Re: [En cours] Traîtres
Posté: Dim 20 Oct 2013 - 14:44
Lu chapitre 1
je suis longue à lire, je saiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis
L'histoire m'intrigue beaucoup
perso je ne mettrais pas les distances. je mettrais "proche de", " tout près", "trop près"...
Je trouve qu'on n'a pas assez de référence aux distances dans SW alors je prendrais pas le risque d'en mettre
un saut de ligne entre les deux serait le bienvenu!
idem
je me suis emmêlé les pinceaux avec les descriptions
on parle d'Eckard puis du l'homme inconnu, puis on revient subitement à la description d' Eckard, puis au chancelier et enfin à une description de l'inconnu. et les présentations.
je te donne un exemple de réécriture du paragraphe :
" Eckard entra dans le bureau du Chancelier. Sa tenue grise d'officier était parfaitement ajustée de façon à ce qu'elle n'ait aucun plis, ses cheveux bruns étaient impeccablement peignés et il s'était rasé le matin même lorsqu'il avait appris que le chef suprême de la République souhaitait le voir. Il vit qu'un des quatre fauteuils placés devant le bureau du chancelier était occupé par un homme dont il ne pouvait pas voir le visage quand il entra dans la pièce.
« Excellence. » dit le capitaine en inclinant légèrement la tête.
Le chancelier regarda le nouvel arrivant. L’homme le plus puissant de la République se trouvait assis derrière son bureau, vêtu d'une somptueuse robe rouge bordeaux assortie aux couleurs de la pièce.
« Capitaine Lorn, je vous en pries asseyez –vous »
A la demande du chancelier, Eckard s'assit
« connaissez-vous l'homme assis à côté de vous ? » demanda-t-il ensuite.
Eckard observa rapidement l'homme installé à côté de lui. Il portait une robe sombre mais élégante. À première vue, il lui aurait donné une quarantaine d'années standard mais les rides aux coins des yeux trahissaient un âge plus avancé."
Là on fait Eckard et sa description, ah il y a un inconnu, salutation, description du chancelier, connaissance de l'inconnu et de sa description.
tu vois ? faut suivre le fil rouge comme dis Mitth'
on s'en rend pas trop compte quand on écrit, on est tellement dedans... moi aussi je dois faire ce genre de maladresse.
je lis la suite plus tard !
je suis longue à lire, je saiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis
L'histoire m'intrigue beaucoup
s’immobilisa enfin à environ trois kilomètres de son adversaire républicain...
La frégate ennemie n’était plus qu’à une petite centaine de mètres de l’Intact...
perso je ne mettrais pas les distances. je mettrais "proche de", " tout près", "trop près"...
Je trouve qu'on n'a pas assez de référence aux distances dans SW alors je prendrais pas le risque d'en mettre
- On attend d’être sûrs de savoir ce qu’il veut. » répondit le capitaine.
Plusieurs heures passèrent sans que rien ne se passe.
un saut de ligne entre les deux serait le bienvenu!
Eckard leva les yeux au plafond pendant que son interlocuteur parlait. Ça n’a aucun sens.
Coruscant : deux jours plus tard
idem
Eckard vit qu'un des quatre fauteuils placés devant le bureau du chancelier était occupé par un homme dont il ne pouvait pas voir le visage quand il entra dans la pièce.
Sa tenue grise d'officier était parfaitement ajustée de façon à ce qu'elle n'ait aucun plis, ses cheveux bruns étaient impeccablement peignés et il s'était rasé le matin même lorsqu'il avait appris que le chef suprême de la République souhaitait le voir.
Ce dernier se trouvait assis derrière son bureau, vêtu d'une somptueuse robe rouge bordeaux assortie aux couleurs de la pièce.
Eckard s'assit et vit l'homme installé à côté de lui. Il portait une robe sombre mais élégante. À première vue, Eckard lui aurait donné une quarantaine d'années standard mais les rides aux coins des yeux trahissaient un âge plus avancé.
« Excellence. » dit le capitaine en inclinant légèrement la tête.
Le chancelier regarda le nouvel arrivant.
« Capitaine Lorn, connaissez-vous l'homme assis à côté de vous ? » demanda-t-il ensuite.
Eckard examina attentivement l'intéressé mais ne sut dire s'il avait déjà vu ou non.
« Non, finit-il par admettre.
je me suis emmêlé les pinceaux avec les descriptions
on parle d'Eckard puis du l'homme inconnu, puis on revient subitement à la description d' Eckard, puis au chancelier et enfin à une description de l'inconnu. et les présentations.
je te donne un exemple de réécriture du paragraphe :
" Eckard entra dans le bureau du Chancelier. Sa tenue grise d'officier était parfaitement ajustée de façon à ce qu'elle n'ait aucun plis, ses cheveux bruns étaient impeccablement peignés et il s'était rasé le matin même lorsqu'il avait appris que le chef suprême de la République souhaitait le voir. Il vit qu'un des quatre fauteuils placés devant le bureau du chancelier était occupé par un homme dont il ne pouvait pas voir le visage quand il entra dans la pièce.
« Excellence. » dit le capitaine en inclinant légèrement la tête.
Le chancelier regarda le nouvel arrivant. L’homme le plus puissant de la République se trouvait assis derrière son bureau, vêtu d'une somptueuse robe rouge bordeaux assortie aux couleurs de la pièce.
« Capitaine Lorn, je vous en pries asseyez –vous »
A la demande du chancelier, Eckard s'assit
« connaissez-vous l'homme assis à côté de vous ? » demanda-t-il ensuite.
Eckard observa rapidement l'homme installé à côté de lui. Il portait une robe sombre mais élégante. À première vue, il lui aurait donné une quarantaine d'années standard mais les rides aux coins des yeux trahissaient un âge plus avancé."
Là on fait Eckard et sa description, ah il y a un inconnu, salutation, description du chancelier, connaissance de l'inconnu et de sa description.
tu vois ? faut suivre le fil rouge comme dis Mitth'
on s'en rend pas trop compte quand on écrit, on est tellement dedans... moi aussi je dois faire ce genre de maladresse.
je lis la suite plus tard !