L'Etoile de la Mort était le nom de la deuxième station spatiale de combat construite sous le règne de l'Empereur Palpatine. Suite à la destruction de l'Etoile Noire, l'Empereur, furieux, ordonna sur le champ la construction d'une seconde station, beaucoup plus destructrice que la précédente. La haine que vouait désormais Palpatine à l'Alliance Rebelle motiva la mise en chantier extrêmement rapide de l'Etoile de la Mort, seul outil capable selon lui de détruire la rébellion une bonne fois pour toutes.

L'Etoile de la Mort était plus imposante encore que l'Etoile Noire. D'un diamètre de plus de 160 kilomètres, elle avait une conception similaire à son ainée, mais en plus grand. Réacteur géant d'hypermatiere, énorme réseau de propulseurs à ions et de réacteurs hyperdrive, zone habitable située sous la surface et zone technique dans les profondeurs, réservée au fonctionnement du superlaser. C'est là que l'évolution majeure de l'Etoile de la Mort entre en jeu. Le superlaser fut grandement amélioré. Tout d'abord, il ne fallait plus que 3 minutes standards pour recharger le superlaser, contre 24 heures pour celui de l'Etoile Noire.
L'ordinateur central était beaucoup plus rapide et performant que le précédent. Il permettait ainsi de viser avec une précision remarquable des vaisseaux capitaux en mouvement à très grande ou très faible distance. Les nombreux cristaux amplificateurs situés dans le cratère de tir paraboloïde avaient eux aussi fait l'objet de certaines améliorations, fournissant une puissance de feu supérieure au tir du superlaser pour un afflux d'énergie identique à celui fourni du temps de l'Etoile Noire.

La raison d'être de cette nouvelle arme n'avait qu'un but pour Palpatine : écraser une bonne foi pour toute la rébellion. L'Etoile de la Mort devint donc l'outil principal d'un plan machiavélique que l'Empereur mis en place. Il décida d'utiliser la station de combat comme un appât pour attirer les rebelles au moment et à l'endroit voulu.
En laissant filtrer des informations aux espions bothans sur l'existence d'une seconde station de combat, encore non-opérationnelle, Palpatine lança la partie d'un jeu galactique qui aurait dû le voir triompher sur la rébellion. Pour donner encore plus de poids aux fausses informations, Palpatine laissa lui-même filtrer son agenda indiquant aux rebelles la date de sa présence à bord de la station.

Quand l'information arriva aux oreilles de l'Alliance, l'occasion fournie était trop belle, donner le coup final à l'Empire et à sa tête pensante. Sur la base de ces fausses informations décrivant une Etoile de la Mort non-opérationnelle, le Haut Commandement décida d'une attaque en force autour de la lune forestière d'Endor afin de détruire la station.
Un groupe de commando mené par le général Han Solo devait, avant l'arrivée de la flotte, s'infiltrer à la surface de la lune et saboter le générateur de bouclier afin de rendre la station vulnérable à toute attaque.
Ce n'est qu'à son arrivée près de la station que la flotte rebelle compris le piège tendu par l'Empereur. Le champ déflecteur était toujours présent, une grande partie de la flotte impériale menée par le Super Destroyer Stellaire Executor lui barrait toute porte de sortie, mais pire encore, l'Etoile de la Mort était parfaitement opérationnelle !
Lors de ce qu'on appela par la suite « La bataille d'Endor », la station détruisit 3 vaisseaux capitaux rebelles.
Ce n'est qu'à partir du moment où les rebelles décidèrent de combattre de près les destroyers impériaux que la station cessa de faire feu, pour ne pas détruire sa propre flotte.

Cependant, avec l'aide des natifs de la lune forestière, les Ewoks, les commandos rebelles purent détruire le générateur de bouclier et ainsi permettre aux vaisseaux en orbite d'attaquer l'Etoile de la Mort. Le général Lando Calrissian à bord du Faucon Millénium ainsi que Wedge Antilles au commande de son T-65 X-Wing, réussirent à voler par un tunnel de maintenance, la seule et unique voie assez grande menant jusqu'au coeur du réacteur, et purent détruire l'Etoile de la Mort emportant ainsi l'Empereur, la plupart de sa flotte et des centaines de milliers d'impériaux dans l'explosion.

L'Etoile de la Mort était le nom de la deuxième station spatiale de combat construite sous le règne de l'Empereur Palpatine. Suite à la destruction de l'Etoile Noire, l'Empereur, furieux, ordonna sur le champ la construction d'une seconde station, beaucoup plus destructrice que la précédente. La haine que vouait désormais Palpatine à l'Alliance Rebelle motiva la mise en chantier extrêmement rapide de l'Etoile de la Mort, seul outil capable selon lui de détruire la rébellion une bonne fois pour toutes.

Alors que la construction de l'Etoile Noire avait pris 21 longues années, on estime qu'il fallut uniquement 2 à 3 années aux ingénieurs et travailleurs impériaux pour rendre l'Etoile de la Mort opérationnelle à hauteur de 80% . L'expérience acquise lors du chantier de la première station, les technologies désormais maitrisées ainsi qu'une allocation des ressources humaines et matérielles beaucoup plus importante permirent une construction extrêmement rapide. Autre motivation, et non des moindres, c'est l'Empereur en personne qui supervisait la progression du chantier et Dark Vador rendait fréquemment visite au Moff Jerjerrod, le responsable en place du chantier, le menaçant, lui mais aussi tout son équipage, d'un sort terrible si la station n'était pas prête dans les plus brefs délais. Avec une telle menace au dessus de leurs têtes, les équipes redoublaient d'efforts.
Le lieu du chantier, l'orbite de la lune forestière d'Endor, n'avait pas été choisi au hasard. Ce petit astre n'était que très peu peuplé par des populations autochtones et n'avait jamais été colonisé par les humains de par sa situation sur la carte galactique, loin de toute route commerciale et dans un coin reculé de la Bordure Exterieure. De plus, le système Endor renfermait d'importantes quantités de métaux lourds sur les planètes comme Dor, Meggido et Eloggi. L'endroit était donc parfait pour construire une seconde station spatiale de combat ultra-secrète à l'abri des curieux.
Afin de parer à toute attaque, la station était placée en orbite géo-synchrone, protégée par un puissant générateur de bouclier à la surface de la lune. Le champ généré était suffisamment puissant pour protéger la station ainsi que l'installation du générateur de bouclier. Toute attaque orbitale était donc vaine.

De l'avis de nombreux analystes, il est surprenant que Bevel Lemelisk, l'ingénieur en chef de l'Etoile Noire ait pu survivre à la colère de l'Empereur. Il fut pourtant bien exécuté pour la destruction de la station. Il n'y avait pourtant que lui pour imaginer les plans de la seconde station. Il fut donc cloné en secret par Palpatine qui lui confia lle soin de réparer ses erreurs. Pour remédier dès le départ au crucial problème de l'unique puits d'aération du réacteur central, point faible de l'Etoile Noire, Lemelisk imagina des puits d'aération par millions, mais de taille infiniment plus petite, de l'ordre de quelques millimètres. Cette première amélioration majeure de la station rendait caduque la stratégie utilisée par l'Alliance Rebelle, puisque l'espace pour y envoyer un projectile dans ces minuscules puits d' aération n'était plus suffisant.

L'Etoile de la Mort était plus imposante encore que l'Etoile Noire. D'un diamètre de plus de 160 kilomètres, elle avait une conception similaire à son ainée, mais en plus grand. Réacteur géant d'hypermatiere, énorme réseau de propulseurs à ions et de réacteurs hyperdrive, zone habitable située sous la surface et zone technique dans les profondeurs, réservée au fonctionnement du superlaser. C'est là que l'évolution majeure de l'Etoile de la Mort entre en jeu. Le superlaser fut grandement amélioré. Tout d'abord, il ne fallait plus que 3 minutes standards pour recharger le superlaser, contre 24 heures pour celui de l'Etoile Noire. C'est principalement le nouveau système de refroidissement du réacteur central imaginé par Lemelisk qui put permettre une telle prouesse technique. De plus, le système de visée fut aussi largement revu et corrigé. L'ordinateur central était beaucoup plus rapide et performant que le précédent. Il permettait ainsi de viser avec une précision remarquable des vaisseaux capitaux en mouvement à très grande ou très faible distance. Les nombreux cristaux amplificateurs situés dans le cratère de tir paraboloïde avaient eux aussi fait l'objet de certaines améliorations, fournissant une puissance de feu supérieure au tir du superlaser pour un afflux d'énergie identique à celui fourni du temps de l'Etoile Noire.
La défense de la station, si sa construction avait pu être complètement terminée, reposait quand à elle sur plus de 30 000 batteries de turbolasers, 7 500 cannons lasers, 5 000 canons à ions et plus de 770 rayons tracteurs. Mais uniquement la moitié de ces défenses étaient opérationnelles lors de l'arrivée de l'Empereur sur la station.

La raison d'être de cette nouvelle arme n'avait qu'un but pour Palpatine : écraser une bonne foi pour toute la rébellion. L'Etoile de la Mort devint donc l'outil principal d'un plan machiavélique que l'Empereur mis en place avec les services du Prince Xizor, tête de l'organisation criminelle du Soleil Noir. Il décida d'utiliser la station de combat comme un appât pour attirer les rebelles au moment et à l'endroit voulu.
En laissant filtrer des informations aux espions bothans sur l'existence d'une seconde station de combat, encore non-opérationnelle, Palpatine lança la partie d'un jeu galactique qui aurait dû le voir triompher sur la rébellion. Pour donner encore plus de poids aux fausses informations, Palpatine laissa lui-même filtrer son agenda indiquant aux rebelles la date de sa présence à bord de la station.

Quand l'information arriva aux oreilles de l'Alliance, l'occasion fournie était trop belle, donner le coup final à l'Empire et à sa tête pensante. Sur la base de ces fausses informations décrivant une Etoile de la Mort non-opérationnelle, le Haut Commandement décida d'une attaque en force autour de la lune forestière d'Endor afin de détruire la station.
Un groupe de commando mené par le général Han Solo devait, avant l'arrivée de la flotte, s'infiltrer à la surface de la lune et saboter le générateur de bouclier afin de rendre la station vulnérable à toute attaque.
Ce n'est qu'à son arrivée près de la station que la flotte rebelle compris le piège tendu par l'Empereur. Le champ déflecteur était toujours présent, une grande partie de la flotte impériale menée par le Super Destroyer Stellaire Executor lui barrait toute porte de sortie, mais pire encore, l'Etoile de la Mort était parfaitement opérationnelle !
Lors de ce qu'on appela par la suite « La bataille d'Endor », la station détruisit 3 vaisseaux capitaux rebelles : les croiseurs Mon-Calamari MC-80 Liberté et Maria, ainsi que le croiseur lourd Urjani.
Ce n'est qu'à partir du moment où les rebelles décidèrent de combattre de près les destroyers impériaux que la station cessa de faire feu, pour ne pas détruire sa propre flotte.

Cependant, avec l'aide des natifs de la lune forestière, les Ewoks, les commandos rebelles purent détruire le générateur de bouclier et ainsi permettre aux vaisseaux en orbite d'attaquer l'Etoile de la Mort. Le général Lando Calrissian à bord du Faucon Millénium ainsi que Wedge Antilles au commande de son T-65 X-Wing, réussirent à voler par un tunnel de maintenance, la seule et unique voie assez grande menant jusqu'au coeur du réacteur, et purent détruire l'Etoile de la Mort emportant ainsi l'Empereur, la plupart de sa flotte et des centaines de milliers d'impériaux dans l'explosion. Cela devait être la plus grande victoire de l'Empire sur la rébellion, ce sera finalement le début de sa fin et la naissance de la Nouvelle République.