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L'Arme d'un Jedi
     (75 %)
    Anakin in trouble


    L’histoire se déroule 24 ans avant la bataille de Yavin. 
    L'art et la manière de parler de sexe et de séduction sans avoir l'air. Dès les premières pages, le lecteur a les mots « séduction » et « tentation » bien ancrés dans l'esprit avec le comportement et les allusions de la délégation de Kashir. Il est fort dommage que le déroulement reste gentillet sans jamais aller plus loin ouvertement. Sans rechercher le racoleur, cela aurait mis une touche plus adulte et placé éventuellement Anakin dans une situation encore plus inconfortable. Plus que celle-ci qui me fait demander si Obi-Wan a tenu des comptes précis du nombre de sermons qu'il a pu faire à son très indiscipliné padawan. Pour le coup, ça reste une leçon bien sympathique. 
    Côté dessins, c’est très réussi. Le Anakin de Manuel Garcia est très expressif et conserve une grande part d’innocence. L’encrage de Palmiotti est parfait, il donne beaucoup d’épaisseur aux dessins. La mise en couleur de Guy Major est discrète mais très appropriée. 

  • 24/07/2020
     (70 %)  •  Langue : VF
    Au cours d'une mission diplomatique, le padawan Anakin Skywalker découvre que son sabre-laser a disparu !

    Un Tales qui permet de faire un point sur le lien entre Obi-Wan Kenobi et Anakin Skywalker deux ans avant le déclenchement de la Guerre des Clones... et le jeune apprenti a encore bien des progrès à faire ! Il est cependant fidèle à lui-même et, lorsqu'il constate qu'il a fait une erreur, va tout tenter pour la réparer, quitte à s'attirer les foudres de son mentor. Et l'idée de confronter un Anakin encore adolescent à un harem de jeunes épouses est plutôt bien vue, instaurant une légère tension pour le personnage qui ne sait clairement pas comment se sortir de cette situation, tandis qu'Obi-Wan reste un Maître sage et impassible.

    Aux dessins, Manuel Garcia livre une excellente prestation sur le personnage d'Anakin, on dirait vraiment Hayden Christensen de l'Attaque des Clones. Obi-Wan est plus « générique » (en mode « Jedi barbu lambda), et l'ensemble manque un peu de finesse et de dynamisme, sans être désagréable à regarder pour autant. :neutre:

    Un Tales sympathique, donc. On aurait pu aller plus loin, mais l'idée de départ est intéressante.

    Note : 70%