Les Forums Star Wars Universe

Ensemble diabolique d'une froideur mécanique, méthodique et sans pitié
[pourfendeur et semeur de mort];

Xénélasie très forte et implacable était en effet sa bien dure loi et ligne de conduite appliquée
[partout au-dehors].

Effroi total et ainsi bel et bien garanti
[pour celui qui aurait alors l'odieux malheur de tout simplement croiser sa route];

Courageux serait dès lors religieusement défini
[celui qui oserait ainsi malgré tout risquer s'y frotter sans doute].

Utopie de ce fait tristement bien vaine
[pour qui songerait et tenterait seulement de son étreinte s'échapper];

Terreur immense, sombre désarroi et bien triste et morne peine
[il ne ferait alors que sûrement et très durement récolter].

Officier supérieur en charge œuvrant
[à sa barre à qui-de-droit devait quand-même et malgré tout en répondre];

Respect et crainte tous deux ainsi liés et inspirés mutuellement
[il ne devait alors surtout pas confondre].

(150)

Executor

L'Executor et ses chasseurs avaient affronter la flotte rebelle. La bataille avait été longue et difficile, pour les deux camps. Le super destroyer stellaire n'avait plus qu'un croiseur de Mon Calamari à mettre hors service.
Le Grand Amiral suait à grosse goutte. La fatigue le gagnait, mais il ne pouvait perdre, pas encore !
Fini la stratégie, fini la puissance, tout se jouait sur ces dernières secondes. Les turbolaser allaient tirer leurs dernières salves, et détruire le Liberty !
"Aléa jacta est"

Les dés sont jetés ! Et catastrophe ! Pas de chance du tout ! C'est quoi ce jet de larve de Sith ? Aucune critique, plein de vide…
Après décompte le résultat est sans appel : le croiseur rebelle est encore en état de marche ! Même l'éperonnage qui suit ne suffit pas à l'achever.

Et c'est à lui de jouer, et cette fois les dés sont meilleurs. Le SDS est détruit. Fin de partie.

(156)

« Exécutez les ordres ! » cria le lieutenant de sa passerelle.
Je me tournais vers mon collègue, et vis dans ses yeux une colère froide, conséquence de plusieurs jours de réprimandes et de consignes confuses. Une colère partagée. Quelle décision un officier supérieur avait bien pu prendre pour que le chantier devienne un tel bordel ?
On parlait de la venue de hauts dignitaires. Même de Vador en personne, pressé de prendre possession de son bâtiment de commandement. La peur avait alors gagné tout le personnel.
« Je vais finir par le balancer par-dessus la rambarde… » chuchotais-je. Je devinais un hochement d’approbation. Nous reprenions le contrôle interface du système d’amarrage.
Puis un nouveau beuglement, inaudible, couvert par une sirène hurlant au loin. Nous relevons tous la tête, en direction de la zone des blocs d’énergie. Une fumée claire apparut. Nous nous tournons alors vers le lieutenant, qui devint aussi pâle que les parois du superdestroyer.
« Des têtes vont tomber. Mais pas tout de suite. Et pas les nôtres. »

(168)

Les étoiles semblaient recouvertes de fumée et de flammes. Tandis que le TIE Reaper faisait le tour de la station écartelée, Rae Sloane constatait l’ampleur réelle du désastre de Var-Shaa. Un Star Destroyer – un de plus – pulvérisé. Des chantiers navals importants irrémédiablement perdus, et avec eux la présence impériale dans ce secteur – un de plus, encore. Finalement, elle partageait bien une opinion avec Hera Syndulla, la générale républicaine qu’elle s’était jurée de traquer et d’abattre : l’Empire n’était plus que l’ombre de ce qu’il avait été. Et dire qu’à Mako-Ta, l’Impériale n’avait pas pu retenir sa jubilation, certaine d’en avoir terminé avec la Rébellion et que l’Executor en écraserait les misérables restes.
« L’Executor… si tu me l’avais laissé à Endor, Firmus, on en aurait déjà fini ! » maugréa-t-elle. Oui, elle avait été déçue par l’Executor et ceux qui le commandaient. Mais, Sloane comptait bien s’en assurer, il en irait autrement avec le Ravager.

(155)

- Intensifiez le feu aux avant-postes.
La section d’artillerie commandée par l'enseigne Haise n'avait pas attendu l'ordre pour tisser un barrage de lasers sur la route de ces présomptueux moucherons qui osaient importuner le fleuron de la flotte impériale. Ses artilleurs étaient même certains d'en avoir abattu un.
Peu après, le super destroyer avait entamé une manœuvre brutale et l’officier avait jubilé :
- Enfin, nous passons à l’attaque!
Oui, maïs contre quel adversaire ? Depuis sa casemate tout à l'avant du géant, Haise était aux premières loges pour le découvrir, la cible emplissant tout son champ de vision. Il pouvait maintenant en distinguer les moindres détails.
Quelque peu inquiet, il se décida à activer son comlink. Sa voix, qu'il aurait voulue assurée, chevrota un peu en annonçant :
- Poste avancé A-13 à passerelle…
Acune réponse. Il insista:
- Passerelle, nous avons un problème !

Un énorme problème!

(150)

Ensemble diabolique d'une froideur mécanique, méthodique et sans pitié
[pourfendeur et semeur de mort];

Xénélasie très forte et implacable était en effet sa bien dure loi et ligne de conduite appliquée
[partout au-dehors].

Effroi total et ainsi bel et bien garanti
[pour celui qui aurait alors l'odieux malheur de tout simplement croiser sa route];

Courageux serait dès lors religieusement défini
[celui qui oserait ainsi malgré tout risquer s'y frotter sans doute].

Utopie de ce fait tristement bien vaine
[pour qui songerait et tenterait seulement de son étreinte s'échapper];

Terreur immense, sombre désarroi et bien triste et morne peine
[il ne ferait alors que sûrement et très durement récolter].

Officier supérieur en charge œuvrant
[à sa barre à qui-de-droit devait quand-même et malgré tout en répondre];

Respect et crainte tous deux ainsi liés et inspirés mutuellement
[il ne devait alors surtout pas confondre].

Executor

L'Executor et ses chasseurs avaient affronter la flotte rebelle. La bataille avait été longue et difficile, pour les deux camps. Le super destroyer stellaire n'avait plus qu'un croiseur de Mon Calamari à mettre hors service.
Le Grand Amiral suait à grosse goutte. La fatigue le gagnait, mais il ne pouvait perdre, pas encore !
Fini la stratégie, fini la puissance, tout se jouait sur ces dernières secondes. Les turbolaser allaient tirer leurs dernières salves, et détruire le Liberty !
"Aléa jacta est"

Les dés sont jetés ! Et catastrophe ! Pas de chance du tout ! C'est quoi ce jet de larve de Sith ? Aucune critique, plein de vide…
Après décompte le résultat est sans appel : le croiseur rebelle est encore en état de marche ! Même l'éperonnage qui suit ne suffit pas à l'achever.

Et c'est à lui de jouer, et cette fois les dés sont meilleurs. Le SDS est détruit. Fin de partie.

« Exécutez les ordres ! » cria le lieutenant de sa passerelle.
Je me tournais vers mon collègue, et vis dans ses yeux une colère froide, conséquence de plusieurs jours de réprimandes et de consignes confuses. Une colère partagée. Quelle décision un officier supérieur avait bien pu prendre pour que le chantier devienne un tel bordel ?
On parlait de la venue de hauts dignitaires. Même de Vador en personne, pressé de prendre possession de son bâtiment de commandement. La peur avait alors gagné tout le personnel.
« Je vais finir par le balancer par-dessus la rambarde… » chuchotais-je. Je devinais un hochement d’approbation. Nous reprenions le contrôle interface du système d’amarrage.
Puis un nouveau beuglement, inaudible, couvert par une sirène hurlant au loin. Nous relevons tous la tête, en direction de la zone des blocs d’énergie. Une fumée claire apparut. Nous nous tournons alors vers le lieutenant, qui devint aussi pâle que les parois du superdestroyer.
« Des têtes vont tomber. Mais pas tout de suite. Et pas les nôtres. »

Les étoiles semblaient recouvertes de fumée et de flammes. Tandis que le TIE Reaper faisait le tour de la station écartelée, Rae Sloane constatait l’ampleur réelle du désastre de Var-Shaa. Un Star Destroyer – un de plus – pulvérisé. Des chantiers navals importants irrémédiablement perdus, et avec eux la présence impériale dans ce secteur – un de plus, encore. Finalement, elle partageait bien une opinion avec Hera Syndulla, la générale républicaine qu’elle s’était jurée de traquer et d’abattre : l’Empire n’était plus que l’ombre de ce qu’il avait été. Et dire qu’à Mako-Ta, l’Impériale n’avait pas pu retenir sa jubilation, certaine d’en avoir terminé avec la Rébellion et que l’Executor en écraserait les misérables restes.
« L’Executor… si tu me l’avais laissé à Endor, Firmus, on en aurait déjà fini ! » maugréa-t-elle. Oui, elle avait été déçue par l’Executor et ceux qui le commandaient. Mais, Sloane comptait bien s’en assurer, il en irait autrement avec le Ravager.

- Intensifiez le feu aux avant-postes.
La section d’artillerie commandée par l'enseigne Haise n'avait pas attendu l'ordre pour tisser un barrage de lasers sur la route de ces présomptueux moucherons qui osaient importuner le fleuron de la flotte impériale. Ses artilleurs étaient même certains d'en avoir abattu un.
Peu après, le super destroyer avait entamé une manœuvre brutale et l’officier avait jubilé :
- Enfin, nous passons à l’attaque!
Oui, maïs contre quel adversaire ? Depuis sa casemate tout à l'avant du géant, Haise était aux premières loges pour le découvrir, la cible emplissant tout son champ de vision. Il pouvait maintenant en distinguer les moindres détails.
Quelque peu inquiet, il se décida à activer son comlink. Sa voix, qu'il aurait voulue assurée, chevrota un peu en annonçant :
- Poste avancé A-13 à passerelle…
Acune réponse. Il insista:
- Passerelle, nous avons un problème !

Un énorme problème!