
Les Vulkars, comme la plupart des gangs, étaient menés par un chef, un leader qui avait sous son commandement un second, des lieutenants, des soldats et des hommes de mains. Toute cette petite société complexe était dirigée par
Brejik, à l’époque où la galaxie était secouée par les Sith du seigneur
Dark Malak. Bien que composé majoritairement de Niktos, le gang se composait également de quelques Twi’leks, Humains ou Drovians.
À l’époque des guerres Mandaloriennes, le gang était dirigé par Benno jusqu'à ce qu’un ancien membre des
Beks cachés, un gang rival, ne prenne le pouvoir. Brejik avait quitté les Beks cachés devenus trop mollassons à son goût. Il avait entraîné avec lui tout un groupe de malfrats tout aussi mécontents que lui de la politique de Gadon Tek, le leader des Beks. C’est avec Brejik que les activités du gang gagnèrent en cruauté. Avec cette nouvelle politique, les Vulkars ne se contentèrent plus d'amasser les gains sur les courses de fonceurs, ils se lancèrent dans le trafic de drogues et le commerce d’esclaves.

À l’époque où Benno contrôlait encore le gang, certains de ses soldats avaient appréhendé le padawan fugitif
Zayne Carrick et son compagnon
Marn Hierogryph avant de les relâcher grâce aux talents de négociateur de ce dernier. Les activités du gang gagnant en intensité, Brejik lança également une guerre ouverte contre les Beks cachés et les rues de la ville basse devinrent rapidement le théâtre d’affrontements sanglants.
Bien plus tard, alors que la planète subissait un blocus de l’armée Sith, les Vulkars capturèrent la Jedi
Bastila Shan. C’est alors que
Revan, contrôlé par les Jedi et ignorant sa réelle identité, décida de la sauver à l’aide de
Carth Onasi. La jedi fit donc l’objet d’un pari de course de fonceurs que Revan finira par gagner. Brejik, fou de rage, soupçonna une tricherie et déclencha une bagarre. Le chef des Vulkars noirs y trouva la mort avec ses hommes. Quant au reste du gang, tout porte à croire qu'il a succombé au bombardement orbital de
Taris ordonné par Dark Malak.