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darkfunifuteur a écrit:De même pour le "mon capitaine" p56 ?

Ah non, là justement, l'usage est le bon. C'est Gideon qui s'adresse à Meeko.

Pour la file indienne, c'est marrant parce que j'ai justement corrigé une autre occurrence il y a peu et ça m'avait fait penser à toi. Celle-ci m'aura échappée. M'enfin, ça n'a rien de bien méchant, heureusement.

Lucas se revendiquant des westerns...
on devrait proposer la "file tusken" pour l'immersion sémantique

Oui, le rapport hiérarchique est le bon mais je demandais aussi, pour le coup, si ils avaient cette nuance en V.O :
Capitaine/mon capitaine.
Est-ce qu'ils diraient quelque chose comme "my commander" ?
Et sinon, est-ce à la discrétion du traducteur de donner du mon ?

Dis Funi, il me semble qu'il existe un topic pour parler traductions...
Ici on va rester sur le livre en lui-même et les impressions qu'il suscite, merci !

Comme c'est des questions propres aux erreurs, problèmes, choix de traduction des livres : je les mets dans les sujets associés. Je n'étais pas le premier à le faire et à l'époque les traducteurs ne rôdaient pas ici-bas

darkfunifuteur a écrit:Oui, le rapport hiérarchique est le bon mais je demandais aussi, pour le coup, si ils avaient cette nuance en V.O :
Capitaine/mon capitaine.
Est-ce qu'ils diraient quelque chose comme "my commander" ?
Et sinon, est-ce à la discrétion du traducteur de donner du mon ?

En anglais, lorsqu'on s'adresse à un supérieur on dit juste "Sir" (tu sais, "Sir, yes sir" ), alors qu'en français on DOIT dire "mon [grade du supérieur]". C'est pas une option.

Et le "mon" dans ce cas, ce n'est pas l'adjectif possessif comme quand tu dit "mon vélo", il s'agit de l’abréviation de "Monsieur"... c'est d'ailleurs pour ça que lorsque le supérieur en question est une femme, on ne doit pas dire "mon" devant le grade, juste le grade

(c'est pas moi qui le dit, c'est même marqué là : https://www.sengager.fr/decouvrez-l-armee-de-terre/nos-actualites/top-conseils-pour-sadresser-un-soldat-de-larmee-de-terre)

Pour revenir au roman, est-ce qu'ils ont prévu une suite aux aventures d'Iden? (je joue pas au jeu)

Si tu veux profiter de l'histoire sans jouer au jeu, je te propose cette solution :



Ca m'étonnerais grandement qu'il y ait d'autre contenu lié à l'Escouade Inferno, l'évenement étant passé.

Effectivement
j'y pensais en l'écrivant au "Sir" mais pour le coup je n'en ai pas vu dans les passages en V.O que j'ai consulté.

Ce qui est curieux c'est qu'ils sont plus "collègues" que hiérarchisés et que dans la même discussion, l'une l'appelle "capitaine" et l'autre "mon capitaine" (la première est lieutenant et le second aspirant première classe )

Si tu veux profiter de l'histoire sans jouer au jeu, je te propose cette solution

que je recommande fortement : y a des détails qui connectent SWBF2 à LDJ
d'ailleurs je file pleurer sur le sujet du t6 de Poe

darkfunifuteur a écrit:Effectivement
j'y pensais en l'écrivant au "Sir" mais pour le coup je n'en ai pas vu dans les passages en V.O que j'ai consulté.

Ce qui est curieux c'est qu'ils sont plus "collègues" que hiérarchisés et que dans la même discussion, l'une l'appelle "capitaine" et l'autre "mon capitaine" (la première est lieutenant et le second aspirant première classe )

Ben, y a rien de curieux alors

Lieutenant > Capitaine > Aspirant

le "mon" se donne à un supérieur, pas dans l'autre sens

Capitaine > lieutenant ?
et c'est en réalité un lieutenant-commandant voir plus haut

Les FPS, c'est moyen mon truc, sauf s'il y a une forte histoire/mode solo (et il faut que je change de PC et/ou de console). Je vais jeter un oeil du côté section jeu

Ça dépend du corps d'armée en fait

Dans la navy : Captain > Commander > Lt-Commander > Lieutenant
Dans l'armée : Colonel > Lt-Colonel > Major > Captain

Donc un Lt-Commander de la navy est au dessus d'un Captain de l'armée

Sinon, il y a des encyclos sur les grades de SW

Donc un Lt-Commander de la navy est au dessus d'un Captain de l'armée

euh oui ? je vois pas où tu veux en venir

Sinon, il y a des encyclos sur les grades de SW

par expérience, les auteurs font un peu comme ils veulent.
Dans le cas de ce roman, elle a choisit de coller aux grades de la Navy : lieutenant commander, Senior Lieutenant, Lieutenant JG.
Sandy & co ont mixé les options de traduction : pour certains, ils ont gardé le grade anglais (lieutenant commander = lieutenant-commandant (mais donc qui se fait appeler "commander"/"capitaine" par ses collègues ) et pour d'autres ils ont pris les équivalences : je trouvais cet "aspirant première classe" curieux et je vois qu'en V.O il est Lieutenant Junior Grade.

Gaga, pour SWBF2 si c'est bien la vidéo à la quelle je pense, elle se regarde comme un film
les phases de jeux sont bien scénarisées et prenantes

C'est juste que ça me gave la pinouille sur les majuscules de grade, parce que je sais pertinemment que c'est comme les titres de noblesse, y a pas vraiment de cohérence. Et ce serait bien d'en débattre sur un autre sujet que litté.

C'était plus une question qu'un débat et Louve m'a de suite répondu que ça venait de la charte éditeur

Bon ben decevant.
Alors c'est sur c'est très bien écrit quoique l'auteur a tendance à sauter d'un sujet à un autre de manière pas toujours subtil suivant ce qu'elle a envie de raconter mais ça se laisse très bien lire. Les persos sont super bien caractérisé et ça reste globalement cohérent avec le jeu (on est quand même vachement plus tolérant quand les choses arrivent aux autres que quand elles nous arrivent ). Par contre là où ça peche vraiment niveau cohérence avec le jeu, c'est que Iden soit connue notoirement (sur l'Holonet) comme une traitre à l'Empire, puis que sa réputation soit rétablie (donc quelque chose qui n'a pu échapper aux Renseignements de l'Alliance) alors dans le jeu on lui laisse rejoindre la "NR" sans qu'un des gonz de Cracken ne rapelle qu'elle a un historique d'agent double... Un comble pour une intrigue intimiste dont c'est le seul impact à un niveau "galactique".
Autre point qui m'a géné : Mentor. Si faire revenir un perso de TCW plaira aux fans, le fait d'accoler deux mots apparament anodins, sénateur/trice d'Onderon, aura le don de rapeller aux fans les plus lucides la débilité de TCW et ses incohérences internes, pas forcément ce dont j'ai envie en lisant un roman. Ensuite, il est le seul des Réveurs à survivre. Oui, vous avez compris, tous les persos venant d'autres oeuvres survivent alors que tous ceux qui ont été créé pour le roman meurent. Le coup classique du roman inutile en somme, mais qui se fait bien ressentir avec cette fin du type "tout ça pour ça".
Et l'autre qui parle le Chadra-Fan sans s'en rendre compte, ça fera sourire ou levez les yeux aux ciel à ceux qui ont joué à KoTOR 2 et qui se sont dit "Est-ce que je suis en train de parler à une souris ?"
Taper sur les Réveurs et la logique qui va derrière, c'est un peu facile mais j'ajoute quand même mon grain de sel. Que ces gens là fassent peur à l'Empire admetont (sachant à quel point les Allemands avaient peur des FFI comparé à ce qu'ils étaient réélement). Qu'ils restent une petite cellule solide, efficace et soudée ouais... mais là ils ramassent tous les animaux abandonnés sur les bords des routes et forcément se soupconnent tous entre eux... Ils ont pas de direction claire, pas de vrai noyau dur et ne doivent que leur survie/réussite à un Empire négligent, probablement omnubilé par l'Alliance.
Pari raté de faire quelque chose de moins conventionel pour ce qui est mon troisième roman dans cette continuité... et je sens que je vais calmer le rythme .

Terminé il y a peu.

Très bonne lecture. On est rapidement immergé dans l'univers et ses différents personnages. J'ai beaucoup aimé la mission d'infiltration à la fête qui m'a positivement fait penser aux jeux Dishonored et permet rapidement de montrer les différentes relations entre les personnages.
Et c'est vraiment le point fort du livre. Cette équipe fonctionne, on a envie de connaître plus en détails l'histoire des membres de l'équipe, Iden en tête, et on s'attache très bien à eux. Malheureusement ça s'étouffe un peu pour Del et Hask une fois arrivé chez les rêveurs, tout comme le livre lui-même qui s'enlise un peu dans l'attente du prochain événement déclencheur.

Pas tant un manque d'action, plutôt une drôle de suspension subit par les protagonistes. Quand les 3/4 de l'équipe sont déjà en attente, Iden arrive et se retrouve à ne pas savoir quoi faire en attendant d'être acceptée par les Rêveurs. Drôle de parti pris dans la narration qui affaibli le milieu du livre.

La "révélation" autour de Mentor est bien choisie, mais la ficelle est tout de même grosse tant on sait dès le départ que ce sera révélé juste à la fin. Un suspens un peu artificiel, heureusement rehaussé pour moi par le choix du personnage.

Il n'empêche que ce livre "character-driven" m'a emporté. Après tout c'est souvent ce que je cherche en premier, de bons personnages et des relations qui se construisent au fil d'une aventure. Sur ce point, Battlefront II : L'Escouade Inferno est une réussite indéniable. Pas un livre parfait, ni "le roman Star Wars le plus psychologique" pour faire écho aux autres critiques, mais un diptyque de grande qualité formé avec le jeu du même nom.

80%

un diptyque de grande qualité formé avec le jeu du même non.

Hormis la petite faute j'aime ta conclusion Tout ceux qui ont apprécié la campagne de BF2 doivent lire ce roman.

Oups

Merci

Neow a écrit:Tout ceux qui ont apprécié la campagne de BF2 doivent lire ce roman.

Après je maintiens qu'il vaut mieux lire le roman avant de faire la campagne du JV, sinon dès le début du roman, on sait qu'il y a un des membres qui va y passer^^

Factuellement c'est vrai. Après je n'ai pas trouvé ça très dérangeant. Le personnage est tellement à part et différent du reste de l'équipe que quoi qu'il arrive on s'intéresse à son périple.

link224 a écrit:Après je maintiens qu'il vaut mieux lire le roman avant de faire la campagne du JV, sinon dès le début du roman, on sait qu'il y a un des membres qui va y passer^^

Ca me parait difficile d'échaper à ce genre de spoiler.

quand mon copain a lu le livre il ne se doutait pas du tout qu'elle allait mourir ... et c'était son perso préféré et il était super pressé de la jouer dans le jeu ... c'est raté

Alfred M. a écrit:

link224 a écrit:Après je maintiens qu'il vaut mieux lire le roman avant de faire la campagne du JV, sinon dès le début du roman, on sait qu'il y a un des membres qui va y passer^^

Ca me parait difficile d'échaper à ce genre de spoiler.

Perso je ne suis pas vraiment les news jeux vidéos, donc je l'ai évité et eu la surprise Il faudrait que je fasse la campagne de BFII maintenant, j'ai vraiment accroché au perso de Iden.

Tu vas kiffer !

Je viens de finir le roman hier soir, environs 2 mois après avoir terminé la campagne du jeu. Et clairement, si on a apprécié la campagne, ce roman est un indispensable.

C'est un très bon roman, et personnellement je le considérerai comme bon même sans l'étiquette "Star Wars", au contraire des romans de Clauda Gray, que j'ai adoré, mais l'étiquette "Star Wars" y est pour beaucoup. J'ai l'impression que Escouade Inferno est moins "fan service" qu'un Étoiles Perdues ou Liens de Sang : il fonctionne très bien comme roman d'espionnage/SF sans même l'étiquette Star Wars.


Sinon par rapport au devenir de Seyn quand on a fait le JV avant, je ne suis pas aussi catégorique que certains avis au-dessus.
Je me suis d'abord demandé si elle allait mourir ou au contraire trahir (un classique avec les agents doubles), puis après l'incident de l'école, voir comment ça l'a affectée, je me suis demandé si elle n'allait pas tout simplement quitter l'escouade une fois la mission terminée… pour moi c'était le plus logique, surtout que les monologues d'Iden insistaient bien sur le fait qu'elle n'était pas prête à faire ce genre de boulot.
Du coup sa mort m'a vraiment surprise… et pas mal affectée, comme je m'étais pas mal attachée à elle.

Au final le personnage a eu jusqu'à 3 portes de sortie différentes, ce qui garde un potentiel de surprise.


Personnellement, je ne suis pas sûre s'il est préférable de lire d'abord le roman, ou de jouer d'abord à la campagne : beaucoup d'éléments du roman ne prennent sens qu'avec le jeu vidéo. Mais il en va de même dans l'autre sens : la campagne est elle aussi très enrichie par le roman.

Terminé hier soir.

Très agréablement surpris par ce roman que je pensais bien plus porté sur l'action étant donné la couverture, la mention de Battlefront II et a lecture de Twilight Company (que j'ai apprécié). Finalement non, on a plus affaire à un récit d'espionnage où la psychologie des personnages est bien travaillée avec de réels dilemmes moraux autant pour les personnages que pour le lecteur. Bref, j'ai beaucoup apprécié les personnages notamment l'Escouade Inferno tout comme les Rêveurs grâce au style efficace de Golden qui retranscrit parfaitement le déchirement de ses personnages. Les liens avec les autres oeuvres sont sympas car bien amenés. J'ai toujours apprécié les histoires de personnages non présents dans les films même quand elles n'ont pas de réel poids sur le destin de la galaxie.
Après je trouve aussi que cela manque de rythme au milieu et plus d'action n'aurait pas été un mal.

J'avais lu la plupart de vos critique avant d'attaquer ce roman. Je savais donc à quoi m'attendre, et pourtant… Ce fut une très agréable surprise !

Je ne voulais pas un roman de guerre, je m'étais préparé à un roman d'infiltration un peu longuet. Et en vérité, bien qu'il y ait quelques longueurs, j'ai tout de même trouvé le rythme très bon. Le découpage est plutôt bien géré et ça permet d'identifier rapidement les différents protagonistes et leur histoires avant de rentrer dans le vif du sujet, sans pour avoir un "ventre mou". En dehors de ça, l'aspect "espionnage" / "infiltration" est un pari réussi, on a quelque chose de crédible, de tendu et de prenant. C'est vraiment plaisant.
J'ai adoré tout les protagonistes principaux et j'ai pris un plaisir coupable à suivre les méchants de l'histoire. Une seule chose sur l'histoire en elle-même qui m'a un peu déplu, c'est les ellipses temporelles ; Vers la fin, on apprend que tout a commencé il y a moins d'un mois, mais avec toute les ellipses ont à presque l'impression qu'un an a passé, c'est peut-être voulu, mais ça m'a gêné...
À noté aussi la très bonne gestion du mystère autour du personnage du Mentor J'ai été vraiment ravi de revoir Lux malgré une fin qui m'a semblé quelque peu expédié (mais bon, comment ça aurait pu se passer autrement après tout...)

Un seul vrai point négatif pour moi, le style. Certains passages m'ont paru vraiment très lourd en détails et en descriptions, ça n'a pas été simple parfois, mais ça reste abordable.

Bref un très bon roman qui me fait penser que si la série Andor joue vraiment sur la corde de l'espionnage, ça peut être incroyable.

Bonjour et désolé de ressortir des tiroirs ce sujet.

Je viens de me l'acheter sur Kindle (12-21) et je pense avoir décelé une petite coquille dès la deuxième page (nom de l'auteur).
On passe de Chrisite Golden à Joe Schreiber

Page 1

Page 2

Si jamais Louve passe par ici

Il doit faire peur ce bouquin…

JediLord a écrit:Il doit faire peur ce bouquin…

Ou alors c'est la version junior

Je note et fais remonter.
Merci !

L’Escouade Inferno de Christie Golden, finito!

L’Empire vient de subir sa pire défaite depuis sa fondation, l’Étoile de la Mort, son arme ultime, a été détruite lors de la bataille de Yavin. Mais l’Empire ne compte pas rester sur la défensive. L’amiral Garrick Versio du BSI autorise la formation d’un groupe d’élite afin de raffermir l’emprise impériale. L’escouade Inferno, composées des meilleurs éléments des Renseignements Impériaux, de l’Armée et du Corps des Starfighters. Leur mission, infiltrer les vestiges de ce que furent autrefois les Partisans de Saw Gerrera et démanteler le groupe terroriste une fois pour toute.

Excellente petite surprise que ce roman (quand bien même j’ai mis plus de trois semaines à le finir, scusez j’ai été pas mal occupé et j’étais pas motivé…). Je tiens à préciser que si j’en connais les grandes lignes, je n’ai pas joué à la campagne du jeu Battelfront II à laquelle ce livre sert de préquelle. Alors un bon point pour le fait qu’il peut se lire parfaitement indépendamment du jeu.

J’ai littéralement adoré le traitement de la psychologie des personnages principaux, qui sont faut-il le rappeler des impériaux (plus pour longtemps n’est-ce pas le jeu?). Sans plonger dans le cliché du nazi de l’espace fanatique à souhait que de nombreux médias Star Wars ont tendance à mettre en avant, le roman nous dépeint une humanisation glaçante et poignante de ces femmes et hommes réalisant la salle besogne impériale. Un soin tout particulier est porté à Iden, personnage principal du roman. Tout en restant une impériale prête à toutes les bassesses pour son régime, elle n’en demeure pas moins humaine tout au long du livre. Énormément aimé les doutes ponctuant le quotidien de chaque membre de l’escouade.

L’intégration à l’univers est l’autre point fort de ce roman. The Clone Wars, Rogue One et bien sûr Un Nouvel Espoir sont ainsi tous intrasèqument liés à l’intrigue. Mention spéciale à Rogue One, la mission des Infernos étant quand même de démanteler les Rêveurs, un groupe de survivants des partisans de Saw, pratiquement anéantis sur Jedha dans le film de Gareth Edwards. Toutes les références faites aux films font qu’on en tire une histoire qui pourrait de fait parfaitement servir de pendant impérial au commando de Rogue One. Une sorte de Rogue Two du côté opposé en sorte.

On appréciera également justement le développement des partisans et de leurs convictions avec des profils tous plus variés les uns que les autres.

En bref, très bonne surprise. Très bon roman à recommander aux fans des impériaux. Et bien sûr VIVE L’EMPIRE!

Save the Rebellion! Save the Dream!

Les +:

—Le développement des membres de l’escouade Inferno.

—En particulier celui d’Iden.

—La bureaucratie impériale.

—L’infiltration au sein des Rêveurs.

—L’action et les moments intenses.

—C’est parfaitement lié à Rogue One.

—Le retour d’un personnage de The Clone Wars.

—Enfin le retour dans le canon des forces spéciales impériales!!!

Les —:

—Enfin les forces spéciales font plus CIA (BSI/Imperial Intelligence) pour le coup…

—Gideon ne bénéficie pas du même niveau de développement que ses collègues.

—Pas mal de longueurs.

—Tout ça pour ça finalement?

Note: 85%

JediLord a écrit:
Les —:

—Enfin les forces spéciales font plus CIA (BSI/Imperial Intelligence) pour le coup…

Normal c'est une unité d'élite du BSI, et regarde bien leur tenue c'est la même que les agents comme Kallus mais en noire.

Dark Servatos a écrit:

JediLord a écrit:
Les —:

—Enfin les forces spéciales font plus CIA (BSI/Imperial Intelligence) pour le coup…

Normal c'est une unité d'élite du BSI, et regarde bien leur tenue c'est la même que les agents comme Kallus mais en noire.

On m’aurait menti sur la marchandise…

Ça reste quand même une force opérationnelle inter-service d’une certaine façon avec Seyn qui vient du Renseignement Naval, Iden et Gideon viennent du Starfighter Corps etc.

Question aussi, vu que Garrick est au BSI, j’ai pas compris pourquoi il avait le rang d’amiral. Je pensais qu’ils avaient leurs propres structure de rangs indépendante de celles de la Marine et de l’Armée ainsi que des stormtroopers.

JediLord a écrit:
Question aussi, vu que Garrick est au BSI, j’ai pas compris pourquoi il avait le rang d’amiral. Je pensais qu’ils avaient leurs propres structure de rangs indépendante de celles de la Marine et de l’Armée ainsi que des stormtroopers.

Certain officier du BSI faisait la liaison avec la Marine comme Garrick.

Du coup y en a qui font aussi la liaison avec l’Armée?

JediLord a écrit:Du coup y en a qui font aussi la liaison avec l’Armée?

Oui très certainement , Blevin dans Andor est accompagné par l'armée de Terre sur Morlana.

Pour moi, le BSI a toujours été inspiré de la SS, un genre d'Etat semi-autonome dans l'Empire.
De ce que je sais du légends, comme les grandes lignes ont été reprises dans le canon :

Ils ont à la fois un rôle de politique et de surveillance (que ce soit dans l'armée, la marine voire les hauts cadres impériaux) mais également ses propres divisions armées, et probablement une flotte personnelle, évoluant en dehors de la structure classique (Le chef du BSI, Sollaine, s'imaginait meme pouvoir récupérer l'Executor comme flagship personnel).
D'ailleurs, le BSI est un organe de la COMPNOR, qu'on pourrait rapprocher du Parti Nazi, dans Star Wars.

Elle a aussi un rôle de contre-pouvoir avec les renseignements impériaux, surtout après la trahison d'Armand Isard. Même si par la suite, Ysanne a pu reprendre la main sur eux en faisant des membres de l'Ubiqtorate (d'ailleurs canonisé dans le roman Tarkin) ses propres pantins.