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[En cours] Phoenix : Renaissance

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Messagepar kamocato007 » Mar 26 Juin 2007 - 21:38   Sujet: 

Le groupe terroriste des Légions De La Peur, mené par le terrible Ex Nox, menace l’équilibre impérial. Le capitaine Thrawn, secondé par la charmante Shana Dix, libère leur seul espoir de prison : Phoenix Natazeus. Ce dernier fait le serment d’assassiner Nox par tous les moyens, pour venger sa femme et ses deux enfants qu’il a tué seize ans plus tôt.
Mais Phoenix se rendra vite compte que tout ceci n’est qu’une mascarade, grâce à l’aide du mystérieux « L » : Nox est le pantin de l’Empereur, qui désire obtenir la mystérieuse armée des « Enfants de Babylone », fruit de l’étrange « Projet Nine ». La libération de Phoenix n’était qu’une motivation de plus pour accélérer les choses. Ex Nox trouve les Enfants de Babylone, demande à l’Empereur d’éliminer Phoenix, mais il est déjà hors de contrôle… Palpatine appelle le terrible chasseur de prime Reve Randcyde pour effacer Natazeus de son plan démoniaque.
Pendant ce temps, un mystérieux héros, Maske, sème le trouble et le chaos sur Coruscant : qui est ce justicier masqué ?
Arrivé sur Omnimantis, le repère de Nox, Phoenix marche vers la première étape de sa vendetta : les deux enfants de Nox, protégés par son masochiste homme-cerbère, Sans-Nom…


Chapitre IX
Une sombre histoire de vengeance


Aucune route n’est droite et monotone. Elles se croisent, se suivent, s’éloignent et se recroisent sans cesse, dans ce que l’athée appelle le hasard et ce que l’adepte nomme la providence. La galaxie est faite de routes, de petits sentiers sans importance, la longue toile fragile qui se tisse entre les planètes, et des grandes voies du destin, celle que foulent les Grands. La moindre proximité entre elles engendre un grand trouble dans la Force : c’est le signe, que, dans une galaxie lointaine, très lointaine… l’Histoire est en marche.

Omnimantis, planète fantôme.

Quand l’Hercule Rouge de Reve Randcyde émergea de l’Hyperespace, l’émeraude intense d’Omnimantis pénétra son cockpit, et quand le vaisseau corellien franchit l’atmosphère de la tranquille planète forestière, son radar scanna les deux tiers du territoire. La région grouillait d’impériaux, mais son code était reconnu par tous les destroyers -pas d’attaque en vue. La forêt s’étendait à perte de vue : au-delà des brumes, le jour s’élevait timidement sous un orage menaçant.
- Scan large : je cherche un homme, soixante ans environ, 1m90. Et des glaçons. Met-moi un peu de musique, aussi : un bon vieux Flipp fera l‘affaire.
Il sirotait un brandi de sa composition tandis que l’Hercule Rouge auscultait la zone à la recherche de sa cible. Pas de problème à priori, songea Reve : un vieux briscard ramolli par vingt ans de tôle ne semblait relever d’un défi majeur. Le genre de mission qu’il aura oublié le lendemain.
Orlando-Flipp n’eut pas le temps d’entamer son solo de clochette que le tableau de bord émit un bip victorieux : une petite tâche sombre se déplaçait sur le radar, à proximité de sa route. Il scanna à nouveau les environs : trois points clignotaient à moins d’un kilomètre de sa cible (« Calcule-moi ces tâches au point 23.4. ») et Hercule y soupçonna deux enfants et un homme d’âge mûr.
- On dirait que lui aussi est à la recherche de quelque chose… Hercule, bascule-moi sur les commandes manuelles, on atterrit.

Les éclats du matin planaient au-dessus de la forêt, mais pas une lueur ne pénétrait l’épaisse muraille de branches et de feuilles, et Phoenix ne devinait rien du jour : il avançait au hasard de la Force, dégageant son chemin de prompts horions de sabre. Le murmure de la forêt l’environnait comme une agréable compagnie, et une savoureuse fragrance de tilleul serpentait les terres, mais son esprit se fermait à toute pensée. La Force guidait sa marche : il s’y fiait à chaque nouveaux pas
Il martelait les herbes hautes de son sabre, improvisant un passage, quand il écarta une branche : elle révéla une vieille longère isolée, peinte au milieu des panaches de gouaches sinistres et blafardes, un combat sans vainqueur entre l’ombre et la lumière. Tout s’était soudain tût : la nature attendait que la Vendetta s’exécute, silencieuse et spectatrice. Aux premières loges, elle balança sur la scène une rude pluie subite, et envenima l’atmosphère de quelques éclairs.
Il resta un instant transi dans le froid et l’orage, sentant l’eau serpenter sa nuque et son échine, puis il brandit son sabre en position Shen Ih, en phase avec ses instincts et la Force. Son regard était sombre, fou d’une rage lucide, prêt à savourer le premier acte de sa vengeance : les enfants de Nox constituaient, en cela, une aubaine fabuleuse. Son pied dégonda la porte, et…

Ancien domaine des Osll Kay, sur Omnimantis.

Les deux enfants étaient là, tapis dans l’éclat blafard d’un feu de cheminée agonisant. Le même regard que celui imprimé de mort et de souffrances que lui portaient Dorothy et Tionn quelques minutes après leur trépas: un mélange indistinct de peur et d’innocence, les yeux humides et les lèvres sèches. La fille était blonde et pâle, elle suçait son pouce. Le pissenlit qui ornait sa chevelure glissait sous ses tremblements. Le garçon avait le regard téméraire de son père, sans en assumer l’épouvante. Un futur guerrier, sans doute… ou du moins l’aurait-il été…
Les enfants n’étaient pas seuls. L’homme -c’était un homme?- qui les surveillait était un monstre de muscles sous un cuir épais qui le recouvrait de la tête : des épines lui pénétraient la peau, il grognait d’une voix rauque et canine, et se balançait les hanches, comme un loup prêt à l’attaque.
- Tu peux soit te casser d’ici, soit y rester, et mourir. C’est ces deux pauvres gosses que je suis venu tué, pas toi.
Sans-nom resta, résigné. Ses mouvements crissaient son armure de cuir, il révéla le long de ses mains d’impressionnantes griffes aiguisées.
- Alors meurs, fit Phoenix.
Il brandit son sabre en position As Ard, tandis que Sans-Nom bondissait sur lui, tous crocs dehors. Il le repoussa par un bref horion, et braqua son sabre derechef. Il avança, stratégiquement, à mi-chemin, au centre de la pièce, et Sans-Nom s’élança à nouveau sur lui avec la vélocité d’un tigre. Phoenix hacha l’air, mais manqua de justesse la nuque de son assaillant, et tous deux s’effondrèrent sur le sol. Dans la chute, ses revolvers se perdirent sous les tapis.
L’haleine puante de Sans-Nom lui effleurait les narines, et ses griffes affilées se promenait sur son corps, pénétrant sa peau dans une intense souffrance incisive. Il hurla, chassa promptement le molosse, et jeta un œil aux enfants : ils restaient transis de peur, sous une table basse, devant le spectacle qui allait décider de leurs vies.
Phoenix se releva, calma ses battements de cœur, mit de côté sa douleur, et opta pour le Chihito -une vieille technique Jedi, dans laquelle il avait excellé. Sans-Nom grogna à nouveau, d’une rage indicible, et bondit sur lui, véloce et irascible. Rapidement, il orienta sa lame à bonne hauteur et la braqua sur son ennemi : le sabre pénétra le cuir, l’os et la chair, et quelques secondes plus tard, Sans-Nom gisait sur le tapis en sang, gémissant comme un molosse abattu.
Phoenix pointa sa lame sur la gorge du malheureux, l’acheva, et le silence revint.

Trois battements de cœur retentissaient dans le salon : deux étaient alertes, deux cœurs frêles dans deux poitrines tremblantes. Le troisième était sûr, maîtrisé : le corps tout entier s’unissait dans une inébranlable forteresse de muscles et de vengeance. Seize ans sur Panoptika défilèrent dans ses yeux : la souffrance des tortures, l’odeur fétide serpentant son être, la solitude destructrice de la cellule plongée dans l’ombre éternelle… la sensation d’être enchaîné sans chaînes, celle d’être verrouillé dans la quête d’une vendetta impossible…désormais prête à être rendu.
Les deux enfants fixaient Phoenix sous la table basse : leurs deux yeux humides brillaient dans l’éclat chancelant de la cheminée, et lorsque Phoenix leur murmura « Levez-vous… », ils s’exécutèrent.
La pièce si chaude était devenu un glacier silencieux. Seul le feu crépitant osait briser le silence stupéfait.
- Je veux que vous sachiez, avant toute chose, pourquoi je suis là et pourquoi je vais faire ce que j’ai à faire.
La jeune fille blonde dévisageait Phoenix et sa voix tremblotante s’éleva timidement des ténèbres :
- Qu’allez-vous faire, monsieur…
- Asseyez-vous. (Dans la cheminée, le feu crépita violemment) Ex Nox est votre père, c’est ça ?
Les deux enfants acquiescèrent et Phoenix continua d’une voix monocorde, rouée, maîtrisée dans une intense rage contenue.
- Je ne sais pas ce que vous connaissez de lui, mais quoiqu’il en soit, vous devez avoir connaissance de ce qu’il m’a fait, il y a seize ans. D’abord, quels sont vos noms ?
Deux chuchotements craintifs comme réponse.
- Wie et Lo, c’est ça ? Je sais qu’il aimait bien ces noms… nous étions amis, il y a longtemps, enfin je crois que nous étions amis. Moi aussi j’avais des enfants : Tionn et Dorothy avaient vos âges quand votre père les a assassiné. Ils n’avaient rien pour se protéger, ils n’avaient rien à voir avec la raison pour laquelle votre père a cru bon de me détruire. Comme vous, à ce moment précis. Ma femme est morte aussi : votre père est un tueur, et il m’a pris la seule chose qui avait donné un sens à ma vie. Et cette vie a trouvé un autre sens depuis cette nuit : la vengeance. Vous êtes trop jeunes, pour comprendre la vengeance, vous ne comprenez pas le monde et comment il roule, mais ce sentiment vous détruit de l’intérieur, et je veux que votre père connaisse cette émotion avant de mourir.
Wie et Lo écoutaient en silence. Ils regardaient tantôt le sabre aiguisé et sanglant que Phoenix empoignait dans une main, et le revolver chargé qu’il tenait dans l’autre.
- Avez-vous un moyen de lui parler ? Fit ce dernier après s’être éclairci la voix.
Lo désigna un holocom au-dessus de la cheminée, et Phoenix l’activa : une intense lumière bleue pénétra le salon, et une voix féminine se déclara rapidement :
- Que désirez-vous ?
- Nox. Je veux Nox. Tout de suite.
- Avez-vous un rendez-vous avec lui ?
- Dites-lui que c’est Natazeus.
- Je suis désolée, il faut un rendez-vous pour lui parler. Qu’en serez-vous disponible ?
- Je vais tuer ses deux gosses dans quelques minutes, je veux l’avoir devant moi quand je les exécuterai.
A ces mots, Wie et Lo eurent le souffle coupé : ils allaient s’enfuir quand ils croisèrent le regard du revolver : le canon épiaient leurs moindres gestes et ils s’immobilisèrent au milieu du salon, tellement glacés qu’ils ne pouvaient plus trembler.
Un instant plus tard, la silhouette bleutée de Nox apparut dans la pièce, et lorsqu’il vit ses deux enfants transis de peur devant le revolver de Natazeus, sa voix chancelante était à peine audible :
- Phoenix… tu ne peux pas… attends, je suis sûr qu’on peut parler.
Phoenix fixa son ennemi. Les traits de son visage s’étaient tendus dans une rage froide et calculée. Le silence s’installait dans le salon, l’hologramme vacillant et l’homme inébranlable se faisaient face.
- As-tu eu pitié de mes enfants, Ex ? Leur as-tu donné une chance ?
- C’était il y a seize ans… je t’en supplie, Phoenix, j’ai changé. Je peux tout te donner, de l’argent, du pouvoir… ce que tu veux. J’ai une armée dans mes mains, tu peux tout avoir… Tu ne veux pas faire ça, tu ne peux pas venger Tionn et Dorothy de cette façon !
Un éclair passa sur le visage noir de haine de Phoenix Natazeus. Ses deux yeux grands ouverts dans l’obscurité s’animèrent d’une violence bestiale.
- COMMENT OSES-TU PRONONCER LEURS NOMS ? Regarde une dernière fois tes gosses, Ex, une toute dernière fois.
- Non… non…
Un doigt sur la détente, Phoenix visa le crâne de Lo. La petite fille se cachait les yeux avec ses mains, de longues larmes coulaient de ses doigts.
- Je t’en prie… tue-moi à leur place, Phoenix… regarde-les… ce sont des enfants…
- Je veux que
tu éprouves ça, Ex, je veux que tu connaisses cette souffrance… tu seras bientôt mort. J’ai attendu seize ans ce moment. Regarde bien, Ex -regarde. Wie, Lo, voyez ce qu’a fais votre père.
- NON !
Deux coups de feu. Deux balles. Deux corps qui tombent. Quelque chose qui se termine, et quelque chose qui commence…

Aucune route n’est droite et monotone. Elles se croisent, se suivent, s’éloignent et se recroisent sans cesse. La Guerre des Étoiles est une toile d’araignée : elle y tisse ses routes dans la souffrance et le chaos. Dans l’une des innombrables histoires qui composent ses filets, deux chemins se croisent pour la deuxième fois : Phoenix Natazeus et Exilion Nox. Au-delà des souvenirs, au-delà des vengeances et des folies destructrices, la galaxie trouve à nouveau le chaos dans ce qui constituera son chapitre le plus sombre et le plus absolu…
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Messagepar Django » Mer 27 Juin 2007 - 0:06   Sujet: 

Ca alors KMTO sort de son hibernation studieuse :wink: .

J'espère qu'il ne va pas s'arreter en si bon chemin. Un peu de courage et mets nous la suite de ton histoire.

@ plus
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Messagepar Darkwilliam » Mer 27 Juin 2007 - 17:02   Sujet: 

Le moins que l'on puisse dire, c'est que c'est court mais ça déchire! 8)

Très prenant, du début à la fin, bravo! Je sais pas pourquoi, je sentais que ce chapitre allait mal se terminer, qu'il franchirait encore un cap dans l'horreur, bah j'avais raison. Excellentes descriptions qui rendent l'atmosphère prenante et qui font bien partager les sentiments des personnages. En plus la tension va crescendo, et ça c'est bien aussi et ça donne de la force au récit dans la mesure où le lecteur veut savoir ce qu'il va se passer.:)

Rien à redire ou presque, hormis que dans cette histoire, ils sont tous aussi cruels les uns que les autres. La violence entraînant la violence, je me demande bien où tout ça va nous mener. :sournois:

Seul reproche en fait: quand on lit le petit résumé du début, on se rend compte que l'histoire est complexe (ce qui est bien), que les personnages sont assez nombreux (ce qui est pas mal non plus :D ) mais que les délais de livraison entre les chapitres rendent l'histoire assez difficile à suivre.

Mais étant donné que tu es bientôt en vacances, tu vas pouvoir augmenter le rythme de parution, n'est ce pas? :P
Merlin: Elias, sauras-tu répondre à cette énigme: qu'est ce qui est petit et marron?
Elias: Un marron.
Merlin: Oh putain il est fort ce con!
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Messagepar kamocato007 » Mer 27 Juin 2007 - 17:37   Sujet: 

Darkwilliam a écrit:Rien à redire ou presque, hormis que dans cette histoire, ils sont tous aussi cruels les uns que les autres. La violence entraînant la violence, je me demande bien où tout ça va nous mener. :sournois:

Seul reproche en fait: quand on lit le petit résumé du début, on se rend compte que l'histoire est complexe (ce qui est bien), que les personnages sont assez nombreux (ce qui est pas mal non plus :D ) mais que les délais de livraison entre les chapitres rendent l'histoire assez difficile à suivre.

Mais étant donné que tu es bientôt en vacances, tu vas pouvoir augmenter le rythme de parution, n'est ce pas? :P


C'est vraiment le genre de commentaire qui fait du bien :wink: Merci d'avoir lu, déjà, et pour répondre à la question sur les délais de livraison, oui ils seront moins grands qu'avant (un chapitre par semaine - en plus ils seront de taille plus réduite).

Le prochain chapitre sera sans doute plus "calme" dans le sens où il n'y aura pas d'infanticide :P et il clorera à jamais Phoenix : Renaissance. A bientôt alors :)
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Messagepar Den » Jeu 28 Juin 2007 - 10:05   Sujet: 

Tiens, la suite de pheonix! Un peu courte cette suite, mais toujours aussi bonne! Une fois de plus des attrocités, de l'horreur, de l'action, ainsi que tous les ingrédients pour faire une excellente FF. Tu décris toujours aussi bien les lieux, les persos, les actions, etc!
En gros, j'ai vraiment aimé! Vite vite la suite :lol:
"Vergere m'a appris à embrasser la douleur et à m'y soumettre. J'en ai fait une partie de moi-même, une partie que je ne pourrai ni combattre, ni nier." Jacen Solo
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Messagepar kamocato007 » Jeu 28 Juin 2007 - 10:08   Sujet: 

Merci merci ! :) La suite samedi :wink:
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Messagepar bioman » Jeu 28 Juin 2007 - 10:27   Sujet: 

samedi???, et si on te fais un beau sourire, demain??? :D
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Messagepar Darkwilliam » Dim 15 Juil 2007 - 9:45   Sujet: 

kamocato007 a écrit:Merci merci ! :) La suite samedi :wink:

:o :ange: :wink:
T'as pas d'excuse là! T'es en vacances! :D
Merlin: Elias, sauras-tu répondre à cette énigme: qu'est ce qui est petit et marron?
Elias: Un marron.
Merlin: Oh putain il est fort ce con!
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Messagepar kamocato007 » Lun 16 Juil 2007 - 10:25   Sujet: 

Tout est prêt pourquoi :P Mais avec mon déménagement sur Paris, j'ai quelques problèmes d'ordi et d'internet, mais logiquement le chapitre arrive demain ou après-demain :o A priori :P
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Messagepar kamocato007 » Mar 17 Juil 2007 - 11:22   Sujet: 

Voilà Phoenix:Renaissance terminé, je précise que je publierai la suite sur le même topic, à des intervalles plus réguliers ^^

Bonne lecture !


Phoenix assassine les enfants d’Ex Nox. Ce dernier détient l’Orbe, seul capable de gouverner la terrible armée de Babylone, promise à l’Empereur. Reve Randcyde, le ténébreux chasseur de prime, approche de sa cible, Phoenix. A bord du Vengeance, Thrawn se lie d’amitié avec le sergent Shana Dix, orpheline.

Chapitre X : La guerre de Babylone

De tous temps, l’orage fit peur aux hommes : du brusque éclat mordoré à l’éclair terrassant les ténèbres, mille hypothèses ponctuèrent son mystère. Partout dans la galaxie, le ciel se détraque d’une foudre pernicieuse, annonçant avec fracas que la Guerre des Étoiles est à jamais amorcée. Une curieuse sensation de chaleur, une étrange clarté céleste… et une tempête houleuse s’abat sur la galaxie. De la haine de deux hommes, naît une guerre qui mettra à feu et à sang la galaxie toute entière. L’orage tonne, gronde et condamne, tandis que sur la scène, l’acte deux se manigance…

Coruscant, capitale de l’Empire.
Le déluge cinglait les hauts vitraux noirs du palais, avec la sauvagerie d’une lionne. Dehors, tout n’était que chaos humide et tourment imprégnée de la tempête soudaine. Mais il fallait bien plus d’une tornade pour faire trembler l’inébranlable forteresse de l’Empereur : là où l’acier et le fer écrasait la nature d’une imposante fermeté métallique, l’eau transpirait sur la citadelle qu’elle ne pouvait imbiber.
Il y faisait tellement sombre que la salle du trône ne semblait pas avoir de voûte. Tout y paraissait froid, malsain, distant de l’humain, et chaque pas, chaque battements de cœur, y résonnaient dans un infâme silence pervers. L’Empereur était là, seul, installé sur son trône, et sa silhouette arquée dominait la salle en y allongeant ses ombres et ses contours imprécis.
Tellement de plans s’étaient échafaudés dans cette pièce : de l’élaboration d’un assaut surprise à l’assassinat d’un sénateur trop curieux, la moindre entreprise était planifiée dans une précision mathématique. Les Enfants de Babylone étaient, à ce titre, un ouvrage des plus laborieux. Le projet Nine, seize ans plus tôt, fut mené au désastre par une bande de Jedi -heureusement, grâce à Darde Rosso, Babylone fut rouverte.
Natazeus était une idée de Vador. Encore une tentative malheureuse de recouvrer son talent d’antan. La libération de Phoenix aurait dû motiver davantage Nox d’accélérer les choses, mais Natazeus n’était pas le genre d’homme que l’on peut prétendre asservir, ni même garder sous contrôle. Reve Randcyde allait l’éliminer : il attendait d’une minute à l’autre l’annonce de sa victoire sur l’ancien détenu, et la promesse de Nox de lui céder l’Orbe, seul moyen de domination des Enfants de Babylone.
L’holocom émit un bip. Un instant plus tard, la silhouette bleutée d’Ex Nox vacillait dans la pénombre -la Force retint son souffle. Dans le cerveau de Palpatine, les neurones électrisèrent les encéphales, et la machine de guerre cérébrale se mit en marche.
- Nox, Reve Randcyde a déjà dû tuer votre ennemi, broda-t-il. Je vous serai gré de bien vouloir tenir votre promesse dans les plus brefs délais -donnez-moi l’Orbe.
Silence. L’hologramme se brouilla, puis redevint net. La voix tremblante et humide de Nox s’éleva dans les ténèbres :
- Il les a tué. Mes enfants… Wie, Lo… il les a tué.
Sa voix se tût dans un murmure inaudible - L’Empereur s’était toujours délecté de la souffrance des autres, mais chaque larme qui coulait des joues de son pantin invalidait un peu plus son plan bien huilé.
- Palpatine, c’est Votre faute… Vous avez libéré Phoenix…
- Le seul moyen de vous venger est de me donner les pouvoirs de le faire, Nox…
- PAS MOI ! JE NE SUIS PAS UN DE VOS JOUETS !
- Je peux sauver vos enfants, moi seul peut le faire, affirma l’Empereur d’une fausse voix tendre, à condition de…
- NE JOUEZ PAS AVEC MOI ! Vous allez regretter, Palpatine, vous allez bientôt regretter… J’ai l’Orbe, j’ai tout le pouvoir…
Sa voix prenait de l’assurance. D’humide, elle passait rauque et grave -plus sauvage, plus précise. D’homme, il était passé bête.
- Vous ne pouvez guider une armée. Vous devez faire votre deuil… tenta l’Empereur.
Son plan… Tout partait en miette…
- Je vais vous tuer… j’aurai l’Empire dans les mains, et vous à mes pieds… susurra Nox, d’une voix froide et calculée.
- Ce sont des menaces ?
C’était une déclaration de guerre. L’hologramme s’éteint et l’ombre envahit soudainement la pièce. A nouveau, le tonnerre gronda.



Omnimantis, planète damnée.
Reve Randcyde acheva son brandi, demanda à l’Hercule Rouge de réchauffer le cassoulet de Mama Randcyde, puis vérifia ses blasters et ses lames.
Omnimantis était d’un calme plat : le silence de la forêt l’environnait d’une étrange compagnie familière : il avait sillonné tant de planètes, de territoires inconnus, fouiner dans tant de grottes, forêts et marécages, qu’aucun endroit ne lui paraissait inédit à présent. Son ombre furtive s’imprégna dans les jeux d’ombres de la forêt, et il suivit les traces de sa proie.
Une heure s’écoula dans le secret de la nuit naissante, à la traque de branches brisées, d’un sillage se distinguant dans les hautes herbes humides. Ses pas le conduisirent à une vieille longère isolée, et sur le chemin de terre battue, une longue silhouette se dressait dans l’ombre primitive de l’obscurité - sa mission.

L’écho des coups de feu résonna longtemps dans l’atmosphère, planant dans l’air dans un écho sourd, et le silence revint. Les corps gisaient sur le sol, immobiles, comme sculptés dans l’obscurité. Il se passa trente secondes, cinq minutes, une heure, un an… le temps n’avait plus cours sur les lieux, mais quand Phoenix se tourna vers l’hologramme d’Ex Nox, il en savourait chaque millième avec une intense satisfaction. Ce qu’il resta d’humain en lui, les deux balles de son revolver l’avait réduit en miette.
Les deux hommes se fixèrent longtemps, d’un regard qui rendit le moindre mot désuet et scabreux : les yeux emplis de haine, les visages crispés, les expressions de terreur et de résolution, tout se parlait sans mots.
- Et maintenant, que va-t-il se passer ?
- C’est toi et moi, maintenant.
L’hologramme disparut, rétablissant les ténèbres en maîtres des lieux. Phoenix enjamba les cadavres, et quitta la longère. Il s’engouffra à nouveau dans la forêt, se rendit tout entier à l’ombre, sentant la migraine éclore lentement dans sa tête, et de vieux flashs saturaient son cerveau : Tionn et Dorothy l’observaient de l’intérieur, et leur jugement le rongeait peu à peu.
De ce qui était fait, il ne pouvait rien regretter : il avait tué des centaines d’innocents dans sa vie, la mort des deux enfants de son pire ennemi avait juste un goût plus amer… et il s’en contentait. Il avait trop ressassé le passé pendant seize ans pour prêter attention aux détails de sa vendetta.
Il se figea soudain au beau milieu de nulle part : ses sens scannèrent à dix kilomètres à la ronde…
L’air était froid, venteux, la nuit coulait lentement sur la forêt.
Le contact rassurant de ses revolvers, la détente à portée de doigt.
Des pas qui se rapprochent, écrasant discrètement les branchages secs.
L’ombre sans secret, sans excès. Clair de lune : l’endroit parfait pour une rencontre sanglante.
Une vague odeur de brandi, les relents d’une cigarette, du parfum pour plaire aux dames.
- Pas la peine de la jouer surprise-party avec moi : tu te montres comme un homme et tout de suite, s’écria-t-il -et sa voix plana longtemps autour d’eux.
Une voix assurée lui répondit aussitôt :
- Si c’est ta dernière volonté…

Reve Randcyde se montra, un blaster à chaque main, il croisa le regard de Phoenix et dressa rapidement l’état des lieux : son adversaire avait des sabres, des revolvers, des muscles rouillées, un regard plutôt perçant, et des réflexes qu’il devinait affûtés. Il avait eu affaire à d’autres balourds bien plus costaud, le brandi qu’il venait de boire lui avait mis un peu de baume au cœur… l’affaire Natazeus serait bouclée dans quelques minutes.
- C’est Palpatine qui t’envoie au casse-pipe, c’est ça ? C’est quoi ton nom ? Demanda Phoenix en allumant une cigarette.
Un trait de fumée ondulait au-dessus de lui et le bout incandescent s’embrasait puis se calmait à chaque nouvelle bouffée. Reve Randcyde détailla l’état des lieux : une cigarette à la main droite. Pense-bête : ne pas la prendre dans l’œil.
- T’es pas dans les petits papiers de l’Empereur, Natazeus. Allez, fais pas le malin, et je tuerai sans souffrances…
- Je viens de tuer deux gosses de moins de dix ans - je suis plutôt du genre à jouer les baroudeurs…
- Alors, baroude bien…

Phoenix fut le premier à dégainer : le doigt bien fixé sur la détente, il visa Reve du coin de l’œil. Il disparut sous les hautes herbes, avant que la balle fusent dans les branchages. La vague sensation de se retrouver au bon vieux temps des rixes rurales laissa sa place à la sensation d’avoir vieilli d’un siècle entre temps : quand Phoenix bondit derrière un vieil arbre calciné, il sentit ses os lui rappeler qu’ils n’étaient plus de première jeunesse.
- Te bile pas, Papy, fit une voix à vingt mètres de lui. J’entends tes os craquer d’ici, sors de ta cachette et tu sentiras juste une petite brûlure sur le front…
Phoenix calma ses battements de cœur, estima ses chargeurs -à peine trente balles calibres 6, face à deux blasters classe 9, il n’allait pas faire le poids longtemps. Il s’accroupit (putain de dos…) sous la cime des herbes humides, les tympans aussi aiguisés que ses lames. Randcyde devait être quinze, peut-être dix mètres…il jugea qu’il avait adopté la même stratégie. Il pointa le canon de ses revolvers en direction de sa position présumée…
L’idée de tirer à l’aveuglette, avec un arsenal limitée, face à des blasters, était sans doute discutable : pour la première depuis l’assaut sur Vanirion (une vieille mission aux balbutiements de l‘Empire), il regretta de ne pas s’être modernisé.
Le déluge de balles et de lasers commença : les tirs de blasters fusaient de toutes parts, calcinant la flore, et ses revolvers mitraillèrent au hasard de ses instincts. Aussitôt, il sentit une salve lui traverser la jambe et l’épaule, et il plia sous la douleur. Son hurlement lui racla la gorge. Il resta cloué sur le sol, privé du moindre geste, et vit le crâne de Randcyde se risquer au-dessus des herbages.
- Je pensais pas que t’allais risquer le coup, grand-père : t’inquiète, je vais abréger tes souffrances.

Je vais abréger tes souffrances…
Randcyde avait dit ça tellement de fois (la phrase culte de tout bon chasseur de primes ironique qui se respecte) et viser le crâne d’un homme était aussi monnaie courante. Il chuchota un « Bye Bye » courtois et pressa la détente…
Mais chuta lourdement sur le sol. Ce vieux bougre avait encore des jambes d’acier.
Il sentit un pied lui déjouer la mâchoire, mais remit aussitôt la situation à son avantage : il prit appui sur son bras et dans un geste ne relevant aucun doute sur son agilité, répondit promptement à la tentative de Phoenix.
Natazeus était à terre. Et il allait y rester.
- Bien joué, fit Randcyde en prenant prudemment ses distances. Je te le redis, pour la bonne et dernière fois : Bye, Bye…
En joue.

Son PDA émit un bip. Dieu avait vraiment envie de retarder l’instant funèbre.
- Oui ?
- Je vous met en liaison avec l’Empereur, Mr Randcyde.
Un instant s’écoula, Randcyde gardait Phoenix à portée de blaster.
- Randcyde ? L’avez-vous fait ?
- Tuer Natazeus, vous voulez dire ? Non, mais il est à mes pieds, une pression sur la détente et il s’en ira au paradis des grands-pères.
- Mission annulée, Randcyde. Mission annulée. J’espère qu’il gardera toute sa validité…
- Deux bobos sans gravité, Palpy, il est à ma merci. Mais j’ai peur de ne pas vous suivre. Vous voulez le tuer, puis qu’il soit en pleine forme.
- La situation galactique a changé. J’ai donné le signalement d’un nouvel ennemi à tous les chasseurs de prime de la galaxie. Exilion Nox doit mourir.
- Quant à mes honoraires ? C’est satisfait ou remboursé, chez moi…
- La mort de Nox représente dix fois plus à mes yeux que celle de Natazeus. La compensation financière est proportionnelle à mon intérêt.
A ces mots, les yeux de Randcyde s’illuminèrent de satisfaction. Il se tourna vers l’objet du contrat obsolète : Phoenix était plutôt mal en point.
- T’as de la chance, Natazeus - ta tête n’est plus à l’ordre du jour. J’ai du brandi corellien sur mon vaisseau, et quelques pétards… T’as l’air d’avoir passé une sale journée…

Ils levèrent tous les deux la tête, surpris par un bourdonnement sourd : de longues ombres s’étendaient sur Omnimantis, et lorsqu’un énorme croiseur plana au-dessus d’eux, la pluie cessa de couler sur la clairière.
- C’est pas un croiseur impérial… devina Randcyde, vérifiant toujours que Natazeus était à terre.
- Non, c’est une autre armée. Celle du Projet Nine, devina Phoenix. La guerre a commencé.



Épilogue

Au dessus d’Omnimantis…

Le capitaine Thrawn scrutait avec intérêt l’hologramme d’un vieux chef d’œuvre antisardd, scannant le moindre détail d’une peinture dont il connaissait chaque coup de pinceau. Le sergent Dix lui faisait face, terminant le compte-rendu de sa visite d’Omnimantis.
- A votre rappel, nous venions tout juste de découvrir leur base, et j’avais dans l’idée une tactique Say Jin, diversion en tenaille type 2 : nous étions à flanc de montagne, l‘ennemi avançait sur un faux plat.
- C’était une excellente idée, sergent Dix. La plupart des sergents auraient négligé une stratégie en Ban Sziv, et aurait de suite fait face à l’ennemi. Vous négociez déjà votre promotion…
- Loin de moi cette idée, Capitaine. Servir à vos rangs est la seul promotion que je visais.
- S’il vous plaît… fit Thrawn avec un sourire. Nous savons tous deux…
Il se tût quand le signal du pont B émergea de son holocom.
- Ici Thrawn, que se passe-t-il ?
- Neuf croiseurs de taille Omega viennent d’entrer en hyperespace, Capitaine, ils ne répondent pas au type impérial et…
- Vous les avez laissé filé ? Soupçonna Thrawn d’un ton agacé.
- C’est-à-dire qu’ils étaient rapides et…
- Calculez leur trajectoire de par la dernière position connue, officier, et je veux votre rapport dans l’heure.
Il mit fin à la conversation et son regard vagua longtemps dans l’air. Il supprima les hologrammes d’arts et demanda à Shana d’ordonner le pont C. Elle quitta la cabine, et Thrawn pianota sur son holocom.
La silhouette bleutée de l’Empereur Palpatine peu après apparut devant lui.
- Nox nous a déclaré la guerre, fit-il. Les Enfants De Babylone sont une armée à prendre très au sérieux.
- Votre plan a trouvé une faille, Empereur. Je peux mener cette guerre, suggéra Thrawn. Il me faut juste connaître leur dossier…
- Ce n’est pas un de ces peuples primitifs dont les peintures et les sculptures vous permettent d’élaborer un plan d’attaque ! Siffla Palpatine. Ce sont des machines de guerre, n’obéissant qu’à un seul homme qui veut voir le chaos régner sur l’Empire !
- Les machines sont des ennemis plus faciles que des êtres vivants : elles sont rationnels, elles calculent, et nous connaissons les tactiques qu’elles peuvent utilisé contre nous, ce qui nous donne un avantage.
- Le projet Nine n’était pas le simple projet d’une armée faite de clou et d’acier… les Enfants de Babylone ont justement été crée pour être invincible…
- Nous avons un atout de taille. Lionel Dix. J’ai sa fille sous mon commandement, elle le croit mort. Lionel Dix est notre meilleure carte…

* * *

Debout à l’avant de la passerelle 138, Nox observait le couloir de l’hyperespace l’étouffer lentement. A ses pieds gisaient un hologramme de ses enfants que son pied écrasait. Sa bouche sans lèvres se plissa dans un rictus quand il dessina en lui le visage qui n’allait pas quitter son regard : Phoenix Natazeus allait payer, cher, horriblement cher…
Autour de lui, les millions d’Enfants de Babylone s’affairaient à parfaire leur arsenal. Au bout de leur quatre mètre de hauteur, au bout de leurs muscles de fer, de leurs organes humains scientifiquement changés en turbines de guerre, leur regard s’illuminaient de leurs dernières traces d’humanité : mais de l’être humain, il n’avait gardé que la fourberie, la violence et le vice. Et, surtout, la soumission.
Il portait l’Orbe. La clé de tous les pouvoirs. L’Orbe, un minuscule globe cristallin, brillait dans sa paume, et bientôt, très bientôt, l’heure de la vengeance sonnerait. C’était une guerre galactique.
Plus encore, c’était une Vendetta.
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Messagepar bioman » Mar 17 Juil 2007 - 13:36   Sujet: 

je viens de lire et j'aime beaucoup, c'est toujours aussi sombre et comme thrawn va intervenir :D
La force rouge est en moi
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Messagepar Django » Mer 18 Juil 2007 - 23:54   Sujet: 

Salut KMTO,

Je viens de copier et de lire en digonale les derniers chapitres de "Phénix".
Je vais imprimer la totalité et lire à tête reposée ton histoire. Si tu as l'intention de faire une suite, ne te gènes pas.

@ plus
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Messagepar Darkwilliam » Ven 03 Aoû 2007 - 10:48   Sujet: 

Tiens, en lisant ta nouvelle du recueil, je me suis rendu compte que j'avais oublié de donner mon avis sur ce très bon dernier chapitre! :)

Comme d'hab, les descriptions sont très bonnes, le style est fluide (il manque quelques mots par endroit tout de même) et on est tout de suite immergé dans l'histoire! Une histoire qui promet d'ailleurs beaucoup pour la suite. 8)

Quelques fautes d'ortho, mais rien de bien méchant!

Vivement le tome 2 donc, qui s'intitulera comment? Phoenix: Vendetta!? 8)

En tout cas, bravo pour cette excellente fic, très bien écrite, riche en personnages intéressants, et à l'intrigue très bien ficelée! :wink:
Merlin: Elias, sauras-tu répondre à cette énigme: qu'est ce qui est petit et marron?
Elias: Un marron.
Merlin: Oh putain il est fort ce con!
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Messagepar Darkwilliam » Ven 15 Aoû 2008 - 16:25   Sujet: Re: [En cours] Phoenix : Renaissance

*Keuf Kof Kof...KEUF KOF KOF...peuah pouh*

P'tain c'est quoi toute cette poussi...ah merde, une toîle d'araignée! :perplexe:

Euh...bonjour, c'est le déterreur de topic! :D Je remonte donc le sujet de cette excellente Fan Fic, déjà pour que d'autres lecteurs puissent éventuellement s'y pencher, et aussi pour demander où en est la suite qui était prévue? :ange:

Hé oui, je vais pas te lâcher comme ça moi!

*Kof kof...*

Et puis fait le ménage aussi, ça fera pas de mal... :D
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Messagepar kamocato007 » Sam 16 Aoû 2008 - 10:57   Sujet: Re: [En cours] Phoenix : Renaissance

Darkwilliam a écrit:*Keuf Kof Kof...KEUF KOF KOF...peuah pouh*

P'tain c'est quoi toute cette poussi...ah merde, une toîle d'araignée! :perplexe:

Euh...bonjour, c'est le déterreur de topic! :D Je remonte donc le sujet de cette excellente Fan Fic, déjà pour que d'autres lecteurs puissent éventuellement s'y pencher, et aussi pour demander où en est la suite qui était prévue? :ange:

Hé oui, je vais pas te lâcher comme ça moi!

*Kof kof...*

Et puis fait le ménage aussi, ça fera pas de mal... :D


Ok mais va pas dans la cuisine c'est pas sec :o

Bah en gros : c'est pour presque bientôt. Enfin c'est pour cette année. Déjà le Tome I corrigé et tout propre dans un fichier PDF, puis le Tome II (Phoenix : Vendetta) en un seul morceau (déjà entamé l'année dernière). J'aurai plus le temps de m'y mettre quand les cours recommenceront (logique ?). Merci de t'en soucier, et oui, Phoenix renaîtra de ses cendres, donc si certains lecteurs veulent s'y mettre, qu'ils sachent qu'il y aura bien une suite et une fin.

Traitez-le de Georges Lucas et ayé, dix heures de ménages sur le dos...
Kamo.
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Messagepar Minos » Mar 19 Aoû 2008 - 21:29   Sujet: Re: [En cours] Phoenix : Renaissance

J'ai rattrapé mon retard. Le style est toujours aussi travaillé, rien à dire. Comme l'a dit DW, il manque parfois quelques mots, et il y a en outre quelques fautes, mais rares.

Sur le fond, que dire, si ce n'est que la fin donne envie de se plonger dans la future guerre ? Bonne continuation... :)
Les hommes sont si nécessairement fous, que ce serait être fou, par un autre tour de folie, de n'être pas fou.
Blaise Pascal.
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