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J.J. Abrams parle du Réveil de la Force en long et en large
 
Et de son influence sur l'Episode VIII !
10/11/2015
J.J. Abrams, réalisateur, co-scénariste et co-producteur du Réveil de la Force, a accordé une longue interview au magazine Wired. Voici une traduction de l'essentiel de ses propos.

• Sur l'équilibre entre l'hommage et la nouveauté : 

"Nous avons voulu raconter une histoire autonome qui ait son début, son milieu et sa fin mais qui dans le même temps, comme Un Nouvel Espoir, laisse entrevoir l'histoire qui la précède et le futur qui la suit. Quand La Guerre des Etoiles est sorti, le film permettait au public de comprendre une nouvelle histoire mais aussi d'en déduire toutes sortes de choses excitantes qui pourraient exister. Dans ce premier film, Luke n'était pas forcément le fils de Vador, il n'était pas forcément le frère de Leia, mais tout cela était possible. Le Réveil de la Force a aussi cet incroyable avantage : il a non seulement une base de fans passionés mais aussi une histoire antérieure qui est familière pour beaucoup de gens. Nous avons pu utiliser les évènements antérieurs d'une manière très organique, car nous n'avions pas à rebooter quoi que ce soit. Nous n'avions pas à inventer une histoire antérieure qui ait un sens ; tout était là. Mais ces nouveaux personnages, sur lesquels Le Réveil de la Force est centré, se retrouvent dans de nouvelles situations ; donc même si on ne connaît rien à Star Wars, on est là avec eux. Si on est un fan de Star Wars, ce qu'ils traversent aura un sens supplémentaire."

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Sur sa collaboration avec le scénariste Lawrence Kasdan, et sur ce qu'il a tiré de ses expériences passées : 

"Travailler avec Larry fut sans aucun doute une des expériences les plus incroyables que j'ai eues sur ce projet. Nous apportons tous avec nous nos expériences des précédents projets, mais dans ce cas, je n'ai jamais cherché à reprendre quelque chose de mes travaux passés. J'ai avant tout tiré des leçons de mes expériences personnelles, j'y ai vu des choses que je ne voulais plus faire à nouveau. Par exemple, je ne voulais pas commencer à faire un film si nous n'en contrôlions pas l'histoire. J'ai l'impression d'avoir fait ça plusieurs fois dans ma carrière. Ca ne signifie pas que je ne suis pas fier de mon travail, mais le fait est que j'ai commencé à tourner Super 8 et Star Trek Into Darkness en sentant que je n'avais pas vraiment résolu certains problèmes fondamentaux concernant l'histoire." 

"Pour moi, la collaboration a été une leçon de narration, faite avec clarté, efficacité, concision, et intelligence. C'était un peu comme suivre une longue master class. Et comme il est aussi un réalisateur, il savait ce que je traversais durant la préproduction et la production, et il tenait compte de mes besoins. Parfois ces besoins étaient pragmatiques, d'autres fois il s'agissait de besoins créatifs ou d'intuitions que j'avais. Mais il était là pour aider à ce procesuss, de la même manière que j'aurais été là s'il avait réalisé. L'important était toujours de faire avancer cette chose dans la bonne direction, de faire ce film de la bonne manière. Je ne dirais jamais assez de bien de lui."

"J'ai donc essayé de ne pas oublier les erreurs que j'ai faites, mais j'ai aussi tenté de me concentrer sur les choses que je trouve inspirantes cinématographiquement parlant. Je me posais des questions comme : "Comment rendre ce film agréable ?" C'est le seul critère que Larry et moi nous sommes imposés : le film devait être agréable. L'important n'était pas de tout expliquer, ni d'introduire un certain nombre de jouets pour une société, ni d'essayer d'apaiser qui que ce soit. La seule chose importante était ce qui nous enthousiasmait."


Sur le niveau de secret durant la promotion

"Je rends hommage, et je suis franchement surpris de le faire, aux incroyables personnes de Disney, et surtout Alan Horn [président des studios Disney] et Bob Iger [PDG de Disney]. Bob a été incroyablement collaboratif et solidaire durant tout le processus. Lorsqu'il a été question du marketing, je m'attendais à ce que Disney veuille diffuser des choses en surabondance. Mais ils ont été très réticents à cela. Ils veulent que les gens vivent une expérience en allant voir ce film. Et je leur suis reconnaissant pour ça."

"Il y a un côté positif à rester silencieux. On peut protéger le public des spoilers ou de certains moments qui, d'une manière ou d'une autre, gâchent l'expérience du film. Mais d'un autre côté, il y a le risque d'être vu comme timide ou comme un connard dissimulateur. Ca n'a jamais été mon intention. Vu que Lucasfilm était très en prise avec les fans et très ouvert à propos de leurs projets, ça aurait été étrangement incohérent de ne rien montrer avant que la sortie approche. J'ai personnellement insisté pour qu'un teaser soit diffusé un an plus tôt, car en tant que fan de Star Wars, j'avais l'impression que la moindre des choses aurait pu m'exciter pour un an. Pourquoi pas ? Donc nous l'avons fait."



Concernant son influence sur l'Episode VIII (écrit et réalisé par Rian Johnson)

"Le scénario du VIII est écrit. Je suis certain que les réécritures seront interminables, comme d'habitude. Mais Larry et moi avons établi certaines relations essentielles, certaines questions essentielles, et les conflits. Et nous savions vers où certaines choses allaient. Nous avons eu des réunions avec Rian et Ram Bergman, le producteur du VIII. Ils voyaient des rushes pendant que nous tournions notre film. Nous voulions qu'ils fassent partie du processus, pour que la transition vers leur film soit aussi harmonieuse que possible. J'ai montré à Rian un montage provisoire du film, car je savais qu'il était en train de réécrire et de faire de la préparation. Et en tant que producteur exécutif du VIII, je veux que ce film soit vraiment bon. Faire de la dissimulation ne sert personne et sûrement pas les fans. Nous avons donc été aussi transparents que possible."

"Rian a posé des questions ici et là pour les besoins de son histoire. C'est un cinéaste incroyablement accompli et un scénariste incroyablement doué. L'histoire qu'il raconte reprend donc ce que nous avons fait et va dans la direction qu'il estime être la meilleure, mais c'est très en phase avec ce que nous imaginions. Mais vous avez raison ; ce sera son film : il le fera de la manière qu'il estime convenable. Il ne m'a jamais demandé de superviser le processus, et il n'a pas besoin de ça."


Sur l'inspiration qu'il a tiré d'Un Nouvel Espoir

"Je ne ferai jamais assez d'éloges sur ce que George [Lucas] a fait avec ce premier film, sans parler des suivants. Oubliez à quel point les images étaient incroyables, oubliez la technologie, oubliez l'humour, l'esprit, la romance, l'aventure, tous ces moments merveilleux qui ont fait que nous l'aimions. Pensez à ce qu'il a été capable de provoquer, aux questions qu'il a été capable de poser (exactement les bonnes questions), au fait qu'il a été capable de créer un monde qui allait bien plus loin que les limites de ce qu'on voyait et de ce qu'on entendait. Pour moi, c'est un des meilleurs aspects de Star Wars. En travaillant sur ce nouveau film, nous avons tenté d'établir des éléments au-delà de ce qu'on voit, en plus de raconter une histoire se suffisant elle-même. Mais ça ne devait pas avoir l'air d'une dérobade, comme si on mettait des choses en place sans les résoudre."




Sur les limites qu'il s'est fixées

"Star Wars n'a pas de limites pour ce qui concerne l'univers, les personnages, les conflits. En commençant à travailler sur ce film, Larry et moi avons fait une liste de choses qui avait un intérêt pour nous, qui étaient importantes à nos yeux. Faire ce film présente un véritable enjeu : chaque détail, que ce soit le design d'un costume, la musique ou un choix de décoration, doit être identifié comme provenant de Star Wars. On hérite de Star Wars ! Ce n'est pas à prendre à la légère. Il faut vraiment comprendre les choix de design, car chaque chose est importante. Mais en même temps, ce n'est que Star Wars, ce qui veut dire qu'une chose n'est pas automatiquement intéressante au motif qu'elle est dans cette galaxie."

"Par exemple, lorsque nous étions sur le tournage et que nous filmions une scène, j'étais toujours émerveillé de voir Harrison Ford habillé en Han Solo. Ou bien, wouaouh, il y a un gars... Un stormtrooper ! Et il ressemble exactement à un stormtrooper. Vous vous rappelez de la sensation quand un méchant descend de son vaisseau ? Ou le son des chasseurs TIE quand ils rugissent près de nous ? Nous avons tous vu des chasseurs TIE rugir près de nous durant presque quarante ans... Qu'est-ce qui rend cela intéressant ? Le fait est que ces scènes ne sont pas bonnes juste parce que ces personnages ou ces choses sont là, même si c'est le plus grand régal pour les yeux de toute l'histoire."

"Nous avons vraiment essayé de voir les choses de l'intérieur comme de l'extérieur. Qu'est-ce qui fait battre le coeur de cette histoire ? Qu'est-ce qui la rend romantique, ou amusante, ou surprenante, ou drôle à en mourir ? Nous avons tout simplement abordé ce récit en considérant que c'était une histoire sur un jeune homme et une jeune femme, et non pas en pensant que nous pouvions faire tout ce que nous voulions."


Sur l'évolution des éléments de la trilogie originale :

"Des idées comme le bras [rouge] de 3PO venaient de la volonté de marquer le temps."

"Vous voyez le genre de moments où l'on retrouve quelqu'un après des années de séparation ? On voit les rides sur leurs visages, et on se dit : "oh, ils ont vécu dix ans" ! Ou quand on voit quelqu'un avec une cicatrice qu'il n'avait pas (physique ou émotionnelle), ça se remarque. Ca nous fait savoir qu'on n'est pas deux minutes après. C'était important que Han Solo soit Han Solo, mais sans qu'on ait l'impression qu'il joue un gars de trente ans. Quand on a soixante-dix ans, on a vécu une autre série d'expériences. Ca doit se voir dans ce qu'il est. Harrison était tenu d'apporter un niveau de complexité qui n'était pas nécessaire au Han de trente ans."

"Puis il y avait des choses comme l'antenne parabolique du Faucon, qui a clairement été arrachée dans Le Retour du jedi, donc il en fallait une nouvelle. Mais j'ai en partie pris cette décision en tant que fan. Il y a une partie de moi qui veut savoir que c'est le Faucon de telle époque. Maintenant je sais que quand je vois le Faucon avec une antenne rectangulaire, on est au moment où il a changé de mains. Ca nous aide à marquer le temps."





Sur les jeunes acteurs : 

"C'est vraiment étrange, quand on pense que certains sont nés dans un monde où [Star Wars] existait. Bien qu'ils soient nés à une époque horriblement récente, ces gamins connaissaient et comprenaient Star Wars de la même manière que nous ; ils étaient juste nés dedans et ça ne leur était pas tombé dessus durant leur vie. L'essentiel en ce qui concerne le casting est de trouver des gens capables de tout faire. Quand on pense à tout ce qu'ils sont censés traverser, pas juste dans ce film mais aussi dans la continuation de leur travail, il fallait que ces personnes soient dignes de porter le fardeau et de continuer à raconter cette histoire. Je pense aux films Harry Potter ; la façon dont ils ont fait le casting est incroyable. Pour, combien, huit films ?! C'était un miracle. Ils devaient être capables de tout faire, et ils ont tous déchiré."

"On savait qu'on ne les prenait pas que pour un film ; on les prenait pour au moins trois films. Pour moi, c'était le plus grand défi. Quand on a rencontré Daisy Ridley, quand on a trouvé John Boyega, et quand Oscar Isaac et Adam Driver nous ont rejoint, on était très enthousiastes. Oui, Daisy et John peuvent travailler ensemble, mais qu'est-ce qui se passera quand Harrison sera là ? À quoi ça ressemblera ? S'il n'y a pas d'alchimie, ce sera un putain de désastre. Oui, BB-8 est un personnage génial, disposant d'incroyables marionnettistes, mais qu'est-ce qui se passera quand il sera soudainement dans une scène avec C-3PO et R2-D2 ? Est-ce que ça paraîtra bizarre ? Est-ce que ça paraîtra mauvais ? Au final, ce ne fut pas le cas. Quand Anthony Daniels m'a dit : "Oh mon Dieu, j'adore BB-8 !", j'ai dit : "Ca va aller." Car si ça va pour lui, c'est que ça fonctionne."

"Comme quand on voit la douceur entre Han et Rey, ou la tension et la comédie entre Han et Finn. C'était vraiment excitant de dire : "Ces scènes fonctionennt !" Nous avons travaillé vraiment dur pour trouver les acteurs, écrire et tout rassembler, mais on ne peut pas savoir avant que le tournage commence. Puis soudainement, on est sur le tournage en train d'observer, et on sait. C'est un peu comme faire une soirée où des amis de notre nouvelle école rencontrent des amis de notre ancienne école, et où on se demande : "Qu'est-ce qui va se passer ?" Et soudainement, ils s'entendent à merveille et la soirée devient vraiment amusante ! Ca a représenté beaucoup de travail, mais le résultat s'est avéré génial." 


À noter que Wired a aussi diffusé de nouvelles du tournage. Cliquez ici pour les voir.

L'Episode VII : Le Réveil de la Force sortira le 16 décembre. Retrouvez toutes les infos, photos et vidéos dans notre dossier spécial.

Parution : 10/11/2015
Source : Wired
Validé par : PiccoloJr
Section : Films > Postlogie
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Les 10 premières réactions (voir toutes les réponses) :
  • 10/11/2015 - 18:29
    L'essentiel de l'interview d'Abrams : http://www.starwars-universe.com/actu-1 ... large.html
  • 10/11/2015 - 18:50
    Le passage sur les produits marketing et le niveau de secret fait quand même sourire. :whistle:
  • 10/11/2015 - 19:14
    The White Knight a écrit:Article/point de vue intéressant : http://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/Star-Wars-Pourquoi-JJ-Abrams-va-gagner-la-guerre

    La raison pour laquelle je trouve que Abrams est le parfait réalisateur pour cet épisode VII, c'est justement parce que dans toute sa filmographie, il a toujours su être à la fois dans l'hommage et dans la réappropriation de l'œuvre en apportant son propre style. Le moins qu'on puisse dire, c'est que sa mise en scène est loin d'être dénuée d'imagination. Réduire Abrams a un nostalgique qui n'est bon qu'à pomper la mise en scène de ses réalisateurs préférés, c'est être de mauvaise foi.
  • 10/11/2015 - 19:16
    Le magazine Premiere ne se sent plus pisser, visiblement (et ça fait un bout de temps que ça dure) >> http://www.premiere.fr/Cinema/News-Cine ... -la-guerre
  • 10/11/2015 - 21:13
    Ah la vache... C'est bien pour ça que je m'abstiens de lire les critiques et qui plus est venant de ce genre de cochonnerie.
    Après faut bien qu'ils fassent parler d'eux avec leurs articles miteux. Après ils n'ont pas vu le film.
    Et dire que Lucas a trahi avec la prélogie faut pas déconner.
    Après je suis d'accord sur le point qu'Abrams joue trop sur la corde trilogie, en esperant que le film se démarque vraiment.
  • 24/11/2015 - 13:22
    Bonjour à tous,

    c'est mon premier message sur le site. Je crois que le matraquage Star wars a eu raison de moi ds le sens où même si ce n'est pas la saga de films que je préfère( il y en a quelques une devant), cela reste des films qui ont beaucoup compté durant mon adolescence et parfois ben ça revient.. :D
    Cela fait d'ailleurs plaisir de redécouvrir cette saga.

    Pour parler du septième volet, autant cette promo Star Wars me donne envie de revoir les anciens (prélo et originale), elle me donne pas envie de voir le prochain.
    J'irais certainement le voir mais je n'en attends pas plus qu'un vulgaire blockbuster. Pourquoi? de 1 j'ai l'impression et beaucoup l'ont dit sur les divers topics que ce film est un remake maquillé de l'épisode 4. Même direction artistique là ou la prélogie proposait du nouveau.
    Mêmes méchants: l'Empire, un dark vador like ou un wanna be.
    J'aurais espéré (à moins qu'il le cache) une nouvelle menace.

    de 2: je consdère que JJ abrams est un réalisateur moyen sans talent( comme le disent certains, il ne fait que copier Spielberg sans jamais y arriver). IL me semble qu'il a une culture ciné ancré dans les blockbusters des 80s et c'est tout.
    George Lucas n'était pas le plus brillant de sa génération mais il possédait une culture pas seulement américaine ( Kurosawa).

    L'extrait, ça bouge c'est sympa mais Lucas sait aussi faire ça. le problème c'est que chez Abrams ça bouge tout le tps pour pas qu'on s'ennuie car il est incapable de poser sa caméra et faire des beaux plans fixes. C'est ce qu'il y a de plus dur à mes yeux aujourd'hui. Car le public se lasse plus vite. Abrams en envoie plein la gueule, bouge dans ts les sens mais au final tu ressors de ces films et t 'as oublié.. Ce sont des coquilles vides avec une réalisation sans âme.

    Je ne trouve pas qu'il fait dans l'hommage. Pour moi c'est tout le temps too much. L'exemple le plus frappant étant son dernier Star trek. Il n'apporte rien à l'univers, il enchaine des scènes d'actions sur scènes d'actions qui n'ont aucun lien entre elles (juste pour nous garder dans la salle). Et il repompe complètement une scène de la colère de Khan.. Quel intérêt? Je l'ai déjà vu en mieux!!
    Je suis sincèrement pas de mauvaise foi, je trouve que comme Whedon, Snyder c'est un réalisateur à la mode mais qui n'a pas grand chose pour lui.

    Je n'admets pas qu'on puisse penser que abrams est meilleur que Lucas( et je ne considère pas Lucas comme un réal brillant). Je n'ai rien retenu de sa filmo.
    Voilà désolé si c'est un peu brut, c'est un ressenti sincère de quelqu'un qui est inquiet pour l'avenir de la saga car elle mérite le meilleur.
  • 24/11/2015 - 13:32
    Salut !

    sanjuro1 a écrit: le problème c'est que chez Abrams ça bouge tout le tps pour pas qu'on s'ennuie car il est incapable de poser sa caméra et faire des beaux plans fixes.


    Je serai moins sévère que toi, en tout cas sur ce point. Sur tous les trailers qu'on a vu, des beaux plans fixes, larges, beaux, posés, on en a, et même des très beaux : le destroyeur échoué sur Jakku, Rey minuscule battue par les vents devant l'immense réacteur ensablé (trailer japonais) sont les premiers qui me reviennent et son impressionnants.

    Capture 2.JPG


    Capture.JPG


    La caméra est d'ailleurs souvent posée, quand Rey s'éloigne avec BB-8 à ses côtés, le gros plan sur Vador, Luke qui touche R2... Tous ces plans sont justement assez réussis et posés non ?

    A voir si l'équilibrage sur 2h de films sera harmonieux.
  • 24/11/2015 - 13:38
    Ca commence à être légèrement ennuyeux de voir des posts présumer du niveau de culture cinématographique d'un réalisateur juste parce-que le cinéma de cette dite personne ne convient pas.
  • 24/11/2015 - 13:54
    je suis assez d'accord pour la Ba. J'ai surtout peur en fait qu'il rushe.. Que tout s'enchaine trop vite et aussi j'ai assez peur de revoir la trilo originale en moins bien. Je ne vois pas d'intêtet à revoir la même chose. Et quand je vois la direction artistique je suis inquiet même si là ce n'est pas de la faute de Abrams.
  • 24/11/2015 - 13:57
    Ben justement : il y a pleins de passages très Lucasien dans les trailers et teasers.
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