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[OS] Une journée si ordinaire

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Messagepar Jagen Eripsa » Sam 12 Sep 2015 - 23:27   Sujet: [OS] Une journée si ordinaire

Message du staff :

Cette fan-fiction a fait l’objet d’une publication sur SWU. Vous pouvez la retrouver en texte intégral, au format pdf et epub (sauf pour les nouvelles les plus anciennes) en cliquant sur ce lien.
N’hésitez pas à revenir sur ce topic après votre lecture pour donner votre avis et en parler avec l’auteur(e).

Bonne lecture !
Le staff fan-fictions.

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Un an de Fédération Impériale, ça se fête, non ? :cute:

Une journée si ordinaire

Au terme d’une bonne nuit de sommeil, le capitaine Gilad Pellaeon ouvrit les yeux et entama la nouvelle journée avec un entrain coutumier.
La guerre en était à sa quatrième année, à présent, mais il avait bon espoir de voir la situation se débloquer enfin. Mais ces pensées occupaient peu son esprit au réveil, et il songeait à d’autres affaires. Je devrais renvoyer un message à Hallena prochainement, se promit-il en se redressant sur sa couchette. Avec un peu de chance, j’aurai bientôt plus de temps pour une permission. Nous pourrons passer quelques bons moments ensemble…
Il tâta du pied le sol de métal froid, et le contact glacé acheva de lui éclaircir l’esprit. Oui, promis. Je le ferai dès la fin de la journée.
Sa cabine, celle d’un capitaine de croiseur, était spartiate pour un œil non-exercé, mais luxueuse pour qui connaissait les baraquements exigus des troupes de chocs stationnées sur ces immenses vaisseaux. Fidèle à sa réputation rigoureuse, Pellaeon y avait privilégié une décoration très sobre – un paysage de Corellia, sa planète natale où il n’avait que trop rarement mis les pieds, un autre de Coruscant où il avait passé son enfance, et un holoportrait de sa famille sur l’unique commode où il rangeait ses uniformes – qui ne l’encourageait pas à y passer de longues heures. C’était un homme d’action et de terrain, pour autant qu’on puisse qualifier ainsi un capitaine de croiseur. Il aimait être au contact de son équipage tout au long de ses heures d’éveil, et cette habitude ne le quittait pas depuis le début de sa carrière.
Alors qu’il croquait dans une barre de rations pour prendre quelques forces, il laissa ses pensées vaquer vers cette époque déjà si lointaine… Il n’avait que quinze ans, et c’est alors au Département Judiciaire qu’il avait fait ses premières armes, sur quelques corvettes consulaires sous-armées. Quelle lointaine époque… Et combien les choses ont changé depuis !  Il lui arrivait malgré tout de regretter de temps à autre ces frêles esquifs et leur conception corellienne tellement plus chaleureuse que les froids engins des Chantiers Navals de Kuat.
C’était une autre époque… Nous n’avions pas alors à être surarmés pour voyager d’un bout à l’autre de la Galaxie. Tout était tellement plus simple…
À quinze ans, il n’aurait normalement pas pu intégrer les forces de la République. Mais il était parvenu à falsifier son dossier, et, quand ses supérieurs s’en étaient finalement aperçus, ils n’avaient pas osé le renvoyer dans ces écoles poussiéreuses où il avait le sentiment de perdre son temps. Non, ce qu’il aimait, c’était l’espace, son immensité majestueuse et ce sentiment de puissance et de solitude qu’il éprouvait en l’arpentant. Cela, personne ne pourrait jamais le lui retirer.
C’est pour cette raison que je me suis engagé. Pas pour les grades, pas pour le prestige de l’uniforme – rien que pour l’espace.
En quelques pas, il se rendit aux sanitaires. Son rang lui permettait d’occuper l’une des rares cabines équipées de commodités privatives, et c’était là un avantage dont il aimait profiter. Il enleva rapidement sa tenue de nuit et entra dans la douche sonique, qui le débarrassa en quelques instants des odeurs et des impuretés. Sur Corellia et la plupart des mondes tempérés, les humains disposaient de douches à eau dans leurs habitations, et même sur Coruscant les vapodouches étaient de mise. Mais sur un vaisseau spatial, l’eau était une ressource trop précieuse pour être gaspillée. Un fait que regrettait toujours Pellaeon ; les douches soniques avaient beau être hygiéniquement irréprochables, elles n’apportaient rien du plaisir de l’eau chaude coulant le long du dos. Mais si c’était là le prix à payer pour vivre de sa passion, il s’en acquittait sans peine.
Il sortit et se rendit devant le lavabo où, après un brossage de dents consciencieux, il procéda à son rasage quotidien en prenant bien soin d’épargner son abondante moustache. C’était la seule fantaisie qu’il se permettait dans sa tenue, sans trop savoir pourquoi. Elle ne lui venait pas de son père, ce commercial toujours rasé de près qui prenait bien soin de son apparence. Mais son grand-père maternel en avait une. S’il avait choisi un modèle, inconsciemment ou pas, c’était bien dans ce vieux pilote de cargo qui passait ses soirées sur la terrasse de sa minuscule maison à contempler les étoiles qu’il avait jadis visitées.
Son entretien corporel terminé, il retourna dans la pièce principale et sortit de sa commode un de ses nombreux uniformes du gris caractéristique des officiers de la Marine. Il prit soin d’ajuster ses manches et son col, fixa son insigne d’officier et attrapa son képi de tissu avant de quitter ses quartiers d’un pas énergique, pour le début d’une journée ordinaire.
En se dirigeant vers le pont, il prit bien soin de répondre aux saluts des militaires qui allaient et venaient, qu’il s’agisse de ses subordonnés directs du secteur de commandement ou des soldats en armure blanche qui patrouillaient dans les coursives du vaisseau. C’est à peine s’il nota une agitation inhabituelle : les gens semblaient plus pressés et chuchotaient frénétiquement en marchant.
C’est en pénétrant sur la passerelle qu’il eut un véritable choc. D’habitude, elle était à cette heure pleine d’effervescence ; c’était la fin d’un quart, et les équipes entrantes et sortantes préparaient la transition et rédigeaient les rapports qu’il aurait à lire pendant la journée. Mais il n’y avait aujourd’hui aucun mouvement, malgré la foule présente qui, sans exception, était massée autour du poste de l’officier de communications.
— Que signifie cette mascarade ? gronda-t-il à l’attention de son équipage.
Les visages qui se tournèrent alors vers lui étaient hagards, comme si toutes les personnes présentes sur le pont avaient été frappées par la foudre.
Puis ils se mirent tous à répondre en même temps, et Pellaeon dut lever les mains pour se faire comprendre.
— Par les Neuf Enfers, taisez-vous ! cria-t-il pour couvrir le brouhaha. Lieutenant Palton, au rapport, ordonna-t-il à l’adresse du chargé des communications.
Celui-ci se leva de son poste, très pâle, et s’avança sans saluer – un fait très inhabituel pour un homme autant porté sur les grades que lui.
— Vous n’avez pas entendu les dernières nouvelles de Coruscant, Capitaine ?
— Je dormais, Lieutenant, rappela-t-il alors.
— C’est… Inimaginable. Et les mêmes rapports viennent de toute la Galaxie.
— Abrégez.
— Ce qu’il veut dire, Capitaine, intervint alors l’enseigne Janad – en charge des senseurs –, c’est que le Sénat a été attaqué par les Jedi. Mais ils ont échoué, et ils sont morts, à présent. Tous, ou presque.
Pellaeon mit quelques instants à comprendre les mots et plus encore à en saisir toute la portée, et reçut finalement un véritable coup au cœur quand il assembla les pièces du puzzle.
— Les Jedi ont trahi la République ?
— Ils ont tenté d’assassiner le Chancelier ! s’écria quelqu’un.
— Rien d’étonnant de la part de cette secte, commenta un autre.
— Ouais, déjà qu’ils enlevaient les enfants ! approuva un troisième.
Les discussions reprenaient avec vigueur, mais Pellaeon, qui retrouvait à présent ses moyens, ne l’entendait pas ainsi.
— Silence, messieurs !
Les regards se tournèrent à nouveau vers lui.
— Ce qui se passe sur Coruscant ou ailleurs ne nous concerne pas pour l’heure. Notre véritable affaire, c’est de protéger le système Saleucami d’une contre-attaque séparatiste, et, complot Jedi ou pas, nous y parviendrons. Ai-je été clair ?
Les approbations se firent cette fois silencieuses.
— Bien. Retournez à présent à vos postes, et ne les quittez plus. Ah, Rashner, vous tombez bien, dit-il à l’adresse du capitaine suppléant qui venait d’entrer sur le pont.
Rashner était un ancien de la Garde du Sénat, qui avait démissionné quelques années avant la guerre puis s’était engagé dans la Marine pour pallier au manque d’effectifs compétents. Il commandait le croiseur Acclamator Leveler en l’absence de Pellaeon. Le capitaine lui fit signe d’entrer dans l’annexe bâbord du pont, où il le rejoignit après avoir donné quelques instructions urgentes.
— Ils vous ont mis au courant ? demanda l’officier en désignant d’un signe de la tête le reste de la passerelle quand Pellaeon entra dans la pièce.
— Oui. Je suppose que vous avez d’autres informations ?
— Quand j’ai entendu les premiers rapports, j’ai tout de suite fait jouer mes contacts. Le capitaine Autem m’a indiqué avoir reçu un rapport concernant la mort de la Jedi Allie. Exécutée par ses propres troupes. Apparemment, le phénomène se répète un peu partout dans la Galaxie.
— Et sur Coruscant ?
— C’est le chaos. La planète était déjà bien ébranlée par l’attaque de Grievous la semaine dernière, et cette affaire n’a rien arrangé. D’après mon ami Obrim, qui bosse pour les FSC, les Jedi ont été abattus jusque dans leur Temple, qui brûle à présent. Ils sont tous morts.
Pellaeon acquiesça sans conviction. Il avait encore du mal à réaliser ce que représentait la chute de l’Ordre.
— Mes contacts au Sénat m’ont livré des informations intéressantes, reprit Rashner. Windu aurait profité de l’annonce de la reddition séparatiste pour tenter de tuer Palpatine, qui aurait été gravement blessé. D’autres affirment que la fin de la guerre aurait été négociée avec le sort des Jedi en balance, et que les Jedi ont voulu enlever le Chancelier pour empêcher un accord. Quoi qu’il en soit, c’était un mauvais calcul…
— Attendez. Les Séparatistes veulent se rendre ?
— C’est en tout cas ce que j’ai compris. Grievous aurait été tué – par qui, je l’ignore. Mais c’est difficile d’obtenir confirmation de quoi que ce soit. La chaîne de commandement est complètement chamboulée.
Le capitaine le savait bien. Depuis quatre ans, les Jedi – idéalistes, inexpérimentés, et maintenant traîtres ? – occupaient les plus hauts postes de la hiérarchie militaire, et voilà qu’ils étaient tous éliminés, en l’espace de quelques heures, par leurs anciens alliés.
— Comment a réagi le Sénat à ces annonces ?
— C’est justement pour ça que je voulais vous voir ; je viens juste d’avoir l’info. Palpatine a proclamé l’Empire en lieu et place de la République. Les Sénateurs l’ont paraît-il plébiscité… C’est incroyable, non ?
— Oui, plutôt.
Ces mots n’étaient que des euphémismes aux yeux de Pellaeon. L’effondrement d’un Ordre antique, la paix dans l’une des guerres les plus sanglantes de l’histoire de la Galaxie et le remplacement d’une République universelle plurimillénaire par un Empire Galactique ? C’en était trop pour une seule nuit.
— Que va-t-on faire ? demanda Rashner, visiblement inquiet.
— Que voulez-vous qu’on fasse ? retourna Pellaeon, non sans ironie. Ces histoires ne nous concernent en rien ou presque. République, Empire… Ce ne sont que des mots. Notre allégeance peut aller de l’une à l’autre si la situation l’exige. D’ici à ce que de nouveaux ordres arrivent, je veux avoir ce vaisseau sur le pied de guerre. Nous aviserons pour le reste en temps utile.
Sans un mot de plus, le capitaine rejoignit la passerelle et son point d’observation favori, au centre de la baie vitrée, fidèle à son habitude.
Là, observant toutes ces étoiles qui venaient de changer d’allégeance, il décida que cette journée n’était finalement pas si ordinaire. 
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Messagepar Red Monkey » Dim 13 Sep 2015 - 12:21   Sujet: Re: [OS] Une journée si ordinaire

Du Jagen, du Jagen !!! :lol:

Quoi de mieux que Pellaeon pour avoir un texte de qualité :D

J'aime bien, encore une fois. Petit passage tranquille sur le quotidien de l'officier, les détails apparemment anodins mais qui peuvent avoir une importance toute distinguée selon le contexte... Et la révélation qui chamboule tout.
Eh oui, tout n'était pas blanc et noir, c'est un passage mouvementé.

Belle retranscription de tout cela en tout cas. J'adhère. :hello:
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Messagepar Titi77 » Dim 13 Sep 2015 - 13:40   Sujet: Re: [OS] Une journée si ordinaire

Moi ça m'a plutôt fait sourire : Pelly qui prend sa douche, Pelly qui se lave les dents... :D
Plus sérieusement, la partie après la "révélation" rend bien compte du caractère de notre cher protagoniste.
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Messagepar Jagen Eripsa » Dim 13 Sep 2015 - 13:56   Sujet: Re: [OS] Une journée si ordinaire

Merci pour vos retours. :jap:

J'essayerai de sortir à l'occasion d'autres nouvelles sur les principaux protagonistes de La Fédération Impériale... Sauf peut-être pour Corran Horn, qui en a déjà eu assez dans l'UEL. :cute:
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Messagepar L2-D2 » Dim 13 Sep 2015 - 15:43   Sujet: Re: [OS] Une journée si ordinaire

Ah oui, pas mal du tout !

Dès le début, lorsque tu fais référence à quelques années de guerre, je me suis demandé "quelle guerre ? La civile ? Celle des Clones ?", et je l'ai tout aussi vite oublié en me plongeant dans le quotidien de Pellaeon, ses interrogations et son passé... Et puis, vers le milieu de cette courte nouvelle, le choc, la révélation sur l'Ordre 66 (mode vie personnelle : en plus, hier soir, j'ai revu l'Episode III, donc la lecture tombe à pic ! :lol:) et les incertitudes liées à cette nouvelle donne. Une lecture vraiment intéressante (avec en prime quelques liens sympathiques avec l'UE Legends comme les références à Saleucami, Sagoro Autem ou bien les FSC), et j'espère qu'on aura droit à d'autres interludes avec les autres protagonistes de La Fédération Impériale... Ou même, une série de one-shots sur Pellaeon, soyons fou ! :love:

En revanche, j'ai remarqué une petite répétition ici :

Jagen Eripsa a écrit:D’après mon ami Obrim, qui bosse pour les FSC, les Jedi ont été abattus jusque dans leur Temple, qui brûle à présent. Tous ont été abattus.
Que Monsieur m'excuse, mais cette unité D2 est en parfait état. Une affaire en or. C-3PO à Luke Skywalker

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Messagepar Zèd-3 Èt » Dim 13 Sep 2015 - 16:44   Sujet: Re: [OS] Une journée si ordinaire

Bravo pour cette histoire.
Quand un ouvrier a travaillé dix-huit heures, quand un peuple a travaillé dix-huit siècles et qu'ils ont, l'un et l'autre, reçu leur paiement, allez donc essayer d'arracher à cet ouvrier son salaire et à ce peuple sa République !
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Messagepar Jagen Eripsa » Dim 13 Sep 2015 - 22:12   Sujet: Re: [OS] Une journée si ordinaire

Merci pour vos commentaires !

L2, tes impressions ont été une fois de plus celles que j'espère créer chez mes lecteurs ! Merci pour la répétition notée, je l'ai corrigée. :jap:
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Messagepar TienVogh » Ven 12 Fév 2016 - 17:33   Sujet: Re: [OS] Une journée si ordinaire

Très bien ce petit OS, on sent l'auteur confirmé. :wink:

On voit bien que les Jedi ne sont pas très populaires et qu'il n'y a pas qu'au sénat que leur élimination et la proclamation de l'Empire ont été approuvés. On retrouve bien aussi le caractère de Pellaeon, le devoir avant tout !

J'ai juste remarqué quelques petites coquilles :
  • un a qui s'est perdu en route
    — Quand j’ai entendu les premiers rapports, j’ai tout de suite fit jouer mes contacts.
  • un de qui manque avant la reddition
    Windu aurait profité de l’annonce la reddition séparatiste pour tenter de tuer Palpatine,
FanFictions : Dark Claria : Dame rouge des Sith (roman), Pour toi, Tarania (OS)
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Messagepar Jagen Eripsa » Dim 14 Fév 2016 - 21:43   Sujet: Re: [OS] Une journée si ordinaire

Merci pour ce retour. ;)

Et pour ces corrections aussi ! Le "de" manquant avait été corrigé pour la version publiée sur le site, mais le "a" m'avait complètement échappé... :transpire:
Tu as toute ma gratitude. :jap:
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