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Mascarade
  • Titre original Masquerade - X-Wing Rogue Squadron #28 à 31
  • Genre Comic-Book
  • Série X-Wing Rogue Squadron (Vol. 9)
  • Univers Legends
  • Année et période +4 (Empire)
  • Scénariste(s) Michael A. Stackpole
  • Dessins Drew Johnson & Gary Hall
  • Encrage Gary Martin
  • Couleurs Dave Nestelle
  • Couverture Terese Nielsen
  • Synopsis :

    Il y a peu d’activités plus dangereuses que de piloter un X-Wing, mais l’Escadron Rogue ne va pas tarder à découvrir que par bien des aspects, la diplomatie peut-être plus mortelle qu’une flotte de Destroyers Stellaires ! Sate Pestage, l’Empereur par intérim, est en train de perdre le contrôle de l’Empire Galactique et cherche à négocier sa défection auprès de la Princesse Leia, offrant en retour les clés de Coruscant, le Centre Impérial. Mais les agissements de Pestage ont été comme d’habitude anticipés par Isard, qui y voit l’occasion de prendre la tête de l’Empire seule. Un jeu d’échec dont l’issue sera fatale pour le perdant commence à se dessiner, avec dans la balance le destin de l’Empire... et celui de l’Escadron Rogue !

  • Note du staff SWU
     (75 % - 1 commentaire)
  • Note des internautes
     (70 % - 1 commentaire)
     (75 %)

    Scénario

    Wedge et LeiaAu cours des précédentes aventures des Rogues, Ysanne Isard a bougé ses pions sur l’échiquier du pouvoir dans le but de mettre Pestage en difficulté. Cette fois, Stackpole met en place la phase suivante. Pestage, pas dupe de ce qui l’attend, organise carrément sa défection, et bien sûr d’une manière ou d’une autre les rogues y sont mêlés.
    Avec cette histoire, Stackpole gagne réellement en finesse. Il poursuit le jeu des intrigues politiques débuté dans « In the Empire’s Service » en jouant cette fois le sort de l’Empire et non plus d’une seule planète. Cette dimension ne l’empêche pas de placer les manœuvres habituelles sur le terrain : actions, coups d’éclat, et autres coups fourrés. De plus le casting s’étoffe, les personnages qui gravitent autour des héros se développent et avec eux les relations plus personnelles des héros.






    Dessins

    Tycho et Leia ?

    Johnson et Hall ne vous laisseront pas un souvenir impérissable. Tout d’abord, ils oeuvrent dans un style totalement différent de John Nadeau qui est la référence de la série. En soit, ce ne serait qu’un manque de continuité graphique si les deux hommes étaient bons, mais malheureusement leurs dessins sont plutôt moyens. L’un comme l’autre ont un style très dépouillé dans le mauvais sens du terme, c’est à dire avec des représentations des personnages très simplifiées, peu accrocheuses. Les scène spatiales manquent de tout : de détails pour les vaisseaux, d’impression de vitesse, de dynamisme dans l’action, d’effets visuels (lasers, explosions). Elles sont trop statiques et pour cette série, ça ne pardonne pas. L’ensemble manque de consistance et surtout de personnalité, mais on profite tout de même des couvertures excellentes de Nadeau qui laisseront un arrière goût au lecteur de ce qu’auraient pu être ces 4 numéros s’il avait pu les prendre en charge.

    Conclusion

    IsardA l’heure de la conclusion, j’ai envie de dire que le story-arc au récit le plus aboutit de la série est aussi celui aux dessins les moins accrocheurs. J’ai toujours tenté de garder une vision d’ensemble en disant que cette série devait être lu pour les scripts excellents de Stackpole avant tout, les dessins étant en deçà de ce que produira Dark Horse par la suite. En effet, si les dessins peuvent avoir vieillit, dix ans après le aventures des Rogues méritent la lecture pour la consistance qu’elles donnent à la transition entre la chute de Palpatine et l’arrivée de Thrawn.