont légion et il faut se rentre a l evidence regarder a l echelle mondiale ST a plus de fans que SW (et oui désole)
Maintenant je vais m explique sur ST (je tiens a preciser que cela est objectif le fruit de plusieurs année de lecture et non pas une critique infondé , je vais m appuyer sur des faits precis que peu de gens du moins a ma connaissance se donner la peine de recherche pour ne pas abime notre "Cher Lucas")
Rendons à César ce qui est à César, l'idée de faire un tel film est de Lucas Mais il y avait un inspirateur, un mentor... Gary Kurtz, producteur du American Graffiti de George Lucas, féru érudit de mythologie, d'anthropologie, de psychologie sociale, d'histoire des civilisations.
Son rôle est encore vague dans A New Hope (ANH - 1977), mais il est évident qu'il a joué un grand rôle, non seulement en faisant l'intermédiaire entre Lucas et la Fox, mais également en guidant George, encore jeune, dans l'écriture et la réalisation du film.
Preuve en est les comparaisons des premières versions du synopsis de SW ep IV: ANH, au résultat final. En effet, Lucas dès 1973 écrit une intrigue calquée sur Kakushi toride no san akunin (la forteresse cachée, 1958) de Kurosawa, et surtout, sur les storyboards de Moebius pour le projet du film Dune par Jodorowsky (d'après le roman de Franck Herbert, entreprise avortée) qui vont lui inspirer une grande part du design. Mais l'histoire que pond Georgy est très grossière et semble n'être qu'une linéaire succession de péripéties (tiens? comme la prélogie!) dans un univers SF à la "Flash Gordon". C'est là qu'intervient Kurtz, poussant Lucas à réécrire et imprégner son histoire de spiritualité (la Force) et devenant un récit initiatique. Il est dès lors aisé de dire que Kurtz a été à Lucas ce qu'Obi-Wan est à Luke: un mentor, un guide, un père spirituel, un "Sempaï". D'autant plus si l'on connaît la forte identification de George avec son Luke (Luke/Lucas) et que le personnage de Ben Kenobi est apparu tardivement dans le processus d'écriture.
George s'est entouré de mecs talentueux pour ce projet, outre Kurtz, on peut citer Lawrence Kasdan par la suite (co-scénariste sur ESB puis ROTJ), et surtout toute la bande de timbrés (designers et techniciens) des débuts d'ILM, les John Dykstra, Tipett, McQuarrie, Edlund, Baker, Cobb, Freeborn, ... (le générique de l'epIV est monstrueux). Ces mecs étaient pour la plupart des artistes, des créateurs, des novateurs, des porteurs d'idées, voire des génies pour certains.
Une légende à laquelle il faut tordre le cou, c'est celle qui prétend que les critiques n'ont jamais aimé Star Wars. Comme c'était prévisible, la critique intello a descendu le premier Star Wars (ANH), mais une majorité de la presse US de l'époque a salué ANH, et encore davantage ESB. Papy Lucas a déformé la vérité pour justifier le piètre accueil de l'episode One (TPM).
The Empire Strikes Back (ESB, 1980). Un tournage éprouvant qui marquera le divorce Kurtz/Lucas. Cette fois-ci, Lucas abandonne la réalisation et le scénario, viennent alors Lawrence Kasdan (scénario) et Irvin Kershner, un metteur en scène expérimenté et forte tête (le caractère de Yoda lui doit beaucoup, d'ailleurs). Kershner étant plutôt bon dans la direction des comédiens (cf ce qu'il arrive à faire exprimer à Mark Hamill lors de l'amputation et la révélation paternelle, ou encore l'émotion de Carrie Fisher lors de l'émouvante scène de congélation), il laissera à Harisson Ford un peu de liberté, permettant à Solo de gagner en importance dramatique (la fameuse réplique "Je t'aime. Je sais" on la doit à Harrison Ford).
Lucas s'est adjoint les services de deux scénaristes pour se pencher sur le script d'Empire. Leigh Brackett tout d'abord, grande romancière de SF (et scénariste de Rio Bravo et de certains épisodes d'Alfred Hitchcock présente.) qui succombera à un cancer peu après avoir achevé la première version du script. George confiera alors la réécriture à un jeune scénariste, Lawrence Kasdan (alors penché sur le script de son projet Indianna Jones: The Lost Ark) qui modifiera en profondeur le scénario initial. Ce dernier assimilera Anakin Skywalker et Darth Vader en un même personnage, faisant de Vader la figure paternelle et donnant une nouvelle dimension à la saga...
Un tournage au cours duquel Lucas, accablé par l'enjeu financier (il l'a entièrement financé avec ses propres deniers, preuve de la volonté du bonhomme, et c'est tout à son honneur) et par la pression, se contentait de surveiller de loin ce que faisaient Kershner et Kurtz (à la manière d'un Joel Silver), Kurtz étant le vrai patron sur le plateau et le réalisateur de la 2nd équipe de tournage (après la mort de John Ferry). Or, George Lucas a quasiment eu une attaque en voyant le résultat (le rythme assez lent, la violence, le ton noir et peu spectaculaire) et en constatant que Kurtz, qui voulait obtenir la perfection pour chaque scène dramatique et chaque Special FX, avait pris du retard sur le planning, principale priorité de Lucas au détriment de la qualité du film...
Kershner et Kurtz (auquel l'ambiance de Dagobah doit beaucoup) étaient les vrais défenseurs des scènes de Yoda face à un Lucas qui voulait plus d'action, et qui a remonté le film en voulant accélérer les séquences (d'ailleurs chez Lucas, il faut toujours mettre la grosse baston... à la fin, et non au début comme sur Hoth! Sacrilège!).
D'autre part, sur ROTJ, c'est Marquand qui a insisté pour filmer la scène avec Yoda contre l'avis, au départ, de Lucas et Kazandjian (qui trouvaient le tournage des scènes avec la marionnette trop complexes). Ce fut une des rares réelles contributions créatives de Marquand.
La vérité est que Lucas a vraiment eu peur pour son argent (et c'est normal), et qu'il s'est rendu compte qu'il ne voulait pas prendre de risques en faisant un film trop anti-commercial.
Le fait est qu'il fut contraint de demander des fonds... à la Fox. Ce qu'il s'était juré de ne plus jamais faire. C'est cette blessure d'orgueil qui est à l'origine du départ de Kurtz, combinée avec la divergence de point de vue croissante entre les deux hommes sur ce que devait être Revenge of the Jedi.
C'est pourquoi il s'est séparé de Kurtz pour embaucher Howard Kazandjian à la production sur ROTJ, et qu'il a tenu à écrire avec Kasdan le scénario pour ne pas que l'histoire lui échappe trop cette fois-ci, et qu'il a confié la réalisation à Richard Marquand, ex-marionettiste (donc parfait pour les Ewoks, Jabba, et autres Salacious Crumb du film...) et cinéaste inexpérimenté (donc manipulable, contrairement au vieux grigou Kershner)... On sait ce que ça donne: un Return Of The Jedi qui lorgne vers un public beaucoup plus jeune que Empire Strikes Back!
Dans Empire Building : The remarkable real life story of Star Wars de Gary Jenkins, biographie non-officielle de Lucas et compte-rendu du tournage de la saga, de 1977 à nos jours. Ni pro- ni anti-Lucas, le journaliste Jenkins dresse une liste des talents et des mérites de George Lucas sans occulter les "côtés obscurs" de sa personnalité, les évènements qui les expliquent, ainsi que la mutation de la petite cellule créative Lucasfilm en entreprise dépersonnalisée axée sur la gestion de "L'Empire Stars Wars". Et il ressort notamment que Gary Kurtz a eu un rôle sur le succès de Lucas ("American Graffiti", et a fortiori "Star Wars", ne seraient pas nés sans lui) et sur la réussite de la trilogie originale (ESB est plus un film de Kurtz et Kershner qu'un film de Lucas) dont on ne soupçonne pas l'importance, et que seuls les collaborateurs de l'époque reconnaissent. Aucun n'a eu l'influence de Kurtz sur le coeur de la saga, son histoire et ses orientations esthétiques (c'est LUI qui a demandé au décorateur d'ESB de faire Dagobah le plus sombre et poisseux possible). Et c'est sans aucun doute le deuxième homme le plus important de la saga après Lucas, et avant Kasdan.
Après Empire, Lucas a viré Kurtz officiellement pour les dépassements de budget (il faut voir là l'exigence perfectionniste de Kurtz pour les scènes dramatiques), mais officieusement pour pouvoir faire tranquillement SON Retour du Jedi plein d’Ewoks et avec un beau happy end-feux d’artifices (cet auto-sabordage de Lucas tue dans l'oeuf le projet de 3e trilogie), là où Kurtz imaginait un Revenge of the Jedi beaucoup plus ambigu et doux-amer.
Le même Gary Kurtz qui, aujourd’hui, lorsqu'on lui demande ce qu’il pense de l’Episode One, répond avec embarras qu’il lui est difficile de donner un avis objectif, ayant à l’époque travaillé sur le sujet et envisagé une intrigue beaucoup plus mature, mais qu’il est tout de même triste de voir ce que sont devenus les Jedis, la Force, etc... et qu’il regrette que personne n’ose plus contester les choix de Lucas.
Ca fait mal. Et les mérites respectifs de Lucas et de Kurtz ne font plus guère de doute quand on compare ce que les deux hommes ont fait séparément avec Jim Henson au milieu des années 80 : avec Kurtz, ça donne le merveilleux Dark Crystal (dont la structure mythologique est similaire à Star Wars et les ambiances sombres très proches de Empire), avec Lucas, ça donne le nanar Labyrinth (et pourtant, je suis fan de Bowie)
Dans une autre interview, on peut y lire ce que Kurtz voulait faire du 3e opus SW (le 6e donc), un Revenge of the Jedi... encore plus sombre et mature. Avec la mort de Han Solo, Luke qui se casse vivre en ermite, et pas un poil de bisounours décérébrés pour rameuter les mômes...
Leia n'étant alors pas la soeur de Luke (c'est Lucas qui l'a imposé pour couper court aux ambiguités d'un triangle amoureux Luke/Leia/Solo).
Lucas s'est félicité d'avoir réussi à rectifier le tir pour l'ep.VI (moins de têtes pensantes, plus de "yes-men")... en 1983, ses proches collaborateurs ne cachaient déjà pas leurs doutes quant aux capacités de Lucas à réaliser un film... Lucas n'a jamais aimé travailler avec des acteurs, c'est bien connu, et c'est ce qui nous doit des "choses" comme Jar Jar... Il y avait d'ailleurs une blague avant L'Episode One qui circulait parmi les acteurs de l'ancienne trilogie susceptibles de jouer à nouveau dans la prélogie (Anthony Daniels, Kenny Baker, Ian McDiarmid...): c'était de se demander lesquels allaient être digitalisés!
Kurtz viré, ce sera au tour de Lawrence Kasdan d'être remercié après ROTJ. Lucas ne s'est évidemment pas séparé de John Williams (musique) ni de Ben Burtt (sound designer), il a au moins eu le mérite de reconnaître ce qu'il leur devait - quoique Williams ait considérablement baissé de forme depuis lors (son meilleur score pour SW est justement... The Empire Strikes Back! un hasard?), mais est-ce entièrement de sa faute de n'être que peu inspiré par la prélogie? -.
Mais Georgy a quand même effectué des purges dans son équipe de départ, dont John Dykstra (génial responsable des effets visuels sur ANH). L'absence d'une plume de la trempe de Lawrence Kasdan pour la prélogie se fait également ressentir, de même que celle de Marcia Lucas, ex-femme de George et responsable du montage, qui, paraît-il avait un impact énorme sur la créativité de son mari.
Et puis que devient Ralph McQuarrie, à qui on doit une énorme partie de tout le visuel Star Wars? Il a disparu avec ses sublimes matte-paintings, remplacé par des designers qui nous pondent les paysages numérico-kitsch des Episodes 1 et 2 sur leur palette graphique...
Dykstra, Ralston, Edlund, Nicholson, Tippett... ont "quitté" ILM pour rejoindre une autre boîte à FX numériques Sony Imageworks à qui l'on doit les SFX sur "Starship Troopers", "Hollow Man", "Godzilla", "Spiderman". Mais en fait Dykstra a bel et bien été viré par Lucas qui a le chic pour se brouiller avec les gens talentueux.
Lawrence Kasdan est devenu un scénariste reconnu: The Bill Chill ("les copains d'abord"), qui lui permet de retrouver William Hurt et de travailler avec Kevin Kline, un autre de ses fidèles, avec une nomination à l'Oscar du meilleur scénario original à la clé. En 1985, Lawrence Kasdan réalise un rêve d'enfant en tournant un western, Silverado, avant que The Accidental tourist en 1988 et surtout Grand Canyon, Ours d'or au Festival de Berlin 1992 et nommé à deux reprises aux Oscars, n'établissent sa réputation de cinéaste particulièrement attaché aux groupes humains, à leurs contradictions et leurs problèmes. En 1994, le metteur en scène retrouve le western pour Wyatt Earp, avant de se tourner vers la comédie romantique et de retravailler avec Kevin Kline dans French Kiss"un an plus tard. En 2002, Lawrence Kasdan s'essaye à un nouveau genre, la science-fiction, en adaptant le roman de Stephen King Dreamcatcher, ("l'attrape-rêves") sur grand écran.
Gary Kurtz se lança dans le projet Dark Crystal (1982), dans lequel participe Frank Oz (Yoda), puis continuera une carrière de producteur seulement (Slipstream, the steal).
Irvin Kershner a gardé la dent dure contre Lucas. Il réalise never say never again (1983) James Bond assez parodique et 2nd degré, ou encore Robocop 2 (1990).
Il renie les rajouts de l'édition spéciale 1997, autant que les futurs à venir.
Voila c est un peu long , ca m a pris du temps (putain une heure quand meme) mais a mon avis cela montre comment Lucas a petit a petit detruit ce qui aurait pu etre une saga mythique a meme titre que LOTR mais l appat du gain (essayez de vous souvenir du nombre d edition "limité" sorti en vhs des star-wars est certaine a des prix pour jeune cadre de ILM)
Il faut aussi préciser que Lucas n a jamais etait un metteur en scene pour exemple le seul acteur confirme de la premiere Trilogie Sir Alec Guiness (si si il etait tres connu bcp de grand films et de piece de theatre) a refuse de faire les autre episodes ce qui entraine la mort de Obi-Wan pas prévu a depart car il se plaignait que Lucas etait insupportable comme directeur d acteur (et a l epoque il avait plus de bouteille que Georgy) ou encore certain déclaration de Ewan avec bcp de sous entendu ou meme sur l ep 01 il n etait pas content de la position de certains acteurs dans ce cas là on retourne la scene et on eplique pourquoi aux acteurs la il a prefere retravaille ça par image de synthese ce qui démontre un irrespect profond des acteurs
Ou encore ce qui est pévu pour les dvd en 2006 de nouvelles coupes ou modification pour rentre la trilogie plus politiquement correct(deja que l ed de 1997)
Ou la multitude court (parfois parodique) qu il a voulu faire interdire mais qui grace au net c etait trop tard c est le cas de Troops ou Lucas In Love (et oui) mais pas le cas de Heart of Jade il y a qql années
Bien sur je vais me faire allumé par tous les fans qui tire sans reflechir ou sans se documenter (enfin pas bcp vont lire le post je pense) et on va me sortir plein d argument que je prevois mais je sais pas pourquoi mais j ai du mal avec les infos venant de bouquins edite par Lucas ou de site avec ST dedans vu que ses avocat veille au grain mais heureusement la liberté d expression et là et bcp de bouquins certains pas serieux du tout mais il y a qql un ou le boulot est fait par de vrais et bon journaliste comme Empire Building : The remarkable real life story of Star Wars de Gary Jenkins.
Voila et merci d avoir lu jusqu au bout et si vous desirez des infos sur le monde ST pour comparer hesiter pas a demander
Enfin arrivé au bou ! Alors ?
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