Informations

IMPORTANT : pour que la participation de chacun aux discussions reste un plaisir : petit rappel sur les règles du forum

L'Envol

Les Fan-Fictions avortées ou à l’abandon depuis plus de six mois sont disponibles à la lecture dans ce sous-forum.

Retourner vers Les Archives (textes inachevés)

Règles du forum
CHARTE & FAQ des forums SWU • Rappel : les spoilers et rumeurs sur les prochains films et sur les séries sont interdits dans ce forum.

Messagepar MasterVega » Lun 06 Fév 2006 - 17:01   Sujet: L'Envol

Voici un petit texte pondu cet après-midi sous le coup d'une idée fugace. J'espère qu'il vous plaira. :)

Neolia III dans la bordure extérieure, une petite sphère verte et venteuse qui tourne tranquillement autour d'un soleil jaune. Moins de trente millions d'âmes dispersées sur d'immenses plaines et des troupeaux de ruminants dix fois supérieurs. Ici, lorsque l'herbe disparaît, c'est pour laisser sa place à des champs de céréales à perte de vue. Une idée de l'infini.
Comme chaque nuit, je laisse glisser mes yeux sur le velours du ciel et je soupire après ces têtes de diamant piquées sur l'étoffe immense. Bientôt je pourrai voguer vers elles. Après tant d'années d'espoir...

Tant d'années...

Petite fille, je me plaisais à nommer les astres, à imaginer quelle vie fantasque ils abritaient. Une reine belle et étrange gouvernait celui-ci, faisant régner paix et concorde. Sur tel autre, une terre de glace bleutée, de placides extraterrestres chantaient les louanges d'aurores boréales sans fin. Et sur celui-là, seul dans son coin de galaxie, les murmures déments d'un sorcier invoquaient des horreurs qui terrorisaient un peuple de petites créatures paisibles, terrées dans de profondes forêts.
C'était ainsi que grandissaient mes rêves d'enfant, se nourrissant de spéculations naïves et des histoires que les conteurs de passage à la cantina du village distillaient aux fermiers du coin. Pendant les premières années de ma vie je galopais loin des terres paternelles, explorant chaque recoin avec une frénésie enfantine mais aussi animée d'un désir de liberté qui faisait de moi une curiosité parmi la communauté. Tout à mes yeux, du val discret au ruisseau maigrelet, recelait un mystère qu'il fallait mettre à jour. Tout se prêtait à la découverte.
Mais très vite les trésors cachés des collines douces qui entouraient la ferme familiale se tarirent et j'aspirai à autre chose. Cette faculté merveilleuse qu'ont les enfants a transcender le réel m'échappait peu à peu. L'horizon familier entre l'azur pâle du ciel et le vert tendre des plaines m'apparaissait comme une étouffante limite, sournoise car suffisamment lâche pour vous donner l'illusion de liberté. Je me sentais comme gorm broutant stupidement son herbe dans un enclos.
J'aurais pu choisir de me payer un vieux XP-38 et de parcourir la planète de long en large mais je savais trop bien qu'il n'y avait rien pour combler ce vide naissant de l'autre côté du globe. Des plaines, des champs, des troupeaux et des légions de moissonneuses automatisées. Des fermes et de mornes paysans.
Il fallait encore attendre. L'enfance toucherait bientôt à sa fin.
L'université fut pour moi comme un avant-goût de l'envol. A la suite de tests particulièrement encourageants, j'intégrai le modeste département d'astrophysique et je déménageai de la petite ferme pour m'installer dans une chambre perchée au sommet d'une tour de cent étages. D'une certaine façon, je côtoyais déjà le ciel.
Ce furent cinq années parfois agréables, souvent sinistres, où j'approchai par la théorie toutes ces merveilles que mes yeux désiraient tant contempler. Je me plongeai dans mon travail avec un abandon total, pour oublier cette glaise urbaine qui me rivait au sol, et j'absorbais le savoir bien au-delà de ce qui était demandé par nos professeurs. J'excellais presque en tout y compris en pilotage où je surclassais allègrement les pilotes de Tie qui venait se dérouiller les réflexes sur les simulateurs de l'Ecole. Du coup, on me proposa l'Académie. Je refusai gentiment la proposition des recruteurs. Plutôt crever ici que voler pour l'Empire.
Andea était une ville triste, un avant-poste où la garnison s'ennuyait ferme et tuait le temps en jouant dans des casinos cheap ou en se saoulant la gueule au comptoir de bars plantés à la chaîne sur les grands axes. Les usines qui ceinturaient la modeste métropole se chargeaient de fournir ce qui était nécessaire à la production agricole, pièces mécaniques, droïds ouvriers, moissonneuses...etc. Souvent je traînais dans les rades à pilotes où se retrouvaient les transporteurs qui alimentaient en fret notre petite Neolia. J'aimais écouter ce qu'il racontaient, toutes ces anecdotes sur la galaxie et ces histoires mouvementées, grossièrement enjolivées sous l'effet de l'alcool ou des drogues synthétiques qui circulaient sous le manteau malgré les législations impériales. Ces types étaient de bons gars, un peu frustes mais attachants. Je voyais dans leurs yeux, à cette heure de la nuit où les regrets leur tenaient compagnie, tous ces désirs inexprimés. Combien parmi eux auraient préféré faire rugir un X-wing au milieu d'une bataille spatiale et défier les pilotes de l'Empire, échangeant leur vie trop tranquille contre un rush d'adrénaline et une gloire éternelle ? Presque tous sans doute.
Ma silhouette de jeune fille dynamique présentait l'avantage d'attirer l'oeil et je gagnais gros en dansant deux ou trois soir dans la semaine avec à peu près rien de tissu sur le corps, enveloppée de projections holographiques mimétiques, devant des stormtroopers enthousiastes et des pilotes débordant de joie. Mon père n'en savait bien sûr rien et ma fierté s'accommodait sans trop de mal d'être un objet de fantasmes pour la soldatesque impérial. Gavé, mon compte en banque faisait du lard et je commençais à envisager désormais ce qui appartenait au domaine de l'impensable dix ans plus tôt : l'achat d'un transporteur. Un vaisseau bien à moi. Mon laisser-passer pour les étoiles.

Aïe !

Retour au présent.

Je viens de me lâcher un convertisseur auxiliaire sur le pied et je me retrouve sous le ventre ouvert de mon Gthroc 720, les avants-bras dans la graisse et le câblage. Je tape affectueusement sur la coque. Je t'aime mon bébé !

Retour arrière...

Final du tournoi de Sabacc.

Je suis face à cet officier, ce sombre connard de lieutenant qui me reluque de l'autre côté de la table, engoncé dans son uniforme vert-de-gris. Il faut reconnaître qu'ils sont élégants ces bougres d'impériaux avec leurs jolies bottes cirées et j'en avais déjà croisé un ou deux plutôt mignons. Des nuits sans suite. La culpabilité me tiraille toujours.
Le lieutenant, avec ses beaux cheveux blonds soigneusement tirés en arrière, arbore son sourire d'officier, celui qui proclame haut et fort « j'appartiens à la glorieuse armée impériale, je vais t'écraser et te mettre dans mon pieux à coups de cravache », bref un rictus tout en dents qui a le don de me foutre en rogne. Il triture son jeu comme un professionnel et me regarde sans ciller. Derrière lui sa suite personnelle de sous-off dévoués l'encourage, bande de lèche-pompes répugnants qui me coincerait affectueusement dans une ruelle si la chose était possible. Sauf que ça ne l'est plus depuis que mon patron s'est décidé à protéger sa meilleure danseuse avec un wookie très zélé.
Quoiqu'il en soit, trois heures plus tard je raflais la mise et j'accèdais à la propriété d'un transporteur de Ghtroc Industries de seconde main, un classe 720 savamment bidouillé. Difficile de dire à quel point j'étais heureuse en cet instant. Et comme je savourais le plaisir d'avoir botté le cul de l'Empire. La nuit qui suivit fut mémorable et la cuite digne de l'événement à fêter. J'avais un vaisseau...mon vaisseau.
Quelques semaines plus tard je reçus mon diplôme avec félicitations du jury et discours à la tribune devant les autres étudiants, juchée sur une chaire à répulseurs. J'avais déjà la tête ailleurs et je débitai, je crois, tout un tas de trucs un peu ridicules qui firent rire l'assemblée de bon coeur. De la soirée de fin d'étude, je ne garde que des souvenirs brumeux mais lumineux, comme si ces dernières heures à Andea était le préambule insouciant à la concrétisation de mon rêve.

J'avais 22 ans et je m'apprêtais à naître.

Mon père est heureux comme jamais. Je crois que je ne l'ai jamais vu plus radieux que le jour de mon retour, un peu guindé dans son costume de fête au milieu des ouvriers, des droïds et de la famille au grand complet. Pourtant il sourit avec une chaleur dont je ne l'aurait jamais cru capable. Il me serre contre lui et je sens à cet instant, plus que jamais, que je suis sa fille. Tard dans la nuit, alors que j'erre sous le ciel autour de la ferme, il me semble entendre des pleurs dans sa chambre.

Papa...
Il s'éteint un mois après, alors que je préparais mon départ et tranchais avec un enthousiasme fébrile les derniers liens qui m'attachaient à Neola et à la ferme. Mon père était déjà malade depuis quelques années, jamais guérit de la mort de ma mère et j'aime à croire qu'il repoussa son trépas jusqu'au jour de mon triomphe. Homme peu démonstratif en amour, mon père avait cette qualité qu'on appelle le dévouement.
L'heure approche. Je referme le compartiment ventral du moteur bâbord et j'ordonne à mon astromec de faire un check complet des systèmes vitaux de l'hyperpropulseur. Deux droïds de chargement achèvent de remplir la soute avec les marchandises que je dois livrer sur Tatooine, essentiellement des capteurs d'humidité fabriqués par une société de la capitale. C'est mon premier contrat en tant que transporteur mais aussi mon premier bond dans l'inconnu.
Je jette un dernier oeil sur la ferme alors que je m'élève dans le ciel. Un douleur étrange m'étreint le coeur, la peur de ne jamais revoir les territoires boisés et les champs ouverts de mon enfance. Comme si ces souvenirs pouvaient s'effacer tout à coup. Je souris alors de ma naïveté.
C'est l'envol à présent. Je gagne l'orbite à plein régime, éprouvant la sensation grisante de mes moteurs ioniques trafiqués qui m'arrachent à l'attraction terrestre. Au ventre de ma terre-mère.

Derrière le transpacier du cockpit, la galaxie déploie sa splendeur et me tire des larmes de joie.

Cet envol c'est ma naissance.
Modifié en dernier par MasterVega le Lun 06 Fév 2006 - 18:56, modifié 4 fois.
MasterVega
Jedi SWU
Avatar de l’utilisateur
 
Messages: 148
Enregistré le: 11 Aoû 2005
 

Messagepar Lowie » Lun 06 Fév 2006 - 17:06   Sujet: 

Tiens une petite surprise goûter par Vega : je te lirais ce soir attendant tjs des nouvelles de Sidh Vega dans les Chroniques de la Chute 2 :wink: :) :wink: . Pour FaF je me bloque un jour de cette fin de semaine pour déguster en paix le dernier chapitre,

Lowie.
Maître Lowbacca diplomate FRAG, membre du Comité de Respect des Gungans, a dit : "Forever Ferlus !!!!!"
Lowie
Jedi SWU
Avatar de l’utilisateur
 
Messages: 3687
Enregistré le: 10 Juil 2004
Localisation: Ferlus
 

Messagepar MasterVega » Lun 06 Fév 2006 - 17:16   Sujet: 

J'attends tes impressions avec une certaine impatience. :)
MasterVega
Jedi SWU
Avatar de l’utilisateur
 
Messages: 148
Enregistré le: 11 Aoû 2005
 

Messagepar Darkwilliam » Lun 06 Fév 2006 - 19:59   Sujet: 

Moi aussi je lirai cette fic quand j'en aurai le temps, étant déjà occupé par la lecture de Faces à Faces. :sournois: :wink:
D'ailleurs à ce propos, j'en suis aux deux tiers donc tu devrais avoir un de ces jours le bonheur :D de trouver ma critique détaillée (points positifs et négatifs) dans le topic sur l'Ordre 66. :)
Merlin: Elias, sauras-tu répondre à cette énigme: qu'est ce qui est petit et marron?
Elias: Un marron.
Merlin: Oh putain il est fort ce con!
Darkwilliam
Ancien staffeur
Avatar de l’utilisateur
 
Messages: 7046
Enregistré le: 03 Oct 2004
Localisation: Exilé à Niort
 

Messagepar MasterVega » Lun 06 Fév 2006 - 20:05   Sujet: 

Bien bien ! Merci Monsieur Dark ! :)
MasterVega
Jedi SWU
Avatar de l’utilisateur
 
Messages: 148
Enregistré le: 11 Aoû 2005
 

Messagepar Darth Vilael » Mar 07 Fév 2006 - 8:58   Sujet: 

Je suis passé par là et j'ai lu cette petite fiction qui, bien qu'elle ne soit pas du tout mon genre de lecture habituellement (manque d'action, manque de Sith :wink: ), est malgré tout bien sympathique. :)

Les rêves de cette jeune demoiselle sont très joliment exprimés, c'est comme si elle s'était confiée, partageant avec moi ses espérances les plus secrètes.

Quelques passages suggèrent une pointe d'érotisme,notamment son petit job du soir, ou sa partie de Sabacc avec l'officier impérial. (Enfin, c'est peut-être moi qui ai une imagination très fertile :oops: :wink: ).

Heureusement, le wookie veille ! :D

Et hormis deux ou trois petites fautes d'orthographes, c'est un très joli texte MasterVega. :)

(D'ailleurs ce petit texte, plus le fait qu'on m'a renseigné ta FF "Faces à Faces" comme étant un écrit de qualité, me pousse à te demander de me l'envoyer dans son intégralité par MP, si c'est possible ? :? :wink: ).
"Tant que le possible n'est pas réel, il n'est que distraction."
[FRAG] ( Join the FRAG team now !)
Darth Vilael
Jedi SWU
Avatar de l’utilisateur
 
Messages: 487
Enregistré le: 09 Aoû 2005
Localisation: Belgique.
 

Messagepar Lowie » Mar 07 Fév 2006 - 11:15   Sujet: 

Darth Vilael camarade belge a bien résumé l'attrait de cette FF SW apaisante 8), presque poétique dans sa structure en forme de vagues 8) , sorte de conte d'enfant qui se transforme en belle réalité. Le choix d'une héroïne est bien vu et offre quelques mignonnes scènes érotiques :D face aux lascars de l'Empire. Dreams never end est un de mes titres préférés de New Order eh bien je le calquerais bien sur ton titre L'Envol une libération pour cette jeune fille poussée par son idéal de SW :wink: :) :wink: . Un wookiee garde du corps de l'héroïne c'est l'assurance de faire tenir tranquille les officiers impériaux qui la déshabillent du regard. J'ai bien aimé rentrer dans les pensées de la demoiselle qui sonnent juste. Une petite balade ma foi agréable sur Neolia :wink: :) :wink: , et le passage de l'enfance à l'âge adulte qui transfigure moins son monde est tout à fait vrai, mais cher MasterVega le prix des rêves c'est qu'ils n'ont pas de prix pour la personne qui les fait,

et la qualité de l'écriture est à l'avenant 8) 8) 8) , avec des mots peu usités tel que glaise :wink: ,

Lowie.
Maître Lowbacca diplomate FRAG, membre du Comité de Respect des Gungans, a dit : "Forever Ferlus !!!!!"
Lowie
Jedi SWU
Avatar de l’utilisateur
 
Messages: 3687
Enregistré le: 10 Juil 2004
Localisation: Ferlus
 

Messagepar MasterVega » Mar 07 Fév 2006 - 20:43   Sujet: 

Merci à tous. Je n'avais pas d'autre prétention en écrivant ce récit qu'exprimer un sentiment, mais aussi un choix de vie qui doit être, à mon sens, plutôt fréquent dans cette galaxie. :)

Une petite évocation et rien d'autre. Ca change de mes pavés :wink: !
MasterVega
Jedi SWU
Avatar de l’utilisateur
 
Messages: 148
Enregistré le: 11 Aoû 2005
 

Messagepar Django » Sam 11 Fév 2006 - 19:58   Sujet: 

WAOU!!!!!!!

Voila un texte plein de sensibilité dont la lecture se fait toute seule.

Master Vega, nous raconte les rêves d'une jeune fille qui veut être libre et prendre son envol vers l'inconnu, mais surtout son envie de voyager parmi les étoiles.

Je ne vois personnellement pas de critique à faire.

J'espère que nous aurons droit à une suite pour quelques aventures de ce personnage.

@ plus
Modifié en dernier par Django le Sam 18 Fév 2006 - 12:38, modifié 1 fois.
Django
Jedi SWU
Avatar de l’utilisateur
 
Messages: 678
Enregistré le: 14 Avr 2004
Localisation: boissières - 30
 

Messagepar Darkwilliam » Jeu 16 Fév 2006 - 20:21   Sujet: 

J'ai enfin lu cette courte fan fiction, qui bien que sans action et rebondissements (mais ce n'est pas le but de cet écrit :wink: ) est très plaisante à lire, avec cet excellent style lyrique et riche qui te caractérise MasterVega. :)
Bref, un bon bol d'air frais dans l'univers de la FF Star Wars. :wink:
Merlin: Elias, sauras-tu répondre à cette énigme: qu'est ce qui est petit et marron?
Elias: Un marron.
Merlin: Oh putain il est fort ce con!
Darkwilliam
Ancien staffeur
Avatar de l’utilisateur
 
Messages: 7046
Enregistré le: 03 Oct 2004
Localisation: Exilé à Niort
 

Messagepar MasterVega » Jeu 16 Fév 2006 - 20:35   Sujet: 

Merci Monsieur Dark ! :wink:
MasterVega
Jedi SWU
Avatar de l’utilisateur
 
Messages: 148
Enregistré le: 11 Aoû 2005
 

Messagepar Den » Lun 03 Avr 2006 - 19:16   Sujet: 

alors là, je suis vraiment surpris par cette écrit! Poêtique, rafraichissant et surtout très inspiré, ce récit fait partie des meilleurs du genre. :lol:
Un grand bravo Mastervega
"Vergere m'a appris à embrasser la douleur et à m'y soumettre. J'en ai fait une partie de moi-même, une partie que je ne pourrai ni combattre, ni nier." Jacen Solo
Den
Jedi SWU
Avatar de l’utilisateur
 
Messages: 6134
Enregistré le: 05 Fév 2006
Localisation: Voyage à travers la galaxie...
 

Messagepar MasterVega » Lun 03 Avr 2006 - 19:19   Sujet: 

Tiens, je ne pensais pas que cette courte fic remonterait un jour des profondeurs ! :D

Merci Den pour tes commentaires et tes talents d'archéologue... :D
"Les Siths n'étaient pas des bâtisseurs. Ils ne savaient qu'anéantir.
Leurs oeuvres ne furent que vent et poussière."
Maître Sidh Vega à son élève Damaya
MasterVega
Jedi SWU
Avatar de l’utilisateur
 
Messages: 148
Enregistré le: 11 Aoû 2005
 

Messagepar Den » Sam 08 Avr 2006 - 11:34   Sujet: 

:lol: De rien de rien :lol:
Hum... je viens de me découvrir une nouvelle passion! l'archéologie!
Désormais, je vais déterrer les vieilles fanfictions de ce forum! :idea:
8) ouais, Den l'archéologue...
:x oups, je crois que je vais prendre mes cachets moi!
"Vergere m'a appris à embrasser la douleur et à m'y soumettre. J'en ai fait une partie de moi-même, une partie que je ne pourrai ni combattre, ni nier." Jacen Solo
Den
Jedi SWU
Avatar de l’utilisateur
 
Messages: 6134
Enregistré le: 05 Fév 2006
Localisation: Voyage à travers la galaxie...
 


Retourner vers Les Archives (textes inachevés)


  •    Informations