Pius Dea : L'ère des Tyrans ( Tome 1 ) [FIN]

[Boldard Jedi SWU]

Eh bien, eh bien.

Je m'étais promis de jeter un œil à ce récit, ne serait-ce que par curiosité. Alors chose promise, chose due

N'étant pas familier avec l'UE Legends (mais n'y étant pas non plus totalement étranger vu que je joue à SWTOR), je n'avais aucune idée précise de ce dont cette fan-fic allait parler la première fois que je suis tombé dessus. Dius Dea ? Contispex ? Qu'est-ce donc cette sorcellerie ?

Mais malgré l'aspect inconnu et obscur de ce récit et du sujet abordé, je dois dire qu'il a néanmoins réussi à piquer ma curiosité.
Après tout, une histoire qui parle de secte, de tyrannie, de fanatiques et d'atrocités à grande échelle, ça ne pouvait que m'intéresser

J'ai opté pour la version PDF "améliorée" pour ma lecture, qui est de ce que j'en ai compris la plus complète à ce jour, et je vais donc te livrer mon ressenti immédiat sur chaque chapitre suivant le texte et le chapitrage du dit document.


Chapitre 1 :

Dès le départ, on sent que ça va chauffer et que les dissensions politiques et idéologiques vont être au cœur de l'intrigue.
La seule question est : jusqu'à quel point ça va dégénérer ? Je n'attends qu'à voir


Chapitre 2 :

Tiens donc, Pers'lya est un mâle ? Avec un nom pareil, j'aurais pas cru

Le climat politique entre la République et Alsakan n'est pas sans rappeler la Guerre Froide, et c'est intéressant de voir une situation de ce genre dans Star Wars et les différents problèmes que ça peut occasionner. Mais j'ose espérer que ce status quo sera bientôt chamboulé, ce que ton récit semble suggérer.

On ne peut que ressentir de l'appréhension pour le chancelier Bothan, pour qui ça ne sent pas très bon tant sur le plan professionnel que civil. Les Jedi qui l'escortent seront-ils forcés d'user de leur sabre laser face à des fanatiques hors de contrôle ? Le Pius Dea va-t-il ajouter la violence policière à la liste de ses allégations contre le gouvernement ? Je redoute le pire


Chapitre 3 :

Visiblement, les réclamations d'Alsakan ne font pas l'unanimité. On peut pas en vouloir à cet État indépendant qu'il ne veuille pas qu'on vienne l'enquiquiner sur son territoire, mais la République n'a pas à se plier aux exigences ridicules d'un État paranoïaque sous menace de conflit... On ne négocie pas avec les terroristes !

Sinon, ils n'ont qu'à créer une nouvelle voie hyperspatiale qui contourne ce système, et on n'en parle plus (mais j'imagine que ça ne se fait pas aussi facilement)

Julius Contispex, le meneur du Pius Dea, semble alors sortir de nulle part et met fin au mandat de Pers'lya avec une facilité déconcertante... Mais que fait la police ?

Là, ça sent vraiment pas bon. Contispex a peut-être raison de vouloir mettre fin à cette paix à sens unique, quitte à donner une leçon de civisme à Alsakan. Mais sachant qu'il est de mèche avec cette secte de fanatiques, qui sait jusqu'où il ira pour imposer son idéologie s'il est élu ? J'ai peur

[mat-vador Jedi SWU]

Merci pour le retour, DSB !

Pour Contispex, je plaide non coupable... c'est un anglo saxon de Lucas Arts qui a eu l'idée . Parce que si le mec était francophone, il aurait choisi un autre nom . Et comme je suis puriste, j'ai gardé ce nom.

Dans les trois premiers chapitres, Contispex n'est pas ( encore ) le chef du Pius Dea mais de sa part sa position de sénateur, c'est quelqu'un qui a une grande influence et il ne compte pas en rester là ...

En résumé, La République traverse une double crise : interne ( corruption, montée du Pius Dea ) et externe ( Alsakan ).


Allez, à la prochaine !

[Boldard Jedi SWU]

Pour Contispex, je plaide non coupable... c'est un anglo saxon de Lucas Arts qui a eu l'idée . Parce que si le mec était francophone, il aurait choisi un autre nom . Et comme je suis puriste, j'ai gardé ce nom.

Ah mais t'as totalement raison, c'est toujours un plus d'être lore-friendly

En résumé, La République traverse une double crise : interne ( corruption, montée du Pius Dea ) et externe ( Alsakan ).

Oui, j'avais bien compris ça. Autrement dit, c'est pas la joie


Chapitre 4 :

Là, ça commence à chauffer. Les Jedi et les gardes Republicains sont bien impuissants face à une foule de fanatiques aussi violents et incontrôlables. On en viendrait presque à regretter le régime autoritaire de l'Empire (un bataillon de stormtroopers armés de disrupteurs, et ce serait fini)

Il tendit le bras et l'air se comprima brusquement autour de la femme qui fut tractée en arrière, renversant ses
quatre autres camarades.

Le choix des mots ici m'a parfaitement fait visualiser la fulgurance de la scène, bien joué !

Cette garde était reliée par un fil à une batterie plate qui était accrochée contre sa hanche.
Le crépitement électrique précéda le déploiement d'une lame couleur soleil ardente.

Oh, un sabre laser à l'ancienne ! C'est génial !
Là, on sent les 12 000 ans d'écart avec la saga Skywalker. Et puis franchement, ça rajoute un certain charme

Ok, là ça dégénère vraiment. Il n'aura pas fallu longtemps pour passer d'une situation à peu près civilisée à la sauvagerie la plus totale

Les fanatiques qui osent s'attaquer à Pers'lya se mangent du sabre laser en bonne et due forme, on peut pas dire qu'ils l'ont volé. Mais le fait que les Jedi et les quelques gardes soient le seul rempart entre le Bothan et les assaillants, dans un endroit aussi civilisé et sécurisé en temps normal, est tout de même hallucinant

Dans ses yeux, brillait cette compréhension de ceux qui se savaient condamnés.

Que de poésie, que de drama, j'approuve !

Le sabre laser à batterie externe de Bekan se révèle être un point faible de taille lorsqu'il se retrouve privé de son arme, mais c'est pour lui l'occasion de nous faire une démonstration de kung-fu Jedi, ce qui est tout aussi impressionnant.

Chapeau soit dit en passant pour l'écriture dynamique et efficace de cette scène d'action, qui fait ressentir toute la tension et la violence de ce féroce combat de rue.

Pers'lya s'en sort finalement (presque) indemne, et non sans prix pour ceux qui ont dû assurer sa défense. Son répit ne sera que temporaire, mais ça fait de bien de le voir enfin sortir de ce nid à frelons.

Espérons que le Pius Dea ne s'en tirera pas sans conséquences après cette tentative d'assassinat groupé, mais avec le soutien de Contispex et de nombreux complices au gouvernement, quelque chose me dit qu'ils ont déjà assez d'influence pour agir en toute impunité.

[mat-vador Jedi SWU]

Oh, un sabre laser à l'ancienne ! C'est génial !
Là, on sent les 12 000 ans d'écart avec la saga Skywalker. Et puis franchement, ça rajoute un certain charme

Ce genre de sabre, on les revoit au début de la série Tales of the Jedi .

Espérons que le Pius Dea ne s'en tirera pas sans conséquences après cette tentative d'assassinat groupé, mais avec le soutien de Contispex et de nombreux complices au gouvernement, quelque chose me dit qu'ils ont déjà assez d'influence pour agir en toute impunité.

Je me suis inspiré de la période historique 1919 - 1922 qui a précédé l'ascension du fascisme en Italie. Une période de violences, de règlements de comptes idéologiques et politiques avec un état et des élites impuissantes, une police et une armée plus ou moins complices. Bref, tout ce qui a pu favoriser l'émergence de Mussolini.


Allez, à la prochaine !

[Boldard Jedi SWU]

Chapitre 5

Julius Contispex, un homme aux nombreuses facettes... Politicien ambitieux, guide spirituel, père aimant...
On croirait presque une émission de propagande vantant les différentes qualités humaines d'un dictateur.

Une belle famille de fanatiques égocentriques à tendance mégalomane, en somme... Ou comment devenir un dictateur tyrannique en étant convaincu de faire ce qui est juste

Et bien insupportables comme il faut, pire que des Lannister

Et le pauvre gamin qui se retrouve embarqué là-dedans malgré lui, j'aimerais pas être à sa place

On apprend également dans ce chapitre que l'idéologie du Pius Dea est profondément spéciste, ce qui explique notamment pourquoi les manifestants considéraient Pers'lya comme un "impur".


Chapitre 6

Ces fanatiques qui font la loi dans la rue, ça rappelle les dérives religieuses d'un autre temps, mais aussi les skinhead pour le côté crâne rasé/haine raciale. Que du beau monde

— L'important est d'arriver à point, Bekan. Pas de crourir.

toujours impavide

noyer le quarren

Non mais ces expressions, c'est du génie

Tiens, c'est intéressant de voir que Ri'ila Terka n'est pas aussi intransigeante sur les règles concernant les relations amoureuses que peuvent l'être la plupart des Jedi. A-t-elle raison de l'être, ça c'est un autre débat
À voir ce que ça va donner dans le développement personnel de Bekan

Alors ça y est, les Jedi sont totalement impuissants face aux crimes commis en plein jour par le Pius Dea, uniquement par peur de représailles ? Et même la police est complice ?? Mais on est où, là ?

Les Jedi résignés face à l'ascension inéluctable de Contispex, quelle vision révoltante
C'est dans ces moments-là que j'aimerais que les Jedi soient moins gentils et fassent goûter de leur sabre à ceux qui le méritent, et tant pis pour les conséquences

Quoi, Pers'lya est toujours au poste de Chancelier et la République n'assure plus du tout sa protection ? Ça sent pas bon du tout pour lui cette affaire

Et Bekan qui doit surveiller Pers'lya, est-ce pour l'empêcher de faire une bêtise ou le protéger d'une éventuelle attaque du Pius Dea ?

[mat-vador Jedi SWU]

Chapitre 5 :

Je reconnais que Game of Thrones m'a pas mal influencé. J'ai essayé d'imaginer Julius Contispex comme un combo entre Tywin Lannister et Stannis Baratheon . Et Linza, en Cersei Lannister.

Le tome 2 montrera comment le gamin a tourné !


Chapitre 6 :

Les Jedi et les relations amoureuses ? Autre temps, autres mœurs ...

Oui, ils ont peur de représailles de la part d'individus qui ne sont pas pourtant sensibles à la Force... mais au moins ça change des Sith, des Jedi Noirs !

En tout cas, Pers'lya n'est pas prêt de renoncer au pouvoir qu'il a perdu. C'est quand même un Bothan, à la base !

[mat-vador Jedi SWU]

CINQUANTE MILLE LUES !! GG à vous, chers lecteurs et lectrices, merci encore une fois pour l'intérêt que vous avez témoigné pour cette fan fic !

J'espère que le tome 2 vous plaira tout autant ! Hum, par contre pour le tome suivant, certains passages ont été mises sous balise spoiler parce que bien violents ...

[Boldard Jedi SWU]

Chapitre 7 :
Tiens donc, Pers'lya a des alliés au sein même du Pius Dea, et tous ne sont pas favorables à la prise de pouvoir de Contispex. Voilà qui est intéressant

Chapitre 8 :
Bekan est finalement promu chevalier Jedi, ses efforts ont enfin porté leurs fruits !
C'est cool de voir l'évolution des personnages Jedi ici, leurs difficultés, leurs faiblesses, et les relations qu'ils entretiennent. Ton récit tend vraiment à humaniser les Jedi, et c'est une bonne chose pour créer de l'affect pour ces personnages qui pourraient paraître plats ou ennuyeux au premier abord. Tes personnages ont tous une personnalité bien marquée et développée, et on a même envie de leur ressembler sur certains aspects
La proximité qu'on a avec les protagonistes me rappelle celle que j'avais pu avoir en lisant Harry Potter durant mes années collège. J'avoue décrocher un peu durant les scènes de combat virevoltantes élaborées et longuement détaillées, mais le côté psychologique et émotionnel de l'apprentissage Jedi est très bien retranscrit selon moi

Je regrette de ne pas avoir autant de temps que je voudrais pour lire en ce moment, mais ton récit m'intéresse toujours et n'est pas désagréable à lire, j'espère terminer le tome 1 assez vite

Allez, à bientôt !

[mat-vador Jedi SWU]

Merci pour le retour, DSB !

Pour le Pius Dea, je tenais à nuancer un peu... même s'ils partagent tous la même idéologie, cela n'empêche pas les luttes de pouvoir et les dissenssions internes sur les moyens d'arriver à ses fins.

Pour les Jedi... j'aime bien les forceux en général et c'est l'aspect qui me plait le plus dans Star Wars et je ne pouvais pas l'occulter !

Je regrette de ne pas avoir autant de temps que je voudrais pour lire en ce moment, mais ton récit m'intéresse toujours et n'est pas désagréable à lire, j'espère terminer le tome 1 assez vite

Allez, à bientôt !

C'est pas évident de trouver le temps, en effet . Pour la suite, tu seras très intéressé par les chapitres 9 à 12 , vu que ça parle du Pius Dea en profondeur et il va s'en passer des choses, tu seras pas déçu !

Allez, à la prochaine !

[mat-vador Jedi SWU]

Salut, Loucass !

Merci encore pour ton retour très consistant ! Je vais répondre sur les quelques points qui ont péché selon toi...

Personnellement, je déteste que l'artiste me dise "tiens, lui c'est le gentil, et lui c'est le méchant". Avec Julius, j'aurai aimé voir un instant où on vit avec lui ce qui le pousse à être ainsi. Que les actions des non humains, avec un acte et un moment fort, le poussent à se dire qu'ils sèmeront toujours le bazar si personne ne fait rien. Qu'il doit agir, quitte à faire du mal, tuer des gens, ect. Le sentir animé par quelque chose de véritablement ancré intimement, et j'aurai été concerné par ses actions et ce qu'il vit. De me dire "ouais, il est perché le type, mais en même temps sa logique n'est pas toujours dénuée de sens si on voit les choses ainsi". Pour ma part, je préfère les récits où tout le monde peut avoir raison ou tort, où l'artiste laisse le lecteur décider selon sa sensibilité, ses valeurs et son affect.

J'ai tendance à me dire que le but du jeu est de prendre des archétypes pour s'en inspirer, se servir de base, mais ne pas simplement s'y coller. En définitive, c'est parfois cette dernière impression que j'ai, que tes persos et certains éléments s'y collent trop. Alors attention, on peut aimer, c'est un façon de faire, mais je suis moins fan. Julius par exemple, est le méchant par pure ambition, avec trop peu de nuance. Les gentils sont un peu naïfs, et parfois idiots. Tous les fanatiques sont simplement des illuminés lobotomisés, des xénophobes gratuits, ect.

Tous ceux qui ont un a priori raciste sont forcément les méchants, et ceux qui sont pour le vivre ensemble sont tous les gentils. Ça me gêne un peu pour deux raisons. Premièrement, c'est idéologiquement orienté, et ce n'est pas ce que je préfère. Mais également, c'est moins intéressant pour ma part. Je trouve que la nuance est la force de la narration et du propos artistique. Mettre en scène des racistes, oui, mais les nuancer, c'est mieux non ?

Insinuer qu'ils ont rejoint un mouvement extrémiste pour combler leur meurtrissures, ils ont été agressé, subit une injustice, au profit de non humains ? Et par manque de discernement, ils agissent par mégarde ? Je trouverai cela plus réaliste et pertinent qu'une totalité d'individus assoiffés par la haine raciale. Dans le monde réel, ils sont une minorité les racistes qui le sont uniquement par haine viscérale. Bien souvent, ce sont des gens qui s'égarent, ne s'ouvrent pas par manque de compréhension, ect. De même que ceux qui s'insurgent contre les racistes, ils sont tous dans le vrai. Eh bien non, car ce n'est pas exact. Pourquoi ne pas mettre en scène un non humain haineux des humains ? Que la situation soit complexe et nuancée ?

Après, ce sont tes partis pris, ta sensibilité, et les choix qui te regardent toi et toi seul. Mais lorsque les thèmes, religieux, politiques ou encore raciaux sont abordés, je trouve de meilleur ton de mettre en scène une galerie plus complexe et nuancée, comme l'est la réalité. Le racisme, et la haine en général, est plus pertinente dans un récit lorsqu'elle est contextualisée et/ou justifiée à mon sens. Par exemple, les Jedi et leur Ordre trop peu inquiétés ou pointés du doigt. Julius, présenté comme le maître du jeu, qui contrôle tout, ne contrôle pas vraiment sa propre haine raciale qu'il dissimule avec difficulté en public. En public, un Palpatine était impeccable pour faire une analogie, s'il est un peu le modèle.

J'ai des grands parents et des arrières grands parents italiens qui ont connu le fascisme de Mussolini dans les années 20-40 ( C'est bientôt le centenaire de la Marche sur Rome, au passage ) et d'après leurs récits de cette période, c'était pas la joie. Certains ont même connu la déportation après l'armistice de Cassibile en septembre 1943. Donc, à partir de là, quand j'ai voulu aborder ces thèmes, il n'était pas question de nuancer quoi que ce soit. Tu es fanatique ou tu ne l'es pas, point. Je préfère appeler un chat, un chat.
J'ai quand même fait un effort de contextualisation minimale avec une République confrontée à une double crise interne ( perte de confiance dans les institutions ) et externe ( crise avec Alsakan ). Le genre de situation qui favorise les extrêmes comme l'Histoire l'a démontré.

Après les gentils ne sont pas forcément irréprochables. Prenons les Jedi par exemple. Il y a quand même une scène où Bekan et la twi'lek voient des gens passer à tabac sans qu'ils interviennent . Normalement, ils seraient intervenus mais ils ne le font pas... complicité par omission. Comme quoi, je nuance un peu.

Pour Julius Contispex, je lui ai quand même donné un peu de personnalité. Genre c'est le bon père de famille qui aime sa femme et son fils et qui veut bâtir une galaxie idéale pour eux, purgée des éléments indésirables. La République est affaiblie, peu d'opposants se dressent sur son chemin surtout après la petite purge interne... la voie vers le pouvoir est tracée.


Dans l'ensemble de la trilogie, certains personnages sont amenés à faire un choix : agir ou ne pas agir. C'est pour ça que je te conseille de lire les tomes 2 et 3. Tu pourras te faire une idée vraiment arrêtée sur le tome 1.

[mat-vador Jedi SWU]

Sur les points que tu as soulevés, le tome 2 te procurera plus de satisfaction je pense. Il y a une variété de points de vue qui va beaucoup t'intéresser. Il faut voir le tome 1 comme une sorte d'introduction au reste de la trilogie.

J'ai hâte d'avoir ton retour sur ce tome 2 du coup !