Chose promise, chose due, je viens envahir la section Fanfictions avec mon armée de textes étranges ! Je commence avec ce topic, qui regroupera uniquement mes différents (et nombreux) One-Shots. Mes fanfictions plus longues seront postées séparément.
Alors... Commençons avec le commencement : mon tout premier texte o.o'
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• Les remords sous le masque
Date de première publication (sur Fanfiction.net) : 4 juillet 2012.
« Dark Vador avançait lentement sur la passerelle du pont du destroyer interstellaire [...], perdu dans ses sombres pensées. » (Ha ha, désolée pour ce résumé pourri, mais c'était ma première fic :p)
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~ La Revanche des Sith ~
Dark Vador avançait lentement sur la passerelle du pont du destroyer interstellaire sur lequel il se trouvait, perdu dans ses sombres pensées. Il revoyait sans cesse le visage de Padmé. L'unique amour de sa vie. La femme pour laquelle il avait sacrifié son humanité. La femme pour laquelle il avait sacrifié son âme. Il s'était abandonné naïvement au pouvoir corrosif du Côté Obscur de la Force pour une seule raison : il voulait la sauver, la garder près de lui, ne surtout pas la perdre comme il avait perdu sa mère.
Il avait échoué. Il était pleinement conscient de son erreur, une erreur irréparable. Elle l'avait trahi, elle avait voulu le tuer. Il l'avait rejetée, il l'avait étranglée. Elle s'était effondrée à ses pieds. Il avait senti qu'elle était encore vivante à ce moment-là, mais Obi-Wan menaçait sa survie et il avait dû faire de lui sa priorité.
Il avait laissé sa femme mourir pendant qu'il se battait pour survivre. Elle est morte à cause de son égoïsme et ça, il ne se le pardonnerait jamais.
Il s'arrêta à côté de son maître, celui qui lui avait tant menti mais à qui il continuait à obéir et à servir, et se tourna vers le chantier de l’Étoile Noire, si prometteuse. Si destructrice.
Il avait choisi son destin, si opposé à celui que les Jedi avaient voulu tracer pour lui. L'Obscurité serait sa nouvelle vie, et il accepterait sans broncher toutes les contraintes qu'elle lui imposerait. Il n'avait pas le choix, de toute façon.
~ Un Nouvel Espoir ~
19 ans étaient passés. 19 ans de purge, où il avait tué chaque Jedi qu'il avait trouvé. 19 ans de torture, de sang et de mort. 19 ans que Vador souffrait toujours autant. Lui qui pensait que la douleur qu'avait causée la mort de sa bien-aimée disparaîtrait au fil du temps, il se trompait, encore une fois.
Néanmoins, une minuscule lueur d'espoir avait jailli dans son âme souillée : et si, avant de mourir, Padmé avait trouvé la force de donner la vie à leur enfant ? Et si, quelque part dans la galaxie, se trouvait une personne née de leur union, de leur amour ? Vador n'en savait strictement rien, mais espérait, chaque jour un peu plus, que pour une fois il avait raison et que sa progéniture viendrait le trouver. En attendant, il continuait à terroriser les citoyens impériaux avec son masque si célèbre.
~ L'Empire contre-attaque ~
Luke Skywalker. Un nom, si court, qui pourtant éveillait une joie si immense dans le cœur si faible d'un homme brisé. Vador avait appris par l'Empereur que le Rebelle qu'il cherchait tellement était en fait son fils. Enfin, celui d'Anakin Skywalker, plutôt.
Mais qui était-il désormais ? Anakin ou Vador ? Il n'en savait rien, mais il voulait rencontrer le fils de Padmé. L'ennui, c'était que l'Empereur voulait le convertir au Côté Obscur. Vador devait-il toujours obéir ou se rebeller ? Il pensait prendre la première option, car elle lui permettrait de retourner Luke contre Palpatine, et le Seigneur Sith masqué aurait sa vengeance. Il ne pouvait l'accomplir seul, il n'était plus assez puissant pour cela...
~ Le Retour du Jedi ~
Vador était si usé. Usé par la douleur, les remords et le chagrin. Son fils l'avait rejeté. Ce n'était que justice, après tout, car même si le gamin n'en savait rien, c'était exactement ce qu'avait fait Vador à Padmé. Mais il l'avait tellement regretté après... Serait-il possible de se racheter ? En sauvant Luke de l'Empereur, Padmé lui pardonnerait peut-être de là où elle était...
C'est l'esprit embrumé de questions sans réponses, et en proie à un véritable conflit intérieur, qu'il affronta son fils, qui avait tenté de tuer Palpatine. Mais le duel le surprit à un moment...
Leia Organa. C'était le nom de la sœur de Luke. Minute, la sœur de Luke ? Si Luke avait une sœur jumelle, cela voulait dire que... Oh non ! Il avait aussi une fille ? Comment n'avait-il pas pu sentir que Padmé attendait des jumeaux ?... Ses enfants... Leurs enfants. Les enfants de Padmé.
Un père doit protéger ses enfants. Il les sauverai, il se le promit. Alors, lorsqu'il vit Luke se faire lentement tuer par Palpatine, il eut une pensée pour sa femme, et décida qu'il devait agir. Il tua Palpatine.
Mais Vador était trop faible. Il autorisa le fils de Padmé à le regarder sans son masque. Vador redevint Anakin, et retourna à la Force, où il espérait retrouver les personnes qui lui étaient les plus chères...
Dark Vador avançait lentement sur la passerelle du pont du destroyer interstellaire sur lequel il se trouvait, perdu dans ses sombres pensées. Il revoyait sans cesse le visage de Padmé. L'unique amour de sa vie. La femme pour laquelle il avait sacrifié son humanité. La femme pour laquelle il avait sacrifié son âme. Il s'était abandonné naïvement au pouvoir corrosif du Côté Obscur de la Force pour une seule raison : il voulait la sauver, la garder près de lui, ne surtout pas la perdre comme il avait perdu sa mère.
Il avait échoué. Il était pleinement conscient de son erreur, une erreur irréparable. Elle l'avait trahi, elle avait voulu le tuer. Il l'avait rejetée, il l'avait étranglée. Elle s'était effondrée à ses pieds. Il avait senti qu'elle était encore vivante à ce moment-là, mais Obi-Wan menaçait sa survie et il avait dû faire de lui sa priorité.
Il avait laissé sa femme mourir pendant qu'il se battait pour survivre. Elle est morte à cause de son égoïsme et ça, il ne se le pardonnerait jamais.
Il s'arrêta à côté de son maître, celui qui lui avait tant menti mais à qui il continuait à obéir et à servir, et se tourna vers le chantier de l’Étoile Noire, si prometteuse. Si destructrice.
Il avait choisi son destin, si opposé à celui que les Jedi avaient voulu tracer pour lui. L'Obscurité serait sa nouvelle vie, et il accepterait sans broncher toutes les contraintes qu'elle lui imposerait. Il n'avait pas le choix, de toute façon.
~ Un Nouvel Espoir ~
19 ans étaient passés. 19 ans de purge, où il avait tué chaque Jedi qu'il avait trouvé. 19 ans de torture, de sang et de mort. 19 ans que Vador souffrait toujours autant. Lui qui pensait que la douleur qu'avait causée la mort de sa bien-aimée disparaîtrait au fil du temps, il se trompait, encore une fois.
Néanmoins, une minuscule lueur d'espoir avait jailli dans son âme souillée : et si, avant de mourir, Padmé avait trouvé la force de donner la vie à leur enfant ? Et si, quelque part dans la galaxie, se trouvait une personne née de leur union, de leur amour ? Vador n'en savait strictement rien, mais espérait, chaque jour un peu plus, que pour une fois il avait raison et que sa progéniture viendrait le trouver. En attendant, il continuait à terroriser les citoyens impériaux avec son masque si célèbre.
~ L'Empire contre-attaque ~
Luke Skywalker. Un nom, si court, qui pourtant éveillait une joie si immense dans le cœur si faible d'un homme brisé. Vador avait appris par l'Empereur que le Rebelle qu'il cherchait tellement était en fait son fils. Enfin, celui d'Anakin Skywalker, plutôt.
Mais qui était-il désormais ? Anakin ou Vador ? Il n'en savait rien, mais il voulait rencontrer le fils de Padmé. L'ennui, c'était que l'Empereur voulait le convertir au Côté Obscur. Vador devait-il toujours obéir ou se rebeller ? Il pensait prendre la première option, car elle lui permettrait de retourner Luke contre Palpatine, et le Seigneur Sith masqué aurait sa vengeance. Il ne pouvait l'accomplir seul, il n'était plus assez puissant pour cela...
~ Le Retour du Jedi ~
Vador était si usé. Usé par la douleur, les remords et le chagrin. Son fils l'avait rejeté. Ce n'était que justice, après tout, car même si le gamin n'en savait rien, c'était exactement ce qu'avait fait Vador à Padmé. Mais il l'avait tellement regretté après... Serait-il possible de se racheter ? En sauvant Luke de l'Empereur, Padmé lui pardonnerait peut-être de là où elle était...
C'est l'esprit embrumé de questions sans réponses, et en proie à un véritable conflit intérieur, qu'il affronta son fils, qui avait tenté de tuer Palpatine. Mais le duel le surprit à un moment...
Leia Organa. C'était le nom de la sœur de Luke. Minute, la sœur de Luke ? Si Luke avait une sœur jumelle, cela voulait dire que... Oh non ! Il avait aussi une fille ? Comment n'avait-il pas pu sentir que Padmé attendait des jumeaux ?... Ses enfants... Leurs enfants. Les enfants de Padmé.
Un père doit protéger ses enfants. Il les sauverai, il se le promit. Alors, lorsqu'il vit Luke se faire lentement tuer par Palpatine, il eut une pensée pour sa femme, et décida qu'il devait agir. Il tua Palpatine.
Mais Vador était trop faible. Il autorisa le fils de Padmé à le regarder sans son masque. Vador redevint Anakin, et retourna à la Force, où il espérait retrouver les personnes qui lui étaient les plus chères...
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• Rêves d'enfant
Date de première publication (Fanfiction.net) : 5 juillet 2012.
« Anakin Skywalker tournait en rond dans l'appartement de Padmé. Il attendait qu'elle revienne du Sénat. Il attrapa son databloc personnel et fouilla dedans : cela faisait 13 ans qu'il y inscrivait les choses les plus importantes. Il éplucha la liste de données, jusqu'au tout début. Son attention se porta alors sur un fichier du nom de : "Pour moi plus tard, quand je serai grand". Intrigué, Anakin s'affala sur le canapé et chargea le fichier. »
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Anakin Skywalker tournait en rond dans l'appartement de Padmé. Il attendait qu'elle revienne du Sénat. Il attrapa son databloc personnel et fouilla dedans : cela faisait 13 ans qu'il y inscrivait les choses les plus importantes. Il éplucha la liste de données, jusqu'au tout début. Son attention se porta alors sur un fichier du nom de : Pour moi plus tard, quand je serai grand. Intrigué, Anakin s'affala sur le canapé et chargea le fichier.
Cher futur moi,
Je viens d'arriver sur Coruscant, et je dois dire que ça n'a absolument rien à voir avec Tatooine. Ric Olié, l'homme qui pilotait le vaisseau de la Reine Amidala, m'a fait voir comment on pilotait un vaisseau spatial. Il était très sympa.
J'ai offert un collier à Padmé, pour ne pas qu'elle m'oublie. Je crois que je l'aime, et j'espère qu'elle aussi.
Ma mère me manque beaucoup, mais je sais que je la reverrai un jour et que je la libérerai, ainsi que tous les esclaves.
J'espère que je deviendrai un Jedi, comme Qui-Gon. Je dois passer des tests tout à l'heure.
Le Sénateur Palpatine a l'air très gentil, et il est vraiment préoccupé par ce qu'il se passe sur Naboo, sa planète.
Les choses que je voudrais réaliser d'ici 20 ans : devenir un Jedi, libérer ma mère et tous les esclaves, épouser Padmé et finir ma vie avec elle. Je sais, c'est beaucoup, mais j'espère que j'arriverai à tout faire !
Anakin Skywalker
Je viens d'arriver sur Coruscant, et je dois dire que ça n'a absolument rien à voir avec Tatooine. Ric Olié, l'homme qui pilotait le vaisseau de la Reine Amidala, m'a fait voir comment on pilotait un vaisseau spatial. Il était très sympa.
J'ai offert un collier à Padmé, pour ne pas qu'elle m'oublie. Je crois que je l'aime, et j'espère qu'elle aussi.
Ma mère me manque beaucoup, mais je sais que je la reverrai un jour et que je la libérerai, ainsi que tous les esclaves.
J'espère que je deviendrai un Jedi, comme Qui-Gon. Je dois passer des tests tout à l'heure.
Le Sénateur Palpatine a l'air très gentil, et il est vraiment préoccupé par ce qu'il se passe sur Naboo, sa planète.
Les choses que je voudrais réaliser d'ici 20 ans : devenir un Jedi, libérer ma mère et tous les esclaves, épouser Padmé et finir ma vie avec elle. Je sais, c'est beaucoup, mais j'espère que j'arriverai à tout faire !
Anakin Skywalker
C'est là que le Anakin du présent réalisa que sa vie était incomplète. Il avait certes épousé Padmé, son Ange, comme il aimait l'appeler, et allait devenir père... enfin, si Padmé survivait, évidemment. Il était aussi devenu un grand Jedi. Mais il avait échoué à libérer sa mère, qui est même morte, un peu par sa faute d'ailleurs : il n'était pas arrivé à temps. Les esclaves de Tatooine avait toujours la même situation, eux aussi.
Anakin se fit une autre promesse : il allait tout faire pour sauver Padmé, il ne supporterait pas de perdre un autre de ses proches sans avoir pu faire quelque chose. Elle ne mourrait pas, la guerre prendrait fin, et ils vivront heureux avec leur enfant. Anakin espérait que ce scénario soit possible, mais hélas il était beaucoup trop simple, beaucoup trop beau pour être vrai. Il y aurait forcément une ombre au tableau, restait à savoir laquelle...
A ce moment-là, il eut une vision de Padmé mourante. Obi-Wan suppliait la jeune femme de garder des forces, mais elle rendit l'âme en accouchant. Lorsqu'il réintégra l'instant présent, Padmé venait d'arriver, et elle lui rapportait qu'Obi-Wan trouvait Anakin très préoccupé et qu'il s'inquiétait pour lui...
Anakin se fit une autre promesse : il allait tout faire pour sauver Padmé, il ne supporterait pas de perdre un autre de ses proches sans avoir pu faire quelque chose. Elle ne mourrait pas, la guerre prendrait fin, et ils vivront heureux avec leur enfant. Anakin espérait que ce scénario soit possible, mais hélas il était beaucoup trop simple, beaucoup trop beau pour être vrai. Il y aurait forcément une ombre au tableau, restait à savoir laquelle...
A ce moment-là, il eut une vision de Padmé mourante. Obi-Wan suppliait la jeune femme de garder des forces, mais elle rendit l'âme en accouchant. Lorsqu'il réintégra l'instant présent, Padmé venait d'arriver, et elle lui rapportait qu'Obi-Wan trouvait Anakin très préoccupé et qu'il s'inquiétait pour lui...
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• Bonne année !
Date de première publication (Fanfiction.net) : 3 janvier 2013. Traduction française de l'OS « A Brighter New Year » écrit par Momo Spock, avec son autorisation.
Les rebelles fêtent joyeusement le Nouvel An. Tout le monde est heureux, sauf un certain Seigneur Sith solitaire...
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« Viens, Luke ! On va être en retard ! »
« J'arrive, j'arrive, il faut que je prenne mon sabre-laser à confettis. »
Leia ne prit même pas la peine de lui demander ce qu'était un sabre-laser à confettis et l'entraîna à bord du Faucon Millenium.
« Dépêchez-vous, tous les deux ou nous ne serons pas à l'heure ! » dit Han en sortant la tête de son précieux vaisseau. Leia leva les yeux au ciel et embarqua à bord du Faucon. « Et c'est reparti... » pensa-t-elle.
Bientôt le Faucon atterrit sur la Base Rebelle, et Mon Mothma s'approcha de lui. « Bienvenue commandant Skywalker, princesse Leia, capitaine Solo, Chewbacca, R2-D2 et C-3PO à la fête du Nouvel An de cette année. » dit-elle sérieusement. « Oh, mais de qui je me moque ? Faisons la fête ! »
« WOOHOO ! » applaudirent-ils lorsque les boissons arrivèrent. Ils se dirent que ça allait être une grande fête.
En attendant, sur l'Executor...
Dark Vador sortit de sa méditation et regarda dans le vide, puis soupira. « Encore un autre réveillon du Nouvel An seul », se dit-il. Vador savait que la solitude était courant chez les Sith, mais tout son être demandait à ne pas être seul. Mais qui l'accepterait ? « Luke. »
« Luke ? » appela Vador à travers la Force.
« Père ? »
« Oui, mon fils, c'est moi. »
« Je ne rejoindrais jamais le Côté Obscur. »
« Non, Luke, ce n'est pas pour ça que je t'appelle. »
« Pour quoi, alors ? » demanda Luke, confus.
« Je... euh... me demandais ce que tu faisais pour le Nouvel An. » dit maladroitement Vador.
« Oh, je suis avec mes amis... Pourquoi ? »
« Oh, pour rien... » dit Vador, déçu. Apparemment, il allait être seul pour le Nouvel An, à nouvea... Mais Luke dit : « Vous voulez vous joindre à nous ? »
« Je ne serais pas contre, mon fils. »
Bientôt Vador arriva à la Base Rebelle, et après quelques coups de blasters que Luke arrêta, il était avec son fils, attendant l'arrivée d'une nouvelle année.
Luke était heureux que son père les ait rejoint, lui et ses amis, pour la fête du Nouvel An. Il se sentait comme un homme de 22 ans normal, aussi normal qu'on pouvait l'être quand on avait un Seigneur Sith pour père.
« 10 secondes ! » cria Han.
« Tous ensemble ! » rajouta Vador joyeusement.
« 10... 9... 8... 7... 6... 5... 4... 3... 2... 1... BONNE ANNÉE !!! »
Han embrassa Leia passionnément, Chewbacca rugit de joie, et Luke lança ses confettis.
Mais bientôt la réalité frappa Luke lorsqu'il regarda son père, et il lui murmura : « Je devine que vous allez partir bientôt, non ? » Vador entoura les épaules de son fils de son bras et répondit : « Non, Luke, je reste ici, pour toi. »
Pour la première fois depuis longtemps, Vador n'aura pas été seul à la Nouvelle Année, et lui et Luke savaient que ça allait être une nouvelle année joyeuse pour tous.
« J'arrive, j'arrive, il faut que je prenne mon sabre-laser à confettis. »
Leia ne prit même pas la peine de lui demander ce qu'était un sabre-laser à confettis et l'entraîna à bord du Faucon Millenium.
« Dépêchez-vous, tous les deux ou nous ne serons pas à l'heure ! » dit Han en sortant la tête de son précieux vaisseau. Leia leva les yeux au ciel et embarqua à bord du Faucon. « Et c'est reparti... » pensa-t-elle.
Bientôt le Faucon atterrit sur la Base Rebelle, et Mon Mothma s'approcha de lui. « Bienvenue commandant Skywalker, princesse Leia, capitaine Solo, Chewbacca, R2-D2 et C-3PO à la fête du Nouvel An de cette année. » dit-elle sérieusement. « Oh, mais de qui je me moque ? Faisons la fête ! »
« WOOHOO ! » applaudirent-ils lorsque les boissons arrivèrent. Ils se dirent que ça allait être une grande fête.
En attendant, sur l'Executor...
Dark Vador sortit de sa méditation et regarda dans le vide, puis soupira. « Encore un autre réveillon du Nouvel An seul », se dit-il. Vador savait que la solitude était courant chez les Sith, mais tout son être demandait à ne pas être seul. Mais qui l'accepterait ? « Luke. »
« Luke ? » appela Vador à travers la Force.
« Père ? »
« Oui, mon fils, c'est moi. »
« Je ne rejoindrais jamais le Côté Obscur. »
« Non, Luke, ce n'est pas pour ça que je t'appelle. »
« Pour quoi, alors ? » demanda Luke, confus.
« Je... euh... me demandais ce que tu faisais pour le Nouvel An. » dit maladroitement Vador.
« Oh, je suis avec mes amis... Pourquoi ? »
« Oh, pour rien... » dit Vador, déçu. Apparemment, il allait être seul pour le Nouvel An, à nouvea... Mais Luke dit : « Vous voulez vous joindre à nous ? »
« Je ne serais pas contre, mon fils. »
Bientôt Vador arriva à la Base Rebelle, et après quelques coups de blasters que Luke arrêta, il était avec son fils, attendant l'arrivée d'une nouvelle année.
Luke était heureux que son père les ait rejoint, lui et ses amis, pour la fête du Nouvel An. Il se sentait comme un homme de 22 ans normal, aussi normal qu'on pouvait l'être quand on avait un Seigneur Sith pour père.
« 10 secondes ! » cria Han.
« Tous ensemble ! » rajouta Vador joyeusement.
« 10... 9... 8... 7... 6... 5... 4... 3... 2... 1... BONNE ANNÉE !!! »
Han embrassa Leia passionnément, Chewbacca rugit de joie, et Luke lança ses confettis.
Mais bientôt la réalité frappa Luke lorsqu'il regarda son père, et il lui murmura : « Je devine que vous allez partir bientôt, non ? » Vador entoura les épaules de son fils de son bras et répondit : « Non, Luke, je reste ici, pour toi. »
Pour la première fois depuis longtemps, Vador n'aura pas été seul à la Nouvelle Année, et lui et Luke savaient que ça allait être une nouvelle année joyeuse pour tous.
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• Monochromatique
Date de première publication (Fanfiction.net) : 12 octobre 2013.
La vie est ennuyeuse lorsqu'on ne la voit que d'une seule couleur, et Dark Vador n'émettrait certainement pas d'objection à cette affirmation.
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Dark Vador ne voyait le monde qui l'entourait que de façon monochromatique.
Tout était rouge. Tout.
La vision informatique que son masque terrifiant lui fournissait agissait comme un filtre rouge devant ses véritables yeux, irrémédiablement blessés par la lave de Mustafar, qui elle aussi, ironie du sort, était rouge.
Il y avait aussi le rouge marronâtre de ses chairs brûlées, qui chaque jour agissait comme un rappel de sa trahison, de son immense perte, et des atrocités qu'il avait commises dans sa quête du pouvoir.
Il y avait également le rouge de son sabre-laser. Cette lame couleur sang, qui avait tranché tant de têtes et s'était enfoncée dans tant de cœurs, était produite par le cristal synthétique Sith qu'il avait placé au centre de la garde en acier.
Enfermé dans cet univers rouge, sans aucune échappatoire, Vador avait alors commencé à haïr cette couleur, qu'il qualifiait d'immonde prison.
Le Sith regrettait amèrement les nuances de gris qu'arborait l'extérieur du Temple Jedi avant qu'il ne s'effondre sous les flammes, le marron chocolat des yeux de Padmé ainsi que le blanc immaculé de sa robe de mariée, le bleu du sabre-laser d'Obi-Wan, les bandes jaunes peintes sur son ancien vaisseau de combat en souvenir du podracer qu'il avait construit étant enfant, le vert tendre des plaines de Naboo, le beige des vêtements de sa mère, et les tons sombres de ses anciens habits de Jedi.
Il avait perdu tout cela dès le moment où la lave s'était attaquée à ce qui restait de son corps mutilé, en ce jour maudit où il s'était cru plus fort qu'Obi-Wan.
Et désormais, Vador se haïssait chaque jour depuis pour avoir fait le pire choix de sa vie en rejoignant l'Empereur.
Tout était rouge. Tout.
La vision informatique que son masque terrifiant lui fournissait agissait comme un filtre rouge devant ses véritables yeux, irrémédiablement blessés par la lave de Mustafar, qui elle aussi, ironie du sort, était rouge.
Il y avait aussi le rouge marronâtre de ses chairs brûlées, qui chaque jour agissait comme un rappel de sa trahison, de son immense perte, et des atrocités qu'il avait commises dans sa quête du pouvoir.
Il y avait également le rouge de son sabre-laser. Cette lame couleur sang, qui avait tranché tant de têtes et s'était enfoncée dans tant de cœurs, était produite par le cristal synthétique Sith qu'il avait placé au centre de la garde en acier.
Enfermé dans cet univers rouge, sans aucune échappatoire, Vador avait alors commencé à haïr cette couleur, qu'il qualifiait d'immonde prison.
Le Sith regrettait amèrement les nuances de gris qu'arborait l'extérieur du Temple Jedi avant qu'il ne s'effondre sous les flammes, le marron chocolat des yeux de Padmé ainsi que le blanc immaculé de sa robe de mariée, le bleu du sabre-laser d'Obi-Wan, les bandes jaunes peintes sur son ancien vaisseau de combat en souvenir du podracer qu'il avait construit étant enfant, le vert tendre des plaines de Naboo, le beige des vêtements de sa mère, et les tons sombres de ses anciens habits de Jedi.
Il avait perdu tout cela dès le moment où la lave s'était attaquée à ce qui restait de son corps mutilé, en ce jour maudit où il s'était cru plus fort qu'Obi-Wan.
Et désormais, Vador se haïssait chaque jour depuis pour avoir fait le pire choix de sa vie en rejoignant l'Empereur.
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• Little Dolls
Date de première publication (Fanfiction.net) : 2013 ou 2014.
Anakin, lorsqu'il s'apprêtait à prendre des risques pendant une mission ou sur un champ de bataille, avait toujours une pensée pour Padmé.
Song-fic => Paroles : « Little Dolls » (Indochine).
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Et si nous partions éclairer devant
Avec une chance de rester vivants
Laisse-moi te suivre, laisse-moi m'enfuir
Nous étions forts, nous étions grands
Anakin, lorsqu'il s'apprêtait à prendre des risques pendant une mission ou sur un champ de bataille, avait toujours une pensée pour Padmé, sa femme. Il se demandait s'il avait une chance de la revoir un jour, de l'embrasser, de la tenir dans ses bras, ou si sa vie allait subitement prendre fin, s'il ne rentrerait sur Coruscant que dans un cercueil. Il avait parfois envie de s'enfuit, de déserter pour s'exiler avec Padmé, loin de toute cette folie, mais il se dégoûtait de laisser les habitants de la galaxie avec une défense en moins contre les forces Séparatistes.
Est-ce que tu veux encore de moi ?
Est-ce qu'on s'aimera encore longtemps ?
Quand on sera vieux ou bien morts
J'ai peur pour toi, j'ai peur de moi
Il avait peur qu'après toutes ses longues absences, Padmé ne se lasse de lui et n'aille voir ailleurs. Il avait peur qu'elle finisse par ne plus l'aimer parce qu'il n'était jamais là pour elle. Il avait peur pour elle, car en temps de guerre, le danger guettait tout le monde et n'importe qui. Il avait peur de lui, de cette présence sombre qu'il sentait chaque jour croître un peu plus en lui, et qui pourrait le pousser à faire du mal à Padmé si jamais elle se détournait de lui.
J'attends mon âge avec toi
Et sauve-moi encore
Et pleure-moi
Embrasse-moi encore
À nouveau
Il voulait qu'elle le sauve de cette force sombre, qu'elle lui dise qu'elle l'aimait, peu importe son devoir de Jedi qui le retenait trop souvent loin d'elle. Il voulait qu'elle l'embrasse, pendant des heures, encore et encore, comme si rien d'autre qu'eux ne comptait dans ce monde.
On a changé le lit de place
On l'a vidé avant que tu le fasses
Je me rappelle de ton sommeil
Je me rappelle de ton réveil
Son sommeil paisible, alors qu'ils étaient blottis l'un contre l'autre dans leur appartement coruscanti. A son réveil, elle le regardait, les yeux encore un peu dans le brouillard, en lui souriant tendrement.
Maintenant qu'ils sont fauchés et tous morts
On ne parlera plus jamais à Dieu
J'attends mon âge, j'attends que tu m'embrasses
J'attends la vie, j'attends que tu m'embrasses
Tous les jours, il repensait à la douceur de ses baisers, à la tendresse de leurs étreintes, et à la chaleur de son corps contre le sien. Cela lui donnait envie de se précipiter vers le premier vaisseau à sa portée et de s'envoler la retrouver.
Embrasse-moi à nouveau
Et sauve-moi encore
Et pleure-moi
Imagine-moi encore
À nouveau
Il imaginait tout le temps son sourire tendre, ses yeux de la couleur du chocolat, ses cheveux qui retombaient en une cascade de boucles sombres le long de son dos.
Combien de temps, combien de fois, tu pourras ?...
Même si tu mens, tu sauras, tu m'attendras...
Combien de temps pourra-t-elle supporter cette solitude ? Combien de fois encore pourra-t-elle le voir s'en aller, sans elle, vers des mondes aussi lointains ? Elle lui disait toujours qu'elle acceptait tout cela, par amour pour lui. Et si elle lui mentait pour ne pas lui briser le cœur ? Mais elle l'attendait, encore et encore, toujours, jusqu'à ce qu'il puisse enfin revenir vers elle...
Alors, à demain, encore...
J'attends mon âge avec toi
Et sauve-moi encore
Et pleure-moi
Embrasse-moi encore
À nouveau...
Avec une chance de rester vivants
Laisse-moi te suivre, laisse-moi m'enfuir
Nous étions forts, nous étions grands
Anakin, lorsqu'il s'apprêtait à prendre des risques pendant une mission ou sur un champ de bataille, avait toujours une pensée pour Padmé, sa femme. Il se demandait s'il avait une chance de la revoir un jour, de l'embrasser, de la tenir dans ses bras, ou si sa vie allait subitement prendre fin, s'il ne rentrerait sur Coruscant que dans un cercueil. Il avait parfois envie de s'enfuit, de déserter pour s'exiler avec Padmé, loin de toute cette folie, mais il se dégoûtait de laisser les habitants de la galaxie avec une défense en moins contre les forces Séparatistes.
Est-ce que tu veux encore de moi ?
Est-ce qu'on s'aimera encore longtemps ?
Quand on sera vieux ou bien morts
J'ai peur pour toi, j'ai peur de moi
Il avait peur qu'après toutes ses longues absences, Padmé ne se lasse de lui et n'aille voir ailleurs. Il avait peur qu'elle finisse par ne plus l'aimer parce qu'il n'était jamais là pour elle. Il avait peur pour elle, car en temps de guerre, le danger guettait tout le monde et n'importe qui. Il avait peur de lui, de cette présence sombre qu'il sentait chaque jour croître un peu plus en lui, et qui pourrait le pousser à faire du mal à Padmé si jamais elle se détournait de lui.
J'attends mon âge avec toi
Et sauve-moi encore
Et pleure-moi
Embrasse-moi encore
À nouveau
Il voulait qu'elle le sauve de cette force sombre, qu'elle lui dise qu'elle l'aimait, peu importe son devoir de Jedi qui le retenait trop souvent loin d'elle. Il voulait qu'elle l'embrasse, pendant des heures, encore et encore, comme si rien d'autre qu'eux ne comptait dans ce monde.
On a changé le lit de place
On l'a vidé avant que tu le fasses
Je me rappelle de ton sommeil
Je me rappelle de ton réveil
Son sommeil paisible, alors qu'ils étaient blottis l'un contre l'autre dans leur appartement coruscanti. A son réveil, elle le regardait, les yeux encore un peu dans le brouillard, en lui souriant tendrement.
Maintenant qu'ils sont fauchés et tous morts
On ne parlera plus jamais à Dieu
J'attends mon âge, j'attends que tu m'embrasses
J'attends la vie, j'attends que tu m'embrasses
Tous les jours, il repensait à la douceur de ses baisers, à la tendresse de leurs étreintes, et à la chaleur de son corps contre le sien. Cela lui donnait envie de se précipiter vers le premier vaisseau à sa portée et de s'envoler la retrouver.
Embrasse-moi à nouveau
Et sauve-moi encore
Et pleure-moi
Imagine-moi encore
À nouveau
Il imaginait tout le temps son sourire tendre, ses yeux de la couleur du chocolat, ses cheveux qui retombaient en une cascade de boucles sombres le long de son dos.
Combien de temps, combien de fois, tu pourras ?...
Même si tu mens, tu sauras, tu m'attendras...
Combien de temps pourra-t-elle supporter cette solitude ? Combien de fois encore pourra-t-elle le voir s'en aller, sans elle, vers des mondes aussi lointains ? Elle lui disait toujours qu'elle acceptait tout cela, par amour pour lui. Et si elle lui mentait pour ne pas lui briser le cœur ? Mais elle l'attendait, encore et encore, toujours, jusqu'à ce qu'il puisse enfin revenir vers elle...
Alors, à demain, encore...
J'attends mon âge avec toi
Et sauve-moi encore
Et pleure-moi
Embrasse-moi encore
À nouveau...
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• Dear Agony
Date de première publication (Fanfiction.net) : 2013 ou 2014.
Malgus va prendre la décision de tuer Eleena. Mais comment justifie-t-il un tel acte ? Comment va-t-il vivre avec ses conséquences ?
Song-fic => Paroles : « Dear Agony » (Breaking Benjamin).
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I have nothing left to give
I have found the perfect end
You were made to make it hurt
Disappear into the dirt
Carry me to heaven's arms
Light the way and let me go
Take the time to take my breath
I will end where I began
J'ai trouvé la fin parfaite. Elle mettra un terme à ta vie, et à notre relation. Ce sera douloureux, autant pour toi que pour moi, mais si je ne le fais pas moi-même, un autre Sith le fera, car tu es devenue un moyen de pression sur moi, même si aucun de nous deux ne l'a vu venir. Tu es mon point faible, celui que mes ennemis – et ils sont nombreux – exploiteront en premier et sans hésiter. Il te feront souffrir, et ils finiront par te tuer, bien après que tu les aies suppliés de le faire. Tu dois disparaître, Eleena. Tu dois mourir, car sinon ils te retrouveront. Je suis désolé, vraiment désolé, je t'aime mais c'est nécessaire. Vole un dernier baiser, et je planterais mon sabre-laser à travers ton corps frêle.
And I will find the enemy within
'Cause I can feel it crawl beneath my skin
Mon plus grand ennemi n'est pas le Côté Obscur. Ma pire ennemie est ma propre violence, car elle s'acharne sur toi, alors que tu n'as rien fait pour la provoquer. Mais je la trouverais, et je la contiendrais, même si tu ne seras plus là pour le voir.
Dear agony
Just let go off me
Suffer slowly
Is it the way it's gotta be?
Dear agony
Je l'ai fait. Je t'ai tuée. Et tu ne peux pas imaginer à quel point je me hais maintenant, à quel point je veux me tuer moi aussi. C'est une véritable agonie. Cette souffrance est comme une douleur sourde au plus profond de moi-même, comme un serpent venimeux qui rampe vers sa victime avant de la mordre, et elle progresse lentement, chaque jour qui passe m'étouffant un peu plus.
Leave me alone
God let me go
I'm blue and cold
Black sky will burn
Love pull me down
Hate lift me up
Just turn around
There's nothing left
Laisse-moi seul, cesse de t'insinuer dans mes pensées, je souffre déjà assez. J'ai l'impression que mon cœur est en train de geler. Je suis un monstre. L'amour m'affaiblit, et celui que j'éprouvais pour toi aurait pu m'être fatal si je n'avais pas décidé une telle mesure, destinée à nous sauver tous les deux. La haine me grandit. Je me hais, je hais la plupart des Sith, mes pouvoirs grandissent grâce à cette haine, et mes ennemis Jedi ne m'opposent plus une grande résistance, je les écrase comme des mouches. Il ne reste plus rien de moi. Il ne reste plus rien de nous. Et c'est bien mieux ainsi.
I have found the perfect end
You were made to make it hurt
Disappear into the dirt
Carry me to heaven's arms
Light the way and let me go
Take the time to take my breath
I will end where I began
J'ai trouvé la fin parfaite. Elle mettra un terme à ta vie, et à notre relation. Ce sera douloureux, autant pour toi que pour moi, mais si je ne le fais pas moi-même, un autre Sith le fera, car tu es devenue un moyen de pression sur moi, même si aucun de nous deux ne l'a vu venir. Tu es mon point faible, celui que mes ennemis – et ils sont nombreux – exploiteront en premier et sans hésiter. Il te feront souffrir, et ils finiront par te tuer, bien après que tu les aies suppliés de le faire. Tu dois disparaître, Eleena. Tu dois mourir, car sinon ils te retrouveront. Je suis désolé, vraiment désolé, je t'aime mais c'est nécessaire. Vole un dernier baiser, et je planterais mon sabre-laser à travers ton corps frêle.
And I will find the enemy within
'Cause I can feel it crawl beneath my skin
Mon plus grand ennemi n'est pas le Côté Obscur. Ma pire ennemie est ma propre violence, car elle s'acharne sur toi, alors que tu n'as rien fait pour la provoquer. Mais je la trouverais, et je la contiendrais, même si tu ne seras plus là pour le voir.
Dear agony
Just let go off me
Suffer slowly
Is it the way it's gotta be?
Dear agony
Je l'ai fait. Je t'ai tuée. Et tu ne peux pas imaginer à quel point je me hais maintenant, à quel point je veux me tuer moi aussi. C'est une véritable agonie. Cette souffrance est comme une douleur sourde au plus profond de moi-même, comme un serpent venimeux qui rampe vers sa victime avant de la mordre, et elle progresse lentement, chaque jour qui passe m'étouffant un peu plus.
Leave me alone
God let me go
I'm blue and cold
Black sky will burn
Love pull me down
Hate lift me up
Just turn around
There's nothing left
Laisse-moi seul, cesse de t'insinuer dans mes pensées, je souffre déjà assez. J'ai l'impression que mon cœur est en train de geler. Je suis un monstre. L'amour m'affaiblit, et celui que j'éprouvais pour toi aurait pu m'être fatal si je n'avais pas décidé une telle mesure, destinée à nous sauver tous les deux. La haine me grandit. Je me hais, je hais la plupart des Sith, mes pouvoirs grandissent grâce à cette haine, et mes ennemis Jedi ne m'opposent plus une grande résistance, je les écrase comme des mouches. Il ne reste plus rien de moi. Il ne reste plus rien de nous. Et c'est bien mieux ainsi.
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• I have died everyday, waiting for you
Date de première publication (Fanfiction.net) : 26 mars 2014.
Aux yeux d'Obi-Wan, Padmé était la plus belle femme de la galaxie. Mais qui était-il aux yeux de sa belle ?...
Song-fic (enfin, il y a une phrase de chanson, quoi) => Paroles : « A Thousand Years » (Christina Perri).
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Aux yeux d'Obi-Wan, Padmé était la plus belle femme de la galaxie. Normal, il l'admirait avec des yeux d'amoureux.
Tout en elle, de ses yeux noisette brillants de sa joie de vivre, jusqu'à ses longs cheveux bruns qui retombaient en une cascade de boucles parfaites le long de la fine courbure de son dos, en passant par son visage d'albâtre aux traits fins, délicats et nobles – tout en elle la rendait magnifique, et en particulier son tempérament doux et sympathique malgré cette force de caractère insoupçonnée qui faisait d'elle une véritable guerrière.
Mais Padmé n'avait d'yeux que pour Anakin. Obi-Wan voyait souvent le regard de la jeune femme s'illuminer de bonheur à chaque apparition de l'espiègle Jedi.
Le cœur d'Obi-Wan se serrait de tristesse de jalousie dans ces moments-là. Il aurait tellement voulu être à la place d'Anakin, être celui pour lequel le cœur de Padmé battait.
Il l'aimait tant, avait tellement d'admiration pour elle, était prêt à donner sa vie pour sauver la sienne, était prêt à lui offrir son cœur et à la chérir toute sa vie, mais elle ne s'intéressait à lui que comme amie, et jamais elle ne se donnerait à lui. Et ça faisait mal, son cœur dépérissait chaque jour un peu plus, avant de se briser totalement à la mort de sa bien-aimée.
I have died everyday, waiting for you... mais elle n'était jamais venue, et elle ne viendra plus jamais.
Tout en elle, de ses yeux noisette brillants de sa joie de vivre, jusqu'à ses longs cheveux bruns qui retombaient en une cascade de boucles parfaites le long de la fine courbure de son dos, en passant par son visage d'albâtre aux traits fins, délicats et nobles – tout en elle la rendait magnifique, et en particulier son tempérament doux et sympathique malgré cette force de caractère insoupçonnée qui faisait d'elle une véritable guerrière.
Mais Padmé n'avait d'yeux que pour Anakin. Obi-Wan voyait souvent le regard de la jeune femme s'illuminer de bonheur à chaque apparition de l'espiègle Jedi.
Le cœur d'Obi-Wan se serrait de tristesse de jalousie dans ces moments-là. Il aurait tellement voulu être à la place d'Anakin, être celui pour lequel le cœur de Padmé battait.
Il l'aimait tant, avait tellement d'admiration pour elle, était prêt à donner sa vie pour sauver la sienne, était prêt à lui offrir son cœur et à la chérir toute sa vie, mais elle ne s'intéressait à lui que comme amie, et jamais elle ne se donnerait à lui. Et ça faisait mal, son cœur dépérissait chaque jour un peu plus, avant de se briser totalement à la mort de sa bien-aimée.
I have died everyday, waiting for you... mais elle n'était jamais venue, et elle ne viendra plus jamais.
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• Pour me pardonner, pour me faire pardonner
Date de première publication (Fanfiction.net) : 02 avril 2014.
« Je t'aime Anakin, même si je n'ai jamais su te le montrer, ni te le prouver. Pardonne-moi, car moi je n'y arrive pas. »
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Tu es entré dans ma vie le jour où Qui-Gon t'a sauvé de l'esclavagisme sur Tatooine. Au début, j'avoue que j'étais jaloux de toi, de l'attention que Qui-Gon te portait. Et puis j'avais peur, peur de toi et de tes immenses pouvoirs, encore inexploités. Je pensais entrevoir la fin de l'Ordre Jedi chaque fois que mes yeux se posaient sur toi, alors que tu n'étais qu'un enfant.
Qui-Gon mort, tué par la main de ce Sith qui semblait revenu d'outre-tombe, tu étais seul. Ton protecteur avait péri, tu n'avais plus personne. J'avais perdu mon maître, mon mentor, et j'étais déboussolé. Il avait juré de veiller sur toi, mais il n'est plus là pour respecter sa parole, alors je vais le faire pour lui. Je vais te former et m'occuper de toi comme mon apprenti, malgré le désaccord du Conseil Jedi.
Au fil des années, mes sentiments pour toi ont progressivement changé, passant de la méfiance à l'amour véritable. Mais ils n'étaient pas partagés, je l'avais compris, car tu avais eu le coup de foudre pour Padmé.
Je suis devenu jaloux d'elle. Tu la regardais avec amour, tandis qu'à tes yeux je n'étais rien de plus qu'un ami.
Puis tu as lentement glissé vers le Côté Obscur, jusqu'à ce que celui-ci ne t'engloutisse complètement. J'ai été témoin de ta chute progressive, mais je n'ai pas su quoi faire pour la stopper. J'ai appris que tu t'étais marié avec Padmé, au mépris des règles Jedi concernant l'attachement – que j'admets ne pas avoir suivi non plus. J'ai appris qu'elle portait ton enfant, qu'il grandissait en elle. J'ai compris qu'il n'y avait plus de place pour moi, que j'étais devenu l'intrus dans ta famille. J'étais en colère, contre toi, contre Padmé, mais surtout contre moi, car j'avais laissé mes émotions l'emporter sur mon sang-froid.
Je me suis aussi rendu compte que mes premiers soupçons étaient fondés : tu as effectivement détruit l'Ordre, aveuglé par tes sentiments.
Nous nous sommes battus. Je voyais qu'à ce moment-là tu me haïssais. Ça me faisait mal.
Je t'ai vu vouloir me tuer. Je me suis vu te couper bras et jambes alors que tu allais me porter le coup fatal. Je t'ai vu rouler jusqu'à la rivière de lave à côté de laquelle nous nous sommes affrontés, incapable d'échapper à ton destin. Je t'ai vu brûler, encore vivant, et tes hurlements de douleur m'ont brisé le cœur.
Je me suis haï.
Padmé accoucha de tes enfants, des jumeaux : un garçon, Luke, et une fille, Leia. Pour me pardonner, pour tenter de me faire pardonner, et pour ne plus ressentir cette culpabilité qui m'a assailli lorsque je t'ai regardé te consumer, j'ai décidé de veiller sur ton fils et de le former lorsqu'il serait en âge de comprendre son héritage, en espérant ne plus refaire les mêmes erreurs.
Parce que je t'aime Anakin, mais que je n'ai jamais su te le montrer, ni te le prouver.
Qui-Gon mort, tué par la main de ce Sith qui semblait revenu d'outre-tombe, tu étais seul. Ton protecteur avait péri, tu n'avais plus personne. J'avais perdu mon maître, mon mentor, et j'étais déboussolé. Il avait juré de veiller sur toi, mais il n'est plus là pour respecter sa parole, alors je vais le faire pour lui. Je vais te former et m'occuper de toi comme mon apprenti, malgré le désaccord du Conseil Jedi.
Au fil des années, mes sentiments pour toi ont progressivement changé, passant de la méfiance à l'amour véritable. Mais ils n'étaient pas partagés, je l'avais compris, car tu avais eu le coup de foudre pour Padmé.
Je suis devenu jaloux d'elle. Tu la regardais avec amour, tandis qu'à tes yeux je n'étais rien de plus qu'un ami.
Puis tu as lentement glissé vers le Côté Obscur, jusqu'à ce que celui-ci ne t'engloutisse complètement. J'ai été témoin de ta chute progressive, mais je n'ai pas su quoi faire pour la stopper. J'ai appris que tu t'étais marié avec Padmé, au mépris des règles Jedi concernant l'attachement – que j'admets ne pas avoir suivi non plus. J'ai appris qu'elle portait ton enfant, qu'il grandissait en elle. J'ai compris qu'il n'y avait plus de place pour moi, que j'étais devenu l'intrus dans ta famille. J'étais en colère, contre toi, contre Padmé, mais surtout contre moi, car j'avais laissé mes émotions l'emporter sur mon sang-froid.
Je me suis aussi rendu compte que mes premiers soupçons étaient fondés : tu as effectivement détruit l'Ordre, aveuglé par tes sentiments.
Nous nous sommes battus. Je voyais qu'à ce moment-là tu me haïssais. Ça me faisait mal.
Je t'ai vu vouloir me tuer. Je me suis vu te couper bras et jambes alors que tu allais me porter le coup fatal. Je t'ai vu rouler jusqu'à la rivière de lave à côté de laquelle nous nous sommes affrontés, incapable d'échapper à ton destin. Je t'ai vu brûler, encore vivant, et tes hurlements de douleur m'ont brisé le cœur.
Je me suis haï.
Padmé accoucha de tes enfants, des jumeaux : un garçon, Luke, et une fille, Leia. Pour me pardonner, pour tenter de me faire pardonner, et pour ne plus ressentir cette culpabilité qui m'a assailli lorsque je t'ai regardé te consumer, j'ai décidé de veiller sur ton fils et de le former lorsqu'il serait en âge de comprendre son héritage, en espérant ne plus refaire les mêmes erreurs.
Parce que je t'aime Anakin, mais que je n'ai jamais su te le montrer, ni te le prouver.
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• Fidelitas
Date de première publication (Fanfiction.net) : 09 avril 2014.
« Jar Jar courait aussi vite que ses jambes le lui permettaient, car la chasseuse de primes qui le poursuivait se rapprochait de plus en plus. Allait-il réussir à lui échapper ? »
ATTENTION. Contenu classé Mature. Sang & Torture.
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Jar Jar courait aussi vite que lui permettaient ses jambes, à travers l'épaisse forêt. Sa maladresse légendaire le poussait à se prendre de nombreuses branches dans la tête, et il trébucha plusieurs fois sur des racines.
Il était poursuivi par une chasseuse de primes, car depuis qu'il avait rejoint l'Alliance Rebelle, il était détenteur d'une information top-secrète, à savoir la localisation de la base rebelle, que l'Empire était avide de connaître. Alors il se retrouvait avec une humaine à ses trousses, et cela lui fit ressentir un sentiment qui ne lui était pas très commun : la peur.
La femme le rattrapa alors qu'il s'arrêtait dans une petite clairière pour reprendre son souffle. Elle sauta sur lui, et ils roulèrent dans l'herbe en se débattant. Jar Jar était couvert d'éraflures à cause de ses nombreuses chutes et des nombreux obstacles qu'il avait rencontrés pendant sa course.
Son adversaire était armée d'un couteau à la lame longue et recourbée. Elle immobilisa sa proie, telle une prédatrice, et entama un « interrogatoire ».
Le Gungan n'avait pas du tout l'intention de lui révéler ce qu'elle voulait entendre, alors elle commença à le taillader avec son arme. D'abord des éraflures, puis des plaies, de plus en plus profondes. Le sang de l'alien perlait sur le bord de ses blessures, puis commença à couler pour atterrir sur l'herbe, traçant des sillons écarlates sur la peau de Jar Jar. Ce dernier criait de douleur, mais il ne craquait pas. Alors la chasseuse de primes décida de lui arracher un grand pan de peau, mettant la chair à nu. Le hurlement résonna dans la clairière.
Mais toujours rien, pas une bribe d'information. Elle lui creva un œil. Les petits animaux qui habitaient les arbres prirent la fuite, effrayés et écœurés. Le sang coulait désormais à gros bouillons du globe oculaire percé, mais Jar Jar ne cédait toujours pas.
Bientôt, il perdit également une main. L'hémorragie avait déjà teint l'herbe verte de rouge foncé, et le Gungan agonisait. Mais il était déterminé à garder l'information secrète jusqu'au bout.
La femme dut le comprendre, car avec un rictus dépité, elle lui arracha le cœur, encore battant, hors de sa poitrine. Elle le prit entre ses mains ensanglantées, et communiqua sa défaite à l'Empire grâce à son comlink, avant d'abandonner le cadavre de Jar Jar au beau milieu de la clairière, baignant dans son propre sang, un gros trou barrant le milieu de sa poitrine.
Il était poursuivi par une chasseuse de primes, car depuis qu'il avait rejoint l'Alliance Rebelle, il était détenteur d'une information top-secrète, à savoir la localisation de la base rebelle, que l'Empire était avide de connaître. Alors il se retrouvait avec une humaine à ses trousses, et cela lui fit ressentir un sentiment qui ne lui était pas très commun : la peur.
La femme le rattrapa alors qu'il s'arrêtait dans une petite clairière pour reprendre son souffle. Elle sauta sur lui, et ils roulèrent dans l'herbe en se débattant. Jar Jar était couvert d'éraflures à cause de ses nombreuses chutes et des nombreux obstacles qu'il avait rencontrés pendant sa course.
Son adversaire était armée d'un couteau à la lame longue et recourbée. Elle immobilisa sa proie, telle une prédatrice, et entama un « interrogatoire ».
Le Gungan n'avait pas du tout l'intention de lui révéler ce qu'elle voulait entendre, alors elle commença à le taillader avec son arme. D'abord des éraflures, puis des plaies, de plus en plus profondes. Le sang de l'alien perlait sur le bord de ses blessures, puis commença à couler pour atterrir sur l'herbe, traçant des sillons écarlates sur la peau de Jar Jar. Ce dernier criait de douleur, mais il ne craquait pas. Alors la chasseuse de primes décida de lui arracher un grand pan de peau, mettant la chair à nu. Le hurlement résonna dans la clairière.
Mais toujours rien, pas une bribe d'information. Elle lui creva un œil. Les petits animaux qui habitaient les arbres prirent la fuite, effrayés et écœurés. Le sang coulait désormais à gros bouillons du globe oculaire percé, mais Jar Jar ne cédait toujours pas.
Bientôt, il perdit également une main. L'hémorragie avait déjà teint l'herbe verte de rouge foncé, et le Gungan agonisait. Mais il était déterminé à garder l'information secrète jusqu'au bout.
La femme dut le comprendre, car avec un rictus dépité, elle lui arracha le cœur, encore battant, hors de sa poitrine. Elle le prit entre ses mains ensanglantées, et communiqua sa défaite à l'Empire grâce à son comlink, avant d'abandonner le cadavre de Jar Jar au beau milieu de la clairière, baignant dans son propre sang, un gros trou barrant le milieu de sa poitrine.
Voilà déjà pour la première partie de ces OS, je vais m'empresser de poster la suite ^-^'