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Les vingt ans de règne de Palpatine

Notre Empereur s'apprête à célébrer ses 20 ans de règne
Depuis le Palais Impérial : Entretien exclusif avec Sa Majesté Impériale Palpatine 1er


TI : Votre Altesse, les mots me manquent pour vous dire à quel point je suis ému et fier que vous ayez pris de votre temps si précieux afin de bien vouloir un entretien.

Sa Majesté : Je vous en prie, mon ami. Beaucoup de nos concitoyens sont épris des idéaux de l’Empire, et la Tribune Impériale a prouvé avec les années que grâce à son impartialité et son indépendance, l’information pouvait être traitée d’une manière aussi digne qu’objective. À ce titre, je vous remercie de votre travail d’autant plus exemplaire qu’il s’oppose aux propagandistes de tout poil. Grâce à la Tribune Impériale, nos concitoyens bénéficient de l’information la plus pointue.

TI : C’est trop d’honneur, Votre Altesse. Puisque nous parlons de médias, Votre Altesse, je me permets de mettre les pieds dans le plat. Au cours de vos vingt ans de règne, le monde des médias a beaucoup changé. Un certain nombre de journaux ont mis la clé sous la porte et vos opposants parlent de musellement de l’information par les plus hautes autorités de l’État.

Sa Majesté : Il faut y voir une conséquence de la guerre menée par notre glorieuse armée contre les infâmes Séparistes. Lors de cette période troublée, vous vous souviendrez que les médias racontaient tout et son contraire, dans une anarchie impressionnante. Certains journaux, une fois la paix revenue, ont choisi de continuer dans une voie éditoriale dédiée aux contre-vérités et aux mensonges flagrants. Dès lors, comment s’étonner que le lectorat se soit détourné de ces menteurs patentés ? Affirmer que l’Empire ait quoi que ce soit à voir avec ces fermetures est absolument scandaleux. Ces médias plus que douteux ont creusé eux-mêmes leur propre tombe, dès lors qu’ils ont étalé au grand jour leur duplicité et leur déformation de la vérité. Les lecteurs ne s’y sont pas trompés et leur ont à juste titre tourné le dos, ce qui me permet d’ailleurs de souligner leur intelligence. Toute tentative de manipuler l’opinion est vouée à l’échec, ces pseudos-médias en sont la preuve.

TI : Donc, en aucun cas il n’y a eu de pressions officielles sur des médias, ni chantages ni menaces, comme certains se sont plus à l’affirmer ?

Sa Majesté : Voilà un exemple typique de contre-vérité ! Et nous savons tous deux d’où sont venues ces rumeurs d’interventionnisme étatique. À chaque fois qu’un mensonge a été relayé par les médias contre un officiel de l’Empire, une plainte pour diffamation a été systématiquement déposée. Bien entendu, l’Empire est pour la liberté de presse, mais il est bien évident que celle-ci se doit de diffuser des informations avérées et vérifiées. À chaque fois qu’elle a oublié ce principe, elle en a subi les conséquences. Et je vous rappelle qu’à chaque fois, les cours de justice ont donné tort à ces médias peu scrupuleux.

TI : Je pense que cette mise au point méritait d’être faite. Mais changeons de sujet et venons-en à vous, Votre Altesse. Nous fêtons dans une paire de jours le vingtième anniversaire de la Proclamation de l’Empire, et donc le vingtième anniversaire de votre règne. Une chose m’a toujours sidéré : vous n’avez pas changé en vingt ans ! Que dis-je, en quarante ans et même plus ! Comment fait-on pour être un homme politique aussi intègre, qui n’a jamais dévié du cap, des idéaux qu’il s’est forgés ? Comment avez-vous réussi à éviter l’usure du pouvoir, à ne pas sombrer dans des dérives autocratiques ? C’est remarquable !

Sa Majesté : Je vous avouerais que je n’y ai jamais réellement songé. Toute ma carrière politique n’a visé qu’à un seul objectif : être au service du plus grand nombre, améliorer le sort de mes concitoyens. C’est l’idée-force qui me guide et me fait avancer. Si j’étais religieux, ce serait ma doctrine, mon commandement premier. Tout le reste est accessoire et franchement – je me dis parfois « malheureusement » –, l’homme Palpatine ne peut pas vivre. Vivre, c’est avoir des besoins et chercher à les satisfaire, parfois par tous les moyens. Or il est nécessaire, quand on occupe des fonctions importantes, à plus forte raison la mienne, de ne pas laisser sa propre personnalité, ses propres pulsions prendre le dessus sur l’homme politique. Et quand je parle d’Homme Politique, je pense à un terme qui devrait s’écrire avec des majuscules. L’Homme Politique administre les biens publics, par et pour le peuple : il se doit d’être une incarnation de l’État. Il ne peut avoir d’états d’âme.

TI : Vous avez dit que « malheureusement », l’homme Palpatine ne peut pas vivre. Qu’entendez-vous précisément par là ?

Sa Majesté : Si j’agissais simplement en tant qu’homme, un certain nombre de décisions politiques prises par l’Empereur Palpatine n’auraient jamais vu le jour ! Diriger l’Empire me fait sentir le poids de ma solitude, de mes responsabilités écrasantes, à tel point qu’il n’y a de place pour rien d’autre ! Ne me demandez pas quel est le dernier holofilm que j’ai vu, ni quel livre j’ai feuilleté récemment. Car je n’ai le temps pour aucune activité autre que la gestion de l’Empire. C’est pourquoi je trouve parfois malheureux que l’homme Palpatine n’ait pas le temps de vivre. Mais s’il s’y risquait, ce serait au détriment des responsabilités de l’Empereur Palpatine, ce qui serait d’un égoïsme inconcevable !

TI : Vous êtes dans la position d’un homme qui se doit à chaque seconde à son devoir. Il faut une volonté, que dis-je, une force mentale incroyable pour rester fermement campé sur cette ligne de conduite. Comment faites-vous ?

Sa Majesté : C’est paradoxalement assez simple. Je porte le poids et le destin de la galaxie entre mes mains aussi, lorsque le doute m’assaille, lorsque je me demande si je fais fausse route, il me suffit de me souvenir que j’œuvre pour le présent et l’avenir de mes centaines de milliards de sujets. Et je puis vous assurer que dès que cette pensée me vient, toute velléité de faiblesse s’évanouit en moi.

TI : Une dernière question personnelle vous concernant, Votre Altesse. Vous me pardonnerez si elle vous semble déplacée mais, comme vous le savez, la Tribune Impériale n’a pas pour habitude de manier la langue de bois. Vous ne vous êtes jamais marié ni n’avez eu d’enfant, bien qu’il y ait eu un certain nombre de rumeurs à ce sujet. Sans parler de bruits de couloir faisant état de l’existence d’un harem au sein du Palais Impérial…

Sa Majesté : Ces rumeurs sont parvenues à mes oreilles. Elles sont d’ailleurs si ridicules que je ne cherche même pas à lutter contre ! Je ne m’abaisserai pas à rechercher qui colporte de tels phantasmes ! Il n’y a ni enfant, ni maîtresse, et encore moins de harem ! Et vous savez pourquoi ?

TI : Non, mais je suis tout ouïe, Votre Altesse.

Sa Majesté : Parce que je suis marié, et que ma femme est la plus exigeante qui soit. Je ne vis que pour elle, que pour lui apporter le bonheur. Mais malgré tous mes efforts, je me demande si j’y arriverai un jour.

TI : On l’aura compris, Votre Altesse, vous êtes marié à l’Empire ! Et à ce sujet, j’ose vous poser une nouvelle question potentiellement dérangeante : que se passera-t-il à votre mort ? Votre succession est-elle déjà réglée ? Si oui, je présume qu’elle est gardée secrète pour d’évidentes questions de sécurité galactique.

Sa Majesté : J’espère servir encore longtemps mes concitoyens, même si j’atteins aujourd’hui un certain âge. Ceci dit, oui, j’ai dû me pencher sur la question de ma succession, afin de garantir la pérennité de notre Empire. Et je suis heureux de vous annoncer que mes dispositions sont prises concernant ce sujet sensible. Quand le moment de ma disparition sera venu, l’Empire ne s’écroulera pas, mon successeur se révélera. Ceci étant dit, vous avez raison sur un point : son identité ne sera connue qu’à ce moment, pour assurer sa sécurité actuelle.

TI : Je trouve cette nouvelle très rassurante, Votre Altesse ! Merci de nous l’avoir fait partager ! Cet homme sera-t-il un autre vous-même, si j’ose dire, ou quelqu’un de totalement différent ?

Sa Majesté : On peut dire que ce sera un autre moi-même, animé des mêmes nobles intentions. Oui, vous aurez l’occasion de découvrir que nous avons beaucoup de points communs.

TI : Nous avons abordé les thèmes de votre personnalité, et parlé du futur. J’aimerais désormais que nous nous penchions sur le passé. Lors des événements dramatiques qui ont conduit à votre accession au trône, les Jedi ont dévoilé leur vrai visage, un visage tyrannique. On connaît la suite, leur chute et leur disparition. On a même pu constater depuis que toutes les références aux Jedi disparaissent progressivement des archives, comme s’il y avait volonté manifeste d’effacer jusqu’à leur souvenir. Qu’en est-il exactement ?

Sa Majesté : Je ne suis guère à l’aise avec ce sujet. Comme tout un chacun, je croyais fermement à la bonté des Jedi, à leur volonté d’œuvrer pour le bien commun. Hélas, comme je me trompais… Leur trahison m’a broyé le cœur. Ce jour-là, la galaxie s’est retrouvée au bord du gouffre, a été prête à basculer dans l’horreur. Je porterai à jamais les stigmates de cette infamie ; jamais je ne pourrais oublier ce qu’ils ont fait ! Alors oui, je vous l’avoue, j’ai ordonné personnellement que toute trace des Jedi soit effacée des archives. Non pas à cause de ce qu’ils m’ont fait subir – mon cas personnel n’a pas à entrer en compte –, mais à cause de ce qu’ils ont fait subir à la galaxie entière ! Après leur tentative pour prendre le pouvoir, une question primordiale m’a hantée : depuis quand fomentaient-ils leur conspiration ? Était-il possible que pendant tant de siècles, ces soi-disant protecteurs de l’Ancienne République nous ait menti, qu’ils aient perverti la vérité à leur sujet ? En regardant le passé avec cette nouvelle perspective, on a pu se rendre compte que plusieurs fois par le passé, ils avaient pris le contrôle de la République. Mais heureusement pour la démocratie, ils n’ont jamais pu le garder. Donc oui, j’ai ordonné personnellement leur éradication, car à la lumière d’enquêtes très approfondies, il s’est avéré que le pouvoir était leur unique moteur. Faire disparaître tout ce qui les concerne, c’est éradiquer une menace mortelle pour tous les habitants de la galaxie. Oui, pas seulement les citoyens de l’Empire, mais tous les habitants de la galaxie.

TI : Je vous prie de me pardonner si j’ai pu raviver des souvenirs douloureux, Votre Altesse.

Sa Majesté : Je vous en prie. Nos petites personnes ne sont rien face à la vérité, qui doit triompher quoi qu’il arrive et quoi qu’il en coûte.

TI : J’aimerais aborder un autre sujet avec vous, Votre Altesse. C’est le sujet phare de votre règne, une préoccupation de tous les instants qui a même démarré avant la création de l’Empire. Je parle bien entendu de la sécurité. Des personnes malintentionnées affirment que c’est vous-même qui, en tant que Chancelier de l’Ancienne République, avez laissé l’anarchie et la guerre civile se propager dans la galaxie, et que lorsque la situation est devenue ingérable, vous en avez profité pour prendre le pouvoir et créer l’Empire Galactique. Que pensez-vous de ces accusations ?

Sa Majesté : Encore une fois, nous avons là affaire à une contre-vérité élémentaire ! Vous le savez, j’avais la passion de la République, je croyais fermement en elle. Qu’elle serait éternelle… Je mesure aujourd’hui à quel point j’étais naïf à ce moment. Je voulais tellement croire en la République que je me suis voilé la face. Je me suis menti à moi-même, en la voyant toujours plus belle qu’elle ne l’était. Je n’avais pas mesuré à quel point la corruption avait gangrené tout le système.

TI : Quand vous avez été élu Chancelier, vous aviez affirmé vouloir lutter contre cette corruption et contre l’appareil bureaucratique qui menaçait de paralyser la République. Or vous avez échoué : pire, c’est sous votre magistrature qu’a eu lieu la guerre civile avec la Confédération des Systèmes Indépendants.

Sa Majesté : La vérité, vous la connaissez. Mais vous avez raison, il est bon de la rappeler puisque certains continuent de répandre leur fiel. Je respectais profondément la République. Je me suis battu pendant des décennies, en tant que Sénateur puis Chancelier, pour moraliser la vie politique. Si je reconnais avoir commis une erreur de taille, c’est de m’être battu selon les préceptes immémoriaux du Sénat : avec dignité et honneur. Jamais je n’ai donné un coup bas, jamais je n’ai trahi quiconque, jamais je n’ai comploté pour faire avancer ma propre situation. Mais pendant que par mon exemple je tentais de ramener les brebis égarées au bercail, les comploteurs ourdissaient leurs méfaits dans l’ombre. Les gens doivent savoir ceci : la corruption était si généralisée qu’il était impossible de la découvrir ! Tous se couvraient les uns les autres ! C’est la raison pour laquelle la République et moi-même n’avons pas pu anticiper la guerre civile. Les gens de bien – dont j’estime faire partie – ont été manipulés et trahis !

TI : Merci pour ces précisions, Votre Altesse. Donc, à votre corps défendant, voilà la République au bord de l’extinction, avec une guerre civile qui commence. Qu’est-ce qui a alors changé en vous ?

Sa Majesté : Beaucoup de choses, je dois l’avouer. Les masques étaient tombés, et j’ai alors pris réellement conscience que la paix et la démocratie ne tenaient plus qu’à un fil. Alors qu’auparavant j’avais la naïveté de penser que mon exemplarité serait suivie spontanément, j’ai ensuite été contraint de radicaliser ma position. Les nobles valeurs ancestrales de la République devaient être suivies à tout prix. Nous devions repousser par tous les moyens la barbarie qui nous menaçait de tous côtés. C’est la raison pour laquelle la Grande Armée de la République a été créée. Je frémis à l’idée de penser que si elle n’était pas apparue, nous serions aujourd’hui tous tombés sous le joug de la pire des tyrannies !

TI : Tous les historiens s’accordent à dire que c’est à ce moment que les fondements de ce qui allait devenir quelques années plus tard l’Ordre Nouveau ont été posés : la paix et la sécurité.

Sa Majesté : En effet. Nous sommes entrés en guerre contre notre gré mais nous n’avons pas eu le choix, forcés par des renégats égoïstes, prêts à sacrifier une galaxie à leurs ambitions démesurées et aidés par les Jedi dévoyés. Si nous voulions que les nobles traditions héritées de nos ancêtres survivent, si nous voulions faire de la galaxie un monde meilleur, nous n’avions pas le choix : nous devions être inflexibles, impitoyables envers les ennemis de la liberté. Et nous l’avons été ! Le conflit a été douloureux, sale. Des millions de gens bien y ont laissé la vie. Mais c’est grâce à leur sacrifice héroïque que nous sommes encore debout aujourd’hui ! Grâce à toutes les forces de nos armées passées et présentes que nous connaissons un nouvel âge d’or, une période de paix et de prospérité qui durent depuis vingt ans déjà !

TI : Je… Euh… Excusez-moi, Votre Altesse, c’est l’émotion. Vous voir ainsi galvanisé quand vous racontez les dures épreuves que vous avez subies me donne envie d’être meilleur, de me surpasser.

Sa Majesté : C’est tout à votre honneur, mon ami.

TI : Votre Majesté, il me reste un dernier sujet à aborder avec vous. Même si j’ai déjà trop abusé de votre temps précieux, je ne peux pas, en tant que journaliste d’investigation dévoué à la vérité sous toutes ses formes, ne pas parler de l’Alliance Rebelle autoproclamée, dont l’importance grandit au fil des années.

Sa Majesté : Cette insignifiante rébellion ne sera bientôt plus qu’un souvenir. Et son importance, comme vous dites, n’est qu’anecdotique.

TI : Elle a pourtant revendiqué beaucoup d’exactions, crimes et autres sabotages ces dernières années, à un rythme qui semble aller crescendo.

Sa Majesté : Balivernes ! Propagande ! De tout temps il y a eu des gens incapables de vivre dans la Paix et l’Harmonie. Lorsque l’Empire a été proclamé, que la paix et la sécurité y ont fait tache d’huile, certains ne l’ont jamais accepté. De misérables groupuscules usant de violence aveugle contre les citoyens de l’Empire ! Pour des raisons de sécurité, je ne peux vous en dire plus, mais sachez que l’Empire veille : en vingt ans, ce sont des dizaines de milliers de ces gangs maléfiques qui ont été éradiqués.

TI : Veuillez pardonner l’impertinence de ma question, Votre Altesse, mais comment se fait-il que ces groupes ont pu se développer alors que les effectifs que l’armée impériale n’ont fait qu’augmenter au cours des années ?

Sa Majesté : Il n’y a là aucune impertinence, mon ami, mais une vraie question de fonds dont je vous félicite. Les Séparatistes, bien que leurs buts aient été ignobles, avaient au moins un courage : celui de se battre à visage découvert. Or les groupuscules dont nous parlons et qui pullulent comme des vermines se battent dans l’ombre, comme les lâches terroristes qu’ils sont. Nos armées ont dû s’adapter à ce nouveau type de menace, ce qu’elles ont fait avec la détermination, le courage et le savoir-faire qu’on leur connaît. Vous avez peur car vous entendez parler de dizaines de groupes séditieux : sachez que parallèlement, ce sont des centaines d’entre eux qui sont démantelés sans pitié.

TI : L’Alliance Rebelle est donc surestimée ?

Sa Majesté : Clairement. D’une part, les Renseignements de l’Armée ont établi que l’immense majorité des attentats revendiqués par cette rébellion est le fait de groupuscules qui n’ont rien à voir avec elle. Ils usurpent son image pour se donner de l’importance. Je ne reconnais qu’une seule qualité à la rébellion : savoir manier la propagande avec brio. C’est seulement pour cette raison que plus d’un citoyen de la galaxie pense que ce misérable insecte est en fait un rancor.

TI : Me voilà pleinement rassuré, Votre Altesse. Il ne me reste plus qu’à vous remercier de votre bonté pour avoir bien voulu m’accorder cette interview. Et je prie pour être encore là dans vingt ans pour vous demander vos impressions pour vos quarante ans de règne !

Sa Majesté : Qui sait, mon ami, qui sait…

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