La renaissance de Scaroc - Chapitre XIII [Arrêtée]

Il est certain que dans un "vrai" roman, il y aurait des renvois de bas de page pour traduire ce qui n'est pas traduit contextuellement... à la limite un glossaire de fin de livre mais c'est moins pratique.

Ouais, j'ai pensé à un moment à mettre la trad. J'attendais la demande :transpire:

Je le ferais :jap:

Mais on évite le flood dans Mon sujet la prochaine fois

Et moi qui n'osait pas te la demander... Si j'avais sû!

Revan Bane a écrit:Ouais, j'ai pensé à un moment à mettre la trad. J'attendais la demande

Je le ferais

Mais on évite le flood dans Mon sujet la prochaine fois

ok, super

Et voilà ! Lexique rajouté pour tous les chapitres.
Évidemment, les mots récurrents, que j'ai traduit au début, du style Mand'alor, Manda'yaim, Beskad, toussa, faut les retenir, je peux pas les mettre à chaque fois, certains lexiques de chapitres sont sacrements gros ^^

:jap:

Merci de ces traductions :wink:

... parce que personnellement, le langage mandalorien m'était totalement inconnu. :perplexe:

Placées en fin de chapitre, (peut-être en bas de pages lors de la mise en page, lorsque le roman sera achevé), c'est parfait !

J'ai lu les 6 chapitre d'un coup, et Revan a commencé une histoire qui se promet d’être intéressante que ce soit les personnages (les Mandaloriens sont un peuple pleins de possibilités question fiction), le contexte (bonnes références à la guerre des Mandaloriens contre les Yuuzhan Vong) et le rapprochement de 2 cultures différentes sur de nombreux points que ce soit au niveau de l'esprit ou du corps... Bref tu as tout les éléments pour faire une fan-fiction exceptionnelle dont j'attends avec impatience la suite ! :wink:

Merci beaucoup pour cette lecture

Je tiendrais compte de tes remarques, comme j'essaie de le faire avec celles des autres :wink:

Et voilà un 10eme lecteur confirmé ! Vous me faites super plaisir les gens :cute:

Spoiler: Afficher

Revan Bane a écrit:
Spoiler: Afficher
Je pourrais faire des fiches style encyclo sur mes propres persos.... en annexe. Vu que je suis déjà plongé dedans. Ce sera votre cadeau. A la fin bien sur

ah ouais, ça serait génial !

et c'est le genre de truc toujours sympa à faire lorsqu'on est écrivain.

+1
Entièrement d'accord avec Alexiel!

+1 ou +2 c'est quand même un peu du flood, là... je pense qu'il faut prendre en compte la demande de Revan Bane d'éviter ce type de message sur son sujet.

Quelque chose est proposé. Si on est d'accord mais qu'on a rien de plus à dire, il me parait superflu d'y aller de son +1, +2, +3... etc... parce que si tout le monde est d'accord et que chacun fait de même, je vous dis pas la gueule des topics avec un post intéressant et 30 +xx qui suivront ! :neutre:

Du coup, on peut se recentrer sur la FF de RB !

Chapitre I :

S'habituant lentement à cette nouvelle clarté, il jeta un regard plus intrigué dans la pièce.

Nan, pas « nouvelle », elle ne vient pas de surgir : mot inutile.

Il était allongé à même le sol, sur quelques tissus étalés là.

« ça et là », tu veux dire ? « ça » tout seul, c’est assez moche, même si je me doute que c’est pour éviter la répé avec « le sol »..

Du matériel médical était en évidence sur un meuble, plein de sang. Peu de meubles se trouvaient dans la pièce, ses sauveteurs, ou ses ravisseurs, n'avaient de toute évidence que très peu de possessions.

C’est à nouveau la fête de la virgule, y’a une répé « meuble » et « évidence », tout pourrait être reformulé plus joliment, genre : « Du matériel médical recouvert de sang était en évidence sur l’un des rares meubles de la pièce. Ses sauveteurs – ses ravisseurs ? – n’avaient visiblement que très peu de possessions ».
J’ai mis une partie entre tiret, ce qui revient quasiment au même que des virgules, sauf que ça permet de varier les plaisirs de la typo.

Son corps était criblé de morceaux de transpacier ainsi que de fragments de duracier ; il avait été brûlé à de nombreux endroits. Nombre de débris jonchaient déjà le sol, mais à l'évidence, celui qui l'avait soigné n'avait pas daigné terminer son travail.

C’est pas « transparacier » ? répé « nombreux » + « nombre ». ce « déjà » n’a rien à faire là, il est inutile (fais gaffe à ce genre de petits mots, t’as fait pareil avec un « alors » dans le prologue, de mémoire).
Tiens, un nouveau « évidence » : tu reçois une prime quand tu cases le mot ?

Soudain, il perçut des mouvements à l'extérieur de la pièce, des raclements brusques, et des voix s'interrompirent." . Le voile s'écarta subitement, inondant la pièce et aveuglant Scaroc un bref instant, l'empêchant de distinguer les individus qui venaient d'entrer.

C’est quoi ce ‘’ qui traîne à la fin de la 1ère phrase ?
Le « soudain » est inutile, à mon avis.

-Eh bien tu devrais changer ça, avant que je ne m'en charge, personnellement. »

Les deux virgules peuvent sauter, ou au pire la deuxième.

Vaal Fheyla regarda son mari d'un air menaçant, puis sortit de la pièce en coup de vent, arrachant le voile au passage.

Un « en » à la place de la dernière virgule, juste pour le plaisir de la faire sauter ?

Resté seul avec le naufragé, Ruv se concentra sur le jeune homme, et examina de nouveau ses blessures.

2ème virgule inutile.

Il écarta une mèche de ses cheveux d'un noir de jais de son front couvert de sueur, pour étudier la cicatrice d'envergure qu'il avait sur la partie gauche de son visage.

Le « noir de jais » est une expression tellement éculée qu’il vaut mieux s’en passer.

Il avait fait tout son possible, mais cette blessure ne disparaîtrait jamais, quoiqu'il fasse.

La 1ère virgule peut sauter.

On aurait dit l'étrange œuvre d'art d'une autre civilisation, tellement ces traces ressortaient peu sur sa peau, bien qu'elles soient très visibles, donnant un air mystérieux et courageux à un pauvre Chiss qui n'avait certainement rien demandé.

Trop de virgules, trop de subordonnées, bref trop d’infos. À reformuler.

Les yeux brillant comme des braises se rouvrirent soudain, et son patient se mit brusquement à se débattre pour s'échapper.

Entre « soudain » et « brusquement », y’a sans doute un de trop.

En vain, et se causant toujours plus de souffrances inutiles. Ruv le retenait si bien qu'il ne pouvait esquisser un mouvement efficace pour se libérer, à moins d'avoir acquis par quelque miracle des techniques d'autodéfenses, mais diryc tel qu'il semblait l'être, il n'aurait jamais le dessus sur un mandalorien entraîné.

Majuscule à « Mandalorien ». on en est quand on cite un nom de peuple, d’espèce et une nationalité… sauf quand ils sont utilisés en tant qu’adjectifs.
Ex : Le Mandalorien ; le chasseur mandalorien.

Il essaya de crier, et produisit un faible son, perceptible cependant.

Inverser les deux derniers mots « sonne » mieux, je trouve.

« Lâchez-moi !

-Je ne peux pas, gamin, t'es pas en état, calme-toi ou je devrai te faire plus de mal, et crois-moi, tu ne le souhaites pas.
Un point après « état » pour virer une virgule.

Il poussa un autre cri de douleur, forçant la patience de Ruv, et reçut un coup magistral à la tempe gauche, pour ne pas tout abîmer.

Ce « pour ne pas tout abîmer » est très moche. C’est exprimé d’une manière neutre dans la narration alors que tu te places visiblement du point de vue du Mando qui a peur pour le travail qu’il a accompli.

« Udesii ! Ner vod, c'est qu'un gamin, il est même pas Mando, avec un coup pareil, tu aurais pu le tuer, intervint une voix dans son dos, une voix qu'il connaissait bien.

Et si à partir de maintenant, tu me donnais un euro pour chaque virgule que je trouve dans le texte ?
Point après « Mando » ; apprends à en mettre, ça permet de faire des phrases plus claires et plus courtes, et donc plus lisibles.

-Etrange, c'est ce que vient de me dire Vaal à ton sujet, je viens de la croiser, plutôt énervée.

Étrange. Accentuation des majusucles.
Encore des virgules qui hachent le texte.

Tu sais, ça ne poserait pas de soucis de le garder chez moi, ma femme est partie pour la semaine, elle chasse du gros gibier, dans le secteur corporatif.

Virgules !

-Je ne pouvais pas le bouger tant qu'il reprenait des forces, alors j'ai retiré les éclats les moins profonds, et les plus accessibles, maintenant, je vais pouvoir bosser sans retenue, alors si ça ne te dérange pas, j'aimerais que tu nous laisses.

6 virgules, on est pas loin du record.
Et n’oublie pas de laisser un espace après le tiret de dialogue (le tiret cadratin, comme disent les pros et ceux qui se la pètent ; oui, je suis un amateur).

Il sortit de la pièce, bien plus calmement que Vaal précédemment, et laissa le doc avec son blessé.

Pas beau, ces deux adverbes en « -ment ».

Une heure durant, les éclats furent retirés les uns après les autres, le corps du jeune Chiss inconscient légèrement sécoué pour récupérer tous les morceaux.

Sécoué ? Sécoua ce mot ? :p
Ton « corps inconscient légèrement secoué » ne ressemble pas à grand-chose, je trouve.

Il avait des brûlures sur de nombreuses parties du corps, et les coupures dues aux débris étaient étonnamment visibles.

« Il avait de nombreuses brûlures sur le corps » me semblerait plus simple et tout aussi parlant.

Les yeux grands ouverts, haletant, il le regardait fixement, sans dire un mot.

Phrase moche. Ce « il » sous-entend que tu te places encore du point de vue du Mando, encore faudrait-il le dire ou le présenter mieux que ça. En fait ce « il » devrait virer au profit d’un truc comme « son patient », là on saurait tout de suite à qui on a affaire.
Et encore une fois, faut reformuler car trop de virgules. 15 mots, 3 virgules !

Ou bien la première fois que tu en rencontres un, tout simplement ?, se moqua Ruv.

« ? » est un signe de ponctuation, or on ne fait jamais suivre un signe de ponctuation par un autre en français… adieu, virgule !

-Je... n'ai pas..., murmura-t-il.

Idem.

-T'inquiète pas, gamin, tu es en sécurité, ici.

9 mots, 3 virgules ! Record battu !

Surtout, ne bouge pas, tu n'es pas encore assez rétabli.

Je ne vois pas en quoi il aurait déjà commencé (avec ton « pas encore assez ») à se rétablir puisqu’il vient juste de se faire charcuter.

Ça ne t'empêchera pas de parler cependant (tout en disant cela, il prit une chaise dans un coin de la pièce, et s'y installa.)

J’ai toujours trouvé cette manière s’insérer de la description entre parenthèses au milieu d’un discours très moche. Mais ça, ça n’engage que moi, ce n’est a priori pas une fauter à proprement parler.

Bien, maintenant, dis-moi, comment tu t'appelles ? »

C’est relou. Tu sais que « Comment tu t’appelles ? » ça marche tout aussi bien sans les fioritures avant ?

A quelques dizaines de mètres, dans une autre baraque, un petit groupe d'éclaireurs en armure regardait un enregistrement holographique en provenance du vaisseau Chiss.

À

Ils venaient d'écouter les transmissions internes des mercenaires, récupérées peu avant l'intervention des trois chasseurs Bes'uliik, pilotés par Ruv, Deves Kernan et Stell Reevdan, présent à cette réunion.

Trop de virgules. J’ai une idée, comme je vais encore le dire toutes les 3 lignes, je vais inventer une abréviation qui remplacera « Trop de Virgules » : TV !

A l'extérieur de la pièce, tout en écoutant distraitement, deux autres guerriers étaient en pleine discussion.

À

« Ça fait très holodrame, tu ne trouves pas , Yas'ika ?

Pas d’espace entre « pas » et la virgule.

-Tant que ça paye bien, je suis pas regardant, tu sais, répondit l'intéressé en souriant.
-M'étonne pas de toi tiens. T'es au courant ? Le gosse a survécu, il est chez les Fheyla.

Ici, tu fais une erreur récurrente chez beaucoup de monde, qui tient à tout prix à retranscrire le plus fidèlement du langage oral dans du dialogue écrit. Sauf qu’il ne faut pas. L’oral c’est l’oral, l’écrit ne peut pas être identique. C’est une règle non écrite mais largement reconnue.
Ainsi, le « tu sais » en fait partie, comme le « tiens ».

Un Chiss, c'est rare d'en croiser par chez nous, ils ne sortent pas souvent de chez eux il faut dire.

Là encore, reformulation + suppression de virgule, genre « Un Chiss… C’est rare d’en croiser par chez nous. Il faut dire qu’ils ne sortent pas souvent de chez eux».

-Il est orphelin maintenant ce petit, cela ne t'intéresse pas ?
« ce petit est maintenant orphelin »

Et il est si jeune que ça ? Je ne me souviens pas que tu aies mentionné son âge jusque-là ?

-Très peu pour moi, Marev, je ne suis pas prêt à élever un enfant encore.

Ce ne serait pas plutôt « pas encore prêt » ?

-Et après tu n'aimes pas qu'on te taquine, avec ton caractère... s'esclaffa Marev.

Trop oral… et paradoxalement, pas très parlante, cette phrase.

-Cela dépendra de toi, 'ika.

Pour avoir zieuté un peu le topic, je sais que tu uses (voire abuses) du langage mando. Va falloir penser à tes lecteurs qui ne comprennent pas ce patois (moi, par exemple). Traviss y arrivait très bien dans sa série dont j’ai oublié le nom, car soit c’était de simples mots, aisément compréhensibles quand mis au bon endroit (ex : tu fais un reproche à quelqu’un et tu dis « ner’vod » ou un truc comme ça, on comprend très bien qu’il s’agit d’un einsulte ou que ça veut dire « imbécile », soit les persos se donnaient eux-même la peine de traduire dans leur tête.

-C'est un début, tu as été traumatisé, il est tout a fait normal que tu aies oublié des détails. Mar'e, tu connais encore ton nom, ce n'est pas toujours le cas, dit-il en riant.

Ainsi, par rapport à ce que je viens de dire, le « ma’re » n’est pas gênant, on voit ce qu’il veut dire dans la phrase.
« tout à fait »
TV 1ère phrase.

-Comment m'avez vous trouvé ?

M’avez-vous

-Pas si vite, tu le sauras en temps voulu, pour l'instant, reste tranquille. C'est plus prudent, ici, on ne sait pas de quoi ma femme serait capable si tu l'énervais, même pour un invité. »

TV

Scaroc le regarda, il était intriguant, il avait l'air si humain sans son casque.

TV

Une cicatrice d'envergure, s'étendant sur presque la moitié de son visage, formant des motifs complexes.

2 participes présents dans la même phrase, pas top.

Il avait choisi d'accompagner son père, mais n'avait jamais pensé que quitter l'espace Chiss serait aussi dangereux.

Ici, faut de majuscule à « chiss », c’est employé en tant qu’adjectif.

Pour ce qui est du fond de l'histoire, à part quand ça parle d'adoption alors que rien ne semble le justifier avec les infos qu'on a, c'est plaisant à suivre. :wink:

Merci bien, cher Minos.
Oui ce chapitre est je crois, le moins réussi niveau écriture. :transpire:

C'était que le début ^^
Sinon, oui, j'use beaucoup du mando'a c'est comme ça. Desfois je met la trad a côté desfois non, et là y a le lexique en bas. :neutre:

Je corrige, je corrige :wink:

PS : merci à la voix de la sagesse Hiivsha

Revan Bane a écrit:Sinon, oui, j'use beaucoup du mando'a c'est comme ça. Desfois je met la trad a côté desfois non, et là y a le lexique en bas.

Si je dois me reporter à un lexique en dehors du texte pour comprendre ledit texte, ça va vite me gonfler de faire des allers-retours. Je te dirai si je trouve ça gênant. :diable:

Bon, on en a parlé hier soir sur le chat donc tu sait d'avnce ce que je pens de ta Fic.

Comme je l'ai dis je suis pas porté sur la forme. en même temps je suis secrétaire donc la grammaire et l'ortographe, je ne suis pas porté dessus, à cause mon boulot, j'en vois assez

Sur le fond, c'est plus que plaisant et intéressant. Un seul truc me dérange, ça a beau être une FIc, parler de trahison au niveau des Chiss pour Scaroc sans en avoir les infos. Il faut dud supens certes, mais quelques bribes en plus ça ne serait pas refus

Sinon, tu peux aussi compter ma petite femme dans le lot des lecteurs. On a lu ça hier soir

Phael a écrit: Un seul truc me dérange, ça a beau être une FIc, parler de trahison au niveau des Chiss pour Scaroc sans en avoir les infos. Il faut dud supens certes, mais quelques bribes en plus ça ne serait pas refus

Héhé, je donne des infos au compte-goutte :diable:

Sinon, merci encore de lire.

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Chapitre VII

Skes suivit Jef dans les coursives de la navette, et ne remarqua pas qu'ils prenaient le tracé le plus long vers l'infirmerie. Jef évitait le plus possible de passer à nouveau devant la soute. En revanche, Skes remarqua rapidement la brûlure que son frère avait à la main.
« Hé là, Jef ! Qu'est-t-il arrivé à ta main ? lança Skes en lui attrapant le bras.
-Ce n'est rien, il ne faut pas t'inquiéter. Juste une petite brûlure, répondit l'intéressé en se dégageant.
-Une petite brûlure ? As-tu bien regardé ? Comment t'es-tu fait cela ?
-C'est compliqué, allons d'abord retrouver les autres, si tu le veux bien.
-Hors de question, vod'ika* ! Montre-moi ça, ordonna le jeune homme en agrippant le poignet de Jef. »
À regret, le blessé se laissa faire et regarda Skes examiner sa main brûlée qui n'avait même plus l'air d'une main humaine. Elle était couverte de cloques et noircie à tel point qu'on ne voyait même plus la couleur de la peau. Le plus étrange était certainement le fait que la blessure s'étendait sur le dos de la main, alors que cette partie n'avait pas touché le cube.
« Qu'est-ce que c'est ? Tu veux bien m'expliquer ?
-C'est cette boîte, cette chose que Stell était parti chercher. Elle émettait une drôle de lumière, alors je suis allé voir par curiosité. Et c'est là que j'ai été brûlé.
-Tu l'as touchée ? Tu as toujours été trop curieux...
-Ce n'est pas ma faute, s'indigna Jef. Viens voir, tu sauras ce que je veux dire.
-Quoi, dans la soute ? On doit aller à l'infirmerie d'abord, pour Scaroc. Et on devrait en profiter pour soigner ta main.
-Je vois bien que tu restes sceptique, suis-moi, insista Jef en prenant la direction de la soute qu'il cherchait à éviter quelques minutes plus tôt. »
Skes poussa un soupir résigné suivit son frère jusqu'à la soute. Prenant les devants, il enclencha l'ouverture et jeta un œil. Il y avait effectivement une boîte dans la soute, mais contrairement aux dires de Jef, elle ne brillait d'aucune manière. Au contraire, sa surface lisse et sombre était on ne peut plus normale. Il n'y avait aucun mécanisme visible pouvant expliquer de la lumière, en admettant que ce soit vrai.
« Tu as du prendre un sacré coup sur la tête, ner vod*. Tu as peut-être confondu ce cube avec le four à impulsion, plaisanta Skes.
-Ne te moque pas de moi ! Je sais très bien ce que j'ai vu. C'est bien ce cube qui m'a brûlé, mais il est en quelque sorte désactivé maintenant. Regarde, ajouta-il en tendant la main.
-Arrête ça ! Je te crois, mais maintenant on va rejoindre les deux autres. »
Un sourire amusé sur les lèvres, Jef suivit son frère hors de la soute, laissant le cube étrange derrière lui.

En arrivant à l'infirmerie, ils trouvèrent le Chiss en train de retirer ses bandes de bacta avec l'aide du droide.
« Scaroc ! S'exclama Jef, tu es réveillé !
-Tu as l'air en pleine forme après tout ceci, lança Skes.
-Salut, les gars. Oui, ce droide médical est vraiment bien équipé. Une chance puisqu'on dirait que vous avez besoin d'un peu de soins vous aussi.
-En fait c'était prévu mais tu es passé avant. Skes, tu es en plus mauvais état que moi, on va commencer par toi.
-Le droide peut s'occuper de vous deux en même temps. Vos blessures ne sont pas aussi importantes que l'étaient celles de Scaroc, intervint une voix derrière eux.
Stell était de retour.
-Vous devriez vous installer et prendre le temps de bien vous soigner, profitez-en pour discuter. On arrive bientôt, mais je ne veux pas que vous m’accompagniez à la surface, je ne sais pas comment pourrait réagir mon client à la vue d'autres personnes que moi.
-Et qui est ce fameux client ? Tu sais pourquoi il veut ce cube ? demanda Skes, qui se rendit compte trop tard de son erreur.
-Comment sais-tu ce que je transporte ? Tu es allé dans la soute ?
-Je suis désolé, c'est à cause de Jef et de son histoire de lumière...
-Ce n'est pas possible, je devais préserver cette affaire le plus secrètement possible ! Quant au client, je ne sais pas encore de qui il s'agit. Qu'est-ce que c'est que cette histoire, Jef ? »
Ce dernier expliqua rapidement sa mésaventure dans la soute et montra sa main brûlée à Stell, main que le droïde s'empressa d'examiner.
« Qu'est-ce que cela signifie ? Il ne brille pas ce cube, et ne brûle pas non plus, s'étonna le Mandalorien. Je le sais bien pour l'avoir emmené ici.
-Eh bien pour moi il brillait, insista Jef, et il m'a brûlé. Sinon pourquoi j'aurais la main dans cet état ?
-Ce n'est pas important. On va te soigner, livrer le cube et oublier totalement cette affaire ! Maintenant prenez soin de vous, je vais préparer notre arrivée. Oh, tant que vous y êtes, un petit passage à la douche sonique ne vous ferait pas de mal. »
Sur ces paroles, il sortit et laissa les trois jeunes entre eux.

Retournant au cockpit, il revisionna rapidement l'holo-enregistrement que venait de lui envoyer son client. Il donnait les coordonnées du lieu où se déroulerait la transaction. Mais ce n'était pas cette information qu'il avait omis de dire à ses protégés, c'était l'identité de son client. Car même si son nom lui était inconnu, sa race était facilement identifiable avec ce visage bleu et ces yeux rouges. Et ce n'était pas le moment pour Scaroc de se montrer devant un Chiss. Un voyant rouge clignota sur le tableau de bord, sortant Stell de ses pensées. Le vaisseau sortit de l'hyperespace et se dirigea vers Klavus VII, la planète où se trouvait son client. Le système se situait à la frontière entre la Bordure Extérieure et les Régions Inconnues, domaine des Chiss. Le choix de cette planète se tenait pour son client. Depuis l'espace elle avait une belle couleur ambrée, mais la situation à la surface était déplorable. Un trio de griffes-ciel à la mode coruscanti étaient au centre d'une ville qui aurait pu passer pour du luxe sur Raxus Prime. Ce genre de planète où une élite dirigeante laissait le reste de la population dans la misère dégoûtait Stell au plus haut point. Comme il s'y attendait de la part d'un Chiss, son "associé" avait fixé la rencontre au sommet de l'un des trois bâtiments. Il dirigea le Cuyan vers les coordonnées indiquées et remarqua tout un groupe de personnes qui attendaient sur le toit, ce qui ressemblait fortement à un énorme piègel. Il posa son vaisseau précisément à l'endroit indiqué, car s'ils lui en avaient tendu un, ils s'attendraient à ce qu'il se pose un peu plus loin. Un Chiss ne se contenterait pas de mettre une bombe à l'endroit indiqué mais à côté, en cas de doute de la part de sa victime. Les Chiss étaient peu connus mais réputés très intelligents, non sans raison.

Stell récupéra son buy'ce et le beskad qu'il avait prêté à Scaroc, puis vérifia rapidement son équipement. Tout était en ordre. Il laissa un message sur l'intercom à l'intention des trois adolescents dans l'infirmerie :
« Hé, les jeunes, je vais livrer le cube. Ne bougez pas du vaisseau, c'est un ordre. »
Il abaissa la rampe et sortit à l'extérieur, sous le ciel nuageux de la planète. Heureusement, son casque filtrait l’air local, ses systèmes indiquant un danger à le respirer pour tout organisme étranger à cette planète. Danger potentiellement létal en cas d’exposition trop prolongée. Cela ne semblait pas gêner le groupe qui l'attendait. Ils avaient dû prendre un vaccin ou de quoi se protéger, à moins qu'ils n'aient pas prévu de s'éterniser. Il compta sept personnes, sept Chiss. Ils portaient tous une combinaison noire et tenaient un fusil blaster IH-75. Au vu de leur position, il était clair qu'il s'agissait de soldats, probablement les gardes du corps de son client. D'un clignement de paupières, il activa une des fonctions de son HUD, ouvrit la porte extérieure de la soute et alla récupérer le cube noir qui luisait à la lumière du jour. Il ne faisait qu'un mètre de long, de large et de hauteur pour un poids plus lourd qu'il n'y paraissait, soit près de vingt kilogrammes. Stell déposa son butin sur un chariot à répulsion et le conduit devant le Chiss avant tendit la main :
« Maintenant, ma récompense. Je n'ai pas envie de traîner sur cet osik* que vous appelez planète. »

« Skes, que fais-tu ? Stell a dit de ne pas quitter le vaisseau ! Lança Scaroc.
-Je vais juste regarder ce qu'il fait, sans me montrer. Allez, vous n'êtes pas un peu curieux ?
-Si, mais ce n'est pas sans raison qu'il nous a dit de ne pas bouger d'ici, intervint Jef.
-Je suis soigné et je suis passé aux rayons soniques. Vous n'avez qu'à rester, moi je vais voir, fit Skes avec un sourire entendu, avant de quitter l'infirmerie.
-Oh, il est impossible celui-là.
-Jef, peux-tu me donner la chemise ? demanda Scaroc en se levant.
-Tu n'es pas sérieux ? Tu veux y aller aussi ?
-Ça ne peut pas faire de mal, si on jette juste un œil. Et puis il a raison, nous sommes comme neufs.
-Presque, me concernant : ma main n’est pas encore guérie. Mais j'ai pas tellement le choix, surtout que Skes y est déjà, soupira Jef en ouvrant la porte. »
Scaroc suivit son ami vers la sortie du vaisseau et ils trouvèrent Skes allongé en haut de la rampe, l'air fasciné par ce qu'il voyait. Entendant leurs pas, il se retourna et fixa Scaroc d'un air inquiet. Ce dernier ralentit en voyant l'expression de son ami. Intrigué, il se coucha sans bruit à côté de lui, imité par Jef puis regarda à l'extérieur. Le choc fut violent pour le jeune Chiss quand il vit le client de Skes. Un souvenir amer remonta brusquement et s'empara de lui.

La Salle des Cérémonies était sans conteste la plus belle œuvre-d'art de Csilla, et même de toute l'Ascendance : une architecture unique pour un peuple unique. Des piliers porteurs sculptés avec soin étaient placés dans la salle de manière à être à la fois efficaces et esthétiques. Les murs d'un blanc immaculé à l'image de la surface de la planète resplendissaient sous la lumière de l'éclairage intense de la salle. Qui était loin d'être pleine ce jour-là, et la cérémonie qui s'y déroulait était tout sauf heureuse. Fier, droit, Johth'ess'csapla se tenait debout devant les autres Chefs des Familles régnantes. Actuellement, quatre familles se partageaient le pouvoir : les Nuruodo, les Csapla, les Sabosen et les Inrokini. Mais par un stratagème inconnu, les Nuruodo avaient réussi à faire passer le Chef de la famille Csapla pour un traître, et aujourd'hui il était en disgrâce. Scaroc se tenait droit lui aussi, aux côtés de sa mère et de sa grande sœur, fixant son père qui se défendait dignement face aux accusations.

L'oncle d'Etsan - son ami - dirigeait l'accusation en tant que dirigeant de la Famille Nuruodo et était en train de prononcer la sentence en accord avec les deux autres Chefs. Une décision terrible et irrévocable : l'exil. Son père devait quitter l'espace Chiss pour ne plus y revenir. Malgré tout, il demanda une seule chose en souvenir de son passé et du rôle qu'il avait joué pour les Chiss : que sa famille puisse quitter la planète aussi, pour éviter l'humiliation continuelle. Mais même ce droit lui fut refusé, au vu de la gravité des actes qu'il était censé avoir commis. Projeter l'assassinat des membres éminents des familles régnantes, comme si son père pouvait s'abaisser à de telles pratiques. Les preuves retrouvées avaient été montées de toutes pièces, Scaroc en était persuadé et il savait aussi que son père chercherait à rétablir la vérité. Il n'allait pas partir seul, Scaroc voulait l'accompagner. Mais il fallait trouver un moyen de le suivre. Le pouvoir voulait qu'il reste sur Csilla ? Il allait contester le pouvoir. Brisant le protocole, il se dégagea de la petite foule et alla se poster aux côtés de son père. Ce genre d'action était faite pour piquer au vif la fierté des détracteurs de son père, en particulier l'oncle d'Etsan qui était en train de parler. Content de son coup, Scaroc regarda l'orateur dans les yeux et soutint son regard...

En un instant, le jeune Chiss revécut cette scène de son passé, à la seule vue de l'interlocuteur de Stell. Comment oublier le visage de l’homme qui avait condamné son père ? L’oncle d’Etsan se trouvait sur Klavus VII ! Il n'était pas seul, il était toujours accompagné de ses gardes du corps triés sur le volet. Scaroc ignorait ce qu'il disait à Stell mais à l'évidence, il ne le paierait pas. Scaroc était persuadé que ce n'était pas lui le cerveau, que le père d'Etsan avait tout planifié depuis le début sur Csilla. Cela devait en être de même ici, avec cette affaire de cube. Pourquoi les Chiss le voulaient, c'était une excellente question. Scaroc n'avait pas souvenir d'un objet de ce genre en rapport avec son peuple.
« Vous ne voulez pas que je devienne votre ennemi ?' »
La voix de Stell résonna soudain, forte et menaçante, tirant le jeune Chiss de ses pensées.
« Ça dégénère, là-bas on dirait, murmura Jef. Que fait-on ?
-Il est capable de se débrouiller seul face à sept ennemis, tout de même, s'indigna Skes.
-N'en soyez pas si sûr, ces soldats Chiss comptent parmi les meilleurs et ils étaient ici avant Stell, avertit Scaroc.
-Comment tu sais ça ?
-C'est évident puisqu'ils sont en formation de combat classique. Et c'est leur genre de prévoir le coup en arrivant les premiers.
-Tu penses à un piège ?
-C'est un style très Chiss, tendre un piège et attendre que la proie se jette dedans. Ensuite pour respecter la règle de défense, on le pousse à nous attaquer.
-Stell ne se laissera pas berner, les rassura Skes.
-Eh bien, c'est un guerrier. Il ne va pas se laisser faire aussi facilement, remarqua Jef.
-Il a dit qu'on ne devait pas se montrer.
-Il n'a pas précisé « quoi qu'il arrive » fit Scaroc avec un sourire mesquin.
-Pourquoi tiens-tu tant à intervenir ? s'étonna Skes. Tu connais ce Chiss ?
-Si on veut.
Sur cette réponse énigmatique, Scaroc se dirigea vers la cabine principale et récupéra les deux beskad restants.
-C'est peut-être un peu exagéré comme réaction non ? s'inquiéta Jef. »
Comme pour lui répondre, une explosion se fit entendre à l'extérieur et les trois jeunes se précipitèrent sur la rampe pour voir ce qu'il se passait.
Avec son beskad, Stell avait tranché la cellule énergétique du fusil blaster de l'un des soldats qui s'était approché de trop, et l'arme avait explosé dans les mains désormais disparues du Chiss. La raison de cette attaque du Mandalorien était évidente, une dizaine de nouveaux soldats étaient apparus derrière les premiers et avaient mis Stell en joue sur ordre du Chef Chiss. Scaroc en était le premier étonné. Ne pas payer Stell était une possibilité, mais l'attaquer restait dangereux. À moins d'être sûrs de leur coup, malgré l'absence évidente d'un autre piège que celui des renforts.

Stell était bien content de porter ce nouveau modèle de Beskar'gam* développé par MandalMotors. Les tirs des Chiss ne lui faisaient aucun dégât, mais il n'allait pas pour autant attendre qu'ils n'aient plus de munitions. Il enclencha son jetpack et fila dans les airs puis se pencha légèrement avant de lancer le missile imbriqué au réacteur dorsal.
Spécialité de la maison, mes grands.
L'explosion tua sur le coup quatre ennemis et le souffle en éjecta trois de plus du toit. Plus que la moitié à vaincre. Il fut alors surpris par un tir venant d'un des soldats qui tombaient dans le vide. Son jetpack explosa et Stell fut projeté au sol, indemne grâce à son armure mais sonné. Il se releva rapidement et saisit son pistolet disrupteur, ayant lâché son beskad durant la chute. Juste à temps car plusieurs Chiss étaient en train de viser son buy'ce. Il était solide, mais plusieurs coups bien placé ou assez puissants causerait la fin de la visière et la mort de Stell. Il leva le blaster et supprima d'un seul coup ses quatre assaillants, avant de perdre le blaster arraché de ses mains par un autre tir. Il lança une volée de fléchettes empoisonnées sur les quatre derniers combattants, avant de se tourner vers le chef de cette équipe de tueurs. À sa grande surprise, il le vit étendu au sol à quelques mètres du vaisseau, le jeune Scaroc croisant deux beskad devant lui.
« Je t'avais dit de rester dans le vaisseau, je crois.
-Il s'est enfui quand il a vu que tu gagnais, je ne pouvais pas le laisser partir.
-Tu connais ce Chiss ?
-Oui.
-Alors, qu'attends-tu pour le tuer ? Tu en meurs d'envie, je le vois bien. »

Ces mots eurent un impact considérable sur Scaroc.
Le tuer. Tuer le Chiss qui a condamné mon père.
L'adolescent recula alors en lâchant les sabres, les yeux fixés sur ce visage qu'il avait tant voulu détruire, lorsqu'il avait quitté l'espace Chiss. Il avait échoué, il n'avait pas pu se résoudre à le faire. Ses souvenirs s'étaient emparés de lui et l'avaient fait reculer.
Je suis faible.
Stell n'avait pas ce genre d'émotions, tuer ne lui posait aucun problème. Il pointa un mini-blaster qu'il avait en réserve jusque-là sur le Chiss qui le regardait, l'air apeuré.
« Je n'aime pas qu'on trahisse ma confiance, shabuir.* Il est temps de payer, lança-t-il. Mais je n'attendrais rien de toi, ajouta-t-il avant de tirer.
Le Chiss s'effondra au sol, un trou fumant dans le front.
« Stell, regarde le cube ! s'écria soudainement Jef, depuis le haut de la rampe en compagnie de Skes. »
Stell se tourna vers le cube qui avait été oublié dans le feu de l'action. Du moins par les Mandaloriens. Trois Chiss non-armés étaient venus le prendre et disparaissaient dans un speeder blindé de l'autre côté du toit. Un second speeder fonça sur le Cuyan, un tireur à son bord tandis que le premier disparaissait au loin avec l'étrange cube. Sans prévenir, Stell envoya une petite grenade dans le réacteur du speeder des assaillants tandis qu'il les survolait.
« Sooran, shab !* »
Le speeder explosa dans les cieux de Klavus VII, projetant une pluie de débris qui allait retomber sur les miséreux de la ville. Il était temps de quitter cet endroit, et il lui fallait demander quelques explications à son protégé, notamment sur leur présence hors des Régions Inconnues et de leur intérêt pour le cube. Il se tourna vers l'adolescent et le vit alors, toujours au même endroit. Scaroc vacilla sur ses jambes, les yeux toujours fixés sur le cadavre du Chiss. Alors qu'il perdait l'équilibre, Stell le rattrapa et le serra contre lui avant de lui murmurer :
« Ni kyr'tayl gai sa'ad.* C'est terminé, Scaroc. Tu ne dois plus te laisser faire par ton passé. Cin Vhetin.* »

Lexique : *
Vod'ika : Petit frère
Ner Vod : Mon frère
Osik : pas besoin de trad :transpire:

Beskar'gam : "Peau de fer" L'armure mandalorienne en beskar
Shabuir : Abruti
Sooran, Shab ! : Bouffe ça, ordure
Ni kyr'tayl gai sa'ad : Je considère ton nom comme celui de mon enfant. :sournois:

Cin Vhetin : Ardoise effacée, nouveau départ.

Faux raccord : tu dis que l’atmosphère de la planète est toxique : Stell a son casque, les Chiss ont prit un vaccin, mais Scaroc , Skyes et Jef sortent sans protections ! :diable:

Je laisse la correction d'orthographe à des gens plus compétents que moi. :transpire:

Sinon, rien à dire a part que j'attends la suite avec impatience. :wink:

Millenium-7 a écrit:Faux raccord : tu dis que l’atmosphère de la planète est toxique : Stell a son casque, les Chiss ont prit un vaccin, mais Scaroc , Skyes et Jef sortent sans protections !

Eh, mais t'as raison !
:oops:

Modifié ce petit détail. :whistle:

Pu toxique, juste vicié. Donc respirable mais on préfère du bon air pur :ange:

PS : Skes pas Skyes :wink:

Revan Bane a écrit:
Eh, mais t'as raison !

Modifié ce petit détail. Pu toxique, juste vicié. Donc respirable mais on préfère du bon air pur

PS : Skes pas Skyes

Tu l'as modifié ? Je vois pas ou

Désolé je voulais dire Skes mais j'ai pensé à Sky :transpire:

J'ai modifié à l'endroit où je disais "toxique" :wink:

Edit ; re-modifié :wink:

Il était bien content d'avoir un casque qui filtrait l'air car les systèmes de ce dernier lui indiquaient que celui qu'il aurait respiré sans était vicié

Elle est bizarre la phrase :perplexe:

Bon, je vais faire dans l'original mais c'est encore un très bon chapitre :transpire:

Je vais pas trop m'étaler parce que c'est pas mon genre de toutes façons.
Juste, je ne peux qu'adorer la dernière partie et surtout la phrase finale :jap:

Merci bien, deathstar

N'ayant pas eu à le corriger en amont, je me suis permis ce coup-ci de le lire sans m'arrêter sur les fautes, histoire de voir ce que donne ton histoire en la lisant d'un trait, comme un livre. J'avais envie de m'en imprégner... ce que la correction minutieuse ne permet pas.

L'un dans l'autre, c'est pas trop mal. Certes, il y a quelques maladresses et le style en reste basique, mais je dois dire que dans l'ensemble ça se tient plutôt bien. Par-ci, par-là, des tournures qui mériteraient d'être plus approfondies, évidemment, mais si c'est "brut de pomme" de ta part, je dois dire qu'il y a de l'amélioration avec tes premiers chapitres.

J'accroche moins au niveau des dialogues. Ils font trop "dialogues de base". Alors, je sais, un dialogue c'est de l'oral. Oui mais non. Dans un roman, c'est un peu comme dans une pièce de théâtre, les dialogues ne sont pas la retranscription de notre façon de parler "de tous les jours". Du moins ai-je la faiblesse de le penser. On ne parle pas "dans la vie" de la même façon que dans un livre. En tout cas, pas dans les livres que je lis. Dans un roman, c'est plus travaillé, ça entre dans la rythmique du récit, ça a une certaine musicalité à l'instar de la narration. Des dialogues trop basiques ont tendance à faire "niais" si tu me pardonnes cette expression.

Sinon, l'histoire reste sympathique et l'ambiance est bonne. On imagine sans trop de mal les scènes même si les descriptions ne semblent pas ton point fort. Quelques éléments entrent en jeu, comme le chiss qui fait pas long feu... il faut voir la suite.

Pour une fois, je laisse à des lecteurs pointilleux genre Minos ou Notsil le soin de décortiquer ce chapitre faute de temps pour pouvoir le faire ces prochains jours.

Merci bien pour ce commentaire.
Je vais en tenir compte autant que je peux ^^

OK, bah c'est bon, il n'y a pas trop de fautes

Bon chapitre, du reste, l'apparition du Chiss m'a surpris, et j'ai trouvé la scène d'action plus claire que la précédente -même si je trouve ça un peu caricatural de voir un personnage passer pour un super-héros à ce point-là comme si c'était banal, mais enfin bon :transpire:

Pour ce qui est des scènes chiss, rien ne m'a frappé jusque-là, a priori, c'est bon ; j'attends quand même de voir les motivations précises des Nuruodo, parce que a priori, si seul le chef de la famille est impliqué comme cela semble être le cas, un autre devrait prendre sa place, donc je ne sais pas ce qu'il espère en retirer...

Bordel, tu me donnes envie de me remettre à L'Ascension de Sev'rance Tann, ça me manque, ces histoires de complots chiss :paf:

Un sourire mesquin sur les lèvres, Jef suivit son frère hors de la soute,

"Mon frère a la main en cendres à cause d'un apéricube lol" :paf:

-Je suis désolé, c'est à cause de Jef et de son histoire de lumière.
-Ce n'est pas possible, je devais préserver cette affaire le plus secrètement possible.

Houla, les simples points font bizarre pour un moment qui est censé surprendre les personnages :perplexe:

Point d'exclamation, points de suspension ?

Quelle est cette histoire de lumière, Jef ? »

"Quelle est", je trouve ça bizarre dans ce contexte, c'est plutôt pour faire un choix entre des choses qu'on connait déjà, genre "Quel bouton a déclenché ça ?"... Je dirais plutôt Qu'est-ce que c'est que cette histoire ?

Oh, tant que vous y êtes, un petit passage à la douche sonique ne vous ferais pas de mal. »

Ferait, troisième personne, donc pas de "s".

ce genre de planète dégoûtait Stell au plus au point.

Au plus haut point :lol:

car si ils lui avaient tendu un piège,

En principe, on fait l'élision s'ils :neutre:

Rester trop longtemps à l’extérieur pouvait s’avérer dangereux voir mortel

Voire mortel :wink:

"Voir", c'est le verbe ; "voire", c'est pour indiquer quelque chose qui va plus loin que ce que l'on a évoqué précédemment.

Il ne faisait que un mètre de long,

Qu'un mètre :neutre:

que le père d'Etsan avait tout planifié depuis le début à Csilla.

Sur Csilla :wink:

Il avait échoué, il n'avait pas pu se résoudre à la faire.

Le faire, a priori :wink:

Tu ajoutes :

"La choix de cette planète "

que j'ai remarqué hier à la lecture.

Mitth'raw Nuruodo a écrit:
j'ai trouvé la scène d'action plus claire que la précédente -même si je trouve ça un peu caricatural de voir un personnage passer pour un super-héros à ce point-là comme si c'était banal, mais enfin bon

Pour ce qui est des scènes chiss, rien ne m'a frappé jusque-là, a priori, c'est bon ; j'attends quand même de voir les motivations précises des Nuruodo,

Bordel, tu me donnes envie de me remettre à L'Ascension de Sev'rance Tann, ça me manque, ces histoires de complots chiss

Ouais, mode super héros activé :transpire:

Ou est le probleme ?

Ouf, j'ai eu peur pour les Chiss, je suis pas encore trop au point la dessus. Ah, les Nuruodo... tu as le temps :sournois:

Cool alors, si revoir des Chiss chez moi te donne envie de repartir voir les tiens :lol:

Sinon, tout corrigé. :jap:

Elle est décidément bien sympathique ta fic.

Je ne suis pas un spécialiste en Chiss, ni même en mandaloriens d'ailleurs, mais je trouve qu'ils font "vrais". N'est-ce point le principal?

En tout cas, moi, j'y trouve mon compte!

vivement la suite! :sournois:

Merci, ça fait plaisir

Ils font vrai ? Super !!!

C`est bien j` ai juste lu la prologue,mais c`est bien.

Plus ont évolue dans le livre plus c est bien.

Je trouve que les personnages sont bien décrit, comme quand le garçon est blessé.

greedo30001 a écrit:C`est bien j` ai juste lu la prologue,mais c`est bien.

Plus ont évolue dans le livre plus c est bien.

Je trouve que les personnages sont bien décrit, comme quand le garçon est blessé.

Salut jeune padawan!

Je suis certain que Rev' va être très content d'avoir un nouveau lecteur.
Si tu le souhaites, tu peux te présenter à cette adresse pour qu'on puisse te souhaiter la bienvenue parmi nous: post676448.html#p676448

Pour ce que j'en ai lu, tu as un style agréable, facile à lire et à suivre. Et ça, j'aime beaucoup. Je vais essayer de continuer à la lire ce soir pour pouvoir donner une critique plus constructive :wink:

Merci de vous y être mis Greedo et Pomme Verte

J'arrête de compter :transpire:

Mais ca fait plaisir. :jap:

Salut,
Je viens de lire ton prologue qui est bien construit, ni trop long ni trop court.
De plus il donne envie de lire la suite, qui j'espère sera aussi bien ( oui oui ton prologue est très bien) :cute:

Bonne Continuation.

Lu.

Et même remarque que Hiivsha concernant les dialogues.
Des trucs comme ...

Revan Bane a écrit:-Je suis soigné et je suis passé aux rayons soniques. Vous n'avez qu'à rester, moi je vais voir, fit Skes avec un sourire entendu, avant de quitter l'infirmerie.
-Oh, il est impossible celui-là.
-Jef, peux-tu me donner la chemise dans le coin ? Demanda Scaroc en se levant.

... font trop "parlé" et pas assez "écrit".
Le "coin" est inutile. Scaroc peut juste demander qu'on lui passe sa chemise, par exemple.

Autre chose, j'ai remarqué que tu places trop souvent le verbe en fin de phrase, dans tes dialogues.
Les dit Scaroc, intervint Jef, remarqua Skes et autres qui clôturent chaque phrase.
Tu peux essayer de varier plus souvent cela.

Au lieu de :

- ...................., expliqua Scaroc.
- ............ ! Lança Skes.

tu peux écrire :

- ...................., expliqua Scaroc.
Skes haussa les épaules.
- ............ !

Tu le fais déjà, mais peut-être pas assez.
Un dialogue doit se rythmer au même titre qu'une scène d'action ou qu'une description.

Il existe entre autre des légions de "formules" à employer pour créer ce rythme et donner vie à un dialogue autrement que par les seules répliques des personnages.
Tes personnages, qui se parlent, doivent aussi bouger, se regarder, se jauger, et exprimer divers sentiments au travers de leur expressions.
N'hésite pas non plus à varier ces verbes.

En ce concerne l'histoire elle-même, j'accroche ! :lol:

J'aime cette idée d'un trio de jeunes héros, cela apporte un souffle certain, et Stell est parfait dans le rôle du "grand frère". Enfin, chaque chapitre amène un élément nouveau, l'histoire se construit, gagnant en intensité, et on a hâte de connaître la suite. :diable:

Merci Lunara.
Merci Sol. Je vais essayer aussi de suivre tes conseils, très intéressants. :oui:

J'aurais du temps pour étudier tout ce qu'on me donne, vu que je pense pas mettre de chapitre cette semaine. #détails censurés. :whistle:

Content que ça plaise sinon.

Je viens de lire les sept chapitres (j'avais déjà lu le prologue) et globalement, ça peut aller.

Ça se lit vite, ce qui est bien mais cette "simplicité" peut parfois nuire à l'immersion car tout va trop vite et donne souvent l'impression d'être pré-mâché pour le lecteur. Cette forme de narration qui mêle tout (dialogue, actions, pensées, questions indirectes au lecteur, etc) n'est pas réellement ma tasse de thé et je préfère être emporté par une histoire plutôt que celle-ci me tienne la main pour m'amener exactement où elle veut.
La finalité est la même mais la nuance de la "liberté d'immersion" est pour moi capitale.

Le vocabulaire n'est pas toujours précis et recherché mais c'est un point qui s'améliore petit à petit au fil des chapitres.
Les personnages ne sont pas encore complètement attachants. Si on sent que le Mandalorien te tient à coeur, le jeune Chiss, "héros" du texte si j'en crois le titre, est à peine effleuré et seul ses cauchemars lui donne corps. On sent qu'il a des aspérités (son instinct de survie, ses cicatrices physiques et psychiques, son idéal de justice, etc) mais tu ne les exploites pas réellement pour le moment.

A voir par la suite, donc. :hello:

Tiens le dodo s'y est mis

Depuis le temps que je l'attendais

Merci pour ta critique, j'en tiendrais compte aussi. Trop simpliste donc ? Intéressant.
Pour les personnages, oui je sais, j'essaie d'améliorer ça.

Eh ouais, moi et les mandos... mais le Chiss aura bientôt de quoi se garnir. :sournois:

Revan Bane a écrit:Tiens le dodo s'y est mis Depuis le temps que je l'attendais

Tu sais ce qu'il te reste à lire, à présent... :cute:

Dolarn Sarkan a écrit:
Tu sais ce qu'il te reste à lire, à présent...

Haha

Si tous les gens que je lis me lisaient... moi aussi j'en aurais des lecteurs ! :wink:

Hiivsha a écrit:Si tous les gens que je lis me lisaient... moi aussi j'en aurais des lecteurs !

Tes histoires sont plus longues que la mienne :transpire:

Ca joue un peu :diable:

Je sais va ! :cry:

Et en plus, mes lecteurs sont pas tous des auteurs :sournois:

Nyark Nyark Nyark !

C'est vrai que tout compte fait les petites histoires sont moins décourageantes que les longues pour des lecteurs d'occasion. :neutre:

Ça dépend aussi de l'affluence sur le forum au moment où tu commences ton histoire, en faire une longue n'est pas un problème s'il y a du monde dès le début :neutre:

Ce n'est pas pour rien que j'ai commencé Perle Rouge au moment où Pecivounet attirait de nouveaux lecteurs.

Tu as profité ^^
Mais c'est vrai. Quand j'ai commencé, y'avais une soudaine affluence de nouveaux auteurs. :oui:

Rien que ça déjà... et après, comment dire... :transpire:

Mais ne vous en faites pas, j'ai déjà prévu de vous lire. :wink:

La renaissance de Scaroc - Chapitre XIII [Arrêtée]

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