
- Genre Comic Junior
- Série La Haute République - Les Aventures (Phase II)
- Univers Officiel
- Année et période -482 (Haute République)
- Scénariste(s) Claudia Gray
- Dessins Fico Ossio
- Couverture Thomas Fowler & Bill Crabtree
- Note du staff SWU
- Note des internautes
Sur l'ancienne planète d'Angcord, la Force fonctionne de façon mystérieuse...
Lorsqu'un duo deux Jedi arrive sur ce monde mystérieux à la recherche d'anciens artefacts de Force, ils découvrent rapidement davantage que ce pourquoi ils étaient venus.
Mais quelle est cette mystérieuse "Pierre Écho", et que signifie son existence pour la survie perpétuelle de ceux qui considèrent Angcord comme leur foyer ?
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Numéro one-shot Quest of Jedi, qui finalement est le seul livre qui porte le nom de la Phase II, propose de remonter encore plus loin dans le passé. Cette fois nous nous intéressons à l’origine des sceptres de l'aube et des saisons et leur pierre lumineuse.
Ce numéro réussit le pari de nous introduire de manière efficace (et sublime via des dessins aussi puissants que nos jedi) une quête remontant aux origines de la Haute République. Il met en scène le jedi légendaire Barnabas Vim et sa padawan, en mission sur un monde reculé ayant joué un rôle dans les guerres Sith des siècles plus tôt.
Bien que le temps de ces quelques pages, on nous assène la morale habituelle sur la dichotomie de la Force, on reste attentif au devenir d’un fameux artefact. En effet cette histoire offre un trait d’union entre la création de la pierre de contrôle des nameless (et donc logiquement des nameless eux-mêmes ?) et les bâtons qu’on a pu voir dans les phases I et II. C’est dommage car ce comics va rajouter une étape qui épaissit le mystère au lieu d’y répondre totalement enfin.
Pour ceux au fond de la classe les nameless ce sont ces fameuses créatures qui mangent du jedi au petit déjeuner pendant la Haute République.
Enfin c’est chipoter de ma part car l’histoire proposée tient véritablement la route, les héros sont attachants, on en apprend plus, et côté dessins que ce soit la technologie qui est détaillée, les combats qui sont dynamiques ou la colorisation qui punch, on n’a vraiment pas à se plaindre !
Autant vous dire que je vous recommande grandement ces quelques pages qui écarte un peu le voile sur les mystérieux nameless.