• jedi-mich

  
   (85 %)

  Alors qu’est ce que cette version deluxe a de plus.
  Et bien déjà, on a un fourreau noir avec des cartes stellaires pour y ranger le livre et la lithographie protégée dans une chemise cartonnée de couleur crème avec le symbole de l’Ordre Jedi.
  Déjà, ça, ça ajoute un cachet.

  Le livre n’a pas la même couverture que l’édition normale. Elle est couleur crème également avec aussi des cartes stellaires. Franchement, je trouve cette couverture plus stylée que pour la version normale.
  Comme déjà dit, le contenu est le même.
  Le livre se divise en plusieurs chapitres se focalisant sur les planètes visitées dans el jeu ou sur les factions rencontrées.
  Ainsi, on a les ébauches de Bracca, Bogano, Zeffo, Kashyyyk Dathomir et Ilum avec de magnifiques dessins de paysages et de lieux emblématiques que le joueur traverse pour avancer dans sa quête. On y trouve aussi la faune et la flore qui peuvent poser problème (les wyyyschokk sur Kashyyyk) ou qui peuvent devenir des alliés (Shyyyo toujours sur Kashyyyk).
  On note nous propose différents designs avant le résultat final vu dans le jeu.
  On a beau avoir pas mal de nouveautés, tout cela reste malgré tout familier.

  Bien sûr, on a la présentation du personnage joué par le joueur et des protagonistes qu’il rencontre au fur et à mesure de l’avancée dans les niveaux.
  Cal Kestis fait la connaissance de Cere Junda, Greez Dritus, des deux sœurs inquisitrices, de Taron Malicos, de Merrrin, de son fidèle compagnon BD-1 et bien d’autres.
  Idem, on découvre diverses versions des personnages avec des uniformes différents, des allures différentes, etc …
  On n’a pas idée du travail en amont avant de pouvoir prendre les manettes et se lancer à l’aventure.

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  Comme très souvent dans ce genre de livre, on a, à mon goût, trop peu de texte pour nous expliquer pourquoi tel choix a été fait, pourquoi tel idée a été gardée, comment l’évolution d’un design s’est terminée à ce qu’on voit à l’écran (même si on a quelques pages sur justement les idées rejetées.
  En tout cas, à la fin de la dernière page, on a envie de jouer au jeu pour voir tous ces environnements en mouvement.

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