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1. Le détonateur thermal
 
Lorsque le chasseur de primes Boushh menaça de déclencher un détonateur thermal dans la salle du trône de Jabba le Hutt, toute l’assistance se mit à trembler à juste titre : personne n’aurait survécu à l’intense explosion. Heureusement, le traqueur masqué - en réalité Leia Organa déguisée - avait d’autres intentions : sauver Yan Solo des griffes de Jabba.

Les détonateurs thermaux sont des engins explosifs très dévastateurs, très instables et très réglementés. La petite sphère de métal, sous des dehors de grenade ordinaire, renferme sous une coque de thermite un explosif synthétique connu sous le nom de baradium.

Quand, du pouce, on fait glisser le déclencheur du détonateur, des voyants et des alarmes signalent le départ du compte à rebours de six secondes. Le détonateur peut être désactivé à n’importe quel moment en repoussant le déclencheur sur sa position d’origine. De même, la minuterie est réglable manuellement jusqu’à cinq minutes, ou encore la surface du déclencheur peut être configurée pour réagir à la pression du pouce. Avec ce dernier réglage, à moins qu’un petit interrupteur, près du voyant lumineux, ne soit basculé en position de sécurité, le détonateur explosera à l’instant où la main relâchera le déclencheur.

Lorsqu’un détonateur explose, la réaction de fusion du baradium génère un champ de particules qui s’étend très rapidement, en libérant assez d’énergie et de chaleur pour anéantir tout ce qui se trouve à l’intérieur de la sphère de déflagration.
En quelques secondes, le noyau de baradium se consume et la sphère du champ de particules s’affaisse sur elle-même en une sorte d’implosion. Les objets se situant au-delà de la sphère de déflagration demeurent intacts.

Lorsqu’un détonateur explose, la réaction de fusion du baradium génère un champ de particules qui s’étend très rapidement, en libérant assez d’énergie et de chaleur pour anéantir tout ce qui se trouve à l’intérieur de la sphère de déflagration.
En quelques secondes, le noyau de baradium se consume et la sphère du champ de particules s’affaisse sur elle-même en une sorte d’implosion. Les objets se situant au-delà de la sphère de déflagration demeurent intacts.

Les détonateurs impériaux standards contiennent un petit noyau de baradium et, ont une portée d’un rayon de cinq mètres. Le modèle de classe A utilisé par la Princesse Leia Organa aurait eu un rayon d’action de vingt mètres. Certains criminels posséderaient des détonateurs “personnalisés” contenant assez de baradium pour tout pulvériser dans une sphère d’une centaine de mètres...

La planète Talesia est connue pour produire les détonateurs thermaux les plus dangereux jamais conçus.

Le baradium est toutefois dangereusement instable, et déclenche parfois une réaction de fusion si le détonateur est heurté ou exposé à une chaleur excessive. On a vu des détonateurs exploser après un choc, lorsqu’ils sont lancés ou lâchés, voire sans raison apparente. C’est pourquoi ils sont réservés aux militaires et il est illégal pour un civil d’en posséder. Mais leur efficacité a entraîné une immense demande, si bien que les prix sur le marché noir peuvent atteindre deux mille crédits pour une pièce.

Comme une seule déflagration peut désintégrer jusqu’à deux mètres de permacite, les militaires impériaux utilisent souvent ces détonateurs pour la démolition, et en guise de pièges pour couvrir la retraites des troupes.

La Princesse Leia Organa, en utilisant un détonateur thermal, cherchait aussi à rendre plus crédible son incarnation de Boushh, car l’infâme chasseur de primes ubese était célèbre pour sa passion des explosifs. La Princesse reçut l’arme de Lando Calrissian, qui avait déjà utilisé deux détonateurs similaires lors de la destruction du luxueux palais du chef de l’organisation criminelle Black Sun, le Prince Xizor.

De plus, les Rodiens considèrent les détonateurs thermaux comme leur arme de prédilection, notamment grâce aux morts que peut faire une seule pièce alors qu’il faudrait plusieurs coups de blaster pour parvenir au même résultat.

(Fiche réalisée par l’équipe de SWEncyclopédie)
2. Le fusil blaster E-11
 
Les fusils blasters sont en fait des variations des blasters standards.

Généralement, ils ont un canon plus long qui permettent une plus grande portée, mais comme inconvénient, ils nécessitent d’utiliser les deux mains. À l’époque de la Guerre Civile Galactique, la possession d’un fusil blaster était illégale : ils étaient réservés à un usage strictement militaire et vendu exclusivement aux forces de l’Empire.

Ainsi, l’Alliance Rebelle était forcée de s’en procurer au marché noir ou par d’autres moyens beaucoup plus illégaux tels le vol...

Néanmoins, cela n’empêche pas les contrebandiers de les apprécier : plus puissant qu’un blaster, compact et facile à utiliser. Le fusil blaster E-11 de BlasTech est l’un des plus répandus. Il s’agit de l’arme de dotation des Stormtroopers impériaux.

Le E-11 allie véritablement les avantages des blasters à la puissance d’un fusil : une puissance de feu importante, la légèreté et la compacité des blasters, de plus, ils peuvent être tenus d’une seule main grâce à leur conception bien équilibrée. Ainsi, les Stormtroopers pouvaient se mouvoir beaucoup plus facilement, comme s’ils avaient un blaster normal et, à l’occasion, avoir l’avantage par rapport à un adversaire moins bien équipé.

D’une conception technique somme toute assez classique, il est doté d’une crosse rétractable à trois positions permettant d’obtenir une plus grande précision et donc, une plus longue portée de tir. En fait, la précision des tirs à longue portée est due à plusieurs facteurs : sa crosse, ses circuits électroniques, son viseur numérique qui permet de filtrer la fumée et la brume ainsi que son système intégré de visée nocturne.

Cette arme est dotée d’une portée optimale de 100 mètres et d’une portée maximale de 300 mètres, ce qui représente près de trois fois la portée d’un blaster normal. Cette portée est rendue possible notamment grâce à la taille occupée par le canon : le parcours des particules dans celui-ci produit un fin mais puissant faisceau qui sort de l’arme par son ouverture de 25 mm. Le E-11 est ainsi une arme mortelle à sa puissance maximale.
On remarque, en examinant l’arme, que tout le reste est conçu autour du canon : seuls le module de poussée et la chambre du cristal prismatique sont placés à l’arrière. Les autres composants sont montés sur les côtés ou bien sous les circuits électroniques.

La chambre d’extraction des gaz est placée à l’arrière de l’arme, mais elle fait partie d’un ensemble démontable pour faciliter l’entretien et la réparation.

Les faisceaux de particules sont produits grâce aux packs énergétiques standards. Ceux-ci se montent sur le côté du E-11. La puissance des tirs peut être réglée sur des valeurs allant de “Étourdir” à “Tuer”. Ce pack énergétique fournit suffisamment d’énergie pour 100 tirs. Cette arme peut parfaitement être adaptée aux besoins d’une mission. Et sa cadence de tir permet de la faire passer du mode automatique au mode semi-automatique ou au coup par coup.

Pour éviter tout risque de surchauffe au cours des combats, le fusil blaster est équipé d’évents mais aussi d’un complexe réseau de capillaires permettant le passage d’un liquide de refroidissement appelé le freelol. Ce liquide évacue la chaleur vers ces évents situés à l’avant de l’arme. Il est à noter qu’une utilisation prolongée de la cadence automatique dérègle l’alignement du canon.

Le E-11 et son clone “technologique” de SoroSuub - le Stormtrooper One (appelé plus tard le Freedom One) - étaient les armes favorites des forces impériales et de celles de la Nouvelle République.

(Fiche réalisée par l’équipe de SWEncyclopédie)