Un des derniers Chevaliers Jedi était le guerrier Anakin Skywalker. Durant les derniers jours de l’Ordre, une période de troubles emplissait la galaxie. C’est durant une étrange mission que l’héroïque Anakin Skywalker devint le Seigneur Noir de Sith connu sous le nom de Darth Vader ; la femme enceinte du Jedi était restée à la charge de son ami, Obi-Wan Kenobi. Lorsque Anakin ne rentra pas de mission, Obi-Wan sentit un grand pouvoir maléfique dans la Force et sut que les jours sombres arrivaient.

La femme de Skywalker donna naissance à des jumeaux avant de mourir – un garçon et une fille. Perturbé par le fait qu’ils étaient deux des derniers membres des Jedi, Obi-Wan décida de les séparer. La Force était puissante au niveau des deux enfants et il pouvait dire qu’un jour, la galaxie aurait besoin de l’un ou l’autre, ou des deux. Les séparer leur donnerait une meilleure chance de survie.

Il amena la fille sur Alderaan où elle fut adoptée par le Sénateur Organa et conduisit le garçon sur le monde désertique de Tatooine. Ses raisons étaient plutôt claires – l’un des mondes était publique, l’autre en dehors des voies spatiales. Chacun eut une chance différente dans la vie – Leia en étant sous les foules constamment, Luke en étant quelqu’un d’inconnu sur un monde inconnu. Luke fut confié au frère, selon la loi, longtemps oublié d’Anakin, Owen Lars. Owen et sa femme Beru était des fermiers sur ce monde désolé, et c’est ce que Luke semblait destiné à devenir. Obi-Wan, prenant le nom de Ben Kenobi, s’installa non loin dans le désert en temps qu’ermite pour garder un œil sur tout problème Impérial qui pourrait survenir.

Luke était un enfant fort, en bonne santé et intelligent comme ses deux parents avant lui. Il grandit rapidement, apprenant tout ce dont il avait besoin sur l’agriculture, la machinerie ou tout ce qu’il pouvait trouver d’autres dans les rares livres qu’il possédait. Ses premières années scolaires prouvèrent qu’il était brillant mais qu’il était rêveur. Il lui avait toujours semblé qu’il était destiné à autre chose que d’être fermier sur un monde asséché. La vie le rattraperait, il en était certain. […]