Mais n'oubliez pas la contrainte qui vous est imposée par Vulctyl : l’animal en question doit appartenir à l’univers Star Wars, pas au notre ou à celui d’une autre galaxie !
Et c'est parti ! Vous avez jusqu'au dimanche 09/04 inclus pour poster votre plus beau texte de 150 mots (avec une tolérance de 25 mots en-dessous ou au-dessus de ce seuil), sous balise spoiler.
A vos claviers !

Edit : Les challengers !

Loucass824
Spoiler: Afficher
Bardok se tenait plus à l’écart, sur la gauche. Sous cet air relax, détendu qui tromperait n’importe qui… Se cachait un véritable Subteroth. Tant qu’il déployait sa discipline, ce survolté sommeillait. Mais à la vue de ses proies… Le Nautolan exploserait en moins d’une seconde, contaminant son environnement. La curiosité, se transformant en stupéfaction. La suspicion, en terreur. La poitrine de ses victimes crépitant, sans qu'elles ne songent à fuir... Bardok sentait leur tension, leur inquiétude bientôt dépassée. Il s’en nourrissait… Le goût du sang exaltait ses sens, sa vue s'aiguisant sur ses proies immobiles. Prêt à redéfinir la chaîne alimentaire. Bardok pressa sa dotation contre son épaule pour ajuster ses premiers tirs, prêt à rugir. La traque, les victimes se sachant perdues, mais résistant au final. Un cours instant d'éclatement. Pour annihiler la menace, avant de repasser ses chaînes au cou de ce prédateur. L’enfouir, pour de nouveau devenir un type paisible et détendu. Un prédateur, animal domestiqué.
(165)
Baptman67
Spoiler [Animal]: Afficher
Faim. Sortir. Chasser. Rentrer. Manger.
L’arrivée des bipèdes qui sortent des oiseaux de métal avait éloigné ses proies habituelles. Il devait aller chasser plus loin.
Il sortit de sa grotte.
Vent. Neige. Froid. Glace.
Soudain, il sentit l’odeur de sa proie. Elle n’était pas habituelle.
Faim.
Il vit sa proie. Un tauntaun à deux têtes. Non, il portait un bipède sur son dos. Le tauntaun poussa un cri d’alerte.
La bête le tua d’un coup puissant. Elle récupéra ses proies sur son dos et les traîna dans son antre. Elle accrocha le bipède au plafond, avant de commencer à déguster le tauntaun. Pendant son repas, elle entendit un léger bruit dans la neige. Elle se retourna …
Flash bleu. Douleur. Odeur de sang. Patte arrachée.
Poussant un cri de rage, il vit sa proie s’échapper.
Le Wampa avait toujours faim, mais il n’était pas stupide. Sa proie était trop forte pour lui.
Mais la tempête s’en chargera.
(167)
L’arrivée des bipèdes qui sortent des oiseaux de métal avait éloigné ses proies habituelles. Il devait aller chasser plus loin.
Il sortit de sa grotte.
Vent. Neige. Froid. Glace.
Soudain, il sentit l’odeur de sa proie. Elle n’était pas habituelle.
Faim.
Il vit sa proie. Un tauntaun à deux têtes. Non, il portait un bipède sur son dos. Le tauntaun poussa un cri d’alerte.
La bête le tua d’un coup puissant. Elle récupéra ses proies sur son dos et les traîna dans son antre. Elle accrocha le bipède au plafond, avant de commencer à déguster le tauntaun. Pendant son repas, elle entendit un léger bruit dans la neige. Elle se retourna …
Flash bleu. Douleur. Odeur de sang. Patte arrachée.
Poussant un cri de rage, il vit sa proie s’échapper.
Le Wampa avait toujours faim, mais il n’était pas stupide. Sa proie était trop forte pour lui.
Mais la tempête s’en chargera.
(167)
Jenos Idanian
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Un Devaronien, un Humain et un Nosaurien sont accoudés au bar d'une cantina franchement plus respectable que ne le laisserait penser sa misérable devanture au premier abord. Tous trois fêtant allègrement un pari fructueux...
C'est dans un état dirons-nous second qu'ils ont alors improvisé un concours de devinettes :
— Trois chubas se tiennent sur le bastingage d'une barge de déchargement, lance le Devaronien. Un Rodien fou de la gâchette - connu pour sa fâcheuse manie de toujours se croire capable de dégainer le premier... - tire sur une des bestioles. Combien en reste-t-il ?
— Ben... Deux, tente le Nosaurien peu loquace.
— Hahaha, perdu !, s'amuse le Devaronien. Aucun : avec le bruit de la détonation, les autres se sont enfuis !
— Mouais, tu t'en tires bien, rétorqua l'Humain. Bon, je finis mon verre et je décanille.
— Même pas un p'tit dernier ? Ce manque de foie me consterne…
C'est dans un état dirons-nous second qu'ils ont alors improvisé un concours de devinettes :
— Trois chubas se tiennent sur le bastingage d'une barge de déchargement, lance le Devaronien. Un Rodien fou de la gâchette - connu pour sa fâcheuse manie de toujours se croire capable de dégainer le premier... - tire sur une des bestioles. Combien en reste-t-il ?
— Ben... Deux, tente le Nosaurien peu loquace.
— Hahaha, perdu !, s'amuse le Devaronien. Aucun : avec le bruit de la détonation, les autres se sont enfuis !
— Mouais, tu t'en tires bien, rétorqua l'Humain. Bon, je finis mon verre et je décanille.
— Même pas un p'tit dernier ? Ce manque de foie me consterne…
(150)
Mandoad
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Animal
L’éclat brillant disparaît aussi vite qu’il s’était montré, puis deux pointes émergent à nouveau et se meuvent lentement avant de s’immobiliser. En un éclair scintillant, une tempête de poussière écarlate s’élève du sol alors immaculé. Pendant un instant, seul ce nuage vermeil reste visible avant de retomber pour dévoiler les deux créatures à la fourrure de diamant. La plus petite, ses imposantes oreilles repliées vers l’arrière, se frotte affectueusement contre la plus imposante qui entreprend de lui lécher le museau dans un geste maternel. Depuis sa colline, Naati repose ses jumelles et observe les lointaines silhouettes refléter la lumière du soleil. D’infimes marques rouge apparaissent ici et là à chacun des mouvements de jeu du jeune Vulptex sur le sol salé. La jeune femme sourit plus largement encore et ne peut retenir une unique larme.
— Tu avais raison, ils en valent la peine.
(150)
L’éclat brillant disparaît aussi vite qu’il s’était montré, puis deux pointes émergent à nouveau et se meuvent lentement avant de s’immobiliser. En un éclair scintillant, une tempête de poussière écarlate s’élève du sol alors immaculé. Pendant un instant, seul ce nuage vermeil reste visible avant de retomber pour dévoiler les deux créatures à la fourrure de diamant. La plus petite, ses imposantes oreilles repliées vers l’arrière, se frotte affectueusement contre la plus imposante qui entreprend de lui lécher le museau dans un geste maternel. Depuis sa colline, Naati repose ses jumelles et observe les lointaines silhouettes refléter la lumière du soleil. D’infimes marques rouge apparaissent ici et là à chacun des mouvements de jeu du jeune Vulptex sur le sol salé. La jeune femme sourit plus largement encore et ne peut retenir une unique larme.
— Tu avais raison, ils en valent la peine.
(150)
Vulctyl
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Un cri. Le faucon-hurleur tourne sèchement la tête, fouillant de son regard perçant les plaines qui défilent en-dessous de lui.
Le cri retentit à nouveau. C’est un son grave, vibrant, qui dure de longues secondes avant de s’éteindre. C’est le cri désespéré d’une créature à l’agonie, mais pour le faucon-hurleur c’est l’annonce d’une nourriture à saisir. Il plonge en direction du sol et de la bête mourante.
À présent, il la voit. L’animal est couché sur son flanc, et l’odeur du sang monte dans les airs jusqu’au rapace en vol.
Quelque chose ne va pas. C’est un mythosaure, et les mythosaures ne sont jamais à terre.
Autour de lui, de grands animaux trapus s’agitent. Leur corps bipède est d’un gris terne, et le faucon-hurleur est perturbé de ne pas les reconnaître.
Ces bêtes-là sont des Taungs, et lorsque l’oiseau les voit, il ressent pour la première fois la sensation glacée de la peur.
(173)
Le cri retentit à nouveau. C’est un son grave, vibrant, qui dure de longues secondes avant de s’éteindre. C’est le cri désespéré d’une créature à l’agonie, mais pour le faucon-hurleur c’est l’annonce d’une nourriture à saisir. Il plonge en direction du sol et de la bête mourante.
À présent, il la voit. L’animal est couché sur son flanc, et l’odeur du sang monte dans les airs jusqu’au rapace en vol.
Quelque chose ne va pas. C’est un mythosaure, et les mythosaures ne sont jamais à terre.
Autour de lui, de grands animaux trapus s’agitent. Leur corps bipède est d’un gris terne, et le faucon-hurleur est perturbé de ne pas les reconnaître.
Ces bêtes-là sont des Taungs, et lorsque l’oiseau les voit, il ressent pour la première fois la sensation glacée de la peur.
(173)
Loïc Solaris
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Rooarkchaw etait particulièrement tendu. Il avait bien dormi, il se sentait plus en forme que jamais et fin pret pour ce rituel de passage.
Non, ce qui le gênait, c'était tous les autres qui le regardaient partir dans les profondeurs de Kashyyyk. Ses pairs ne lui avaient pas tout dit sur l'animal qu'il devait chasser et ramener.
On lui avait dit que c'était un prédateur, né pour tuer, né pour le meutre en fait.
Rooarkchaw découvrit des cadavres d'animaux mutilés : ce n'était pas pour manger que l'animal sauvage chassait, mais pour s'amuser. Il pensa à son grand frère. Il n'était jamais revenu de son rite de passage. Est-ce-qu'il a croisé son chemin ? Le jeune wookie sentit de la colère remplacer sa tristesse. Tant mieux : cela lui donnerait l'énergie de le trouver et l'abattre !
Rooarkchaw etait tout proche de la créature…
Mais c'est elle qui le trouva en premier. Le wookie vit le visage de son frère une dernière fois.
(173)
Non, ce qui le gênait, c'était tous les autres qui le regardaient partir dans les profondeurs de Kashyyyk. Ses pairs ne lui avaient pas tout dit sur l'animal qu'il devait chasser et ramener.
On lui avait dit que c'était un prédateur, né pour tuer, né pour le meutre en fait.
Rooarkchaw découvrit des cadavres d'animaux mutilés : ce n'était pas pour manger que l'animal sauvage chassait, mais pour s'amuser. Il pensa à son grand frère. Il n'était jamais revenu de son rite de passage. Est-ce-qu'il a croisé son chemin ? Le jeune wookie sentit de la colère remplacer sa tristesse. Tant mieux : cela lui donnerait l'énergie de le trouver et l'abattre !
Rooarkchaw etait tout proche de la créature…
Mais c'est elle qui le trouva en premier. Le wookie vit le visage de son frère une dernière fois.
(173)
mareva_mae
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Breha Organa essuya ses mains tâchées de peinture sur son tablier blanc, celui que son mari lui avait offert pour leur anniversaire de mariage, avec un chevalet en bois de Kashyyyk. Bail l’avait toujours soutenue dans ses hobbies, passagers ou tenaces, mêmes quand ces derniers impliquaient de transformer les appartements royaux en un local de stockage pour les toiles auxquelles elle souhaitait apporter une « touche finale. »
— Mon amour, je crois que celle-ci mérite que nous l’accrochions quelque part, dit son mari de en passant les bras autour de sa taille. Dans la suite de la tour nord, celle des amoureux.
Breha rit doucement regarda les deux Harfangs des neiges qui, de dos, semblaient regarder dans la même direction, vers un lac où se reflétaient des étoiles, bien que le ciel au-dessus d’eux soit d’un noir d’encre. Son mari semblait parfois avoir le don de lire dans ses pensées.
— Parfois, seules deux personnes qui s’aiment peuvent trouver de la lumière là où quiconque ne verrait que l’obscurité, expliqua-t-elle, émue au-delà des mots.
(173)
— Mon amour, je crois que celle-ci mérite que nous l’accrochions quelque part, dit son mari de en passant les bras autour de sa taille. Dans la suite de la tour nord, celle des amoureux.
Breha rit doucement regarda les deux Harfangs des neiges qui, de dos, semblaient regarder dans la même direction, vers un lac où se reflétaient des étoiles, bien que le ciel au-dessus d’eux soit d’un noir d’encre. Son mari semblait parfois avoir le don de lire dans ses pensées.
— Parfois, seules deux personnes qui s’aiment peuvent trouver de la lumière là où quiconque ne verrait que l’obscurité, expliqua-t-elle, émue au-delà des mots.
(173)