Vous n'avez pas pu rater la sortie des produits dérivés StarWars en ce début de mois, notamment grâce à nos actualités et à la rubrique Parutions.
Comme tout fan qui se respecte, je faisais mon p'tit tour dans le centre commercial du coin pour découvrir les différents produits sortis cette semaine.
Autant dire que l'overdose est déjà proche... ;-)
Un magasin de téléphonie aux couleurs des films (
vendant un protège-portable en fourrure de wookie !!), l'affiche du film trônant devant toutes les autres au cinéma, et puis dans un célèbre magasin
'agitateur culturel' je trouvais la bande originale, la bande dessinée, les novélisations Presses de la Cité & Junior, les jeux vidéo Episode 3, le making of du film (
livre qui a désormais toute ma convoitise) et...
le coffret DVD de la trilogie originale. Jusque là, rien d'anormal, non ?
Mais là où ça devient intéressant, c'est
la promotion proposée dans cette célèbre chaîne de magasins (
qui commence pas FN et finit par AC, pour ne pas la nommer) sur le coffret DVD. En effet,
à partir du 11 mai et jusqu'au 30 juin,
une réduction de 10 euros est possible pour tout ceux qui iront voir
La Revanche des Sith.
Les modalités n'étaient pas expliquées, mais
un numéro indigo est à appeler pour en savoir plus. D'ici là, nous vous donnerons les détails, pour que ceux ne possèdant pas encore la trilogie en DVD puissent l'acheter
39,99 euros au lieu de 49,99.
[MAJ]
Voici le numéro
Indigo (0,15 euros par minute) à contacter avant l'achat :
08 25 82 27 96.
[MAJ 2]
Une offre similaire est disponible sur
Amazon.fr !
Le fait d'acheter le coffret chez Amazon donne droit à un bon d'achat de 10 €, et le fait d'aller voir ROTS au cinéma donne droit à un remboursement de 10 € supplémentaires !
Pour plus d'infos sur le bon d'achat,
c'est par ici, et pour le remboursement supplémentaire,
par là.
Merci
à Halpheus !
[MAJ 3]
Dans cette course à la promotion, le grand vainqueur est sans conteste le site cdiscount.com, qui lui propose le même coffret à 34,99 euros (sans imposer de conditions particulières).
Mais où s'arrêteront-ils ?
Merci à
Flo Rahl