Et c'est l'été : pas de contrainte !
Vous avez jusqu'au dimanche 30/08 inclus pour poster votre plus beau texte de 150 mots (avec une tolérance de 25 mots en-dessous ou au-dessus de ce seuil), sous balise spoiler.
A vos claviers !
Edit : Les challengers !
Jenos Idanian
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Ben avait quitté sa masure depuis de longues heures et commençait maintenant à ressentir, doucement mais sûrement, le poids de l'engourdissement, la fatigue, mais aussi et surtout celui - si tant est que cela fût davantage possible - de la solitude.
Le simple fait de songer à la misérable petite habitation isolée de tout lui servant de logis suffisait pourtant, malgré tout ce qu'il devait endurer, à lui redonner un semblant d'aplomb et de courage; sa maison fût-elle à moitié délabrée et insalubre, à tout le moins celle-ci lui permettait néanmoins de supporter tant bien que mal les aléas de sa nouvelle mais - hélas - dure existence.
Tout autour de lui à perte de vue n'était que morne et triste désolation. Pour ne rien arranger, le tout était ponctué par la chaleur étouffante, assommante, écrasante des deux astres diurnes. Et dire que ce n'était encore que la matinée ! Rabattant son capuchon déjà bien entamé par l'abrasion mêlée du vent et du sable, il continua de traverser la Mer de Dunes.
(175)
Le simple fait de songer à la misérable petite habitation isolée de tout lui servant de logis suffisait pourtant, malgré tout ce qu'il devait endurer, à lui redonner un semblant d'aplomb et de courage; sa maison fût-elle à moitié délabrée et insalubre, à tout le moins celle-ci lui permettait néanmoins de supporter tant bien que mal les aléas de sa nouvelle mais - hélas - dure existence.
Tout autour de lui à perte de vue n'était que morne et triste désolation. Pour ne rien arranger, le tout était ponctué par la chaleur étouffante, assommante, écrasante des deux astres diurnes. Et dire que ce n'était encore que la matinée ! Rabattant son capuchon déjà bien entamé par l'abrasion mêlée du vent et du sable, il continua de traverser la Mer de Dunes.
(175)
Adanedhel
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Les cendres. Le sang. La Mort.
La cendre tombait du ciel. Les fins flocons noirs se déposaient sur la cape du Leader Supreme alors qu’il avançait vers la forteresse monolithique qui dominait le paysage.
Un groupe de fanatiques Sith protégeait les lieux. Ils jaillirent au travers des arbres frêles et gris qui poussaient sur ces terres désolées. Kylo Ren les tua tous, avec l’aisance et la grâce du Côté Obscur. Dans sa danse macabre, ses pieds soulevèrent des nuages de cendre tandis qu’il glissait, lame en avant, vers ses adversaires.
Arrivé à l’ombre de la forteresse, il trouva l’objet de sa quête. L’Orienteur Sith. Mais ce lieu, nimbé du sombre attrait de son admiration, pourrait également lui permettre de mieux comprendre Vador…
Il chassa cette pensée. Le passé devait mourir. Il le fera s’évaporer de sa rage, et dans cette brume nouvelle, seul se tiendra Kylo Ren.
Et la cendre tombait du ciel.
(153)
La cendre tombait du ciel. Les fins flocons noirs se déposaient sur la cape du Leader Supreme alors qu’il avançait vers la forteresse monolithique qui dominait le paysage.
Un groupe de fanatiques Sith protégeait les lieux. Ils jaillirent au travers des arbres frêles et gris qui poussaient sur ces terres désolées. Kylo Ren les tua tous, avec l’aisance et la grâce du Côté Obscur. Dans sa danse macabre, ses pieds soulevèrent des nuages de cendre tandis qu’il glissait, lame en avant, vers ses adversaires.
Arrivé à l’ombre de la forteresse, il trouva l’objet de sa quête. L’Orienteur Sith. Mais ce lieu, nimbé du sombre attrait de son admiration, pourrait également lui permettre de mieux comprendre Vador…
Il chassa cette pensée. Le passé devait mourir. Il le fera s’évaporer de sa rage, et dans cette brume nouvelle, seul se tiendra Kylo Ren.
Et la cendre tombait du ciel.
(153)
Graf Organa
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Pour célébrer la première décennie de la chute de l’Empire, le musée de la Guerre Civile allait être inauguré par l'ancienne Chancelière Mon Mothma sur Chandrila.
Plusieurs héros de la Rébellion étaient présents comme invités d'honneur. Parmi eux se trouvaient les familles Ackbar, Madine, Antilles et Dameron ainsi qu'évidemment Leia Organa avec son fils Ben et son mari Han Solo avec Chewbacca à ses côtés. Luke Skywalker et Lando Clarissian ne purent venir, ce qui contraria l'enfant Solo.
Le ruban fut coupé par Leia. A l’intérieur du musée, cette dernière amena son fils au mémorial d’Alderaan. Bien qu’ayant dix ans, la princesse du monde détruit voulu montrer à sa progéniture le cataclysme provoqué par l’Empire en lui déclarant que cela ne devait jamais recommencer. Ben regarda des roches d’Alderaan, une maquette de l’Etoile de la Mort et une bannière impériale déchirée exposées. Il sembla à la fois horrifié et fasciné...
(150)
Plusieurs héros de la Rébellion étaient présents comme invités d'honneur. Parmi eux se trouvaient les familles Ackbar, Madine, Antilles et Dameron ainsi qu'évidemment Leia Organa avec son fils Ben et son mari Han Solo avec Chewbacca à ses côtés. Luke Skywalker et Lando Clarissian ne purent venir, ce qui contraria l'enfant Solo.
Le ruban fut coupé par Leia. A l’intérieur du musée, cette dernière amena son fils au mémorial d’Alderaan. Bien qu’ayant dix ans, la princesse du monde détruit voulu montrer à sa progéniture le cataclysme provoqué par l’Empire en lui déclarant que cela ne devait jamais recommencer. Ben regarda des roches d’Alderaan, une maquette de l’Etoile de la Mort et une bannière impériale déchirée exposées. Il sembla à la fois horrifié et fasciné...
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Loïc Solaris
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Mon nom
Il était une fois, un jeune jedi qui cherchait terriblement à se faire un nom dans la galaxie.
Lorsque son maître tenta de la trahir, son esprit se scinda en deux : une partie resta dans la lumiere, l'autre, dans les ténèbres, trouva le pouvoir via un nouveau maître.
Il allait éliminer ses ennemis, se faire une place parfaite, être le maître, et détruire son passé, celui des autres. Sith, jedi, famille, plus rien ne devait plus exister.
Sa peur avala ses parents.
Sa colère avala l'héritage des sith et des Jedi.
Sa haine retrouva son autre moitié, et l'avala également afin de ne plus jamais avoir de faiblesse.
Il élimina les derniers résistants, pris possession du pouvoir galactique, et s'asseya sur le trône qui lui revenait maintenant de droit, pour mille ans.
Mais maintenant qu'il était au plus haut, il n'y avait plus personne pour l'appeler par son vrai nom.
Ben, c'est pourtant un si jolie nom.
(167)
Il était une fois, un jeune jedi qui cherchait terriblement à se faire un nom dans la galaxie.
Lorsque son maître tenta de la trahir, son esprit se scinda en deux : une partie resta dans la lumiere, l'autre, dans les ténèbres, trouva le pouvoir via un nouveau maître.
Il allait éliminer ses ennemis, se faire une place parfaite, être le maître, et détruire son passé, celui des autres. Sith, jedi, famille, plus rien ne devait plus exister.
Sa peur avala ses parents.
Sa colère avala l'héritage des sith et des Jedi.
Sa haine retrouva son autre moitié, et l'avala également afin de ne plus jamais avoir de faiblesse.
Il élimina les derniers résistants, pris possession du pouvoir galactique, et s'asseya sur le trône qui lui revenait maintenant de droit, pour mille ans.
Mais maintenant qu'il était au plus haut, il n'y avait plus personne pour l'appeler par son vrai nom.
Ben, c'est pourtant un si jolie nom.
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Dark Stannis
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Elle avait passé son enfance à entendre les récits de ses exploits, et c’est naturellement vers lui qu’elle s’était tournée lorsqu’elle avait le destin de la galaxie entre ses mains.
Elle avait affronté la captivité avec l’espoir qu’il réponde à son appel. Il était venu, mais elle n’avait pu le remercier ni même le voir avant qu’il ne se sacrifie pour leur assurer la fuite.
(165)
Il ne s’était pas étonné qu’il prétende être un de ces mystiques disparus. Un illuminé anachronique, mais qui avait à la fois de quoi se défendre et de payer le voyage, alors il l’avait pris à bord.
Elle avait affronté la captivité avec l’espoir qu’il réponde à son appel. Il était venu, mais elle n’avait pu le remercier ni même le voir avant qu’il ne se sacrifie pour leur assurer la fuite.
Il était allé beaucoup plus loin que son simple payement, en partie du fait du gamin, mais les histoires de noblesse du vieux et son dernier combat l’avaient marqué plus qu’il ne l’admettait .
Finalement c’était lui qui avait provoqué leur rencontre, aussi ils se mirent rapidement d’accord sur leur nom de leur enfant. Peut-être pas le nom complet, mais un diminutif certainement...
(165)
Niffleur
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Errance
Ben...
Il avait déjà entendu ce nom quelque part. Un murmure lointain, un visage balayé par le temps comme le sable par le vent.
Le nom d'un ami de longue date, d'un ennemi mortel, peut être même de son frère de sang... non. Il se souvenait de son frère.
Peu importe à qui était ce nom, il n'existe désormais plus vraiment pour lui. Il aurait du mal à porter celui d'un héros de toute façon.
Ben.
Les malandrins habituels du bar vinrent l'extirper de ses pensées.
"Messieurs, j'aimerais boire ici sans être dérangé."
Un mouvement de main et ils le laissèrent seul, non sans lui avoir offert un nouveau verre, bien entendu.
La gorge hydratée, il repris son chemin, arpentant les dunes, contemplant le soir venu la danse céleste du couple orangé sur la ligne d'horizon.
Se couchant péniblement sur son lit, sous la pierre de son foyer, il tâcha de trouver un moment de paix, puis le sommeil.
"Ben..."
Il ferma les yeux, apaisé de sentir le désert si calme.
(172)
Ben...
Il avait déjà entendu ce nom quelque part. Un murmure lointain, un visage balayé par le temps comme le sable par le vent.
Le nom d'un ami de longue date, d'un ennemi mortel, peut être même de son frère de sang... non. Il se souvenait de son frère.
Peu importe à qui était ce nom, il n'existe désormais plus vraiment pour lui. Il aurait du mal à porter celui d'un héros de toute façon.
Ben.
Les malandrins habituels du bar vinrent l'extirper de ses pensées.
"Messieurs, j'aimerais boire ici sans être dérangé."
Un mouvement de main et ils le laissèrent seul, non sans lui avoir offert un nouveau verre, bien entendu.
La gorge hydratée, il repris son chemin, arpentant les dunes, contemplant le soir venu la danse céleste du couple orangé sur la ligne d'horizon.
Se couchant péniblement sur son lit, sous la pierre de son foyer, il tâcha de trouver un moment de paix, puis le sommeil.
"Ben..."
Il ferma les yeux, apaisé de sentir le désert si calme.
(172)
Ve'ssshhh
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Visions des futurs
Une passerelle étroite, surplombant le vide. Ils sont proches à se toucher. Dans leurs mains, un étrange sabre-laser. Il s’entend dire « merci » alors que la larme écarlate transperce…
Autre décor, autre sabre, même voix. C’est une femme aux cheveux flamboyants, qui bascule lentement, comme dans un cauchemar.
Cauchemar !
Le garçon se redresse dans sa couchette, secoué de sanglots. C’était si réel ! Et le vieil homme l’avait appelé…
La porte coulisse, une voix familière s’inquiète :
- Ben ! J’ai senti ta détresse. Un mauvais rêve ?
Comment dire l’indicible ?
Maman… Oncle Yan… Je les ai…
Une main sur son front, horreur et culpabilité refluent, la paix revient.
Avec elle, la lucidité : cette voix, ce sabre qui transperce sa mère, il les connaît.
Oncle Yan avait dit : « tu es mon fils ».
Une Vision ? Impossible, absurde !
C’est un mauvais rêve, oublie-le !
L’enfant offre un pauvre sourire à son sauveur, Jacen.
Son cousin, son ami, son mentor. Avec lui, rien de mal ne pourra arriver !
(175)
Mandoad
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Ben
Ben observa attentivement le sable qui se trouvait tout autour de lui, puis ferma les yeux. Il se remémora la dernière fois qu’il était venu sur Tatooine, plus de dix ans auparavant. Tout lui avait alors semblé si simple avant qu’un événement ne vienne chambouler son existence. Anakin Skywalker. Il ne le connaissait alors pas, mais son nom n’allait pas tarder à être sur toutes les lèvres peu de temps après leur première rencontre. Il le visualisait encore près de lui, sa simple présence le rassurant. Il avait cru possible qu’il reste, puis il l'avait abandonné, le laissant seul. Il se voyait frapper du poing, accablé par son échec, mais il s’agissait du passé désormais. Ben était revenu sur cette planète désertique avec un but bien précis. Cette fois, il n’échouerait pas. Les trois lumières s’éteignirent et le faisceau d’énergie violacé du module de course fit de même.
Pas encore !
(150)
Ben observa attentivement le sable qui se trouvait tout autour de lui, puis ferma les yeux. Il se remémora la dernière fois qu’il était venu sur Tatooine, plus de dix ans auparavant. Tout lui avait alors semblé si simple avant qu’un événement ne vienne chambouler son existence. Anakin Skywalker. Il ne le connaissait alors pas, mais son nom n’allait pas tarder à être sur toutes les lèvres peu de temps après leur première rencontre. Il le visualisait encore près de lui, sa simple présence le rassurant. Il avait cru possible qu’il reste, puis il l'avait abandonné, le laissant seul. Il se voyait frapper du poing, accablé par son échec, mais il s’agissait du passé désormais. Ben était revenu sur cette planète désertique avec un but bien précis. Cette fois, il n’échouerait pas. Les trois lumières s’éteignirent et le faisceau d’énergie violacé du module de course fit de même.
Pas encore !
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Sham'b Hall'o
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Etendu sur la roche ocre, à l’ombre d’un soleil ardent, il devinait le vent sablonneux balayer ses mains, son visage, son esprit. Cela lui apportait le calme nécessaire pour méditer. Il poursuivait cette quête de compréhension dans la Force, et rencontrait de plus en plus de difficulté à revenir à la réalité. Plonger dans les limbes de ses secrets. Lire le flux en perpétuel mouvement des futurs possibles. Longer la mince frontière avec le côté obscur. Voir les vies se faire et s’évanouir. Côtoyer la présence fantomatique des anciens maîtres. A la recherche de son ancien maître.
Dans cet état de transe chamanique, le temps n’était plus qu’une notion, une émanation de la Force, son arme contre l’immobilisme destructeur. Il sombrait, sans espoir auquel se raccrocher. Ainsi les jours passèrent, son corps assoiffé dépérissant.
Puis une faible lueur, claire, une voix reconnaissable venue du plus profond des espaces, à travers les vides. « Concentre-toi sur l’instant présent, ressens, ne pense pas ; fie-toi à ton instinct. »
Ouvrant des yeux apaisés, Obi-Wan s’éclipsa pour devenir Ben.
(173)
Dans cet état de transe chamanique, le temps n’était plus qu’une notion, une émanation de la Force, son arme contre l’immobilisme destructeur. Il sombrait, sans espoir auquel se raccrocher. Ainsi les jours passèrent, son corps assoiffé dépérissant.
Puis une faible lueur, claire, une voix reconnaissable venue du plus profond des espaces, à travers les vides. « Concentre-toi sur l’instant présent, ressens, ne pense pas ; fie-toi à ton instinct. »
Ouvrant des yeux apaisés, Obi-Wan s’éclipsa pour devenir Ben.
(173)
Angedabe
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Ben's multivers...
(168)
En tailleur, le corps lévitant à quelques centimètres d’un sol poussiéreux couvert de sang séché, sous la voute d’un très vieux sanctuaire, Ben méditait.
Son esprit naviguait de nuit, sur un immense navire à voile, tout ce qui avait de plus banal, tout ça sur une eau reflétant les étoiles et une lointaine nébuleuse bleu et verte.
Le regard tourné vers un avenir incertain, il eut un écho dans sa tête, celui d’un vieil homme.
- Tout est si limpide et flou à la fois.
Mais Ben resta silencieux, attentif au calme.
- Ne te morfond pas, car tu es celui ayant déjà remporté quelque chose.
Son oreille devint plus curieuse.
- Un autre Ben a existé avant toi, dans certains ouvrages, dans certaines pages, mais a été injustement oublié.
Le concerné tourna la tête et vit un vieillard barbu encapuchonné tenir la barre, les yeux rivés vers l’horizon infini.
- Alors reprends-toi. Et un conseil : ne perds pas l’avantage, lui sourit finalement le vieil ermite armé d’un sabre laser.
Son esprit naviguait de nuit, sur un immense navire à voile, tout ce qui avait de plus banal, tout ça sur une eau reflétant les étoiles et une lointaine nébuleuse bleu et verte.
Le regard tourné vers un avenir incertain, il eut un écho dans sa tête, celui d’un vieil homme.
- Tout est si limpide et flou à la fois.
Mais Ben resta silencieux, attentif au calme.
- Ne te morfond pas, car tu es celui ayant déjà remporté quelque chose.
Son oreille devint plus curieuse.
- Un autre Ben a existé avant toi, dans certains ouvrages, dans certaines pages, mais a été injustement oublié.
Le concerné tourna la tête et vit un vieillard barbu encapuchonné tenir la barre, les yeux rivés vers l’horizon infini.
- Alors reprends-toi. Et un conseil : ne perds pas l’avantage, lui sourit finalement le vieil ermite armé d’un sabre laser.
(168)
L2-D2
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Qui es-tu ?
Je suis Ben Solo.
Ça ne répond pas à ma question : qui es-tu ?
Je suis Ben Solo, fils de Leia Organa, Princesse d'Alderaan, et de Han Solo, capitaine du Faucon Millenium.
Intéressant. Mais dans ton sang, tu es plus que cela, non ?
Je suis le petit-fils d'Anakin Skywalker.
Mais surtout celui de VADOR !
Non. Non !
Tu sembles honteux de ta lignée. Tu n'as aucune raison de l'être. Ne sois pas aussi faible que Luke Skywalker l'a été.
Mon oncle est un grand homme. Un Jedi !
Ton oncle a refusé son destin. Et tel un fou, il a cru pouvoir vaincre définitivement le Côté Obscur en me détruisant, moi. Mais nous savons que c'est impossible, n'est-ce pas, Ben ?
Qui êtes-vous ?
Je suis ce que tu deviendras, si tu l'acceptes. Ton destin t'appartient. Le Côté Obscur est ton héritage.
Vous mentez ! Vous ne cessez de mentir !
Nous en reparlerons bientôt, Ben Solo. Très bientôt...
(168)
Je suis Ben Solo.
Ça ne répond pas à ma question : qui es-tu ?
Je suis Ben Solo, fils de Leia Organa, Princesse d'Alderaan, et de Han Solo, capitaine du Faucon Millenium.
Intéressant. Mais dans ton sang, tu es plus que cela, non ?
Je suis le petit-fils d'Anakin Skywalker.
Mais surtout celui de VADOR !
Non. Non !
Tu sembles honteux de ta lignée. Tu n'as aucune raison de l'être. Ne sois pas aussi faible que Luke Skywalker l'a été.
Mon oncle est un grand homme. Un Jedi !
Ton oncle a refusé son destin. Et tel un fou, il a cru pouvoir vaincre définitivement le Côté Obscur en me détruisant, moi. Mais nous savons que c'est impossible, n'est-ce pas, Ben ?
Qui êtes-vous ?
Je suis ce que tu deviendras, si tu l'acceptes. Ton destin t'appartient. Le Côté Obscur est ton héritage.
Vous mentez ! Vous ne cessez de mentir !
Nous en reparlerons bientôt, Ben Solo. Très bientôt...
(168)
)
Je peaufine mon texte et je le mets demain, bonne plume à toutes et à tous!
tant pis 
