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MessagePosté: Ven 11 Mai 2007 - 14:22
par Den
Et bien, c'est beaucoup mieux que la première version, je te félicité :lol:
J'ai relevé une ou deux maladresses encore, mais rien de grave! J'aime bien ton histoire en tout cas! :lol:

MessagePosté: Ven 11 Mai 2007 - 16:29
par Gonau Wocou
Qu'y a t'il donc comme erreur dans mon récit, Ô Den, mon plus fervent supporter^^?

J'attends vos critiques!

MessagePosté: Ven 11 Mai 2007 - 17:28
par Den
Aucune erreur gravissime à mon sens, ne t'inquiète pas. :wink:
Au fait, je te félicite pour la longueur de ta ff cette fois-ci! 8)

MessagePosté: Ven 11 Mai 2007 - 17:30
par Gonau Wocou
Merci, 5 pages et demi sur Word^^

MessagePosté: Ven 11 Mai 2007 - 20:09
par Minos
Je ne peux qu'approuver Den : la deuxième version de l'histoire est bien mieux que la première...malgré quelques maladresses encore présentes, mais rien de bien sérieux ! :wink:

MessagePosté: Sam 12 Mai 2007 - 12:01
par Notsil
Tout pareil : c'est beaucoup mieux, mais ya encore quelques ptits trucs qui me chiffonnent ^^

MessagePosté: Lun 14 Mai 2007 - 17:38
par Gonau Wocou
J'veux bien reprendre moi! Mais dites au moins ce qui vous chiffone!

MessagePosté: Lun 14 Mai 2007 - 17:41
par Notsil
Bah je te l'ai déjà dit pour ma part ^^

MessagePosté: Lun 14 Mai 2007 - 19:32
par Minos
Pareil ! Tu n'a pas reçu mon mail ?

MessagePosté: Lun 14 Mai 2007 - 22:54
par Den
Moi j't'en ai parlé sur msn :lol:

MessagePosté: Mar 15 Mai 2007 - 8:08
par Gonau Wocou
Mais vous pourriez tous mettre ce que vous en avez pensé et des critiques, un peu plus brèves, pour que tout le monde puisse donner son avis :D

MessagePosté: Sam 19 Mai 2007 - 20:09
par Gonau Wocou
Fic remise à niveau par rapport aux commentaires faits.


Voir post original.

MessagePosté: Dim 20 Mai 2007 - 12:16
par Oiki Ran
Bonjour!!

Voilà, comme tu me l'avais demandé, je te fais ma critique donc accroche toi bien à ton siège et ne cherche pas à me tuer :D ...

D'abord l'histoire en gros est plutôt intéressante, deux amis d'enfance qui fuyent leur monde et se croisent pour une fuite désespérée. Histoire ambitieuse, mais peut-être pas la plus approprié pour une petite nouvelle. Cela aurait été mieux d'approfondir un peu plus leur relation afin qu'on tienne à un peu plus à eux, mais cela signifierait sans aucun doute une nouvelle plus longue et plus élaborée.
J'ai bien aimé la première partie où Kain se fait virer, c'est plutôt inhabituel dans Star Wars que d'avoir une société qui va à la faillite car habituellement c'est le contraire. Autre point positif, le fait de démystifier Alderaan en créant des quartiers peu fréquantables. J'ai moins aimé la partie avec le twi'lek car j'ai eu l'impression que sa coupait l'élant de l'histoire de Kain...De plus, pour des impériaux xénophobes je trouve bizarre qu'ils aient embauché en premier lieu un twi'lek, surtout qu'ils n'auraient jamais pu lui faire confiance. Je les ai trouvé très (trop?) caricaturaux pour moi :D ...Aussi, les chasseurs de primes ont été engagé avant ou après l'ordre d'évacuation. Si c'est avant, ça me va, si c'est après, je trouve ça bizarre car avec l'arrivée de l'Etoile Noire le twi'lek était condamné vu qu'il n'était pas censé écouter aux portes, ou alors ils n'apprécient pas non plus les chasseurs de primes :D .
La fin est brutale, très soudaine, il aurait peut-être été mieux de prolonger les retrouvailles des deux amis. En tout cas, pas de happy end, c'est osé :lol: !

Pour le style, j'avoue n'étant pas le meilleur en orthographe, je n'ai pas repéré de fautes flagrantes donc c'est un plus car ça veut dire que tu as bien pris le temps de tout corriger ou alors tu naturellement doué dans cette matière. Par contre, ce qui me plait moins ce sont des descriptions avec tes phrases courtés qui hachent le tout. Une description doit être calme et fluide, donc des phrases plutôt longues, or toi au lieu d'en faire une belle, tu en fais trois courte avec une utilisation de: Il + verbe...En fait, ce style saccadé s'adapte très bien à une scène de combat, violente ou tout va très vite mais pas à une description. C'est dommage car ça fait oublier que c'est plutôt bien écrit avec une orthographe irréprochable et une bonne recherche du vocabulaire. Il y a quelques problèmes de temps et certaines choses mal dites, mais ça reste minime dans la longueur de ton texte. Tu dois oser faire des phrases plus longues surtout quand tu décris quelqu'un ou un paysage.

Dernière remarque anecdotique: je doute que dans Star Wars on connaisse les cyprès :x !

En résumé, une idée intéressante, honnêtement exploitée mais qui hélas ne donne pas un texte exceptionnel. Seulement, vu ton jeune age, je ne peux que t'encourager à redoubler d'effort car à ton age, j'étais encore loin d'avoir écrit mon premier texte. Si tu le veux, je peux essayer de te donner quelques conseils sur comment d'améliorer ton histoire...

Oiki Ran, le Ktâh ED qui espère que ma critique t'aidera!!

MessagePosté: Dim 20 Mai 2007 - 13:54
par Dark Nazgûl
J'ai pas encore tout lu, mais celles que j'ai lu j'aime bien ! :D

MessagePosté: Mar 22 Mai 2007 - 17:52
par Gonau Wocou
Avis à Maître Ran, j'ai revu ma fan fiction en suivant tes conseils, aussi je l'ai "mise à jour" et te demande, te prie, de me donner ton avis, poursavoir si c'est mieux?

MessagePosté: Jeu 24 Mai 2007 - 19:00
par Notsil
Héhé, c'est qu'il y a du progrès ^^

Ce jeune humain était un brave type, mais il arrivait trop souvent en retard. Ce n’était pas pour cela qu’il allait être licencié : Kain était maladroit.


Perso, je virerai le bout en gras, ça casse un peu le truc : en retard et maladroit ça suffit ^^ Sinon on sent le patron qui se cherche une excuse pour licencier un type qui fout rien ^^ En même temps, à la rue car maladroit ^^
J'aimerai pas bosser dans ta boite plus tard ^^

un jeune Twi’lek à la peau bleue et jeune recrue impériale

En passant....

Malheureusement ils s’étaient perdus de vue lorsque Jyo’dee voulut s’engager dans les rangs impériaux.

Niveau conjugaison, ça serait "avait voulu" je pense.

il était vraiment hors course.

Après plusieurs minutes de course

Si on chipote ^^

Cependant, il mourrait sur une question où il trouva vite une réponse

Heu, là, jai du mal à comprendre ta phrase ^^

Valà, très chouette ptite histoire ^^

MessagePosté: Jeu 24 Mai 2007 - 21:44
par Minos
Allez, vu que j'ai posté mon mail de correcteur sadique et psychopathe traquant la moindre anomalie, je peux revenir à des choses plus générales, et faire un résumé de la situation. :D

Première chose, note bien ce que Notsil vient de dire, y'a des choses qu'elle a trouvé que j'avais pas vu, et elle a raison dans ses propos !

Ensuite, il manque encore quelques virgules, ou d'autres sont mal placées. Certains mots ne sont pas encore assez précis, et donc maladroits. Du coup, ça rend quelques phrases bancales, mais rien de bien grave en fin de compte. Et puis il y a quelques répétitions, mais rares là encore.

Pfeuh...pas de quoi détruire un texte, je suis déçu !:lol:

MessagePosté: Ven 25 Mai 2007 - 15:47
par Den
Mon Gonau, je vais pas faire un roman, parce que tout a été dit par Minos, Oiki et Notsil. Cependant: je dois te dire que tu as fait de nets progrès depuis ta toute première version.
Félicitation pour ta ténacité!
Et un grand bravo pour ton histoire :lol:

MessagePosté: Dim 27 Mai 2007 - 17:44
par Oiki Ran
Bonjour!!

J'ai enfin pris le temps de lire la 2e version de ton histoire sur la destruction d'Alderaan et je dois avouer que le style est mieux...Il reste encore quelques petites imperfections, mais je te conseillerais de passer à une prochaine histoire qui devra être meilleure que cdelle-ci, il est important de continuer à progresser :wink: ...

Si tu as besoin de conseils pour ta prochaine histoire, je peux bien essayer de t'aider dans la mesure de mes disponibiltés. Bon courage pour la suite et sors nous quelque chose de grandiose! :lol:

Oiki Ran, le Ktâh ED qui t'encourage à continuer et à toujours faire mieux!!

MessagePosté: Dim 03 Juin 2007 - 19:47
par Gonau Wocou
Pour la énième fois, j'ai corrigé ma fic... J'aimerai avoir l'avis du Conseil, (c'est à dire Den, Minos, Notsil et Oiki Ran) si je peux la mettre sur le recueil?

MessagePosté: Dim 03 Juin 2007 - 21:02
par Minos
Gonau Wocou a écrit:Pour la énième fois, j'ai corrigé ma fic

Et ce qui est bien, c'est que "énième" ça veut pas dire "dernière" ! Nierk nierk nierk...
Quelques petites choses :
Gonau Wocou a écrit:Ce jour là il avait convoqué Salayn Kain vienne dans son bureau.

ça pas être phrase française !
Gonau Wocou a écrit:Le regard dans le vague, Salayn avait les yeux embués par des larmes qui ne demandaient qu’à sortir jusqu’à ce qu’il ne craque.

La phrase est quelque peu bancale à cause de ça.
Gonau Wocou a écrit:...précédés de lacs et de forêts qui terminaient ce paysage idyllique.

Ces deux mots opposés mis ensemble, c'est maladroit.
Gonau Wocou a écrit:Lorsque le bus arriva enfin à son arrêt le chauffeur appuya sur le bouton d’ouverture des portes... de l’avant du bus.

Répétition !
Gonau Wocou a écrit:Jyo’dee, un jeune Twi’lek à la peau bleue et jeune recrue

Re !:P
Gonau Wocou a écrit:C’était impossible à admettre pour Salayn, qui, f ou de chagrin, roula sur le dos.

On se calme sur la barre d'espace ! :D
Gonau Wocou a écrit:J'aimerai avoir l'avis du Conseil, (c'est à dire Den, Minos, Notsil et Oiki Ran) si je peux la mettre sur le recueil?

Me v'là membre d'un Conseil, maintenant ?:shock: Mais pourquoi est-ce que je suis toujours le dernier informé ? :lol:

MessagePosté: Sam 09 Juin 2007 - 13:46
par Den
Et bien, on pourra dire qu'elle a subi beaucoup de correction cette fic, mais on pourra aussi dire qu'elle a vraiment évolué et surtout qu'elle s'est vraiment améliorée!
J'avoue que j'ai lu la toute première version et celle-ci pour comparer et j'me suis pris une sacrée claque! :shock: Le progrès est vraiment palpable! Bravo p'tit gars!

Et voici le second membre du conseil qui post sa critique! Membre du conseil^^ trop d'honneur! :lol:

MessagePosté: Mer 13 Juin 2007 - 17:45
par Notsil
Allez, avec un peu de retard ^^ (faut savoir se faire attendre :P)

Des améliorations, mais quelques petits trucs encore, Minos a bien résumé tout ça ^^

Je trouve la fin mieux dite, notamment la dernière phrase qui claque plus que dans mon souvenir de la dernière version ^^

Bravo pour les progrès ^^

MessagePosté: Mer 13 Juin 2007 - 18:16
par Darkwilliam
Hum, moi aussi j'avais dit que je devais lire ça! :ange: En même temps, avec tous les avis déjà postés et qui semblent se recouper, je me demande si c'est bien nécessaire!
Mais bon, si je trouve le temps... :D

MessagePosté: Sam 16 Juin 2007 - 17:10
par Gonau Wocou
Version 7.2 de ma fic en ligne^^, mesdames et messieurs, préparez vos commentaires, et vos appréciations pour savoir si je vais pouvoir (enfin la poster) sans soucis sur le topic du recueil...

En plus, une nouvelle fic est en marche et un nouveau chapitre du Wookiee, fic qui touche bientôt à sa fin...

MessagePosté: Mer 04 Juil 2007 - 16:17
par Dark Nazgûl
Bon ben ca va je progresse, j'ai déja fait la moitié ! :D
Mention spéciale pour l'histoire sur Mara Jade et celle sur... l'Ewok :x

MessagePosté: Ven 06 Juil 2007 - 18:49
par Gonau Wocou
Voilà les deux premières parties de la jeunesse de Gonau Wocou, pilote Rebelle lors du règne de l'Empire. Si vous aimez, vous aurez les deux dernières parties!
Au commencement...


Chapitre I:
Embauche et débauches


Je me réveillai pour la énième fois dans ce fichu camp d'entrainement. Engagez-vous, qu'ils disaient... Tsss... Heureusement qu'il y avait Val'nur pour me soutenir dans les moments durs. Deux ans passés dans ce camp, avec traitement à la dure, mais nous, Corelliens pur sang, ne craignons pas ces traitements. Mais aujourd'hui, en ce jour béni par toute personne qui, comme moi va sortir de ces tentes pestilentielles et inconfortables. Aujourd'hui, je rentrerai enfin dans la Securité Corellienne.

Je me levai doucement pour ne pas déranger mes compagnons de "chambrée". Je m'approchai de la vitre qui nous servait de miroir pour nous raser. Devant moi, dans la glace, se reflettait le corps d'un jeune homme de 20 ans. Vingt ans seulement, mais je ne voulais pas rester sur la touche en restant traîner dans les bas-quartiers de Corellia. Je me rasait, m'habillait et me dirigeai vers le refectoire, pour prendre le petit déjeuner. Il était encore très tôt et le carillon n'avait pas encore sonner, mais je me décidai à aller aider en cuisine. Nous preparâmes, avec les cuisiniers, un petit-déjeuner normal, pour un jour qui ne l'était pas, du moins pour moi. Le carillon sonna quelques heures plus tard; mes compagnons arribèrent, bien réveillés, surtout Val'nur qui, comme moi, allait devenir un Officier actif.

A dix heures, nous nous dirigeâmes vers le grand bâtiment, où l'on nous remettrait nos galons et nous confierait notre affectation. Val'nur et moi marchions côte à côte, l'un n'osant pas prononcer plus de mots que l'autre. Nous nous assîmes au premier rang, attendant que l'on nous appelle.
Les "A", les "B", toutes les lettre de l'alphabet y passèrent, chaque officiers nouvellement promu frétilant excitation . Vint ensuite le tour des "R". Val'nur tremblai de tout ses membres et tourna la tête vers moi. Je le regardai et revit en lui mon ami d'enfance, au regard curieux et à l'humour si particulier. Je lui donnai une accolade lorsque vint son tour: "Stegi, Val'nur" deux mots qui modifièrent à jamais mon ami. On lui remit ses galons d'officier et on lui donna une affectation: veiller sur les malfrats des bas-quartiers de Coronet City.
Lorsqu'il vint se rasseoir, je me mis ironiquement au garde à vous. Il sourit en un rictus et mon nom rettentit: "Wocou, Gonau". Je me levai, mes jambes en coton, avançai, mes talons claquant sur le sol. J'avais l'impression que l'estrade était à des kilomètres et que dès que j'avançai, elle reculait. J'arrivai enfin au lieu "B", comme nous l'avions appellé, comme "Béni". Je bombai le torse fièrement et sentit que l'on fixait quelque chose sur ma veste. On me remit mon affectation: veiller sur les malfrats des bas-quartiers de Coronet City. La même affectation que Val'nur! Je tentai de refouler mon étonnement et retournai m'asseoir sous les applaudissements habituels des nouveaux promus. Lorsque je m'assis, Val'nur souriait de toutes ses dents et prit la parole, en utilisant sa redoutable "détente Stegi":
J'aurai pu avoir un plus mauvais assistant!



Chapitre II: Deux lumières parmi les ombres

Les bas-quartiers de Coronet City n'était pas les mieux fréquentés, aussi y être affecté me garantissait que j'allai en voir de toutes les couleurs. Mais il fallait que j'effectue mon travail tant bien que mal.
Après la remise de mes galons, une petite cérémonie saluait notre promotion, à moi et à mes collègues, je pris donc un peu de bon temps avec mes amis. Nous repensâmes à nos malheurs et à nos bonhers, à nos boutades et à nos victoires, tant de choses qui faisaient naître en moi un sentiment de nostalgie. Nous bûmes et parlâmes longtemps. Midi sonna bientôt. Je m'approchai de Val'nur, qui se dirigeait vers la cantine pour notre ultime repas dans le camp. Je pris la parole, faisant les questions et les réponses:
-Ca fait quoi d'entrer dans la mythique CorSec? Un sentiment d'honneur et un besoin de justice.

Val'nur qui n'avait jamais été très parlant, asquiesca simplement. Je le regardai encore une fois et le changement qui avait commencé lors de notre entrée dans la CorSec venait de s'achever: Val'nur était devenu un homme, respectuex de ses supérieurs. Où était passé le petit garçon insouciant, au grand sourire charmeur avec qui je courrai dans les champs de son père? Où était mon ami d'enfance? Surement dans une partie de lui, enfouie très profondément, qui attend sagement le retour de son pouvoir, le temps où elle dirigeai ce petit être de chair et de sang.

Nous nous assîmes donc à nos places habituelles. La nostalgie était empreinte dans l'atmosphère, et pour la première fois je comprenai ces recrues qui n'avait pas voulu partir, ces personnes qui voulaient rester dans cet endroit repoussant auquel elles avaient fini par s'attacher et qui était devenu leur maison.
Je mangeai le plat, prenant bien soin de tout déguster, tel un condamné qui prend son ultime repas. je regardai autour de moi. Je vis des officiers pleurer, ne voulant pas abandonner telle ou telle personne, tel ou tel objet. Mas aussi certains rire à des blagues d'amis qu'il ne verraient sûrement plus. Au sein de cette petite armée, l'humanité des officiers contrastai plus que jamais avec la dureté de la guerre. Ce fut comme si le temps s'arrêtait. Le carillon de fin de repas rettentit, pour la dernière fois pour moi. Je me levai apportai mon plat pour qu'il soit lavé et me dirigeai vers la sortie, en compagnie de mon "assistant".
Soudain quelqu'un nous héla: le Brigadier Doband nous appellait , Val'nur et moi. Andra Doband était un homme, ni vieux ni jeune, qui devait avoir la quarantaine mais dont les cheveux grisonnaient déjà. Elancé, de taille plutôt haute et dont le resoect émanait, il était notre supérieur hiérarchique direct.
Je me retournai et me mettai au garde à vous, puis éxecutai un salut bien militare:
-Repos officiers, nous dit-il tout d'abord, je dois modifier vos ordres de mission.
- C'est à dire, demanda Val'nur
-C'est à dire que vous ne devez plus veiller sur les malfrats: vous allez devoir en arrêter un, et cas auquel, le tuer.
-Le... le tuer?! De sang froid, comme ça?! m'écriai-je, effaré.
-Oui. C'est un Rodien, je vous ai envoyé sa fiche descriptive via vos datapads, bonne mission." Sans un autre mot, il tourna les talons, les faisant claquer et partit, les mains croisées dans le dos.

Je pris mon datapad, et regardai la fiche descriptive de l'individu:

Kawik Dazzad
Race:Rodien
Sexe:Masculin
Age: 32 années standards
Taille:1m62
Poids:32kg
Caractéristiques:
-Meurtres en série
-Dealer
-Terroriste
PS de Doband: Un bon p'tit gars quoi!

La remarque du Brigadier me fit sourire. Une photo du Rodien apparue. Je relevai la tête, plus déterminé que jamais et me dirigeai vers le centre de Coronet City avec Val'nur.
Aucun de nous deux n'ouvris la bouche durant le trajet. Arrivés à destination, nous descendîmes vers les profondeurs obscures de la capitale.
Nous avancâmes doucement, très doucement, tentant de nous faire les plus discrets possible. Nous arrivâmes au bar ou le Rodien devait, selon nos sources, se trouver:
"Oradegou Lubrik". Charmant... Nous entrâmes. Un jeune homme voulu nous vendre un bâton de la mort, une drogue très répandue. Nous refusâmes, poliment mais pas trop pour ne pas nous faire remarquer.
Je sentis un coup de coude et tournai la tête vers Val'nur: il avait reperé notre cible. Nous nous dirigeâmes vers lui. Il avait du sentir notre présence car il leva la tête. C'était un Rodien comme les autres,
mais dont une malfaisance émanait. Il prit la parole dans un basique déplorable:

"- Qu'est ce que vous vouloir à Kawik?
-J'ai à lui parler, rétorquai-je simplement.
-Kawik écouter vous.
-Bien... Ca va le commerce?
-Oui, lui aller. Et vous?" Il n'avais pas l'air d'avoir compris ma plaisanterie, ou alors il faisait exprès.
"-Il faudrait que je te parle en privé.
-Kawik... Pas pouvoir! dit-il visiblement embarassé.
-Et pourtant tu vas le faire."
Val'nur se tenait derrière lui et pointait... une bouteille! Il pointait une bouteille sur le Rodien! Celui-ce ne s'en rendit pas compte et cru qu'on lui avait posé une arme sur le coup. Il déglutit avec difficulté et nous suivi dehors.
Mon ami décida de rester à l'interieur, pas trop loin, et de me laisser interroger l'individu.
"-Commençons. Tu vas gentiment nous suivre au commissariat?" Le Rodien prononça quelques mots en Rodien, surement une insulte, mais ne bougea pas.
"-Tu veux que j'appelle Val'nur?
-Chutta.
-Tu joues à ça?
-Chutta. répéta-t-il.
-A tes risques et périles.
-Meurs! hurla-t-il".
Il me sauta dessus et commenca à m'étrangler, puis il sortit un blaster et tira. Je fus touché en plein ventre. Je sombrai peu à peu dans l'inconscience. Je vis seulement Val'nur arriver tambour battant et neutraliser le Rodien avec une arme paralysante.

Le noir envahi bientôt mon champ de vision. Je me senti flotter et en même temps couler. Flotter vers la mort, couler vers l'obscurité. Je ne pouvais bouger. Je me sentis vaguement soulevé. Puis je sombrai dans totalement dans l'inconscience.

MessagePosté: Ven 06 Juil 2007 - 19:03
par Den
Bon, pour commencer, fait attention aux fautes d'orthographe mec, y en a qq une :sournois:
Mais l'histoire est plaisante et bien écrite! On se prend directement d'affection pour Gonau Wocou :lol:
Mais, le tout est un peu court, allez hop, tu nous met la suite :lol:

MessagePosté: Ven 06 Juil 2007 - 19:10
par Gonau Wocou
Pour les fautes, les premiers chapitres datent du début de l'année Quadn j'étais encore un novice... donc... :D :oops:

Allez, rien que pour Den, la suite!

Chapitre III: Promesse et souffrances


La mort.
On la connaît tous
Quand elle ne vous frappe pas
C'est quelqu'un d'autre qui y passe

La mort.
Blessure physique
Cloture des souffrances
Libération de l'âme

La mort.
La fin de tous
Quand on la frôle
On y plonge...

Je flottai. Je volais. Je me sentai libre. Le noir faisait partie de moi et mes souffrances était partie... En surface. Au fond de moi, la blessure de mon incompétence resterait à jamais gravée en moi.
Pour la première fois après dix jours, j'ouvrais les yeux. J'étais dans une cuve bacta. Les instruments qui me mainetnait en vie bipaient et clignotaient autour de moi. De l'autre côté une forme trouble posa une main sur la paroi. Je posai le mienne par-dessus. L'individu recula vivement et se préciptia vers une forme blanche. Cette dernière s'approcha d'une console, du moins supposai-je, et je me sentis aspiré vers la haut.

Quelques minutes plus tard, je m'habillai et retrouvai Val'nur et le docteur Lidis. Cette dernière était le meilleur docteur de cette partie de Corellia et travaillait pour la CorSec. Elle s'approcha de moi et m'ausculta. Elle hocha la tête, pensive et je l'interrogeai du regard:
"-Bien. Vous vous en êtes bien sorti.
-C'est à dire, demandai-je.
-Et bien... Vous pourrez pilotez mes ne pourrez faire d'opéraiton style commandos avant... Six mois.
-Six mois?! m'écrai-je à l'unisson avec Val'nur
-Six mois. Vous pourrez piloter mais battre le record du 100 mètres ou autre n'est pas à l'ordre du jour durant les six mois à venir..."
Je baissai la tête, vaincu. Mon ego et mon orgueil venaient d'en prendre un coup.Deux années d'entrainement pour finir à ça. Un lamentable échec. Je me levai, doucement. Trop doucement pour un jeune homme de mon âge. Val'nur resta sur place, me laissant seul. Abbatu, je sorti de l'enceinte du Quartier Général et pris un taxi pour rentrer chez moi, chez mes parents. Prendre l'air me fit du bien. Arrivé à l'arrêt qui m'intersessait, je payai le chauffeur et commençai à marcher. L'allée de platanes d'Ithor avait couté une fortune à mon père, mais il était riche. Du moins assez pour ça. Directeur d'une grosse usine de fer de Corellia, il alimentait la Corporation Technique pour créer ses vaisseaux. Du coup, il avait récuperé un X-Wing tout neuf qu'il m'avait offert il y avait deux années de cela. Mais l'Empire s'interessait de près à lui. Effectivement, selon des rumeurs mon père, mon propre père, travaillait avec ses chiens de rebelles qui menaçaient officiellement Corellia!

J'arrivai devant notre superbe maison. De style ancien, elle appartenait à ma famille depuis maintes générations. Je soupirai de soulagement de savoir que ma famille avait l'air d'aller bien. Je gravissai les escaliers lorsque une voix familière se fit entendre:
"-Pierran, c'est toi?
-Non maman!
-Gonau!"
Ma mère dévala le hall. Hann Wocou était une femme de cinquante ans avec quelques rides mais un visage enfantin. Sa vue me fit sourire et je me précipitai dans ses bras. Soudain je la sentis faible, triste, elle n'était pas normale:
"-Qu'y a t'il? demandai-je inquiet
-Ton père...
-Oui? continuai-je, mon inquiétude grandissant
-Il n'est pas rentré hier."
Cette révélation me laissa bouche bée. Soit son usine avait eue des problèmes, mais jamais au point de ne pas rentrer. Je regardai ma mère et lui promit d'aller vior ce qu'il se passait. Elle refusa d'abord mais céda.

Je me dirigeai vers mon X-Wing lorsqu'une trille me fit faire un demi-tour. Un tourbillon bleu fonça vers moi et me renversa. Givrer m'attendai. Il était mon unité R2 depuis que je savais piloter. Je le regardai non sans une certaine nostalgie.
Je le fis rentrer dans mon vaisseau, à sa place et décollai, sans faire la check-list. J'aurai assez d'essence et cela me suffisait. Je me dirigeai vers l'usine de mon père lorsque je distanguai un filet de fumée au loin en provenant surement pas d'une cheminée de l'usine. Mon sang ne fit qu'un tour. Poussant les réacteurs à fond au détriment des boucliers, j'arrivai rapidement au travail de mon père... Ou du moins ce qu'il en restait... C'est à dire des cendres et des débris virvoltant au gré des vents. Je crus que mon coeur s'arrêtai de battre. Je me posai et me dirigeai vers des gyrophares. Je trouvai Val'nur et une équipe de la CorSec. Je balbutiai quelques mots qui voulait vagument dire:
"-Mon père, il est vivant?
-Oui. repondit sèchement Val'nur.
-Et... et ton frère?
-Non." Le frère de Val'nur travaillai comme second de mon père. Il n'avait pas eu autant de chance que lui.
"-Désolé... Comment?
-Raid aérien.
-Qui?
-Mercenaires."
Mon ami tourna les talons et se dirigea vers nos supérieurs. A ce moment je n'étais plus l'officer Wocou sur de lui, mais le civil Gonau qui souffrait terriblement. Je me dirigeai vers une ambulance. Je vis mon père sur un brancard et me dirigeai vers lui. Il était terriblement pâle et un instant je crus qu'il avait succombé à ces souffrances. Mais je vis bientôt qu'il respirai, difficilement, mais il réspirait. Des infirmiers vinrent le chercher, et l'emmenèrent dans leur camion-salle d'opétaions. Il en ressortit deux heures plus tard, avec une jambe en moins.
Après ce rude choc, je me dirigeai vers Val'nur qui pleurait sur le cadavre de son defunt frère. Je le regardai, une flamme brillant devant mes yeux. Je mis une main sur son épaule. et le regardai, les yeux dans les yeux.
"Val'nur, je te jure sur mon honneur que l'on trouvera les coupables et qu'on leur fera payer cher très cher..."
Et sur cette promesse, je tournai les talons, plus determiné que jamais, à la recherche d'indice.

Chapitre IV: Rébellion


Je marchai sur les tas de débris qui avaient autrefois constitués une usine, un lieu de travail de braves gens qui étaient maintenant ou morts, ou gravement bléssés. Les cendres virevoltaient autour de moi, giflant la peau de mon visage avant de repartir au gré du vent comme si elle n'avaient jamais existées. On pouvait voir les équipes de secours encore chercher des gens, morts ou vifs; on aperçevait la police à la quête du moindre indice près de l'épave d'un Y-Wing et on pouvait voir des personnes choquées où ayant besoin de soins. Un parfum de mort et de peur flottait au-dessus des ruines de l'usine de mon père.

J'avais l'impression de nager en plein cauchemar. La guerre était vraiment une chose horrible. La mort de centaines d'individus pouvaient avoir des répercussions énormes sur d'autres personnes. Mon regard dérivant sur cette étendue de la mort finit par arriver sur Val'nur. Mon ami d'habitude si confiant et si joyeux tirait maintenant une tête à faire pleurer. Il était abbattu, seul et venait de perdre son frère. Je me mordais la lèvre, ne sachant que faire mais détournai bien vite le regard pour me diriger vers l'épave du Y-Wing. Non loin, un ouvrier de l'usine ayant survécu miraculeusement expliquait aux auotrités que le vaisseau qui gisait devant moi était le chasseur de tête. Donc le Leader, donc le type qui devait avoir toutes les informations concernant ce raid. Montrant mon badge d'Officier de la CorSec au garde de l'épave, je m'approchai de l'instrument de mort désormais écrasé. Le cockpit était séparé de ce qu'il restait des ailes. Il était encore plus ou moins en état, ce qui faciliterait les fouilles. La cabine de pilotage était neutre, sans aucune fioritures. Une tache blanche était incrustée dans l'appuie-tête. Visiblement, le chasseur de tête l'avait perdue... Je trouvai cependant un datapad. Je le ramaissai et essayai de l'allumer. Hélas il n'était plus en état. Datapad en main, j'allai chercher Givrer pour qu'il extraie les données. Le système d'alimentation du datapd était mort, explosé, mais les données étaient encore intactes, mis à part deux, trois dossiers sans importance, jugeai-je à la vue de leur titre.
Givrer me montrait les dossiers sur mon propre datapad, lorsque l'un deux me tapa à l'oeil "Raid Corellia". Le coeur battant je l'ouvrai et découvrai une chose qui allait changer ma vie à tout jamais. Un symbole de l'Empire illustrait ce dossier, avec, en dessous, un texte signé du Diktat lui-même! Un hologramme apparu, une image du Diktat donnant les directives au mercenaire. L'Empire lui-même avait commandité ce raid horrible. J'avais été trahi par un régime en lequel je croyais. Le souffle coupé, je m'effondrai la tête entre les mains. J'avais l'impression d'être déconnecté du monde. Je hurlai mais je n'entendais rien. Je vis Val'nur accourir vers moi te essayer de me retenir dans ma chute. Mais cette chute là personne ne pouvait l'empêcher. Ma déconnection avec le monde s'accéléra jusqu'à ce que je sombre totalement dans l'inconscience.

Je restais dans cet état végétatif pendant plusieurs jours, jusquà ce que je me réveille dans mon lit, entouré de mes deux parents et de Val'nur. J'ouvrais lentement les yeux et découvrai trois visages inquiets. "Empire." fut le premier mot que je prononçai dans ce qui allait être ma nouvelle vie. Val'nur hocha la tête et me répondit:
"-J'ai vu.
- Qu'avez vous vu, vous deux? interrogea mon père.
- C'est l'Empire qui a commandité le raid, dîmes Val'nur et moi d'une même voix.
- Le...? L'Empire?
- Le Diktat plus précisément, continuais-je d'une voix faible."
Mon père regarda alors ma mère les yeux dans les yeux. "Pourquoi?" demandai son regard...
La semaine suivant mon réveil nous apprîmes une horrible nouvelle. La planète Alderaan avait été détruite. On accusait les Rebelles d'avoir commis cet acte horrible, mais j'étais persuadé que l'Empire était derrière tout ça... Comment avaient-ils pû annihiler une planète entière? Cet acte démentiel me fit prendre une décision. Le lendemain, au réveil, je me mis à mon bureau et écrivait UE lettre à l'intention de mon chef à la CorSec. J'irai moi même la lui remettre. Vers le milieu de la matinée, après maints essais, j'avais terminé ma lettre. Je sortais alors et me dirigeai vers les bureaux. J'arrivai devant le bureau de Doband. Je frappai et entrai, après avoir obtenu une réponse affirmative. le brigadier était à son bureau, un cigare dans la bouche, une tête de quelqu'un qui n'a pas dormi et avec une barbe mal rasée. Il leva la tête et son regard s'illumina, jusqu'à ce qu'il voie l'enveloppe que j'avais à la main. Son sourire disparu instantannément:
"-Qu'est ce que c'est?
-Ma lettre de démission.
-Pardon?!
-Les récents événements m'ont décidés.
-Mais... Vous n'allez pas faire le jeu de ces chiens de Rebelles!
-Comment expliquez vous alors le symbole Impérial sur le datapad du mercenaire mort? Et l'hologramme du Diktat?
-Pâles imitations... rétorqua Doband de la sueur perlant sur son front.
- C'est ce que vous dites. Maintenant, tenez, dis-je en lui donnant mon insigne de la CorSec avant de sortir."
Doband avait l'air d'être surchargé et il venait de perdre l'un de ces officiers. Tous les regards se dirigèrent vers moi lorsque Doband se mit à hurler mon nom. Je sortai pour la dernière fois de la Brigade de la CorSec et croisai Val'nur qui lui y rentrait:
"-Gonau! Qu'est ce que tu fais de beau? Une mission.
-J'ai démissioné Val'nur.
-Tu as, quoi?!
-L'Empire ne mérite pas que je me mettes à son service."
Mon ami resta silencieux et je le saluait avant de rentrer chez moi. Je montai dans ma chambre et préparai un message pour l'Alliance Rebelle. Je désirai y rentrer, afin d'écraser l'Empire.

Un mois après avoir envoyé la lettre, je reçus un message d'une certaine Bethra Fenris. Elle me demandai d'aller sur Tatooine via le prochain vol. Chose que je fis. Je m'installai dans le petit cargo où un petit homme à l'air peureux s'installa à mes côtés. Hélas, cet homme était un Lieutenant Impérial qui faillit nous capturer à l'aide de ses acolytes, jusqu'à ce que, aidé par d'autre passagers, je tirai sur les Impériaux. Le vaisseau fit un bref saut Hyperspatial pour enfin atterir sur Tatooine où je trouvai un contact Rodien qui me donna le mot de passe. Nous fuîmes ensemble les Impériaux qui m'avaient retrouvés et il m'emmena dans un vaisseau pour une seule destination: la Rébellion.

MessagePosté: Ven 06 Juil 2007 - 19:18
par Den
Waho, mes désires sont des ordres 8)
Je veux pleins d'argent chez moi dans dix minutes
**attend pendant 10 minutes**
**toujours rien**
bon j'vais lire ton histoire en attendant alors :D
Tout d'abord, excellents ces petits sur la mort :shock:
PAreil pour le passage ou Gonau retrouve sa moman :oops: très mimi!
Par contre, une lettre ça fait pas trop Star Wars ça! Une datacarte ou qqch comme ça aurait fait plus SF
Mais j'aime vraiment bien l'histoire de Gonau Wocou! Un personnage fort sympathique dans une aventure qu'on espère longue^^
Mais j'avoue que la toute fin aurait méritée d'être plus longue à mon avis
**continue d'attendre l'argent**

MessagePosté: Ven 06 Juil 2007 - 19:28
par Gonau Wocou
Merci Den! Pour l'histoire de la carte, ça ne fait peut-être pas trop SF, mais au contraire ça fait plus réaliste! Après tout, un email, ou tout autre chose informatique, ça pourrait être écrit par une autre personne!
Donc je pense que la lettre de démission sur papier comme c'est fait depuis des lustres (enfin, je suppose vu qu'à 13 ans j'ai jamais démissioné^^) c'est plus plausible... Puis pour la suite de l'histoire de Gonau, je l'écris qur un JdR dont je tairai le nom, sinon on va m'accuser de pub!^^

MessagePosté: Sam 07 Juil 2007 - 0:24
par Django
Bien je viens de copier, de lire en corrigeant les fautes d'orthographe. Je viens d'y passer une bonne demi-heure. Je ne sais pas si tu as relu et fait une première correction. Tu te serais aperçu que tu passes de l'imparfait au passé simple tout le temps. tu ne fais pas attention aux accords. Tu devrais te faire relire par quelqu'un avant de poster.

Après ces remarques, je tiens à dire que ton histoire est bien écrite. Elle se lit bien. Je continurai à la lire, mais je te demande de faire une nouvelle fois à l'orthographe car il est trés d'ésagréable de lire un texte plein de fautes.

Allez du courage!!!!!!!!!

@ plus

MessagePosté: Mar 24 Juil 2007 - 16:45
par Gonau Wocou
Non ce topic n'est pas mort, mais après deux semaines de vacances, j'ai aps eu le temps d'écrire... Les idées arrivent...

MessagePosté: Mar 14 Aoû 2007 - 16:14
par Gonau Wocou
Bon, ce fut long, masi tout vient à point qui sait attendre. Mesdames et messieurs, voici...

AS: Il y a des références à trois personnes qui ont lu ce topic: 2, dans un seul nom, et une dernière, facile à trouver. A vous!

Chapitre VII :


« -Vous dites que des Vong sont au-dessus de Gamorr ?
-Tout à fait Capitaine.
-Merci pour l’info, Lieutenant. »
Alpha tourna les talons, après avoir parlé son officier. Finalement, leur laisser du temps libre pour qu’ils vagabondent dans les cantinas et autres secteurs mal famés avait du bon. S’il avait le temps il irait même les imiter, un de ces jours. Quoi que, un vieux croulant dans un quartier mal famé... Alpha chassa ces idées, sombres, d’un coup de main dans le vide. Il regarda la passerelle. Tous ces officiers étaient à bord du vaisseau, et ils s’affairaient à le faire correctement fonctionner. « Ils auront droit à des vacances une fois que nous auront sauvés Asajj, je le jure. » se promit le Clone vétéran. Il s’apprêtait à prendre la parole, lorsque Chewbacca fit son apparition. Les officiers se poussèrent tous pour le laisser passer. De par sa haute taille, le Wookiee dominait toute l’assemblée. Alpha fit signe à ses officiers qu’ils pouvaient, qu’ils devaient, reprendre leur travail, tandis que Chewbacca arrivait à sa hauteur. Ce dernier salua le vieux capitaine et prit la parole :
« - Des nouvelles ?
-Depuis trois mois que nous sommes officiellement dans l’armée Républicaine, seul un de mes officiers m’a apporté une nouvelle intéressante, à l’instant. Il y a des Vong en orbite au dessus de Gamorr.
-Quoi de surprenant là dedans ? Les Vong l’ont envahie voilà plusieurs mois, qu’est ce qui nous prouve qu’Asajj pourrait y être ?
-Rien, mais si on n’essaie rien, on ne la trouvera jamais. »
Le Wookiee poussa un soupir, ou plutôt un râle qu’on aurait pu comparer à un soupir humain. Il regarda son ami puis tourna les talons.

Alpha hésitait à faire décoller le vaisseau. Effectivement, il ne pouvait pas se résigner à envoyer des officiers, pas aussi bien entraînés qu’il le voulait, à une mort quasi-certaine. Que faire ? Il regrettait tellement qu’Asajj ne soit pas là. Il allait partir quand l’officier des communications l’interpella.
« -Capitaine ?
- Oui... répondit-il d’une voix lasse
- Une communication du Commandant Mitsil.
- Mettez la moi dans ma chambre, et que personne ne me dérange.
-Très bien, capitaine. »
Alpha soupira et se dirigea vers sa chambre. Une étrange conversation avec le Commandant l’attendait.

Chewbacca était furieux. On ne pouvait pas faire décoller un vaisseau de la taille du Vif-Argent pour aller combattre les Yuuzhan Vong ! C’était insensé ! Encore bouillant, il décida de sortir de sa cabine. Sur son chemin, tous les officiers du vaisseau se collaient contre les murs ou essayaient au moins de ne pas se trouver sur le chemin du Wookiee, car tous savaient ce qu’il se passerait si jamais, par malheur, l’un d’eux gênait Chewbacca, en colère qui plus est.

Le Wookiee déambulaient dans les couloirs, bien décidé à faire changer Alpha d’avis. Il arriva bientôt devant la porte de la cabine du vieux Clone. Le Wookiee avait entendu la porte se refermer au moment où il arrivait dans le couloir. La porte ne laissait pas place à l’imagination en ce qui concernait ce que contenait la chambre tellement elle était travaillée. De fines dorures ornant la poignée, de superbes moulures et un bois exceptionnel formaient la porte. Alors que Chewbacca allait frapper, il entendit des voix provenant de l’intérieur : celle d’Alpha et d’un inconnu...

« - Bonjour Commandant, commença sèchement le Clone.
-Bonjour Alpha, vous vous doutez sûrement de la raison de mon appel, rétorqua une voix froide dénuée de sentiments.
- Oui Commandant, continua Alpha dont la respiration était saccadée.
- Bien... Sachez que ma flotte viendra vous épauler, je vous transmets les coordonnées du point de rencontre.
- Merci Commandant.
-N’oubliez pas notre marché, Alpha. Mitsil, terminé. »
Chewbacca entendit Alpha soupirer et marmonner quelque chose comme « Merci, Mitsil de pacotille... » avant de se diriger vers la porte. Le bruit grinçant des vieilles roues de la chaise fit comprendre au Wookiee que, s’il ne voulait pas avoir de problème, il devait lever les voiles plus vite que ça. Il s’éclipsa donc dans ses quartiers tout en se remémorant la brève discussion qui venait de confronter « Mitsil » et Alpha. Quelques minutes plus tard, le signal de décollage retentit dans tout le vaisseau puis Alpha fit une annonce. « Nous faisons route vers le système Opoku, dans le but d’aller libérer Asajj et de leur faire payer ce qu’ils ont fait subir à la Galaxie! »

Le vaisseau s’éleva lentement de la plateforme d’atterrissage 11 de Bespin, avant de se diriger vers l’espace environnant la planète. Non loin de là, un homme encapuchonné surveillait la scène, avec un sourire en coin. Après avoir vérifié que personne, Ugnaught, technicien ou autre personne susceptible de nourrir des soupçons contre lui, il décrocha son comlink et composa une fréquence qu’il était le seul à avoir :
« - Ici le Sombre William, le gibier a levé le camp, en direction du piège... »

MessagePosté: Mar 14 Aoû 2007 - 16:47
par bioman
j'ai trouvé, mistil, minos et notsil, et sombre william (plus à présenter :D )

Si tu arrives à caser Bioman dans ta fic, je te donne 50 points :x

MessagePosté: Mar 14 Aoû 2007 - 17:05
par Gonau Wocou
Mouah mais c'est qu'il est fort le Bioman! Est s'il me donnait son avis sur mes récits, on pourrait peut-être voir pour une référence :D

MessagePosté: Mer 15 Aoû 2007 - 1:39
par Django
A quelle histoire correspond ce chapitre 7? La vengeance du Wookie? Afin que nous retrouvions le fil de l'histoire, il serait utile de nous faire un petit résumé des chapitres précédents. J'attend donc ta réponse pour pouvoir copier ce chapitre.

@ plus

MessagePosté: Mer 15 Aoû 2007 - 9:54
par Gonau Wocou
Oui effectivement c'est la suite de la vengeance du Wookiee.

Donc, reprenons:[spoiler pour ceux qui veulent lire, commencez apr le prologue^^] Chewbacca fut sauvé sur Sernpidal par Asajj Ventress et par Alpha, deux héros de la Guerre des Clones, un de chaque camp. Cependant, alors que les héros parlaient, les Yuuzhan Vong abordèrent le vaisseau (renommé Vif-Argent enrférence à celle qui emporta Asajj et Alpha lorsqu'ils furent blessés) et Ventress en fit les fraits en étant capturée. Maintenant, Alpha et Chexbacca tentent d'élaborer un plan pour sauver leur amie...

MessagePosté: Mer 15 Aoû 2007 - 12:20
par Minos
Mitsil, hein ? Rhalala, c'est quoi cette mode de me mettre dans les histoires ?
Mais le perso est pas mal, la preuve :
Gonau Wocou a écrit:-Bonjour Alpha, vous vous doutez sûrement de la raison de mon appel, rétorqua une voix froide dénuée de sentiments.

Là, c'est le côté Notsil...
Gonau Wocou a écrit:- Bien... Sachez que ma flotte viendra vous épauler, je vous transmets les coordonnées du point de rencontre.

Ici, c'est le mien... :ange:

Blague à part, c'est extrêmement trop court ! Un post pour une simple scène, t'aurais pu faire un effort, na ! On n'a pas le temps de s'immerger (enfin, de se replonger) dans l'ambiance de l'histoire, du coup je vois pas trop quoi dire sur le fond. :D
Et t'aurais du faire un topic pour chaque histoire différente pour ne pas nous y perdre. :P

Au boulot ! :D

MessagePosté: Mer 15 Aoû 2007 - 12:24
par Gonau Wocou
Pour ne pas vous y perdre> Rien à foutre, z'avez qu'à suivre, c'est déjà plus simple que un seul topic pour plusieurs auteurs

Courteté> Ben, faut dire que, les dernières scènes seront (en théorie) plus longues, bien plus longues, donc, là c'était vraiment pour rattrapper le retard, me reste plus qu'a faire les derniers chapitres.

Pardonne moi Ô Public adoré pour la courteté de mes récits. Terminé le Wookiee, je m'attelle à une histoire avec de gros chapitres (ce qui veut dire grosse attente :D)

MessagePosté: Mer 15 Aoû 2007 - 12:55
par Notsil
Blague à part, c'est extrêmement trop court ! Un post pour une simple scène, t'aurais pu faire un effort, na !


Yeah, je plussoie, surtout qu'il s'est écoulé 1 mois entre tes 2 derniers posts ^^
Et en plus c'est les vacances, donc tu as du temps pour rien faire et donc écrire :P

MessagePosté: Mer 17 Oct 2007 - 18:27
par Gonau Wocou
Bon, une petite pour la route, et pour que le sujet ne sombre pas dans le Côté Obscur, au contraire du protagoniste de cette histoire courte...

Force, douleur et mort.

An 6 Après la Bataille de Yavin

*« Mesdames, messieurs, un terrible évènement vient de se produire, hurlait la journaliste sur la place du Palais Impérial, l’Empereur est mort, oui il est mort ! La station spatiale qui gravitait autour de la lune forestière d’Endor à bord de laquelle il était a été réduite à néant par les Rebelles. Le peuple est en liesse, le reste en deuil ! Nous sommes dans l’incapacité de vous donner plus de détails à l’heure actuelle.
C’était Mina Toriv, pour la Tribune Impériale… » Elle ne finit pas sa phrase. Derrière elle, l’immense statue de l’Empereur s’était écroulée, et des hommes fous de joie d’être libéré de l’emprise Impériale défiguraient le visage du dictateur décédé. « Endor, me dis-je, c’est pas là où est Papa ? Nan, il doit être sur Endar, ou un truc dans le genre… C’est pas Endor ! »
Le comlink sonna alors, et j’entendis vaguement ma mère demander qui était à l’appareil, puis je l’entendis fondre en sanglot. Interloqué, je me levais de mon pouf et allai dans le hall, où je trouvais ma mère assise, en larmes sur le comlink. Je m’approchais d’elle à pas lents, le cœur battant. Lorsque je fus à sa portée, elle m’embrassa et entre de deux sanglots murmura :
« -Oh, Nad… Mon chéri… C’est horrible…
-Quoi maman ?
-Il… Il est mort ! »
A cet instant, tout devint flou autour de moi. Mon cœur avait cessé de battre pendant un seconde. A 13 ans, mon père venait de me quitter. C’était impossible. Ils avaient dû se tromper ! Papa ne pouvait pas être mort. Non. Non !*

An 13 après la Bataille de Yavin

Je me cogne contre quelque chose. Je me réveille donc, suite à un horrible cauchemar. Le même. Toujours le même. Je vis et revis la journée où mon père est mort. Cela fait sept ans, mais la plaie ne s’est pas refermée. Ainsi, de notre petit appartement familial, où j’ai appris la terrible nouvelle, je me retrouve dans une pièce sombre et malodorante : la chambre d’un vaisseau de transport bon marché. Je me lève et vais m’habiller, tandis qu’une voix métallique détraquée, à la base sensée imiter une voix féminine suave et entraînante, me signale qu’il est l’heure d’aller manger. Alors que je sors de ma chambre, je constate avec émerveillement que nous sommes sorti de l’Hyperespace. Nous sommes arrivés dans le système de Yavin. Je vais pouvoir devenir Jedi, comme ancêtres avant moi. Ma mère est la descendante d’une longue lignée de Jedi, et j’en suis le dernier héritier. Je me dirige vers la salle à manger du petit transport. J’ai pris un Cargo Corellien, piloté par un pilote aventureux et en manque d’argent, le seul qui ait accepté de m’emmener sur Yavin. Je vais devenir un garant de la paix, du moins, espères-je. Après avoir pris mon petit-déjeuner sans piper mot, je me dirige vers le cockpit, excité comme une puce.
« - Bien dormi ? me demande le pilote lorsque je franchis le seuil.
- Oui. On arrive, n’est-ce pas ? enchaînes-je tout de suite.
- Ouais, ouais… T’as intérêt à me donner le blé à l’arrivée. Voler au milieu des restes de l’Etoile Noire, avec un YT… Je m’appelle pas Solo moi… maugrées-t-il. »
Je m’assois à côté de lui, sur le siège du copilote, tout en regardant la planète verte se rapprocher de moi. Soudain, un humain passe devant le cockpit. Cette vision me terrifie, et je fais un bond sur mon siège. Pendant ce temps, le pilote éclate de rire, avant de continuer sa route. Bientôt, nous entrons dans l’atmosphère. L’espace de quelques instants, mon cœur bat la chamade, sachant que je vais réaliser mon destin. Alors, la planète se révèle à mes yeux ébahis. Un havre de paix, d’où dépassent d’étranges pyramides plus ou moins en bon état. Nous nous dirigeons vers la plus haute, la plus grande et la plus majestueuse. Devant elle, une clairière où se trouvent de nombreux vaisseaux. X-Wing et autres cargos en tout genre atterrissent ou décollent. Je ne suis pas seul, mais je serais le meilleur.

Lorsque nous atterrissons, et après avoir payé mon chauffeur, je sors du vaisseau. Alors que je pose le pied sur la planète, la voix du pilote se fait entendre derrière moi :
« -Que la Force soit avec toi, petit. »
Il se retourne alors et ferme le sas. Après qu’il ait décollé, je me retrouve seul. Seul sur cette planète. Je suis angoissé l’espace d’un instant. Que vais-je faire ? Je ne suis qu’un prétendant parmi tant d’autre. S’approche alors un droïd protocolaire doré qui semble vouloir que je le suive. Je m’exécute et me retrouve alors dans un hangar de type Rebelle, hyper sophistiqué et plein à craquer. Le droïd s’arrête au milieu du hangar et, sans se retourner me dit : «Maître Skywalker va vous recevoir incessamment sous peu, ayez l’obligeance de patienter, merci ! » Il s’éloigne alors pour aller à la rencontre d’autres arrivants. Je me retrouve alors seul avec un autre Humain, plus vieux que moi, et un Twi’lek. Je les salue de la tête quand un homme blond jeune et à l’allure détendue vient à notre rencontre :
« -Déjà ? Je ne vous attendais pas si tôt… Je me présente, Luke Skywalker, Chevalier Jedi. Je vais vous initier à la Force, si vous pouvez la maîtriser… » Il ferme alors les yeux, et je me sens mis à nu. Comme si quelqu’un fouillait à l’intérieur de ma tête. Lorsque le Jedi rouvre les yeux, cette sensation disparaît. Il sourit et, sans un mot, tourne les talons. Une fois la surprise passée, mes compères et moi le suivons.

Débutent alors de longs mois et de longs jours d’entraînement intensif. Enfin, un jour, presque un an après mon arrivée, ma vie va basculer.

Jut’kal, Loden, le Twi’lek et l’Humain que j’ai rencontré mon premier jour sur Yavin, et moi, après plusieurs demandes, pouvons enfin aller dans la jungle mystérieuse de la quatrième lune de la grande planète gazeuse. Après être partis, nous avançons dans une jungle épaisse et sombre, avec pour seules preuves que nous ne rêvons pas les cris d’animaux tapis dans l’obscurité. Je ferme les yeux, respire lentement et me plonge dans la Force. J’imagine un lac. Un lac de puissance, une source d’une force inépuisable. Lorsque je rouvre les yeux mes sens sont accrus. Je n’ai plus peur. Je prends la tête de l’expédition et nous marchons. Longtemps. Sans un mot. Hélas, cela ne durera pas. J’entends un bruit sourd, et le gémissement de Jut’kal. Je me retourne, surpris :
« -Qu’est ce que t’as. J’ai… J’ai shooté dans un drôle de truc. (Il se baisse) Par la Force !
- Quoi ? s’exclame Loden
- Ca ! s’écrie Jut’kal en brandissant le casque boueux d’un Stormtrooper. »
La vision de se casque fait revenir à la surface des souvenirs difficilement contenus. Le fait Jut’kal et Loden joue avec me met hors de moi.
« -Lâchez ça. Dis-je, impérieux.
-Qu’est ce que t’as ? T’as peur qu’il vienne récupérer son casque ? rétorque Loden, en s’esclaffant.
- J’ai dis lâche le ! hurles-je alors.
- Oh ! Calme toi, c’est qu’un Impérial. Un foutu Impérial. Je les hais tous. S’emporte Jut’kal. » Je ferme alors els yeux et sent une nouvelle source alimenter mon lac de Force. Une source obscure. Mais puissante. Tellement puissante. Je m’y jettes à corps perdu et rouvre les yeux, ces derniers injectés de sang.
« -Moi aussi je te hais ! rugis-je alors, en me jetant sur Jut’kal, sabre laser activé. »
Je plante la lame d’un bleu métallique dans l’abdomen de ce qui a été mon ami. Il me regarde alors, sans comprendre ce qui lui arrive, avant de s’écrouler, mort. Loden, après avoir hurlé le nom de son ami, me jettes un regard assassin. Avant qu’il ait eu le temps de dire quelque chose, je me dirige vers lui, la lame toujours activée. Je le frappe alors d’un geste brutal, puissant, mais il pare mon coup avec sa propre arme. Je le vise alors à la ceinture et, après qu’il ait paré mon coup; feintes une attaque à sa cuisse, avant de le frapper au cou. Sa tête se détache du corps, avant d’aller heurter le corps du Twi’lek. Aujourd’hui, j’ai gagné. Aujourd’hui, je suis le serviteur du Côté Obscur, et rien ni personne ne pourra m’en empêcher. Personne, que ce soit la Force, la douleur, ou la mort.

MessagePosté: Ven 19 Oct 2007 - 8:17
par Minos
J'ai pas tout compris aux réactions du héros, ni à son rapport avec Endor. Je ne suis pas bien réveillé ou je n'ai pas assez lu entre les lignes ?

Par ailleurs, au niveau du style, pas de soucis, comme d'habitude : c'est plaisant à lire.

MessagePosté: Ven 19 Oct 2007 - 10:21
par Den
Ah, ça faisait un petit temps que j'attendais cette histoire. J'avais eu le plaisir de lire le tout début et j'étais impatient de lire la suite.
Sur le style rien à dire si ce n'est qu'on voudrait que ça soit plus long pour prolonger cette expérience :wink:
Pour ce qui est de la réaction du héros, je dirais que c'est dû à son père. Enfin, je pense.^^
En somme, l'histoire est prenante, intéressante, et on aimerait avoir une suite!
Gonau, tu fais des progrès remarquables!

MessagePosté: Ven 19 Oct 2007 - 12:59
par Gonau Wocou
Alors, effectivement j'ai écris ça en pensant que les neurones de mes lecteurs s'activeraient. Je vous met la réponse en spoiler, pour ce qui en on marre de chercher...

En fait, le père de mon héros était un Impérial affecté à la Seconde Etoile de la Mort, où il a péri avec l'Empereur. Le fait que ses camarades lui disent que els Impériaux sont... Pas des gentils :D le met hors de lui, vu que feu son père en était un... Voili voilou...

MessagePosté: Ven 19 Oct 2007 - 13:05
par Minos
Je viens de relire...effectivement, c'était assez clair, en fin de comtpe : c'est donc moi qui étais à la ramasse :lol:

Par contre, un truc me chiffonne quand même : la mère est héritière d'une longue lignée de Jedi, et ça ne la dérange pas que son mari serve sur un bâtiment de l'Empire ?

MessagePosté: Ven 19 Oct 2007 - 17:20
par Gonau Wocou
Ben si je puis me permettre:
1°) L'amour....
2°) Si ça se savait on pourrait toujours dire que c'est faux, une Jedi avec un Impérial! Pff.... Donc ça la couvrirai...
3°) J'y avais pas pensé en écrivant....

MessagePosté: Dim 06 Jan 2008 - 19:36
par Gonau Wocou
Et oui, le taré est encore vivant! Bref, je le serai. j'ai perdu, toutes, mais alors toutes mes fics de mon ordi. bref, je dois récupérer les fichiers et tout reprendre à zéro, sachez juste que je vais m'y remettre, amsi que ça risque de prendre du temps.

Voilà les nouvelles du jour, désolé à tous, et à toutes!

MessagePosté: Lun 07 Jan 2008 - 16:32
par Den
T'inquiète pas Gonau. On t'attendra! :wink:

Re: "Recueil de mes fics" par Gonau Wocou

MessagePosté: Jeu 05 Juin 2008 - 14:03
par Gonau Wocou
8. C'est le nombre de mois que j'ai passé sans achever une fic Star Wars. Aujourd'hui, j'annonce le renouveau de ce sujet avec, pour vous public adoré, une nouvelle production des studios Wocou Books. Au passage, je remercie pour la enième fois Den qui m'a bien aidé (bon dieu les fautes que je vous fait ><). Place au récit (et ouais, encore l'histoire d'un pilote^^)

Juste une larme...

Je me présente Loni Drono, pilote de mon état. Je suis un humain de Kuat, grand brun aux yeux verts. Mes parents m'ont toujours reprochés ma fougue et ma tendance à aller plus vite qu'il ne faut. L'histoire que je vais vous conter se déroule durant la Guerre Civile Galactique. J'étais alors un jeune homme plein d'espoir et je nourrissais l'ambition de devenir un jour Leader d'un escadron d'X-Wings. L'Empire avait humilié ma famille, le jour où ils avaient pris possession de tous nos biens « pour L'intérêt général ». Bien décidé à leur faire payer, je m'étais engagé dans les rangs de la Rébellion pour laver l'honneur de mes ancêtres. Je fus affecté à une base de la Bordure extérieure cachée au sein des Astéroïdes Silken. Nous étions basés au cœur même d'un astéroïdes, une base qui se fondait naturellement dans l'environnement. L'un des inconvénients c'était qu'elle bougeait tout le temps, et que les manœuvres d'approche étaient souvent très délicates. J'étais affecté à un escadron, du nom de Dark Bird Squadron, où j'étais ailier 7. Jusqu'à ce terrible jour.

Nous venions de rentrer d'une éprouvante mission sur Kothlis, au cours de laquelle notre ailier 9 avait perdu la vie en couvrant notre retraite. L'ailier 9, pour ceux qui ne le savent pas, et celui qui dirige le Vol 3 de l'escadron, c'est à dire les ailiers 10, 11 et 12. J'attendais depuis longtemps une promotion, et c'est donc avec joie que j'appris que je devenais l'ailier 9. J'avais une lourde responsabilité. J'avais la responsabilité de trois vies. Trois amis de longue date. Enfin deux, car effectivement, l'ailier 11, un Arkanien du nom d'Arone Simo était plus un rival qu'un camarde. Nous étions du même grade et il enviait depuis plus longtemps que moi ce poste. Mais son tempérament brutal, son caractère exécrable et ses multiples passages en prison lui avaient valu de rester au poste qu'il était. Il m'en voulait profondément, je pouvais le lire au fond de son regard laiteux. Chaque battement de cœur il semblait me maudire encore plus. Mais il fallait passer au-delà de mes sentiments pour cet énergumène et je me devais d'être à la hauteur et de veiller sur lui, comme sur un ami très cher. Bien que j'eus beaucoup apprécié la disparition d'un tel individu, je me devais de le garder en vie, hélas... Pour faire mes preuves, le Haut Commandement de la base décida d'envoyer mon escadron, et donc mon Vol, sur une mission d'escorte. Trois portes-containers contenant des pièces détachées de X-Wing en direction de notre base. Mission basique en apparence, juste histoire de rassurer les personnes inquiètes et de faire taire les mauvaises langues. Ah, si seulement tout c'était passé comme prévu...

Nous décollâmes donc, l'escadron lancé à la vitesse maximum dirigé vers le point de saut. Le leader commença à nous parler, les mots sensés rassurer et tout et tout, mais au fur et à mesure qu'il parlait, mon stress s'accroissait. Mon cœur battait la chamade et j'entendais le sang pulser dans mes oreilles. Pour quelle raison cela se passerait-il mal? Je riais nerveusement pour me donner du courage alors que je lançais la commande d'hyperpropulsion. Après quelques minutes passées en vitesse supraluminique, nous débouchâmes dans un coin perdu de l'Espace, avec aucune planète et aucune station à l'horizon. Tout se présentait plutôt bien. Le bip régulier de mes instruments sonnait à mes oreilles telle une fanfare qui défilait dans la rue. Un chaos qui étrangement m'apaisait. Aucun bruit, silence radio. Quelques astéroïdes flottaient, ça et là, un peu plus loin. Le transport aurait dû arriver avant nous, mais nous ne le voyions toujours pas. Bah, ce n'était sûrement rien de grave, pensais-je. Une défaillance dans l'hyperpropulsion, ou peut-être un autre petit souci technique, mais rien de bien dramatique. C'était du moins ce que nous supposions tous. Trente minutes passèrent sans signe de la navette. Régulièrement, mon Leader envoyait des messages à la base, mais ils n'en savaient pas plus. Pas mal pour une première mission... Les conversations allaient bon train, on plaisantait histoire de ne pas penser aux autres, pour ne pas nous demander ce qu'ils foutaient et imaginer le pire. Mais le patron ne voulait pas céder. Il fallait les attendre, et s'ils avaient besoin d'aide, il fallait les aider. Après une nouvelle heure d'attente, les choses bougèrent enfin.

Tandis que nous parlions de boissons alcoolisées pour les uns, d'entreprise héroïques pour les autres, nos senseurs s'affolèrent subitement, signalant une sortie d'Hyperespace. Effectivement, à peine quelques secondes après que l'alarme ait retenti, nous pûmes voir le vaisseau cargo émerger de la vitesse-lumière, à toute allure. On pût entendre des soupirs de soulagement venant des autres pilotes, mais une question demeurait. Pourquoi ce retard? Mon Leader commença alors une discussion... Amicale. Du moins, essaya-t-il:
« -Quand même! Qu'est ce que vous fichiez?! Une plombe et demie de retard! Allez grouillez, on à une...
-Fuyez! Put-on alors entendre sur toutes les radios.
-Pardon? S'étrangla notre chef.
-Les Impériaux, ils vont arriver!
-Les...?! »
Il fut coupé par l'alarme de sortie d'hyperespace qui retentit de nouveau. Un destroyer stellaire Impérial, ainsi que toute sa chasse, venait de sortir de l'Hyperespace. Après les cris de joies, se furent des cris de stupéfaction, des étranglements qui rythmèrent cette arrivée. Les ennuis n'étaient pas loin.
« -Saut en HE à mon signal. Go! » s'écria notre Leader. Mais personne ne réussit à franchir la vitesse lumière, les moteurs ne semblant pas vouloir démarrer. Je pestai tandis que l'un de nous jura plus fort que les autres. Il avait vu une chose qui allait tous nous mettre en rogne. Très en rogne: la fuite était impossible à cause d'un Interdictor qui venait d'arriver. Là, nous étions dans une merde noire. La bataille était imminente. Il allait falloir être bons, très bons. Nous nous regroupâmes par Vols. J'allais être en première ligne pour me faire exploser. Après des missions à avoir été en retrait et à recevoir des ordres, la balance allait être inversée. Pour le meilleur et pour le pire. Déjà, trois escadrons de chasseurs TIEs fonçaient sur nous, tirant lorsqu'ils étaient à portée, une salve de lasers mortels. Nous virevoltions dans l'espace, luttant pour notre survie. Mais à cet instant, plus rien ne comptait si ce n'était mon vaisseau, l'adversaire, mon Vol, et moi. La base pouvait exploser je m'en foutais éperdument. C'était ma peau qui était en jeu. Et je comptai bien la vendre chèrement. Très chèrement. Je tirai le manche à balai vers moi pour tenter une chandelle et éviter de percuter le TIE. Désormais, tous mes instruments hurlaient à l'unisson, me prévenant de tel ou tel danger arrivant dans la seconde. Mais je n'avais pas le temps de m'en soucier, je n'avais le temps de me soucier d'aucune de ces alarmes. Alors que j'amorçai la phase descendante de mon looping, je laissai mon vaisseau sur le dos et roulai sur l'aile gauche. Je me retrouvai de cette manière derrière mon adversaire. Je n'en fis qu'une bouchée, après l'avoir verrouillé. Son vaisseau disparut dans une magnifique boule de feu. Quelle belle mort pour une ordure d'Impérial. C'est là que je le vis. Le seul Intercepteur TIE du groupe, fonçant à travers la bataille. Et plus précisément sur moi. Je n'eus pas le temps d'esquisser un mouvement qu'il tira sur moi. Dans un réflexe de survie, je tirai la poignée d'éjection placée sous mon siège. Je fus propulsé à plusieurs G hors de mon vaisseau qui s'embrasa juste à cet instant. Si j'étais resté encore quelques secondes, c'eût été la fin. A cet instant, j'étais plus vulnérable que jamais. J'entendis les cris de mon ailier signalant ma disparition. Et notre Leader me demander si j'allais bien. Mais je n'arrivais pas à répondre. Un TIE me fonçait droit dessus. Le salaud comptait bien m'achever, histoire que je ne fasse plus de victimes au sein des rangs Impériaux. Mais c'était sans compter sur mes amis. Et même ceux qui ne l'étaient pas. Car effectivement, c'est avec stupeur que je vis le vaisseau de Arone se diriger vers le TIE qui me menaçait. Le X-Wing de l'Ailier 11 était en proie aux flammes. Il risquait d'exploser d'un moment à l'autre. Pourquoi ne s'éjectait-il pas? Lorsque les deux vaisseaux entrèrent en collision je vis une explosion énorme se créer. Mon casque s'opacifia afin que je n'aie pas les yeux brûlés. Je vis les décombres voleter autour de moi, impuissant. L'un d'eux me toucha à l'épaule droite. Je hurlai de douleur, le morceau d'acier brûlant traversant mes chairs. J'avais dû sombrer dans l'inconscience, car je n'avais aucun souvenir d'avoir vu Arone s'éjecter. Et pourtant, ce fut bien l'Arkanien que je vis se diriger vers moi. Au départ, je pensais qu'il était indemne et j'en étais soulagé. Mais ce fut une déception lorsque je vis sa tunique constellée d'impacts. Le fou avait réussi à se traîner jusqu'à mes côtés. L'homme qui m'avait tant haït venait de me sauver au détriment de sa propre vie. Méritais-je d'être sauvé? Après tout, j'avais aussi tué des gens, je méritais au moins autant, si ce n'était plus, de mourir que les Impériaux. Ce fut donc le visage ruisselant de sueur que j'accueillis le corps de mon compagnon d'arme. Il vivait encore et me regarda de son profond regard laiteux. Ses yeux, autrefois d'un blanc glacial, étaient couleur vermeil. Un mince filet de sang coulait de sa bouche. Je le vis bouger les lèvres.
-Loni...
-Ferme-là, on va te sortir de...
-Désolé d'avoir été si désagréable. Dit-il en me coupant.
-Non, t'inquiètes, on va repartir de bon pied!fis-je stupéfait par ses propos et les miens.
-Vrai?
-Aussi vrai que je suis l'Ailier 9!
Nous regardâmes la bataille, laissant un blanc. Ça se présentait mal. Je sentis alors Arone bouger.« Merci Loni. Merci, beau... Merci beauc...oup... » fit-il d'une voix faible. A cet instant, il ferma les yeux et sa tête alla reposer au fond de son casque. Ne pas pleurer, ne surtout pas pleurer! Je ne pensais que cela tandis que je serrais le corps de l'Arkanien en répétant « De rien... ». J'étais seul devant l'immensité spatiale et mes minutes étaient comptées. La fuite à mon épaule me gelai chaque instant un peu plus, m'enfermant dans une torpeur dont je risquais de ne jamais sortir. Et puis, l'étincelle de vie qui m'animait reprit vigueur lorsque je vis une partie de la flotte de la base émerger de l'Hyperespace. Nous étions sauvés, pour les vivants. La vue du Croiseur Mon Calamari Rebel's Creed, accompagné de deux frégates Nébulon-B, fit déguerpir les Impériaux. Mais la lutte avait été sanglante, des deux côtés. Une navette vint récupérer les pilotes éjectés. Je fis un scandale pour emmener le corps d'Arone. Mon ailier aussi avait été abattu, mais il était indemne. Ce n'était pas le cas de notre Leader qui s'était écrasé contre la passerelle de l'Interdictor. Cette journée était une journée noire dans mon histoire. Encore une. Kale, mon ailier posa sa main sur mon épaule non atteinte:
« Vois le côté positif mon vieux: on est des héros! » Je le regardai alors, au fond des yeux. Il recula alors, intimidé.
« Non Kale, ce ne sont pas nous les héros. Pas les vivants. Les vrais héros ce sont ceux qui sont morts aujourd'hui, hier, et qui mourront demain... » Il me regarda alors, les yeux ronds, tandis que je versai enfin une larme pour ses héros disparus.
Juste une larme.