J'ai donc fait ma nouvelle et je voudrais connaître vos avis dessus: merci
K’ianar la désuète.
K’ianar..... K’ianar.... Ce nom ne vous dit certainement rien, mais après tout, cela est normal étant donné que c’est une planète particulière: c’est une planète morte.
Il y a bien longtemps, avant même l’apparition des Sith, cette planète retirée dans la Bordure Extérieure, avait une culture florissante et le peuple le plus instruit de la galaxie, à cette époque. Les hommes riches et les hommes d’affaires venait sur K’ianar, à prix d’or, pour s’instruire et faire des affaires, du commerce et parfois même du marché noir.
Mais, des centaines d’années après cette apogée, les Siths firent petit à petit leur apparition et allèrent sur la planète retirée de K’ianar et en éliminèrent les gens les plus instruits, réduisant ainsi une planète et sa culture florissante au néant, à un retour à la sauvagerie et à l’éradication d’un peuple...
Maintenant que nous avons clos ce petit chapitre d’histoire, intéressons-nous à ce pour quoi nous sommes venus sur cette planète : son exploration.
Lorsque nous sommes arrivés, nous avons survolé une mer rouge : elle à héritée son sombre teint d’une bataille spatiale sanguinaire entre les autochtones de la planète et les Sith. Ces derniers perdirent la bataille et leur vaisseau mère alla s’abîmer au fond de cette mer lui donnant ainsi son nom de « Mer des Sith ».
Nous apercevons maintenant une falaise abrupte avec des impacts de laser : voici un autre souvenir de la terrible bataille spatiale dont nous vous avons parlé précédemment. Nous atterrissons maintenant dans un immense champ de ruines encerclé par une forêt avec des arbres plus biscornus les uns des autres. Imaginez maintenant que là où nous nous trouvons se dressait ici peut-être la plus grande ville post-Sith ! Imaginez des bâtiments touchant les nuages, des rues et des avenues aussi peuplée que celle de Coruscant .Mais maintenant, tout a disparu, balayé par des vents chauds, inondée par des pluies acides, et infesté par des Mynocks et des animaux de la pire espèce .
Nous nous enfonçons maintenant dans la ville pour rejoindre la forêt. Au coin d’une rue, on peut apercevoir des ruines, des statues érigées pour des héros morts au combat maintenant écroulées. Les ruines d’un superbe hôtel de ville se dressent majestueusement dans un cimetière de véhicules. Un autre cimetière, cette fois ci d’humains ou du moins es habitants de la ville, encercle ce qui ressemble à une cathédrale d’une religion antique.
Nous arrivons à l’orée de la forêt et un animal étrange en sort, il a le corps un ysalamari et a la tête d’un vornskr. Un de mes collègues s’en approche et l’animal, devenu enragé, se jette sur lui, c’est alors que des lasers fusèrent de tout côtés : nous venons de sauver un de nos amis.
Suite à cet incident nous tuerons tous les animaux jugés dangereux. La forêt est beaucoup plus épaisse qu’elle ne laisse y panser et nous avons beaucoup plus de difficulté pour avancer.
Nous arrivons à une clairière tapissée de champignons : lorsqu’on s’en approche, ils libèrent des spores toxiques pour un humain.
Nous contournons donc la clairière pour arriver, après quelques heures de marche, à un ancien temple, symbole d’une civilisation antérieure à celle détruite par les Sith. Imaginez ne serait-ce que quelques secondes la tâche colossale qu’à dû être la construction de cet édifice monumental. Cet édifice est un temple de type Massasi, ce peuple si avancé qui fabriqua des temples sur Yavin IV. Qui sais ? Peut-être les Massasi ont-ils influencé des peuples aux confins de la Galaxie !
Nous nous arrachons à regret de la contemplation de ce superbe temple et continuons notre périple. Nous avançons, toujours difficilement, dans la forêt et nous arrivons dans une de ces clairières perdues au fond d’une forêt profonde. Approchons nous un peu de son centre et découvrons se qui si cache. Un animal peu commun apparaît alors. Imaginez un Mynock mais sans ses ailes et avec une bouche, non ventouse, mais en forme de trompe, et vous avez ce que nous avons devant les yeux. L’animal paraît mort et nous nous en approchons un peu plus et, soudain, la bête se réveille : elle pousse des cris stridents et ce n’est pas un ou deux représentant de l’espèce qui apparaît, mais toute une colonie ! Nous prenons nos jambes, à nos cous après avoir descendus quelques animaux.
Nous arrivons finalement devant la piste d’atterrissage et remontons à bord de notre véhicule et décollons d’une planète peu commune.
En conclusion, même les planètes les plus avancées, détenant des avancées technologiques considérables, peuvent sombrer dans la désuétude et ainsi disparaître.
Voici ce qu’est K’ianar, la planète désuète.
