Mais n'oubliez pas la contrainte qui vous est imposée par Mandoad : il doit y avoir un double coucher de soleil !
Et c'est parti ! Vous avez jusqu'au dimanche 28/05 inclus pour poster votre plus beau texte de 150 mots (avec une tolérance de 25 mots en-dessous ou au-dessus de ce seuil), sous balise spoiler.
A vos claviers !

Edit : Les challengers !

Loïc Solaris
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Orionne tenait fermement Neoelys par la main pour accélérer la cadence.
-O', pas si vite ! J'ai mal partout !
-On ne va pas retourner au camp maintenant !
Ils se connaissaient depuis bien avant que l'Empire ne s'installe chez eux, les decime et reduise le reste en esclavage. Mais Elys avait peur des conséquences de leurs actes.
-Regarde, c'est ici !
Elys reconnut la clairière où ils jouaient tous étant enfant. Au centre se tenait depuis toujours un énorme rocher creux, où ils s'abritaient de la pluie. Cet endroit était un lieu de fête et de tradition.
Orionne devoila un petit droïd sous le rocher.
Le soleil commençait à disparaître derrière la grande montagne. De son unique œil, le robot fit apparaître une holoprojection. Elys décrocha un sourire.
-un double couché de soleil, comme tu les aimes sur les holovideos…
Un long silence romantique s'ensuivit jusqu'à ce qu'ils entendent un chasseur TIE au loin. Plus de peur, juste un dernier instant d'amour dans une étreinte qui disparu dans une explosion
(175)
-O', pas si vite ! J'ai mal partout !
-On ne va pas retourner au camp maintenant !
Ils se connaissaient depuis bien avant que l'Empire ne s'installe chez eux, les decime et reduise le reste en esclavage. Mais Elys avait peur des conséquences de leurs actes.
-Regarde, c'est ici !
Elys reconnut la clairière où ils jouaient tous étant enfant. Au centre se tenait depuis toujours un énorme rocher creux, où ils s'abritaient de la pluie. Cet endroit était un lieu de fête et de tradition.
Orionne devoila un petit droïd sous le rocher.
Le soleil commençait à disparaître derrière la grande montagne. De son unique œil, le robot fit apparaître une holoprojection. Elys décrocha un sourire.
-un double couché de soleil, comme tu les aimes sur les holovideos…
Un long silence romantique s'ensuivit jusqu'à ce qu'ils entendent un chasseur TIE au loin. Plus de peur, juste un dernier instant d'amour dans une étreinte qui disparu dans une explosion
(175)
Adanedhel
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MelancholiAhch-to
Les vents salins balayant la corniche faisaient flotter ses longs cheveux et les pans de sa tunique.
Derrière lui, le Temple, majestueux, taillé au cœur même de la montagne.
Devant, l'océan, étendue infinie, qui isolait l'île comme la Force immergeait le Je'daii.
Et serrée contre lui, sa bien-aimée, baignée d'une douce lumière dorée.
— Les soleils offrent toujours un spectacle splendide quand leurs couronnes viennent effleurer l'horizon, souffla-t-elle émerveillée.
— Ne crois-tu pas... que nous ne devrions pas...
— Je te sens troublé... As-tu cessé de m'aimer ?
— Jamais je ne le pourrai. Mais l'amour est un sentiment si puissant... Nous laisser aller à de telles passions n'est-il pas contraire à nos devoirs envers la Force ?
— Nous sommes tels ces deux soleils, mon amour. Toujours côte à côte. Et nous explorerons ensemble l'horizon de la Force.
"Ou nous plongerons tous deux dans l'abîme du Côté Obscur" pensa-t-il alors que ses lèvres retrouvaient le goût si doux et familier de celles de son aimée.
(174)
Les vents salins balayant la corniche faisaient flotter ses longs cheveux et les pans de sa tunique.
Derrière lui, le Temple, majestueux, taillé au cœur même de la montagne.
Devant, l'océan, étendue infinie, qui isolait l'île comme la Force immergeait le Je'daii.
Et serrée contre lui, sa bien-aimée, baignée d'une douce lumière dorée.
— Les soleils offrent toujours un spectacle splendide quand leurs couronnes viennent effleurer l'horizon, souffla-t-elle émerveillée.
— Ne crois-tu pas... que nous ne devrions pas...
— Je te sens troublé... As-tu cessé de m'aimer ?
— Jamais je ne le pourrai. Mais l'amour est un sentiment si puissant... Nous laisser aller à de telles passions n'est-il pas contraire à nos devoirs envers la Force ?
— Nous sommes tels ces deux soleils, mon amour. Toujours côte à côte. Et nous explorerons ensemble l'horizon de la Force.
"Ou nous plongerons tous deux dans l'abîme du Côté Obscur" pensa-t-il alors que ses lèvres retrouvaient le goût si doux et familier de celles de son aimée.
(174)
Alionouchka
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Un ultime voile lumineux finissait de se dissiper à l’horizon lorsque la femme acheva son récit :
- …quand la jeune fille à l’âme pure donna sa vie pour que survive la lumière, le jeune homme au cœur sombre auquel elle était liée se jeta dans le brasier à sa suite. Et c’est depuis ce temps que, devenus soleils, ils nous éclairent chaque jour.
- Il ne voulait pas la laisser toute seule tu crois maman ? Parce qu’il l’aimait ?
- Ou peut-être qu’il regrettait de ne pas avoir eu son courage, qu’il voulait être la lumière pour toujours lui aussi. On dit que c’est à cause de son hésitation qu’il brille moins fort qu’elle.
- Mais quand la nuit tombe, ils finissent par s’éteindre tous les deux.
Elle lui glissa sa réponse dans l’oreille, telle une caresse apaisante :
- Non ma chérie. Les légendes et les soleils ne s’éteignent jamais. Quand ils disparaissent à nos yeux, ils illuminent juste nos rêves et les rives d’autres mondes.
(174)
- …quand la jeune fille à l’âme pure donna sa vie pour que survive la lumière, le jeune homme au cœur sombre auquel elle était liée se jeta dans le brasier à sa suite. Et c’est depuis ce temps que, devenus soleils, ils nous éclairent chaque jour.
- Il ne voulait pas la laisser toute seule tu crois maman ? Parce qu’il l’aimait ?
- Ou peut-être qu’il regrettait de ne pas avoir eu son courage, qu’il voulait être la lumière pour toujours lui aussi. On dit que c’est à cause de son hésitation qu’il brille moins fort qu’elle.
- Mais quand la nuit tombe, ils finissent par s’éteindre tous les deux.
Elle lui glissa sa réponse dans l’oreille, telle une caresse apaisante :
- Non ma chérie. Les légendes et les soleils ne s’éteignent jamais. Quand ils disparaissent à nos yeux, ils illuminent juste nos rêves et les rives d’autres mondes.
(174)
Vulctyl
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Jarkiv avança de quelques pas, retenant son souffle. Dans cette cahute sombre, seule la lumière extérieure des soleils couchants lui permettait de voir clair. Posé sur l’unique table, un casque de beskar qu’il connaissait par cœur.
Jarkiv s’avança encore et effleura le casque. Un instant, il faillit oublier que celle qu’il cherchait n’était pas là. Il ne voulait pas admettre qu’il avait échoué, qu’il ne l’avait pas retrouvée.
Un bruit. Un raclement de gorge. Jarkiv se retourna lentement, la clarté des soleils inondant son champ de vision à mesure qu’il tournait la tête.
— Tu cherches quelqu’un, mando ? demanda joyeusement une femme derrière lui.
Quel délice. Quel bonheur pur, profond que d’entendre cette voix, la voix de celle qu’il avait aimée et perdue. Jarkiv releva la tête, et voilà qu’un troisième soleil s’ajoutait au tableau des couchants : c’était elle, dans son armure de guerrière, la tête nue et le visage rayonnant.
— Tu m’as manqué, cyar’ika.
(171)
Jarkiv s’avança encore et effleura le casque. Un instant, il faillit oublier que celle qu’il cherchait n’était pas là. Il ne voulait pas admettre qu’il avait échoué, qu’il ne l’avait pas retrouvée.
Un bruit. Un raclement de gorge. Jarkiv se retourna lentement, la clarté des soleils inondant son champ de vision à mesure qu’il tournait la tête.
— Tu cherches quelqu’un, mando ? demanda joyeusement une femme derrière lui.
Quel délice. Quel bonheur pur, profond que d’entendre cette voix, la voix de celle qu’il avait aimée et perdue. Jarkiv releva la tête, et voilà qu’un troisième soleil s’ajoutait au tableau des couchants : c’était elle, dans son armure de guerrière, la tête nue et le visage rayonnant.
— Tu m’as manqué, cyar’ika.
(171)
Mandoad
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Romance
La question s’insinua encore dans ses pensées. Il se la posait bien trop souvent depuis qu’il s’était rapproché d’elle. Le casque blanc strié de pourpre logé sous son épaule, il s’arrêta pour contempler cette silhouette sereine qui se découpait sur un tableau ambré. Les deux astres solaires disparaissaient au loin et l’obscurité remplacerait bientôt leur rassurante lueur. Pourtant, il ne pouvait pas détacher son regard d’elle. Elle, une Jedi de la République liée à son ordre et lui, le produit d’une éprouvette condamné à suivre les ordres. Leur devoir aurait dû rendre cela impossible, puis il y avait eu Rhen Var, l’effondrement et ces deux journées isolés dans une caverne glaciale qui avaient initié une étincelle et cette interrogation.
Puis-je encore être un bon soldat ?
Le son de son communicateur la ramena à la réalité et il le porta devant ses yeux. La silhouette encapuchonnée s’installa alors entre elle et lui, comme pour répondre à cette question qui le torturait.
(171)
La question s’insinua encore dans ses pensées. Il se la posait bien trop souvent depuis qu’il s’était rapproché d’elle. Le casque blanc strié de pourpre logé sous son épaule, il s’arrêta pour contempler cette silhouette sereine qui se découpait sur un tableau ambré. Les deux astres solaires disparaissaient au loin et l’obscurité remplacerait bientôt leur rassurante lueur. Pourtant, il ne pouvait pas détacher son regard d’elle. Elle, une Jedi de la République liée à son ordre et lui, le produit d’une éprouvette condamné à suivre les ordres. Leur devoir aurait dû rendre cela impossible, puis il y avait eu Rhen Var, l’effondrement et ces deux journées isolés dans une caverne glaciale qui avaient initié une étincelle et cette interrogation.
Puis-je encore être un bon soldat ?
Le son de son communicateur la ramena à la réalité et il le porta devant ses yeux. La silhouette encapuchonnée s’installa alors entre elle et lui, comme pour répondre à cette question qui le torturait.
(171)
Hillys
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Les deux soleils descendaient progressivement derrière la ligne de l’horizon, embrasant les sables de leur couleur de feu. Un étranger aurait été subjugué par ce magnifique spectacle, mais pas lui. Ce désert, il le connaissait par cœur à force de l’avoir parcouru au cours de sa vie de nomade. Non, le véritable spectacle ce soir, c’était elle.
Il ne parvenait pas à détacher ses yeux de la silhouette baignée par la lumière orangée qui se tenait à ses côtés. Lorsque la nuit viendrait, elle serait enfin sa femme aux yeux de leur peuple. Enfin, à l’abri de leur tente, il pourrait retirer ses robes et son masque, et la voir pour la première fois. Pour la première fois, il pourrait toucher sa peau, l’embrasser.
Il détourna le regard pour suivre la course des soleils. Quand il sentit ses doigts se mêler aux siens, il sourit. Un sourire invisible derrière son masque de tissu. Il avait hâte de voir son sourire.
Les soleils disparurent.
(168)
Il ne parvenait pas à détacher ses yeux de la silhouette baignée par la lumière orangée qui se tenait à ses côtés. Lorsque la nuit viendrait, elle serait enfin sa femme aux yeux de leur peuple. Enfin, à l’abri de leur tente, il pourrait retirer ses robes et son masque, et la voir pour la première fois. Pour la première fois, il pourrait toucher sa peau, l’embrasser.
Il détourna le regard pour suivre la course des soleils. Quand il sentit ses doigts se mêler aux siens, il sourit. Un sourire invisible derrière son masque de tissu. Il avait hâte de voir son sourire.
Les soleils disparurent.
(168)
sam sanglebuc
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« Par ces mots se termine, la Geste de Dame Katan »
28ème fois que Grogu visionne cet holo, quand son père installé sur le banc de leur maisonnette jouit paisiblement du repos du soir.
Mais là, c'en est trop. Patience et sentiments du Mandalorien sont mis à rude épreuve.
« Mandalore ! Mandalore ! Seras tu tout à moi ?
Je serai le soutien du credo de ta foi
Mandalore ! Mandalore ! Vois mon large giron
Guerriers et orphelins en mon sein nicheront »
Ces mots de la Geste qui résonnent sans fin dans le cœur de Din, se mêlent au proverbe :
« Soleil rouge se couche en premier voit cœur qui bouge pour se déclarer »
Et depuis deux mois c'est le jaune qui gagne.
« J'attends un signe » répond le guerrier à son fils qui serine, pointant du doigt la rousse chevelure de la Dame : « Maman ? »
Mais il est temps, et Djarin enfin se décide :
« D'accord Petit, on va voir Maman ! »
(175)
28ème fois que Grogu visionne cet holo, quand son père installé sur le banc de leur maisonnette jouit paisiblement du repos du soir.
Mais là, c'en est trop. Patience et sentiments du Mandalorien sont mis à rude épreuve.
« Mandalore ! Mandalore ! Seras tu tout à moi ?
Je serai le soutien du credo de ta foi
Mandalore ! Mandalore ! Vois mon large giron
Guerriers et orphelins en mon sein nicheront »
Ces mots de la Geste qui résonnent sans fin dans le cœur de Din, se mêlent au proverbe :
« Soleil rouge se couche en premier voit cœur qui bouge pour se déclarer »
Et depuis deux mois c'est le jaune qui gagne.
« J'attends un signe » répond le guerrier à son fils qui serine, pointant du doigt la rousse chevelure de la Dame : « Maman ? »
Mais il est temps, et Djarin enfin se décide :
« D'accord Petit, on va voir Maman ! »
(175)
Rikuiame
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Pour elle, le soleil s'était couché une fois lorsque l'esprit avait quitté, inerte entre ses bras, l'enveloppe de celui qu'elle aimait. Les larmes avaient coulé, le vide menaçant de l'étreindre. Mais elle n'avait eu d'autre choix, en sa mémoire, que de contempler l'aube nouvelle. Son combat contre le Côté Obscur duquel il s'était extirpé ne devait pas être vain.
Sans regret le temps avait passé, apportant son lot de joies et d'heurts. Il était tard à nouveau. Sa main parcheminée caressa la pierre qui marquait l'emplacement de la tombe, perdue dans une vallée, au milieu des fleurs.
C'était son tour. Le jour déclinait ; bientôt viendrait le crépuscule. Agenouillée, elle attendit que le dernier rayon lui caresse sa joue en une promesse de bonne nuit pour murmurer aux étoiles, le souffle empli d'espoir :
- Je reposerai avec toi. Toujours.
(150)
Sans regret le temps avait passé, apportant son lot de joies et d'heurts. Il était tard à nouveau. Sa main parcheminée caressa la pierre qui marquait l'emplacement de la tombe, perdue dans une vallée, au milieu des fleurs.
C'était son tour. Le jour déclinait ; bientôt viendrait le crépuscule. Agenouillée, elle attendit que le dernier rayon lui caresse sa joue en une promesse de bonne nuit pour murmurer aux étoiles, le souffle empli d'espoir :
- Je reposerai avec toi. Toujours.
(150)
Niffleur
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Sous les ponts dorés de Naboo coule une eau chargée des amours d’ores, brisés en sanglots.
Elle n’avait jamais songé à ces larmes avant que les siennes ne s’ajoutent à leur cours, sans doute était-ce l’aveuglement de la foule qui évitait la crue à chaque traversée. Aujourd’hui, ses yeux nimbés de souvenirs, elle ne voyait que sa peine.
Le sénateur, étouffé par l’air lourd de Coruscant et son col haut, s’échappait par la moindre fenêtre entre deux plénières.
Il était déjà si tard, mais il aimait ces moments de fin du jour, les seuls où le soleil perçait entre les nuages cendrés et les bâtiments cobalts jusqu’à sa République.
Lui, ça lui rappelait la douceur sur ses joues, soit tout ce qu’il a laissé sur son monde natal.
Elle, les mêmes rayons fantasmés de l’autre côté des étoiles lui font baisser la tête vers le pavé du pont, et lui rappelle qu’il n’est doré qu’une heure avant la nuit, alors que ses pommettes sèchent sous les dernières chaleurs complices de la saison.
(174)
Elle n’avait jamais songé à ces larmes avant que les siennes ne s’ajoutent à leur cours, sans doute était-ce l’aveuglement de la foule qui évitait la crue à chaque traversée. Aujourd’hui, ses yeux nimbés de souvenirs, elle ne voyait que sa peine.
Le sénateur, étouffé par l’air lourd de Coruscant et son col haut, s’échappait par la moindre fenêtre entre deux plénières.
Il était déjà si tard, mais il aimait ces moments de fin du jour, les seuls où le soleil perçait entre les nuages cendrés et les bâtiments cobalts jusqu’à sa République.
Lui, ça lui rappelait la douceur sur ses joues, soit tout ce qu’il a laissé sur son monde natal.
Elle, les mêmes rayons fantasmés de l’autre côté des étoiles lui font baisser la tête vers le pavé du pont, et lui rappelle qu’il n’est doré qu’une heure avant la nuit, alors que ses pommettes sèchent sous les dernières chaleurs complices de la saison.
(174)
Jenos Idanian
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Une légende raconte qu'à l’origine, sur Tatooine, il n’existait ni soleils, ni jour, ni nuit. Seulement la voute céleste baignant ses habitants, vivant dans l’entraide et l'harmonie.
Puis la cupidité gagna les autochtones. Les étoiles, malheureuses, partirent, et le froid et l’obscurité grandirent.
Un chaman prophétisa alors qu'un être au cœur si pur se sacrifierait pour tous les autres. Quant ce dernier apparut, le vénérable lui intima de se rendre au bout du monde pour sauter sur l’étoile la plus proche, puis d’étoile en étoile. Alors la lumière réapparaîtrait.
Après avoir atteint la dernière étoile, une lueur d’une intensité jamais vue auparavant se révéla. Ainsi naquit le premier Soleil.
Cependant, sa femme, restée à la surface, était malheureuse sans lui. Dans un élan de romance, il lui lança son cœur, qui resta accroché dans le ciel à briller de tout son amour.
Depuis, les Soleils jumeaux de Tatooine se suivent, sans jamais se rejoindre, tels deux amants à jamais liés.
Puis la cupidité gagna les autochtones. Les étoiles, malheureuses, partirent, et le froid et l’obscurité grandirent.
Un chaman prophétisa alors qu'un être au cœur si pur se sacrifierait pour tous les autres. Quant ce dernier apparut, le vénérable lui intima de se rendre au bout du monde pour sauter sur l’étoile la plus proche, puis d’étoile en étoile. Alors la lumière réapparaîtrait.
Après avoir atteint la dernière étoile, une lueur d’une intensité jamais vue auparavant se révéla. Ainsi naquit le premier Soleil.
Cependant, sa femme, restée à la surface, était malheureuse sans lui. Dans un élan de romance, il lui lança son cœur, qui resta accroché dans le ciel à briller de tout son amour.
Depuis, les Soleils jumeaux de Tatooine se suivent, sans jamais se rejoindre, tels deux amants à jamais liés.
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