StarWars-Universe.com utilise des cookies pour faciliter votre navigation sur le site, et à des fins de publicité, statistiques, et boutons sociaux. En poursuivant votre navigation sur SWU, vous acceptez l'utilisation des cookies ou technologies similaires. Pour plus d’informations, cliquez ici.  
Les Chevaliers de l'Ancienne République
  • Titre original Knights of the Old Republic #1 à 5
  • Genre Comic-Book
  • Série La Légende des Jedi (Vol. 3)
  • Univers Legends
  • Année et période -4000 (Ancienne République)
  • Scénariste(s) Tom Veitch
  • Dessins Chris Gossett
  • Encrage Mike Barreiro
  • Couleurs Pamela Rambo
  • Couverture Dave Dorman
  • Traducteur(s) Anne Capuron
  • Synopsis :

    Quatre mille ans avant que Luke Skywalker soit le dernier des Jedi, ses prédécesseurs parcouraient l’univers, chacun jouant son rôle pour préserver la paix et repousser les forces du Côté Obscur. Parmi eux, Ulic Qel-Droma et Nomi Sunrider, deux jeunes novices qui s’entraînent pour devenir des chevaliers Jedi. Cependant, leur entraînement va vite devenir un baptême du feu quand ils doivent affronter le seigneur du crime Bogga, un Hutt qui a assassiné un des plus puissants chevaliers Jedi de l’Ordre.

  • Note du staff SWU
     (62 % - 3 commentaires)
  • Note des internautes
     (59 % - 7 commentaires)
     (65 %)

    Scénario

    Jedi



    Deux aventures bien distinctes dans cet album, celles de Ulic Qel-Droma et de Nomi Sunrider qui seront les personnages principaux de toutes les aventures « TOTJ » suivantes. Ces courtes aventures permettent donc d’introduire ces deux personnages et ceux qui les accompagnent et d’annoncer les conflits majeurs à venir. De ce point de vue là, c’est une réussite. La caractérisation des personnages est pointue par rapport à l’évolution qu’ils connaîtront par la suite. Ce sont des chevaliers débutants, maladroits parfois, le résultat de leurs actions est donc bien ambivalent mais on les sent déjà empreints d’un caractère très valeureux. Malheureusement, la forme n’est pas toujours à la hauteur du fond. On pense par exemple aux évènements dramatiques vécus par Cay ou Nomi dont les conséquences sont peu abordées (pour le 1er) ou de manière trop caricaturale (pour la 2nde). Autre point noir, sans conteste le plus important : les Jedi se font tirer comme des lapins. Le contraste est fort par rapport au niveau d’habilité auquel on est habitué, d’autant plus qu’on insiste lourdement sur la portée de leurs pouvoirs dans ces histoires.

    Dessins

    Nomi



    Côté dessins, on est en droit d’être partagés. Il y a l’évidence habituelle que ces planches font très datées. Il y a le design des vaisseaux et de la technologie qui, s’ils tentent d’être imaginatifs, apparaissent aussi parfois inaboutis. C’est particulièrement vrai pour les vaisseaux, mais les décors de l’histoire en pâtissent aussi. Il y a également la finesse du trait : si Chris Gossett semble plus dynamique, David Roach fait preuve de plus de finesse et de détails dans les expressions des personnages notamment. Avec le sourire, on relève aussi un point faible commun à tous : les sabrelasers ! Les poignées sont cools mais les artistes (les coloristes en grande partie) semblent incapables d’éviter les lames affreuses. On notera par ailleurs que Dark Horse assure des couleurs soignées même si la partie se déroulant dans le désert est un peu fade. Enfin, comme pour quasiment tous les Tales of the Jedi, chapeau bas à Dave Dorman qui fait des couvertures renversantes !

    Conclusion

    Affrontement



    Deux histoires très intéressantes car elles remplissent parfaitement leur rôle introductif à cette période. Cela fonctionne tellement bien qu’il doit être plus facile de commencer par elles que par celles de l’époque de Jori et Gav Daragon. Ces dernières constituent le background des aventures de l’époque Ulic et on a l’impression que les auteurs donnent ici des détails superflus en évoquant le passé des Sith qui seront très familiers d’un lecteur ayant débuté par les deux albums qui leur sont consacrés. Autre trait saillant valable pour tous les albums « Tales of the Jedi » : leur manque d’humour. Les évènements sont certes accablants mais il est toujours intéressant de disposer d’un élément humoristique qui permet au lecteur de se distancier quelque peu d’une aventure qui n’est que du space opera. Dans le cas contraire, on risque que le lecteur soit gavé par une histoire qui se prend trop au sérieux. Une histoire disponible dans l'album Delcourt, Le Sacre de Freedon Nadd.

  • 12/04/2006
     (60 %)
    Je suis assez mitigé concernant ce volume. L'hitoire d'Ulic est trés interessante mais celle de Nomi Surinder plombe complètement le comic, c'est lent, trés lent, et je n'aime pas l'idée qu'une espèce animale quadripède puisse être jedi. Cependant ne désespérer pas et lisez les aventures d'Ulic, ce jedi qui fera trembler la république.
  • 09/07/2006
     (60 %)
    L'histoire d'Ulic Qel-Droma est intéressante, et le fait qu'elle se déroule sur Onderon y participe beaucoup...
    Quant à Nomi Sunrider, on s'ennuit pendant presque toute l'histoire, à part peut-être (et je dis bien peut-être) dans les toutes dernières pages. Maître Thon est pour le moins un très étrange Jedi, mais ça passe encore de mon point de vue.