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[Nouvelles] Fragments de vie galactique.

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Messagepar Reckoning » Lun 29 Fév 2016 - 22:53   Sujet: [Nouvelles] Fragments de vie galactique.

Bonsoir.

N'ayant pas le temps de me consacrer à un long projet comme l'Effondrement. Je vais me consacrer à une série de nouvelles qui me permettront de décharger un peu mon imagination. Ce seront des projets qui s'étendront certain dans l'univers Legend et d'autre dans le nouveau canon. Il n'y a pas un sujet précis. Même si j'envisage d'en faire une pour Jakku.
Enfin...
J'ai quatre projet en tête.

Une autre histoire... 1/4

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-Nom et fonction ? dit une voix lointaine.
-Capitaine Karl Rostev.
C'est mon procès. Je n'aurais jamais cru devoir me tenir là. A vrai dire, j'avais justement basé ma vie sur l'idée de me retrouver du bon côté du tribunal. Charge: crime de guerre, extorsion... Je n'aurais jamais cru me retrouver là. J'ai su le métier que je voulais faire le jour où j'ai vu mon père se faire tabasser. C'était un mineur. La planète d'où je viens Desomp, est un monde plutôt pauvre. On a quelques mines. On a pas la chance de produire un truc unique et les interférences font que les droïdes fonctionnent mal. Donc le travail est fait manuellement. Je crois, mais ça doit être une légende que les mineurs racontaient que sous la République, il y avait eu un projet de développer des unités pour ce genre de droïde. Enfin, mon père se faisait tabasser par un pirate. La plupart des mondes de la Bordure extérieure subissent ce genre de traitement. Pour les mondes qui n'ont pas les moyens de se payer des mercenaires ou d'entretenir leur propre force de sécurité, les attaques de ce genre sont nombreuses. Parfois, quand on était encore sous la République, on avait parfois le droit de voir débarquer une patrouille. Pendant un mois, tout était tranquille. Un ou deux pirates se faisaient descendre puis une fois que ces habitants du Noyau avaient le sentiment d'avoir bien fait leur boulot, ils partaient. Et alors, ce petit cirque reprenait. Bien sûr, c'est beaucoup moins dramatique que dans les holofilms. Il n'y a pas d'explosion. Le pirate se pointe juste avec son groupe de racaille. Ils tabassent un ou deux mineurs pour effrayer les autres et ils repartent avec un petit chargement. C'est presque une coutume. Je pense que mon père devait même pas avoir peur tellement il avait l'habitude. C'était pas une scène inhabituelle. Quand on a neuf ans, c'est juste une scène qui marque. Alors, je me suis dit "jamais plus." Sauf que la guerre des clones et la crise économique qui en a résulté a fait qu'à seize ans, j'étais dans le rôle de mon père, sous la botte d'un pirate. C'était un twilek. Il a même pas cherché à me faire du mal. Il m'a cassé le poignet. Alors, je me suis dit qu'être mineur et être humilié comme ça, ce n'était pas ce que je voulais pour ma vie. Sauf qu'un truc est arrivé. C'était quelques jours après mon dix-septième anniversaire. J'étais encore un mineur et je peinais à trouver une sortie. Il y a pas moyen pour un mineur d'intégrer des études où de refaire sa vie dans le Noyau. Le voyage seul coûtait une année entière de salaire. On a entendu du bruit. C'était un vaisseau qui venait près des mines. En général, les pirates survolaient la zone une première fois pour nous donner le temps de préparer la cargaison. Alors on est sorti pour observer nos bourreaux.
Sauf que là, on a tous entendu un sifflement strident. La prochaine chose qu'on voyait c'était eux. Trois chasseurs TIE qui émergeaient du ciel. J'ai regardé le vol majestueux de nos libérateurs et je me souviens que j'ai rugi de joie comme les autres. Trois jours plus tard, l'Empire construisait une garnison sur notre monde. On allait enfin pouvoir travailler en paix. Tout le monde a la mine était content. Ils se disaient qu'avec la fin des vols, on allait enfin pouvoir prospérer. Sauf que moi, j'avais pas le coeur à cela. J'avais envie d'être avec ces héros. Bien sûr, être pilote, ça demande de l'entraînement et l'Empire recrutait des centaines et des centaines de pilotes venant du Noyau. Des gens qui avaient déjà des expériences de vol. Si j'avais été corellien, j'aurais pu essayer l'Académie Impérial là bas, mais c'était pas possible. J'ai très vite dû renoncer à être un pilote. Mais c'est pas grave. Il y avait d'autre moyen de servir. La Guerre des clones avait été une guerre de clone et le stock de l'armée impérial en clone commençait à vieillir. Si bien que l'Empire s'est mis à recruter à tour de bras. Je me souviens que je suis allé à la garnison. La mine m'avait assez endurci pour la vie de militaire je me disais. Alors un beau jour, je me suis décidé à aller voir l'officier de recrutement. C'était un homme du coin. Il m'a recruté et je suis parti par cargo pour un centre d'entraînement sur Vental. Je mentirais si je disais que l'entraînement avait été facile. J'en ai bavé. Être Stormtrooper requiert d'être polyvalent dans le maniement de cinq armes différents. L'entraînement est brutal. Une partie se fait en réalité virtuel. C'est-à-dire qu'on prend un casque et on s'entraîne à une centaine de situation différente. J'ai simulé une dizaine de fois la bataille de Géonosis pour savoir comment me battre dans des environnements désertiques. J'ai simulé les combats urbains de Corruscant. Mon entraînement occupait tout mon temps et je ne profitais pas de la permission pour rentrer sur Desomp. Ce n'est pas pour ça que j'oubliais la réalité que je venais de quitter. Je savais pourquoi j'étais parti.
J'avais un but. M'engager pour l'ordre. M'engager pour assurer la sécurité des gens de peu. M'assurer que la galaxie ne soit pas le terrain de jeu des bandits et des vermines.
Au bout de trois ans, j'étais officiellement un Stormtrooper. J'avais vingt et un ans et pour la première fois, j'avais ma vie entre les mains. Mon instructeur le capitaine Ovkrell m'a demandé où je voulais servir. J'ai répondu "là où il y en a besoin". Et il m'a envoyé là où il fallait. Le règne de Palpatine n'a pas été facile à digérer pour tout le monde. Beaucoup des aliens qui bénéficiaient de passe-droit sous l'Ancienne république ne voyaient pas son règne d'un bon oeil. Notamment sur Kresvin II. Kresvin II est une colonie de Trandoshan qui avait eu le bon gout de s'affilier avec la CSI en son temps et de changer de camps dans les derniers mois de la guerre. Les habitants de Kresvin II avaient mal vu l'installation d'une garnison impériale sur leur sol et avaient pris sur eux de le faire savoir en faisant exploser l'Ambassade impérial puis en détournant des vaisseaux. L'Empire n'était pas le genre à prendre les menaces à la légère. Alors, j'ai été déployé pour ma première opération sur Kresvin afin d'apprendre les bonnes manières à ces sauvages. Kresvin est un monde qui est d'une chaleur insupportable. Heureusement pour les locaux, la jungle qui s'étend sur une partie du monde les abrite de la chaleur. Et quand ce n'est pas de la jungle, ce sont des crevasses immenses qui s'étendent sur des dizaines de kilomètres. La plupart des cités sont construit dans ces crevasses afin d'être à l'abri du soleil et de la faune qui est loin d'être amicale.
Je savais que la service pourrait être dur. Et il l'a été. J'ai passé les six premiers mois en tant que Stormtrooper a enchaîné les gardes dans une cité du nom de Kresprih. Petite, au fond d'une de ces cavernes. J'ai eu à me servir de mon blaster une dizaine de fois. C'étaient les mêmes voyous qui s'en prenaient au même gens. Parfois, un humain se faisait massacrer. Une fois, c'est l'un des nôtres qu'on a retrouvé pendu. Le type s'était éloigné d'une patrouille lors d'un contrôle dans le bidonville. Les aliens l'ont saignés puis ont mis son corps en évidence. Technique de terreur. Les gars leur ont montrés qu'on était capable de faire la même chose. Les responsables ont été retrouvés quelques jours après et ils n'ont pas eu le temps d'aller en prison. Je peux garantir qu'après ce formidable exemple, plus aucun de nos soldats ne s'est retrouvé manquant. Les gens imaginent qu'avec la civilisation, on est tombé dans un monde de règles. La vérité est que les règles existent depuis toujours. Si tu es faible, tu te fais bouffer. Il y a une raison pour laquelle tout le monde comprends la force, c'est dans la nature. C'est universelle. La plus grosse bestiole mange la petite. Le pirate bouffe le mineur. L'Empire a modifié cette équation. Il a rajouté des Stormtrooper pour donner une leçon de civilisation à toutes les brutes de la galaxie. Il y a de nombreux mondes où les habitants se sont montrés réglos. Là, ça c'est bien passé. A Kresprih, les sauvages pensaient être les plus forts, il fallait leur montrer que ce n'était pas le cas. Ce que j'avais appris sur Desomp, c'est vérifié sur Kresvin. D'ailleurs, après, ça a été la paix. On raisonne avec les gens raisonnables. On ne négocie pas avec les meurtriers et les terroristes.
Puis quand j'ai prouvé que j'étais une bonne recrue, on m'a envoyé me faire les dents au coeur du problème. On savait tous que Kresvin était un monde réfractaire à l'ordre impérial. Mes quelques mois à Kresprih m'avaient bien montré que les habitants étaient pas des rigolos. J'ai été envoyé pour "protéger une installation minière." C'était la dénomination officielle de ma mission. L'ordre qu'on nous avait présenté dans la caserne, une semaine avant de partir.. Sauf que quand j'ai embarqué dans ce juggernaut qui devait me conduire à ma prochaine affectation, le visage de mon CO était trop pale pour que ce soit simplement quelques tours de garde dans la jungle. La vérité, est que en dehors de Kresprih, se livrait une véritable guerre.

A suivre...
Reckoning
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Messagepar Reckoning » Jeu 10 Mar 2016 - 18:12   Sujet: Re: [Nouvelles] Fragments de vie galactique.

Partie 2/4 de l'histoire de ce cher Karl

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L'Empire n'a jamais échappé à l'incompétence ou bien à l'opportunisme de la part de ses décideurs. Le gouverneur de Kresvin avait menti à l'empereur et ce qui en avait résulté... une guerre civile totale. Toutes les villes appartenaient à l'Empire mais il suffisait de faire un pas dans la jungle pour croiser un membre de la rébellion. Enfin, croiser, une flèche ou un coup de blaster dans votre dos vous informez de votre erreur. Le blanc de notre armure n'était pas idéal pour monter une embuscade. Bien entendu, la grande armée impériale avait des armures qui permettaient le camouflage. Le gouverneur, cependant, n'avait pas eu le courage de demander des renforts ou du matériel et il tentait de gagner une guerre. Je me souviens du moment où je suis descendu du juggernaut. Ce que j'ai vu ? Une bande de soldats malingres et blessés. Notre position était une ancienne mine en plein cœur du fief des rebelles. L'entrée de la mine se situait en haut d'une montagne qui était entourée d'une épaisse jungle. Tant que notre position tenait, les rebelles ne pouvaient pas assiéger Kresprih. Ce petit fort qu'on avait improvisé autour de la mine n'avait même pas de nom. Je me souviens de mon séjour-là comme l'on se souvient d'un rêve. Le soleil tapait si fort que l'on craignait de s'aventurer hors de nos tentes et lorsque l'on sortait dans des patrouilles pour vérifier que les rebelles ne manigançaient rien autour, on s'enfonçait dans les ténèbres. Une patrouille pouvait être engloutie entière dans les ténèbres. On savait le sort qui était réservé à ceux qui était capturé... Ou en tout cas, les cris qui émanaient de la jungle dans la nuit nous le faisait savoir. La première fois que s'est arrivé quand j'étais là, moi et les nouveaux, on a voulu sortir pour délivrer le pauvre gus. Les vet' savaient que c'était un piège. Le lendemain, lors d'une patrouille, on trouvait le corps ou ce qu'il en restait accroché à un arbre. Autant dire que quand on attrapait les rebelles, on leur réservait un sale sort. Je me souviens d'un chasseur de prime qui avait engagé pour nous épauler. Je ne sais pas qui il était mais il se promenait toujours avec son droïde de combat. Une ancienne unité blindée de la CSI. Je me souviens que parfois, il passait la soirée avec ses lunettes thermiques, le genre de matériel qui devait coûter une fortune sur le marché privé, et son fusil de sniper. Vous pouvez croire que c'est stupide de jouer au sniper en plein coeur de la nuit ? Sauf qu'avec le bon équipement et le fait que les rebelles déambulaient dans cette stupide jungle comme dans leur jardin, il faisait des ravages dans leur rang. Le lendemain, on venait voir les rebelles qu'il avait séché. Il ne quittait pas le camps. Probablement qu'il savait les risques et qu'il savait que ça ne valait pas le coup. Parfois, il venait se joindre à nous autour du feu et il nous racontait des histoires de chasse à la prime.
J'ai cru mourir une dizaine de fois. Parfois, c'était une flèche ou un tir qui passait trop près. Une autre fois, ça a été la fièvre. L'eau qu'on buvait était celle qu'on trouvait dans un puits à l'intérieur de notre fort. Les conditions de vie n'étaient pas géniale. J'ai été mal pendant une semaine, ce qui ne m'empêchait pas de me traîner avec mes autres camarades de misère dans la jungle. Pendant les haltes, je vomissais mes tripes dans un buisson. Il faut savoir que quand s'aventurer un peu trop loin de ses camarades peut valoir de se faire brûler vif par l'ennemi, on n'hésite pas à vomir à côté des copains.
Pendant deux mois, je suis resté dans la jungle avec mes copains. Avec l'arrivé de mon détachement la garnison comptait soixante et dix personnes. Au bout de ces deux mois, nous n'étions plus qu'une quarantaine. Nous n'avions aucune nouvelle du monde extérieur. Les rebelles ont fini par comprendre qu'ils nous auraient pas au petit feu et je crois qu'ils ont voulu en finir. Pendant trois jours, plus un signe d'eux. Puis, ils ont commencés à bombarder timidement notre position avec des mortiers et on a compris qu'ils voulaient s'emparer de la forteresse. Alors, on a commencé à se préparer à se défendre. Si on devait crever, nous emporterions le plus possible de ces salopards de lézards avec nous. Le chasseur de prime avait compris que c'était bientôt la fin mais par éthique professionnel ou parce qu'il était peut-être bloqué avec nous, il est resté. Il y a eu un premier assaut. Ils sont venus avec une centaine d'hommes. Leur erreur a été de croire qu'ils pouvaient combattre une armée conventionnelle sur son propre terrain. On en a massacré une cinquantaine ce jour là. Il y avait littéralement une pile de corps. On ne sortait plus dans la jungle pour contrôler le territoire alors on se foutait de voir ces cadavres se décomposaient en bas de la montagne. Le lendemain, je me suis réveillé et je suis allé à mon poste pour ce que je pensais être ma dernière journée.
Un de mes copains, Depp m'a demandé si j'avais quelqu'un à qui j'allais manqué ? Alors, j'ai répondu que non et je me suis dit que finalement, c'était une fin comme une autre. C'est-là qu'il a surgi. Un immense star destroyer. On croyait qu'il allait aller se poser dans une des villes mais au fur et à mesure qu'il se rapprochait, on comprenait que quelque chose clochait. J'ai entendu à nouveau le son des chasseurs TIE. Ce jour-là, la jungle a brûlé. Le destroyer s'est mis à tirer et la terre tremblait alors que ce titan de métal détruisait la rébellion. Je ne me suis jamais senti aussi reconnaissant de ma vie qu'en ce matin-là. Puis, une navette est venu nous récupérer. C'était la relève.
Le soir, ils nous ont rassemblés dans le hangar pour une scène irréaliste. Nous étions tous avec nos armures sales au milieu de l'équipage du stormtrooper. Une estrade était installé contre un des murs. L'amiral du destroyer est venu nous voir. C'était un homme âgé d'une cinquantaine d'année. Il avait du gravir ses échelons à la dur comme la cicatrice qui barrait son crane chauve l'indiquait. L'amiral est venu sur l'estrade puis il s'est mis à nous parler :
"Soldats de l'empire ! Repos ! Enlevez moi ces casques."
Nous avons suivi son ordre pour ceux qui avaient encore leurs casques après tout ce temps.
"Je suis désolé de ce que vous avez subi. Vous avez bien servi votre empereur dans une mission qui était impossible. Vous avez tenu où des braves auraient échoués. Vous êtes des héros. Mais, je vous dois la vérité. Vous avez subi une trahison impardonnable !"
Sur ce mot-là, deux stormtroopers ont ouvert une porte et ont traîné un type en costume au milieu de l'estrade. Toute la salle était silencieuse.
"Cet homme est Tal Vanves, responsable de votre misère. Jamais l'Empire n'aurait envoyé ses troupes dans une telle situation. Il a menti à l'Empire sur la situation de Kresvin et vous a envoyé couvrir ses erreurs. L'empereur m'a lui-même demandé de vous laisser le verdict ! Vous êtes maître du sort de ce misérable"
Là, nos voix ont commencés à s'élever, je ne sais plus ce que je criais mais je voulais son sang. Alors, je ne sais pas pourquoi, peut-être que je criais plus fort que les autres mais le général m'a désigné. Toute la scène s'est déroulé comme un rêve et quand j'ai déchargé mon blaster dans la nuque de cet homme, mon coeur battait au rythme des cris de mes camarades.
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Messagepar Zèd-3 Èt » Ven 11 Mar 2016 - 11:10   Sujet: Re: [Nouvelles] Fragments de vie galactique.

C'est sympa, j'aime bien les histoires de soldats impériaux.
C'est vrai que ça change de l'Effondrement, ça dépayse.

Sinon, il y a quelques fautes, mais rien de trop grave.
Quand un ouvrier a travaillé dix-huit heures, quand un peuple a travaillé dix-huit siècles et qu'ils ont, l'un et l'autre, reçu leur paiement, allez donc essayer d'arracher à cet ouvrier son salaire et à ce peuple sa République !
Victor Hugo
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